" Alors de quoi voulais-tu parler, Louis? " demandai-je à mon fils. Nous étions assis au comptoir d'un pub. C'était le milieu de l'après-midi et l'endroit était désert. Le propriétaire était assis derrière le bar et lisait le journal.
" Papa, " Louis commença alors d'une voix basse de sorte que personne d'autre que moi ne puisse l'entendre. " Quand toi et maman vous êtes mariés, est-ce que vous... est-ce que vous " mon fils marmonnait. Il s'arrêta, regarda fixement le sol.
De toute apparence, la chose dont il voulait me parler était difficile pour lui. J'attendais patiemment, buvant ma bière.
Louis me fit de nouveau face et reprit sa question. " As-tu déjà eu des problèmes... euh... d'orgasme trop rapide? "
" Tu veux dire d'éjaculation précoce ? " Lui demandai-je alors.
" Oui " mon fils chuchota. " Après avoir travaillé toute la journée, je suis toujours trop excité. La seule chose à laquelle je pense en rentrant à la maison est de déshabiller Laura et de me la taper. Mais elle ne veut jamais faire l'amour avant la fin du dîner. Devoir attendre jusque là ne fait qu'empirer les choses. Je suis tellement excité qu'après quelques coups en elle, j'explose et...je sais qu'elle n'est pas contente. Elle veut que ça dure plus longtemps mais je suis incapable de me contrôler. "
" Je sais de quoi tu parles fiston " lui répondis-je alors. " C'est comme ça que ça se passe pour nous les mecs. On est toujours prêt à baiser alors que nos femmes ne le sont pas. Elles préfèrent prendre leur temps. "
" Donc t'avais le même problème que moi avec Maman après vous être mariés ? " mon fils me demanda. Il venait juste d'épouser Laura et je savais bien de quoi il parlait. Après avoir épousé ma femme il y a de ça plusieurs années, je ne pensais qu'à la baiser matin midi et soir. Si on ne faisait rien pendant un ou deux jours, il m'arrivait d'éjaculer rien quand la voyant nue. Mais mon père à l'époque avait su m'aider et c'était maintenant à mon tour d'aider mon fils.
Louis et moi avons toujours été proches et j'imagine que c'est cette relation spéciale qui nous permettait de parler de ces sujets de manière si ouverte.
" Oui ça m'arrivait " lui répondis-je.
" Tu faisais quoi alors, " Louis me demanda.
" Le problème fiston c'est que tu ne te soulages pas assez. Si tu te sens excité et que tu passes ta journée sans te vider, t'es condamné à exploser dès que tu commences à la prendre. "
" Mais je peux pas rentrer à la maison pendant la journée, Papa. Je peux pas quitter le boulot en plein milieu de la journée.
" Je sais. Tu dois improviser. " continuai-je.
" Improviser ? T'entends quoi par là ? "
" Trouve un autre moyen. "
" Tu veux dire la tromper ? Mais j'aime Laura. " Louis commença alors à protester. " Je ne veux pas la tromper. "
Je me mis à rire. " Tu n'as pas besoin de la tromper. Voir une autre femme est clairement un problème. Les femmes peuvent sentir quand la queue de leur mari est allée se balader dans un autre vagin. Non, ce que tu dois faire c'est trouver un autre mec pour t'aider. " expliquai-je alors à mon fils. " Trouve toi un mec pour te pomper dans l'après-midi ou sur le chemin de la maison. Après ça, t'éjaculeras plus si vite en elle. "
" Ouais mais où je peux trouver quelqu'un comme ça ? " Louis demanda d'un air étonné.
" Il y a pas mal d'endroits... mais le meilleur je pense ce sont les toilettes de la citadelle. Il y a des toilettes publiques à côté du parking et d'autres toilettes plus isolées au fond du parc. Il y a toujours quelques mecs qui attendent à l'intérieur, prêts à te sucer jusqu'à ce que tu exploses. "
" Vraiment ? " continua Louis de plus en plus surpris.
" Oui. J'avais l'habitude d'y aller il y a quelques années. Les choses n'ont pas changé depuis. Il y a deux cabines dans ces toilettes. Les mecs qui sucent utilisent la cabine de gauche alors que ceux qui veulent se faire pomper vont dans celle de droite. "
" Tu te fous de moi, Papa " Louis demanda sans me croire.
" Pas du tout fiston. " lui répondis-je en plaçant ma main sur son épaule et en lui chuchotant à l'oreille " Ce que tu fais quand tu entres dans la cabine de droite c'est que tu fermes la porte et tapes du pied trois fois. S'il y a un suceur dans la cabine de gauche, tu verras sa langue apparaître à travers le trou entre les deux cabines. Quand tu vois sa langue apparaître, tu sors ta queue et tu l'enfiles à travers le trou dans la paroi. Le mec s'occupera de tout le reste. " En voyant le visage de mon fils rougir, je compris rapidement qu'il devait maintenant être raide dans son caleçon, à penser à toutes les fois où il allait maintenant pouvoir se soulager.
