Premier épisode | Épisode précédent
Si les histoires 1 et 2 sont vécues, celle-ci est imaginaire.
Quelques jours après notre aventure dans le bois, Jean Claude me demande :-Qu'est ce que tu fais samedi ? -Rien de particulier. -Ca te dirait de retourner dans le bois près de chez moi ? tu viendrais me chercher chez moi et on partirais vers le bois. Enchanté du projet, je lui réponds ok.
Arrivé chez lui ce vendredi après midi, sa mère m'offre un café comme toujours en remarquant :-C'est très bien que Jean Claude devienne copain avec un garçon plus âgé comme vous, ça lui permet de mûrir ! -Madame je n'ai jamais que trois ans de plus que lui ! (et je me dis qu'à certains points de vue, son gamin était mûr depuis longtemps !) Sa mère ajoute à l'intention de son fils :-Rappelle toi que je t'ai dit que je pars jusque demain soir chez une amie, tu te débrouilleras sans moi.
Avant de partir, Jean Claude monte dans sa chambre et descend vêtu de...son petit short blanc, il me fait un clin d'oeil prometteur et vicieux et me dit tout bas :-j'ai remarqué que tu aimes me voir avec mon petit short !
Je reprends ma voiture ave Jean Claude qui me dit :-je ne te l'ai pas dit, j'ai donné rendez vous à un copain tout à l'heure dans le bois.
Interloqué, je lui demande :-Pourquoi ? Il y a un problème avec moi ? Il rit :-Mais non ! Nous ferons comme l'autre jour, simplement il y aura le copain en plus !
-Je vais être gêné, dis-je.
-Peut être, surtout que je ne lui ai rien dit ! Il croit qu'il sera seul avec moi et nous nous ferons jouir comme d'habitude !
-T'es vraiment un vicieux, toi lui dis je, et tu le fais souvent avec ce copain, c'est qui ?
-Un copain du patelin, François, tu ne le connais pas, on le fait de temps en temps.
Nous arrivons près du tronc d'arbre abattu, Jean Claude prend ma main et la pose sur son petit short à l'endroit de sa bite qui commence à s'allonger, malgré mon inquiétude de voir arriver son copain que je ne connais pas, ma main insiste sur son petit short, je sens sa barre à présent bien raide, -Embrasse moi, fait il, déjà tout excité
C'est le moment que choisit un beau garçon blond aux cheveux courts pour arriver !
-Salut ! Fait Jean Claude. L'autre répond un " salut " hésitant et dit :-Tu ne m'avais pas dit que tu étais avec un autre...Je vais vous laisser !
-Mais non ! Répond Jean Claude en enlaçant son copain, y'en vas pas, tu vas aimer !
En insérant une cuisse entre les miennes, il me souffle à l'oreille :-On va le chauffer, tu vas voir ! Ma bite est bien raide, la sienne va le devenir très vite ! Sors la moi et branle-moi doucement !
Hésitant, je descends le petit short de Jean Claude et saisis sa bite érigée et très dure, Il soupire de plaisir en regardant le copain à qui il dit :-Tu commences à t'exciter, hein ! Ben, branle-toi en nous regardant !
Jetant un regard vicieux à son copain, Jean Claude ouvre ma braguette et saisissant ma bite raide, me dit :-On se fait juter ensemble ? Ca va l'exciter à mort !
Le beau copain qui s'excite en nous regardant se décide à ouvrir sa braguette et sortir sa bite qui durcit peu à peu, ses doigts en titillent le gland, il semble indifférent mais cela s'allonge et durcit dans sa main. Jean Claude m'enlace et nous nous approchons de François à qui il dit :-Baisse ton pantalon ! Le garçon obéit en disant :-Jean Claude, t'es un gros vicieux mais j'aime ça, tu le sais! Son jean sur les chevilles le beau François n'a d'yeux que pour nos bites raides qui raidissent la sienne comme acier ! Jean Claude et moi approchons nos glands du sien, ce contact super excitant lui fait soupirer :-Vicieux ! Vous me donnez envie de jouir avec vous ! Vous me faites bander dur comme jamais !
-Alors, viens ! Fait Jean Claude en invitant le garçon à s'asseoir près de nous sur le tronc d'arbre.
Jean Claude ôte son t-shirt, torse nu et en petit short sur ses chevilles, bite dressée, il est super bandant et fait de l'effet sur le beau François et moi qui n'en détachons pas les yeux. François transpire et ôte sa chemise, son jean sur les chevilles et sa bite érigée maintenant très dure et tellement raide qu'elle s'arque en arrière, comme les autres j'ôte mon t-shirt, j'ai une terrible envie de caresser le torse imberbe et musclé du beau François, je n'y résiste pas et j'embrasse ce beau torse, François soupire de volupté sous ma caresse et murmure :-P...P...Prends ma bite ! Jean Claude Bande à mort en nous regardant car maintenant François et moi nous branlons mutuellement, il s'approche en présentant sa bite raide aux lèvres de François qui n'en peut plus de plaisir, La bite de Jean Claude pénètre dans sa bouche et commence à aller et venir Jean Claude fait :-Ah François ! Tu sais que j'adore quand tu me suces ! H !...C'est booon !
