Avec ce nouveau job, j'étais bien décidé à réussir. Je m'étais mis sur mon 31, un super costume en laine et soie gris clair légèrement brillant, très ajusté pour mouler mes formes, une cravate un peu flashy, des double monk straps cognac aux pieds, et des chaussettes rose fluo. En arrivant dans l'open space, j'ai évalué rapidement la concurrence, il y avait trois ou quatre minots pas mal du tout, j'avais de quoi faire. Mais la surprise, ça a été le patron. Au téléphone, il avait une belle voix grave, assez impressionnante, je m'attendais à un type austère dans le genre incorruptible. Mais quand il est sorti de son bureau pour m'appeler, j'ai tout de suite remarqué à sa manière de me regarder qu'il y aurait quelque chose à faire. Il m'a fait asseoir sur son canapé, naturellement j'ai ouvert grand les cuisses, et j'ai commencé à rajuster ma cravate, pour qu'elle tombe bien sur ma boucle de ceinture. Il n'en perdait pas une miette. Il est venu s'asseoir à côté de moi.
- Jérémie, vous permettez que je vous appelle Jérémie.
- Bien sûr patron, à votre service.
J'ai posé ma main droite sur ma braguette.
- Pour le premier jour, je voudrais vous faire faire le tour de la ville. Pour démarcher les clients, c'est important que vous connaissiez bien les lieux.
- Pas de problème.
- Vous avez un beau costume Jérémie, ce serait dommage de la salir, avec ce temps (il pleuvait des cordes depuis le matin).
- Patron, si ça mouille, ça mouille, si ça gicle, ça gicle.
Je lui ai dit ça en le regardant droit dans les yeux. Lui, il avançait une main sur la mienne qui était toujours posée sur ma braguette et massait doucement le mélange laine-soie. Il me prit la main pour l'amener à sa jolie bosse, qui s'était bien arrondie entre temps. Là, je me suis dit, c'est le moment où ma carrière se décide, c'est lui ou c'est moi qui commande. J'ai fait ça tout en souplesse, je l'ai embrassé, je me suis levé, je l'ai pris par la nuque et avant qu'il ait le temps de dire ouf mon petit bâton venait jouer au sucre d'orge sur ses lèvres. Il a été un peu surpris par la manoeuvre, mais il était déjà bien excité. Il a ouvert la bouche et a commencé à sucer, pas formidablement il faut bien le dire. Il était un peu engoncé dans son costume rayé trois pièces, il allait falloir lui faire faire quelques améliorations vestimentaires. Pour le moment, il s'agissait d'établir la répartition des rôles. Je l'ai pris par la cravate, je l'ai relevé. Il se laissait faire. Je l'ai embrassé avec tout mon savoir-faire, mes mains descendant vers ses fesses que j'ai commencé à pétrir. Il en avait de belles, bien fermes au toucher, bien musclées. J'ai glissé une main sous sa ceinture. Il s'est raidi, il n'avait pas prévu ça.
- Jérémie, qu'est-ce que tu fais ?
- Je fais le tour de la ville, patron, je tâte le terrain.
J'ai enfoncé un doigt dans son petit trou bien serré. Il était tout crispé, je sentais son marteau tout dur contre le mien. Je me suis frotté contre lui, il a essayé alors de me peloter le cul, mais il n'allait pas assez vite. Je suis passé derrière lui, je l'ai renversé sur la table. Le bureau était installé dans un ancien hôtel particulier, il y avait un miroir au-dessus de la cheminée sur le mur d'en face, je pouvais voir son visage crispé, hésitant, un peu rouge glisser vers le bas, tandis que ses bras lâchaient peu à peu prise, qu'il s'allongeait le ventre contre la table. Je frottais ma bite contre la toile de son costume de plus en plus tendue, alors qu'il se cambrait pour faire profiter sa raie de mes va-et-vient. Il s'est lui-même dégrafé, découvrant son joli petit slip, le salaud !
Là, quand faut y aller, faut y aller, j'ai fait ni une ni deux, j'ai sorti le préservatif de ma poche ticket, je me suis présenté contre son cul, et je suis parti à l'assaut. Ça n'a pas été facile, il était serré comme un coup de trique. J'ai dû lécher, j'avais voulu aller trop vite. Je n'aime pas trop lécher, mais là c'était service commandé. Il a commencer à se dandiner, le trois pièces rayé ondulant comme une vamp, ça valait quand même le coup dans le miroir. Je me suis relevé et, avec un genou, de lui ai caressé la jambe. Je lui ai remis un doigt, puis deux. Il a commencé à gémir. Trois doigts, je continuais à le caresser du genoux, c'était du sport... J'avais un peu débandé entre temps.
- Jérémie, encule moi !
Il était prêt à cuire le patron, c'était moi qui tardais maintenant. Je me suis mis à fantasmer sur le minet blond hyper craquant de l'open space, en jean serré et blouson de motard. Mon bâton merdeux s'est aussitôt remis au garde à vous et vlan je l'ai enfoncé. Le boss a voulu crier, mais j'avais prévu le coup. Je lui ai plaqué ma main sur sa bouche : il n'y avait qu'une cloison entre nous et les gars qui travaillaient à côté !
J'ai commencé à limer, le patron se dandinait toujours il avait l'air de connaître une extase profonde. Enfin, ses sphincters se sont contractés, il a lâché sa purée sur la moquette, et je l'ai suivi bientôt.
- Jérémie, qu'il a articulé dans un souffle en déculant, c'était le pied.
- Plutôt ma bite, mon général.
- Jérémie, il va falloir refaire ça.
- Patron, je vais bien m'occuper de vous. Et pour commencer on va vous racheter des fringues.
Il était en train de se rhabiller, il crut que son costard était déchiré. Mais rien n'étai déchiré. C'est juste qu'il me faut du mieux coupé pour bander !
Costard fétiche
costardminet@hotmail.com
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