Alors voilà, je me présente Maxime et depuis quelques années je suis avec un mec, mon Mec, Adrien. Et pour moi c'est l'homme idéal. Il n'est pas bogoss mais plutôt charmant avec un corps athlétique, une personnalité adorable et un réservoir à jus infinie entre les jambes. Pour quoi je vous dis ça, parce que depuis le temps que je suis avec lui j'arrive encore à être impressionné parce qu'il est capable de produire, il nous a même parfois mis dans des situations extraordinaire avec son don. Bref c'est mon homme à moi et il est parfait à mes yeux. Sinon pour retourné à ma présentation je suis blond avec les yeux bleus, plutôt musclé (1m75 pour 70 kg) grâce aux nombreuses séances de tortures ( la musculation ) avec Adrien qui a fini par porter ses fruits pour nous deux. Par contre je ne suis pas un aussi bon juteur que lui, sinon imaginé les inondations de sperme sur les draps à chaque coït il aurait fallut des bâches à la place des draps, ça aurait été trop bon mais c'est pas le cas. Malgré ça je reste au dessus de la moyenne et avant de connaitre Adrien j'ai toujours impressionné mes amants quand je leur jutais dessus.
La première aventure que j'ai envie de vous raconter avec mon mec c'est passé il y a quelques jours.
C'était un dimanche matin et nous étions tous les deux en train d'émerger d'une bonne grasse matinée, je m'étais réveillé de très bonne humeur grasse à ses caresses sur mon épaules, de tellement bonne humeur que mon érection matinal était plus solide que d'habitude mais il me laissa vite en plan après quelques câlins pour aller se laver les dents dans la salle de bain collé à la chambre. Je ne sais pas s'il avait fais exprès de me frustré ainsi mais je n'allais pas laisser cette acte impunis et je décidais de me venger.
Je le rejoignais dans la salle de bain et je voyais qu'il ne bandait déjà plus mais moi non et pour le lui montrer je me suis collé contre son dos puissant comme une sangsue, c'était ma proie et je ne voulais pas la lâcher. Je me serrais fort contre lui en mimant des mouvement de va et viens contre ses fesses et ni une ni deux je voyais son bazar tendre son caleçon comme un chapiteau, j'étais heureux que mon traquenard est fonctionné mais ma vengeance n'était pas fini. J'ai pris son membre en plaine érection et j'ai commencé à faire quelques va et viens avec une main et de l'autre je lui titillais un de ses tétons pendant que ma bite se serrait encore plus fort contre ses fesses pour lui montrer se qu'elles allaient recevoir dans un future proche.
J'adorais cette situation, je le voyais essayer de dissimulé son plaisir alors qu'il se lavait encore les dents mais un gland qui mouille ne ment pas et c'était une belle tache qui venait d'apparaitre sur son caleçon. Alors ni une ni deux je libérais sa bite de ça prison pour récupéré un peu de sa mouille et lui porter à son visage mais voyant qu'il n'avait toujours pas lâcher sa brosse à dent je la porta à ma bouche et lui dis dans l'oreille que j'adorais le gout de sa mouille. après ça, son gland violacé laissait coulé un filet de sperme plus abondant, je venais de l'excité encore plus. Il était près pour la suite et me le montra en lâchant sa brosse a dent et en descendant mon caleçon. J'avais maintenant ma bite bandé à l'air mouillant elle aussi contre son cul nu. Sans attendre plus longtemps je pris du savon, en appliquait contre son trou et m'enfonça lentement en lui jusqu'à atteindre le fond.
Puis je ressorti et entra de nouveau entièrement en lui, je continuais mon manège de plus en plus rapidement jusqu'à se que son cul avale ma bite sans difficulté après ça je pouvais enfin commencé un pilonnage digne de se nom. Je lâchais sa bite dégoulinante de précum, je le pris par les hanches et commença de long et rapide mouvement de va et viens, mes couilles claquait contres ses fesses et ça le faisait gémir, j'enchainait mes cou de hanches de plus en plus brutaux, l'évier n'arrêtait pas de trembler sous mes assauts.
Le voir dans le miroir en train de prendre son pieds me donna envie de tous donner, je relâcha ses hanches et le pris par le cou. Ma bite tapais dans son cul, j'accélérais mon papillonnage et je m'amusais à viser sa prostate pour l'entendre gueuler. J'y allait tellement for que tous le meuble de la salle de bain se mit à trembler faisant tomber le savon et plein de petits trucs. Je voyais le gland d'Adrien qui laissait couler des jets de mouille le long de sa hampe et dans le lavabo, après quelques minutes de ses énergiques assaut j'entendis Adrien me dire qu'il allait venir et aussi tôt dis, aussi tôt fais, de long jet de sperme venait s'écraser contre le miroir, un, deux pui trois, je continuais de le papillonner pendant qu'il éjaculait, quatre, cinq, ses jets de spermes commençait à recouvrir tout le miroir mais malgré ça son éjaculation ne faiblissait pas, six, sept, huit, maintenant il arrosait le robinet et ma brosse a dent, neuf, dix, ses jets n'arrêtait pas de sortir de son gland éclaboussant tous sur son passage, onze, douze treize, maintenant le rasoir et le dentifrice, quatorze, quinze, son sperme sortait encore en gros jets abondant et coulait dans le lavabo, seize, dix-sept, dix-huit, je dressais ça bite contre son torse et maintenant il arrosait son menton, ses abdos et ses pecs, dix-neuf, vingt, vingt-et-un, c'était ses derniers jets qui coulait dans ma main. J'avais jouis dans son cul pendant qu'il se vidait sur tous se qu'il pouvait, je sortis ma bite de ses belles fesses laissant couler mon sperme contre ses cuisses et il m'embrassa.
A: qui va nettoyer tous ça maintenant?
M: toi, c'est ton sperme
A: oui mais c'est toi qui m'a fais jouir.
Pour vous dire a quel point il est bon juteur lors de cette ébat il venait de juter tous se sperme alors qu'on l'avait déjà fais la veuille au soir et qu'il m'avait remplis le trou
Maxime
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