Dans la bouche de François, Jean Claude va et vient de plus en plus rapidement en haletant :-H !...H !... OH OUIII ! JE VAIS... Fou d'excitation, François me branle à fond la caisse et je le branle à toute vitesse tandis que la bite de Jean Claude est sur le point de juter dans sa bouche !
Trois garçons fous de luxure, excités à mort sont sur le point de jouir ensemble sur le tronc d'arbre, ils halètent en disant :-H ! C'EST BOOON ! PLUS VIIITE !...H !...JE VAIS... Cambrés les uns sur les autres, Jean Claude, le premier crie :-AH !...JE JUUUUTE ! Dans la bouche de François qui à et instant lance ses jets dans ma main, cela provoque une réaction en chaîne de halètements, je jouis aussitôt sur François, nous trois bites jutent encore et encore jusqu'à épuisement ! Nos trois corps couverts de sperme s'enlacent, nous tardons à nous rhabiller mais il faut nous quitter sans nous dire -A la prochaine, c'était super !
Comme prévu je reconduis Jean Claude chez lui, il me dit :-Tu as aimé ? Il est super le François ! Arrivé à sa porte il fait :-Mais j'y pense, ma mère n'est pas là jusque demain soir, Si tu restais cette nuit ? Je vais être seul pour me branler, c'est bien meilleur à deux !
Je bande rien que d'y penser et j'enlace Jean Claude pour entrer, ce garçon va m'épuiser !
Nous buvons un verre ensemble et rapidement nus montons dans sa chambre, il m'enlace pour m'asseoir sur son lit, on va se faire la fête ! dit il, regarde, ma bite est déjà dure ! Enlève mon short et ton jean ! Il ôte son t-shirt, moi le mien et nous nous retrouvons à poil sur le bord de son lit sur lequel il me couche en m'embrassant, il fait en riant vicieusement :-T'as vu mes draps ? Ses draps sont raides de ses plaisirs, couverts de son sperme séché, cela m'excite terriblement. -Oui, je vois, ça m'excite de savoir que tu jutes si souvent !
Nous nous caressons voluptueusement il me dit :-C'est bon ! On va se faire jouir toute la nuit ! Il saisit ma bite raide et dure, moi la sienne dans le même état, il soupire :-Allons y ! Branle moi ! Puis, de puis en plus vicieusement il se couche sur le dos, écarte les cuisses et m'entraine sur lui et disant :-Mets moi ta belle bite bien dure dans le cul !, Il prend ma bite dans sa main et approche mon gland de son intimité en disant :-Vas y, encule moi ! J'ai très envie !
Son beau corps bronzé transpire et palpite, son regard est super vicieux, il n'en fait pas plus pour m'exciter à mort comme il le veut ! Mon gland frôle son anus, je vais pénétrer ! Je deviens fou !
Lentement, sa main introduit ma bite dans son cul, je bande plus dur que jamais en introduisant mon gland en lui, c'est chaud, je suis fou de plaisir, instinctivement je m'enfonce et me retire, m'enfonce, me retire, c'est délicieux, la bite de Jean Claude durcit encore, je la saisis et le branle doucement, il dit :-C'EST...BOOOON !... Branle-moi plus vite, OUIII !
H !...H !...PLUS VITE DANS MON... ! OH TA BITE BRULANTE EN MOI ! TERRIBLE ! JE VAIS...VE...NIR ! Je sens venir l'orgasme en lui, je murmure :-JE...H !...JE VAIS JOUIR...EN TOI ! - VAS-Y, JUTE ! Crie-t-il. Fou de luxure !
Mon corps se tend tandis que je jouis dans sa chaleur, il fait :-H ! Je sens gicler ton jus en moi ! Terrible ! En même temps, il se délivre à grands jets dans ma main, sur son ventre et sur...ses draps !
Enlacés, agités de soubresauts, jutant encore à grands jets sur les draps, nous nous calmons et nous finissons la nuit en continuant à nous branler, nous sucer délicieusement, lancer nous jets de sperme sur nos corps transpirants en enduisant ses draps. Je n'en peux plus, lui aussi est épuisé de plaisir et au petit matin nous finissons par nous endormir dans nos odeurs de sueur et de sperme particulièrement excitantes si bien que nous nous réveillons avec nos bites raides !
On peut deviner la suite !
Frank
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