Chapitre -01
Quand j’avais une vingtaine d’années, j’ai fait quelques conneries (que celui qui n’en à jamais fait me jette la première bière ),dont la consommation de substances illicites, ce qui m’a amené un jour à la situation que je vais vous conter.
À l’époque je fréquentais une fille avec qui je prenais de l’héroïne et qui, bien entendu, ne savait rien de mes penchants homosexuels.
Un après-midi où j’étais parti voir un « pote » pour acheter la merde en question, celui-ci m’emmena dans l’appartement d’un mec qu’il me désigna comme son frère pour que je l’attende pendant qu’il irait chercher la « marchandise » chez quelqu’un d’autre.
Son « frère » repassait son linge en écoutant de la musique simplement vêtu d’un caleçon, il m’invita à attendre mon pote sur un grand canapé d’angle.
Les minutes passent, je l’observe du coin de l’œil, cheveux courts, barbe de trois jours, c’est une masse de muscles ! J’ai l’impression que c’est un géant et pourtant je fais 1m90.
Au bout d’un moment d’attente je lui demande si je peux « rouler un joint », il ne me répond que d’un signe de la tête. Je sens qu’il m’observe pendant que je roule, je n’ose pas regarder vers lui, je suis intimidé.
Vers la moitié du joint je lui demande s’il veut fumer, il me fait signe de la tête de lui apporter et me demande de rapporter le cendrier avec. Arrivé devant lui je regarde inconsciemment la bosse de son caleçon en lui tendant le joint et le cendrier, instantanément il m’interpelle d’un ton un peu agressif :
– Qu’est-ce qu’il y a ? Tu veux me sucer la bite ou quoi ?
– Hein ? Non pourquoi ?
– Pourquoi tu mens ? Je suis sûr que t’aimes ça toi, ça se voit à ta gueule que tu suces des bites !!
Sauvé par le gong, le « frangin » entre, mettant fin à cette discussion. Il me fait signe de le suivre, mais comme on allait passer la porte l’autre l’appelle et le prend à part dans une autre pièce. Je n’entends pas tout, mais je comprends qu’il lui demande de lui laisser ma marchandise, qu’il allait voir ça avec moi, mon pote est énervé et s’en va en me disant :
– Vas-y, vois avec mon frère pour le truc, rappelle-moi plus tard.
L’autre sort à son tour de la pièce et ferme la porte à clé derrière mon pote. Je ne sais pas quoi penser peut être va-t-il m’agresser ? Il tient dans sa main gauche la marchandise qu’il dépose sur la table basse et s’adresse à moi :
– On en était où ? Ha oui, on en était au moment où tu vas me sucer la bite !!
Je ne sais pas quoi dire, je sens l’excitation monter et en même temps je redoute un piège. J’hésite trop à répondre et il comprend bien que ça m’intéresse.
– Non vas-y c’est quoi ce plan ? Dis je tout de même en faisant mine de me lever.
D’une main ferme il m’appuie sur l’épaule pour m’empêcher de me lever et de l’autre il descend son caleçon et commence à se branler.
– Allez, suce !! Et si tu fais ça bien je te ferai un prix sur la « came ».
Je ne réponds pas, j’hésite, je commence à bander dur, il vient alors me coller son gland sur les lèvres, c’est la plus grosse bite que j’ai vue de ma vie !!
– suce !!! Me répète-t-il alors d’un ton autoritaire tout en descendant totalement son caleçon.
Ouvrant alors grand la bouche je la saisis à pleine main pour l’enfourner et commence à le sucer. Évidemment j’y prends tout de suite beaucoup de plaisir et je m’applique à bien le sucer.
– h bah voilàa ! Tu vois ? Je le savais que tu aimais ça !! Vas-y, suce-moi bien la bite !!
Je le suce depuis quelques minutes quand il sort un joint déjà roulé d’un paquet de cigarettes et l’allume. Je ressens qu’il a l’air d’apprécier ma pipe. À un moment il me tend le joint pour que je prenne quelques taffes avant de me faire comprendre de continuer à le sucer.
Le cannabis me désinhibe un peu plus, je me lâche et commence à lui aspirer le gland en le branlant fort, à ce moment je crois que, négligeant tout risque sanitaire, j’ai envie de lui faire cracher son jus !!
C’est le moment que choisit ma copine pour appeler, je lui dis qu’il faut que je décroche, il rigole :
– Ha bon genre t’as une meuf toi ? Vas-y je m’en fous, suce-moi !
– Non sérieux il faut que je réponde.
– Bah vas-y, écris-lui, dis-lui que tu ne peux pas parler parce que t’as une grosse bite dans la bouche.