" Merci pour le conseil, Papa " Louis répondit calmement. Il leva sa bière et la finit d'une traite. J'étais sûr que mon fils se rendrait aux toilettes de la citadelle dès le lendemain.
Le jour d'après, je quittai le bureau très tôt en direction du parc. Louis finit généralement le travail vers 17h mais je ne voulais pas rater ma chance de le sucer. Si j'arrivais trop tard, je savais qu'un des habitués resterait scotché à la cabine de gauche et je raterais l'opportunité de goûter à la queue juteuse de Louis.
Plusieurs mecs rodaient déjà autour des toilettes lorsque j'arrivai. Je commençai à m'inquiéter du fait que la cabine de gauche soit occupée toute la fin de journée. Alors que j'entrai dans le petit pavillon où se trouvaient les toilettes, je reconnus un des habitués sortant de la cabine de gauche. Alors qu'il se léchait les lèvres, je vis un mec sortir de la cabine de droite. Il était toujours entrain de se remettre le paquet en place. J'arrivai juste à temps. Dès que les deux hommes étaient sortis, je m'engouffrai dans la cabine de gauche et verrouillai le loquet.
Il n'était même pas 16h mais ça ne me dérangeait pas. J'étais prêt à vider quelques couilles si nécessaire. Je trouvais que se rassasier de sperme était revivifiant.
J'étais à peine arrivé depuis 5 minutes que la première queue apparaissait à travers l'ouverture dans la paroi. Je m'agenouillai alors et me mis au travail. Aucun des habitués ne tapaient trois fois du pied avant d'engouffrer leur pieu dans l'ouverture. J'avais dit ça à mon fils pour être sûr de le reconnaître une fois dans la cabine adjacente.
J'avais avalé trois décharges de jus bien chaud en l'espace d'une heure, puis le parc se vida. Je n'entendais plus personne, juste un corbeau au loin. J'étais sur le point d'abandonner quand vers 17h30 j'entendis des pas s'approcher du pavillon. Je sortis ma queue déjà raide et commençai à me branler. Les pas entrèrent dans le pavillon et allaient et venaient jusqu'à ce qu'ils s'engouffrent dans la cabine de droite. Dès l'instant où j'entendis trois tapes du pied, ma queue explosa comme une fusée contre la paroi qui me séparait de mon fils. J'étais à genou et je faufilai rapidement ma langue à travers l'ouverture.
J'entendis mon fils ouvrir sa braguette et ma bouche commença à saliver. Quand il posa son gros gland sur ma langue, j'étais de nouveau sur le point d'exploser. Je caressais frénétiquement la queue de mon fils avec ma langue. C'était exactement ce dont Louis avait besoin. Il agrippa le haut de la paroi de ses deux mains et enfonça sa queue d'un coup sec de rein à travers l'ouverture de la paroi, enfonçant son membre dur et imposant au fond de ma gorge.
Je sentais déjà sa mouille couler avec abondance du bout de son gland. Je n'étais pas surpris de savoir qu'il éjaculait en quelques secondes seulement quand il était avec sa femme. Il n'y avait aucune chance qu'elle le satisfasse juste avec une baise par soir. Ses couilles pleines et fécondes exigeaient une traite régulière.
Mon fils commença des mouvements de rein vifs et réguliers, enfonçant son manche toujours plus profond et remplissant ma gorge d'un sirop mielleux. Je l'entendais gémir et haleter. Ma propre queue vibrait de plaisir et était prête à juter de nouveau. Mon fils défonça la paroi qui nous séparait, une, deux, trois, quatre et une cinquième et dernière fois alors que je l'entendis lâcher un grognement de satisfaction et qu'il remplit le fond de ma gorge. En sentant la force avec laquelle il se vidait entre mes lèvres, j'étais certain qu'il ne mettrait pas longtemps pour engrosser Laura et faire de moi un grand-père heureux.
Alors que j'avalais le délicieux nectar de Louis, mes couilles se vidèrent une dernière fois sur la paroi des toilettes. Je pouvais voir mon jus glisser le long du mur et tomber sur le sol.
Mon fils n'avait aucune idée que c'était son propre père qui l'avait sucé. Il marmonna, " Merci, j'avais besoin de ça. " Après ça il retira sa queue toujours dure d'entre mes lèvres attentionnées et disparu rapidement du pavillon. Mon ventre était plein. Je n'avais pas besoin de plus de jus en moi ce soir là. Je me relevai et sortis des toilettes. Il n'y avait aucune trace de mon fils. D'autres hommes approchèrent du pavillon et je les saluai alors que je me dirigeais vers la sortie.
Je compte maintenant sur vous pour me donner votre avis sur la suite de cette aventure...player511@outlook.fr
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