17h26. Je finis le taf. Je bosse dans un bar restaurant. La journée n'avait pas été trop difficile. J'enfile en 2/2 ma veste, mon écharpe et ma casquette et je file. L'équipe de serveur me salue, tout comme la cuisine. Je traverse la salle et je m'échappe. Dehors il fait froid.Je m'allume une clope et marche vers ma station de métro. Sur mon chemin je regarde mon reflet dans les vitres des commerces. Je fais 1m75 pour 64kg de muscles sec. J'ai une barbe de quelques jours, des cheveux de quelques millimètres, un piercing à l'arcade. Du haut de mes 23 ans personne ne me dit gay. J'ai la chance d'avoir cet air sur de moi et très masculin qu'ont les mecs hétéros. Ma veste marque bien mon dos en V et mon jogging ne cache pas le gros entre jambe voyant que je me trimballe.
Je descend les marches de la bouche de métro. Je trace la foule, j'aime pas être ralenti. Je monte dans mon métro, c'est l'heure de pointe, on est tous serré les uns contre les autres. Je descends 5 arrêts plus tard, comme le reste du wagon. Le flot de passager me suit jusqu'au quai du RER A. Bondé. Je marche pour me rendre à l'emplacement stratégique sur le quai qui me permettra de rejoindre ma prochaine correspondance plus rapidement.
Le quai est noir de monde. Je m'avance pour être le plus au bord et donc ainsi monter le premier quand le RER sera à quai. J'écoute ma musique je fais attention à rien. Quand je tourne la tête vers la droite je remarque que le mec à 2m de moi tourne brusquement les yeux dans l'autre direction. Je fais mine de ne rien avoir remarqué. C'est alors que je vois le type de 35/40 me mater la queue au travers du jog. Je vous jure il se gênait pas. Dès que j'avais la tête tournée il fixait ma queue avec intensité. Petit à petit le type c'est rapproché. C'était un mec de bonne taille, quelque chose comme 1m83, avec des épaules carrés et rasé de près. Il portait des lunettes, un costume et une sacoche en cuir. Typiquement le genre de type qui tafe à BNP Paribas et qui rentre chez lui après avoir gagné 400 euros dans sa journée. Le vrai petit mec qui a réussit dans sa vie. Moi j'en suis pas encore là mais le mec qui réussit il me mate la bite à s'en faire baver. Il est à côté de moi à présent et je vois bien qu'il a du mal à ne pas être pris en flagrant délit. A sa main, son téléphone qu'il tient étrangement. Je parie qu'il filme le bâtard.
Le RER entre en gare. On monte à l'intérieur. Le flot de passager me fait me plaquer contre la paroi en face. Le ptit bourge se cale contre moi. Les portes se ferment et scellent notre position. Le RER se met en route. Les vibrations font aller et venir la main du bonhomme sur la courbe de ma bite. Je commence à kiffer. Le mec fait mine de rien. Ses doigts glissent sur ma queue qui gonfle. Il a un mal fout à ne pas regarder entre mes cuisses. Moi je prends du volume. Je le toise du regard. Le mec me voit et baisse les yeux vers ma bite. Il se mord la lèvre. Il pose sa main sur ma queue et la serre. Huuuummm c'est trop bon. Le mec prend son pied à jouer avec ma bite raide dans le wagon. Personne ne remarque rien mais la petite pédale a commencé à me branler. Sa main a pris ma tige et la secoue au rythme du RER.
Le train arrive en gare. Il lâche ma queue et la regarde à nouveau. 21x5 déployé sous le tissus. Je le fixe des yeux pour le pousser à continuer malgré le ralentissement du train. Le mec hésite mais je lui refous la main entre mes jambes. Il est tout gêné et se met dos à moi pour cacher aux nouveaux passagers qui montaient son petit jeu de pute. Le wagon se remplit complètement à nouveau et les porte bloque l'ensemble. On repart. Le mec est appuyé contre moi, la main crispée sur mon pieu. Je le saisis par la taille et commence à frotter ma queue bite bandée contre son cul de salope. Sa main se referme encore plus fort sur ma tige. Je continue de me branler comme ça jusqu'à ce qu'on arrive à Charles de Gaule Etoile. " Suis moi " je lui impose à l'oreille en descendant du wagon. Je prend l'escalator que j'escalade 4 par 4. Une fois en haut je me retourne. Le petit trentenaire est toujours derrière moi à me mater, du vice plein les yeux. Je sors jusqu'à arriver dans la gare principale. J'attends qu'il arrive presque à mon niveau pour me lancer dans le centre commercial. J'ai pas envie de perdre du temps, je trace. Le mec me suit toujours. On passe devant Auchan, on descend au parking. Le dernier parking.