– non, mais ne déconne pas, j’en ai pour deux minutes.
À ce moment elle rappelle, il me fait signe de répondre et qu’il se taira. Pendant que je suis au téléphone il part fermer la porte-fenêtre et les rideaux (c’est plus prudent étant donné que l’appartement est au rez-de-chaussée) puis revient se placer devant moi et se met à me caresser le visage avec sa bite, c’est surréaliste ! J’essaie de couper court avec ma copine, je lui dis que j’attends toujours mon pote dans un appartement. Il me fait comprendre de tirer la langue et vient alors me tapoter son gland dessus, c’est trop excitant, encore plus d’avoir ma copine au tel au même moment qui me demande ce que c’est que ce bruit que je fais.
Je fais alors semblant d’entendre mon pote arriver et je lui dis que je fais au plus vite avant de raccrocher précipitamment afin de reprendre sa grosse queue en main et surtout en bouche !!
– ouais, c’est bien, vas-y pompe moi bien ! Ta meuf elle sait que t’aimes sucer des bites ?
– bah non !
– genre t’as une meuf, mais en fait tu préfères la queue hein ?
– je ne sais pas trop.
– Allez, genre tu sais pas, vu comment tu suces, toi même tu sais que c’est ton truc hein ? J’te dis ça se voit à ta gueule, dès que t’es entré je me suis dit : « lui c’est gros suceur » !! Tiens, laisse-moi ta place et mets-toi à genoux.
Il s’assied donc dans le canapé et je m’installe à genoux entre ses jambes écartées.
– bouffe-moi les couilles !!
Je ne discute pas, je commence à aimer ce ton directif. Il se branle pendant que je lui lèche et aspire les boules.
– ouais c’est bien ! tiens, remet ça dans ta bouche !! Et regarde-moi quand tu pompes !!
Je reprends ma pipe tout en le regardant au mieux dans les yeux, je me sens « chienne ».
C’est bon hein ? T’avais déjà gouté à une bonne queue de black ?
– non.
– et dans ton cul tu en as déjà pris une ?
– une de black, non, répondis je timidement.
– OK, alors vas-y fous toi à poils que je t’encule !!
– Je ne sais pas, ma meuf m’attend…
– je m’en bats les couilles de ta meuf, je te dis que je vais t’enculer alors déshabille-toi !!! Qu’est-ce qu’il y a ? t’as peur de ne pas encaisser ?
– ce n’est pas ça…
– Dépêche-toi, tu perds du temps là !!
Je ne réfléchis qu’un quart de seconde avant de commencer à me déshabiller, j’en ai trop envie, après tout pourquoi je raterai une occasion pareille ?
– voilà c’est bien, après tu te mets à quatre pattes dans l’angle !!
Pendant que je finis de me déshabiller, il se lève et part quelques instants dans une autre pièce, l’excitation augmente encore d’un cran quand il en revient avec des préservatifs et un petit sachet de lubrifiant, rien que d’imaginer la suite des évènements. Bien sûr je m’étais déjà fait prendre par quelques « gros calibres », mais jamais un morceau pareil, j’étais à la fois impatient et inquiet.
Une fois nu je me place à quatre pattes sans plus attendre alors qu’il s’approche de moi.
– hum !! T’as vraiment un trou fait pour la bite toi hein ?
Après avoir craché sur mon anus il m’y rentre un doigt aussitôt et poursuit :
– putain t’es chaud toi, tu t’es déjà fait enculer avant de venir ou quoi ?
– non ça fait un moment pourtant.
– Bah t’es bien ouvert, tant mieux, je vais bien te la mettre !!!
Je l’entends ouvrir le papier du préservatif et du lubrifiant, mon cœur bat fort, je suis très excité, je sens le lubrifiant couler entre mes fesses avant qu’il rentre un doigt suivi de très près d’un deuxième, je lâche un premier gémissement, ces mots deviennent plus crus :
– t’aimes ça hein ma salope ? Attends que je te mette ma bite !!! Me dit-il tout en retirant ses doigts. Il me tapote quelques instants le gland sur l’anus, je remue légèrement le bassin tout en reculant pour qu’elle rentre.
– hum tu la veux hein ?
– mouais.
– hoo putain, comment je vais te défoncer !! Dit-il en commençant à forcer mon trou avec son gros gland.
J’essaie de me détendre au maximum, je ressens une gêne, mais, bizarrement, moins que je l’aurai pensé, il faut dire que je suis très excité.
Assez vite je ressens la « délivrance », l’instant où la queue du mec est bien au fond, jusqu’à « la garde » et je ne peux réprimer un « hnnn » de plaisir.
