Premier épisode
Résigné, j'acceptai finalement de rentrer chez moi, en attendant de plus amples explications. Comme pour pousser l'humiliation encore plus loin, l'homme - dont je ne connaissais toujours pas l'identité - me laissa retourner à mon estafette nu, avec du sperme sur le torse et dans la bouche. Je couru pour ne pas risquer de me faire voir, mais cela n'empêcha pas un groupe de jeunes qui passait par là de me mater. Deux filles et trois gars avaient les yeux rivés sur moi, tandis que je tentais de rentrer le plus vite possible dans mon camion, marqué par le nom de mon entreprise "Aurelec". J'étais honteux, comment ai-je pu me faire si facilement avoir ? Comment ai-je pu y prendre du plaisir ? C'est à ce moment que j'ai remarqué mon érection, que je n'avais pas en sortant de chez cet homme, "mon client". Est-ce mon exhibition devant ses jeunes qui m'excitait ? Je n'en savais rien, et je devais rentrer.
Il était 16h, et Salomé était au travail. Je me suis garé dans le sous-sol de l'immeuble, puis, réalisant ma nudité, je suis allé à l'arrière du camion pour trouver un bleu de travail de rechange. Je pris un torchon et essuyant le sperme, maintenant collant, que j'avais sur le corps. Mais pour ce qui coulait encore de mon menton, je préférai donner un coup de langue habile pour en récupérer un maximum, comme si ce goût me plaisait. Etonné de mon comportement, je me suis rapidement habillé et j'ai rejoint l'appartement.
J'avais toujours affreusement mal au cul, et mes envies sexuelles étaient loin d'être assouvies, j'étais encore excité. Les souvenirs de l'après-midi me revinrent en tête, provoquant chez moi un dégout sans nom. J'étais satisfait de constater que penser à cela ne me faisait pas bander, je n'étais donc pas un de ses "PD qui bouffent queues et sperme à longueur de temps".
Le soir-même, j'ai fait sa fête à Salomé. Une fois rentrée, je lui intimais l'ordre directe de se déshabiller, puis, je lui insérai un gode d'une taille remarquable (23 cm de longueur et 3,5 cm de diamètre) dans le vagin. Elle gueulait à plein poumon, ce qui me contraignit à la prendre en même temps par le cul, histoire qu'elle se souvienne que j'étais le maître, et elle une salope. La bonne baise dura jusqu'à 1h où, épuisés, nous nous sommes endormis.
C'est à 5h du matin que je me suis réveillé, lorsque mon téléphone sonna, m'avertissant de l'arrivée d'un message :
EXPEDITEUR INCONNU : "J'espère que tu as profité de ta pute car aujourd'hui, c'est toi qui va prendre sa place."
J'étais paniqué. Je ne savais pas qui était l'auteur du message et je ne pouvais pas le recontacter non plus, son numéro étant masqué. Il me fallait donc attendre et subir ce chantage, pour protéger ma réputation de mec barac dominateur et mon couple. Salomé dormait toujours, et je commençais à bander lorsqu'un second SMS me parvient :
EXPEDITEUR INCONNU : "Rdv dans 1h dans la cité."
Au moins, maintenant, je n'allais plus à l'aveuglette, j'avais une heure et un lieu de fixés, à savoir 6h dans la cité d'à côté, où vit Vincent. Inconsciemment, mon corps commencé à se réveiller, à s'exciter même. Je devais me préparer pour être à l'heure, je ne voulais pas déjà me mettre à dos mes maîtres chanteurs. Je me suis levé, douché, habillé et j'ai mangé. Pour la première fois depuis bien longtemps, je n'ai pas baisé Salomé avant le travail, je ne l'ai même pas touché. Mon esprit était bien trop préoccupé par ce que j'allais faire aujourd'hui, et j'ai laissé un petit mot : "Travail tôt aujourd'hui. A ce soir, à poil évidemment."
Cette fois-ci, j'avais prévu nombre de vêtements de rechanges dans le coffre, au cas où je me retrouverais dans la même situation que précédemment. Même si je comptais bien reprendre les choses en main ! J'avais en effet tout prévu, en prenant tous le matériel que j'utilise habituellement avec Salomé : du lubrifiant anal, des godes, des menottes, un collier et pleins d'autres objets très pratiques...
J'arrive à la cité pour 5h55. Après avoir attendu quelques minutes, un jeune homme, blond, la vingtaine, s'approche de moi.
Tom : "Bonjour vous êtes l'électricien ? Je suis Tom."
Moi : "Oui ! Tu me veux quoi ?"
T : "Je suis venu vous chercher, vos maitres vous attendent."
Ce gringalet venait d'appeler mes geôliers mes "maîtres". Je compris rapidement qu'il n'était qu'une sorte de subordonné, peut-être le frère d'un de mes maîtres chanteurs, et je devais de me saisir de cette chance pour me venger et récupérer cette vidéo, sans pour autant me soumettre à des gays arrogants.
Moi : "Ils ne sont pas là ?"
Tom : "Non. Vous devez me suivre si vous ne voulez pas avoir des représailles."
Moi : "Et c'est toi, espèce de PD, qui va me dire quoi faire ?"
Son visage se déconfit en quelques secondes, et je remarquai l'apparition d'une petite bosse sur son pantalon. Il semblait gêné, c'était donc pour moi l'occasion rêvée.
Tom : "Oui... Ce sont les ordres !"
Moi, en le saisissant par le coup : "Tu vas te calmer PD. Tu n'as pas compris qui était qui je crois."
T : "Lâchez-moi !"
Moi, en lui donnant une gifle mémorable, qui le fit se mettre à genoux : "Qui est ton maître le blond ?"
T : "..."
Moi : "J'AI PAS ENTENDU !"
Je lui donne alors une nouvelle gifle, puis lui tire les cheveux et lui colle sa tête sur mon entre-jambe : "PLUS FORT !" Visiblement, je lui faisais mal, mais cela ne m'empêcha pas d'accentuer ma prise.
Tom : "Vooouuus !"
Moi : "DIS-LE !"
T : "Vous êtes mon maître !"
Moi : "Et qui es-tu ?"
T : "Je suis votre homme."
Moi : "PARDON ??"
T : "Je suis une pute soumise."
Moi : "Et ???"
T : "Je suis une bonne grosse salope à votre disposition Maître."
Ce Tom allait bientôt constituer la base de ma vengeance, il était mon cheval de troie pour tenter de reprendre le contrôle de la situation. Je le fis monter dans l'arrière de la camionnette et descendit mon pantalon. Je lui intimai l'ordre directe de venir me sucer la bite et les couilles, ce qu'il rechignait à faire. Je le pris alors par l'oreille et le gifla. J'appuyais mon gland à l'entrée de sa bouche, et il le laissa finalement pénétrer à l'intérieur. Je commençais à lui baiser la bouche.
Moi : "Alors petite pute, on aime la bite ?!"
Tom : "Mmmmmm"
Moi : "Je n'ai pas entendu salope ?!"
Tom : "Mmmmm ouiiiiiii"
Il suçait maintenant en toute autonomie, je n'avais qu'à le regarder bouffer mon gland et ma tige sur toute sa longueur. Cet homme était une vraie pute, un bon gros PD qui n'attendait qu'une chose : se faire prendre comme la salope qu'il est.
J'espère que cette suite vous plaît ! N'hésitez pas à me faire part de vos commentaires par mail, je réponds à tout le monde ! A bientôt pour une bonne histoire de baise avec Tom !
Gosexo
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