En bas, que quelques voitures, de ci de là. Un immense parking pas très bien éclairé de plus centaines de mètres carrés. Je passe les portes vitrées et je travers les places disponibles. Mes pas résonnent sur le bitume. J'entends ceux du mec derrière moi avec ses chaussures de bureau. PAs un bruit à part nous. En face de moi 3 voitures garées proches l'une de l'autre. Je me glisse entre elles et me retourne. Le ptit bourge arrive. Il a le regard inquiet mais excité. Je le regarde avec un sourire vicieux et je lui colle une baffe. Le mec s'y attendait pas. Il perd vite fait l'équilibre, j'ai juste le temps de le choper et le foutre à genoux. En une seconde il a la gueule en face de ma queue. " refais moi bander pédale " je lui lâche. La pédale comprend pas bien ce qui lui arrive alors je lui plante la bouche contre ma bite et la frotte avec. Rapidement le trentenaire se ressaisit et se met à me lécher comme il faut. Je baisse mon jogging et il se prend 21x5 en pleine gueule. Pas de pause, je lui enfonce direct dans la gueule. De mes mains je lui choppe le crâne et fais des aller retours avec sur mon pieu. Le mec n'a pas encore eu le temps de s'élargir la gorge que déjà je m'y amuse de toutes mes forces. Il tousse, crache, s'étouffe. Je sens la bave dégouliner le long de mes couilles et contre son menton. Je le laisse respirer. Il recule de 1m et tombe par terre tellement je l'ai pris par surprise avec cette baise de gueule. Je remarque qu'il a les yeux tout rouges, ça m'excite encore plus. Je m'avance vers lui et lui enfonce ma teub au fin fond du gosier alors qu'il est encore au sol. Le mec veut se dégager mais je le maintiens. Plus je force plus il recule. Le con finit bloqué entre une voiture et ma bite. Il suffoque. Je ressors ma queue et je vois le petit bâtard régurgiter son dernier café. Il a les lunettes de travers, les genoux de son costumes sont sales et sa gueule est engluée de salive. Autant dire qu'il regrette pas d'être venu. Moi je prends mon pied. Je rebouche sa gueule avec ma queue. Quelqu'un arrive. alors à l'autre bout du parking. Je m'abaisse mais garde ma bite dans la bouche de ma pute. Je continue de lui baiser la gueule en lui faisant comprendre de fermer sa gueule. La silhouette au loin ouvre sa voiture, démarre et s'en va. Je ressors ma queue du gosier de ma chienne. Ce dernier prend bruyamment une grande bouffée d'air. Il crache par terre et s'essuie le visage.
Je le soulève et le plaque dos à moi, contre la voiture. Je tire d'un coup sec son pantalon et ne découvre que son cul. Pas besoin de défaire sa braguette ni rien, je m'en branle qui touche sa queue, je veux juste avoir accès à sa chatte. Je crache dans ma main, applique mon molard contre son cul et aligne ma bite. D'un coup sec je l'enfile.
Le mec se contracte et étouffe un cri de douleur. Il se débat légèrement mais je le tiens bien fermement en place. Il a beau être plus grand que moi je le bloque, il est à ma merci, sale pédale. Avant qu'il ait eu le temps de complètement s'habituer j'entame de long va et viens entre ses deux petites fesses imberbes. " écarte ton cul " que je lui ordonne. Ma lopette obtempère et se saisit les fesses des deux mains et les écarte pour bien tendre les parois de sa chatte. Je le choppe par la taille et le bourre. Je le déglingue sans gêne. J'y vais violemment. J'ai limite la moitié de l'âge de cette lope et je l'encule comme si je le respectais pas. Ca me faisait délirer de le savoir soumis à mes délires. Je le plaque contre le capot. Il gémit comme une petite femelle. Sa chemise blanche essuie la carrosserie poussiéreuse de la bagnole. J'ai aucune pitié pour lui. Je lui tiens fermement les mains dans le dois. Il ne se débat plus, il est même complètement docile. Il se contente de couiner comme une chienne en se tortillant le cul et les jambes de bien-être. Au bout de plusieurs dizaines de minutes je sens que ma lope vit quelque chose d'intense. Le type se cambre en gémissant vraiment comme une femme, son corps se tend pendant de longues secondes avant de se relâcher... mais le mec continue de couiner comme c'est pas possible. J'y vais encore plus fort je lui casse la chatte. Le mec semble dans un autre monde et ses yeux roulent en arrière tandis qu'il émet une complainte féminine en tombant de la voiture.
Le type est effondré par terre. Il est incapable de bouger. Je vois à ces yeux que je l'ai peut-être baiser un peu trop violemment. Il a l'air complètement stone. Je le fous rapidement de côté, putain ses fringues sont piquées. Lui qui était si propre, il risque pas de sortir du parking sans passer pour la pute du centre commercial. Je renfonce mon zgeg dans sa chatte éclatée et m'y éclate. Le mec ondule sous mes coups et pousse de léger cris.
Je sens le jus monter. Je me lâche petit à petit. Le gars se met à faire de plus en plus de bruit. De mes bras je le chope en entier et le bloque contre mon torse. Il est pris au piège. Seul mon bassin bouge frénétiquement contre sa chatte. Il commence à sursauter, à serrer ses mains sur mes bras, je sens ses ongles s'enfoncer en moi tant je lui déchire le cul. Je suis incapable de m'arrêter, mon orgasme est comme l'Everest et je le grimpe. C'est trop bon, sa chatte est tellement chaude et humide, ses fesses contre mes cuisses m'excitent tellement. Il se met à présent à hurler sous les coup de bite que je lui inflige. Il se convulse, il ne supporte plus la douleur. Moi je verrouille tous mes muscles et je lui balance 3j de foutre au fin fond du trou. Mes derniers coups de reins le font crier comme si je l'enculais avec un couteau. Ses yeux semblent exploser à chaque coup, il a des convulsions comme s'il s'apprêtait à vomir.
Petit à petit je me calme. Le type aussi, même si ses muscles se contractent d'eux même sans qu'il ne commande plus rien. Je me demande combien de temps vont durer ses spasmes et s'il pourra rentrer chez lui ce soir.
Ma queue glisse hors de son trou. Un " plop " se fait entendre et une petite coulée de foutre dégouline hors de son cul béant le long de sa fesse. Je remonte mon boxer et mon jogging. Je suis prêt à partir. Je juge ma lopette du regard.
" bon tu bouges là? " le mec essaye de répondre mais est incapable d'articuler un mot. Je comprends vaguement un " attends " mais j'ai pas envie de faire de la garderie.
" allez salut mec " et je me tire sans me retourner. En vrai ça m'a fait triper de le laisser comme ça, quelle pute.
Je suis ressorti du parking, j'ai repris le RER et je suis arrivé chez moi.
Yvin
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