– tu la sens bien ma grosse bite la ? me dit-il en commençant des vas et viens
– humm ouais
– Salope, je vais tellement te défoncer que t’auras du mal à marcher !!
– hmm ouais vas-y !!!
– t’inquiètes !!
Il commence alors à me mettre de gros coups de reins, au début je ressens une douleur quand il se retire, mais le plaisir est plus fort, chaque coup « au fond de moi » m’arrache des « hmmm » et des « haann » de plus en plus prononcés, je suis dans un état second, c’est trop bon, j’aimerais que jamais ça ne s’arrête !
– t’aimes ça hein ? Je suis sûr que t’as toujours rêvé d’une bonne bite de black hein ? Tous les p’tits Pd blancs ils en rêvent, ce n’est pas vrai ?
– Hum, si !!
Il me baise alors comme ça plusieurs minutes agrémentées d’insultes et de claques sur le cul, je prends de plus en plus de plaisir quand il se retire tout à coup.
– Vas-y, mets-toi sur le dos que je vois ta gueule de chienne en train de jouir !!
Je me retourne rapidement afin qu’il comble de nouveau très vite le vide que sa queue a laissé en moi. Il ne perd pas de temps et me la remet bien au fond sans ménagement après avoir placé mes jambes sur ses épaules et recommence à me prendre fortement.
Je prends encore plus de plaisir, je gémis comme une actrice porno, mais moi je ne fais pas semblant, je bande comme un dingue, ce qu’il ne manque pas de remarquer :
– putain comment tu bandes, t’es un vrai Pd toi !! Tu ne peux pas dire que t’aimes pas ça hein ? Et le jus t’aimes ça ?
– hnnn !! oouuaiis !!
– ho putain, comment je vais t’en foutre plein ta gueule !!! En plus j’ai les burnes bien pleines !!
– Ouais, vas-y !!!
Ses mots font grimper l’excitation d’encore un degré, mentalement je me dis que ce n’est pas cool, je ne le connais pas, mais rien que d’imaginer la suite l’envie prend le dessus sur la prudence, je veux son sperme !!!
Il me « défonce » le cul encore plusieurs minutes, je suis au bord de l’éjaculation quand il se retire et enlève rapidement le préservatif.
– vas-y fous toi à genoux que je t’arrose bien ta gueule de Pd !!!
Je me précipite littéralement, et juste à temps, car je reçois déjà le premier jet sur les lunettes et le front, il me prend alors la tête dans une main pour diriger son éjaculation de l’autre, instinctivement je tire la langue.
– ouais… c’est bien, tire bien ta langue salope !!! Hoooo… tieeenns… du bon jus dans ta gueule !! C’est ce que tu voulais hein ?
– hmmm ouais !!
J’avale au fur et à mesure ce qui atterrit dans ma bouche en gémissant, j’en ai partout jusque dans le nez, c’est super excitant ! Après avoir tapoté sa bite sur mes lèvres pour faire tomber les dernières gouttes en me faisant remarquer que « je suis vraiment une chienne » il se dirige vers le coin cuisine et en revient avec du sopalin, il s’essuie la queue avec quelques feuilles et me tend le rouleau :
– Tiens, essuies toi et remets tes fringues.
– je préfèrerais me laver.
– tu t’es crû à l’hôtel ou quoi ? De toute façon tu vas chez ta meuf après non ?
– Bah oui c’est pour ça que…
– Bah justement moi je veux qu’elle sente mon sperme sur ta gueule, dit-il en souriant.
Je ne dis rien, je me rhabille, je trouve ça excitant en fait. J’ai les jambes toutes tremblantes et fortement envie de me branler.
Il remet son caleçon et s’assied dans le canapé pour rouler un joint et me tend au passage le « paquet » que j’étais venu chercher :
– Tiens je te le fais à 60 au lieu de 90 parce que t’as été une bonne chienne !!
– OK, merci.
– fais voir ton portable que je te donne mon numéro, comme ça les prochaines fois tu passes par moi directement si tu veux pécho ou juste un coup de bite.
Un peu méfiant je lui tends tout de même mon téléphone, il y entre son numéro et appelle sur son portable avant de raccrocher.
– Voilà, comme ça tu as mon numéro et moi si j’ai envie de me vider les couilles je sais où te joindre.
– OK, bon il faut vraiment que j’y aille maintenant.
« Allez, va la voir ta meuf » me dit-il d’un air moqueur, puis il me demande :
– au fait c’est quoi ton « blaze » mec ?
– moi c’est jc.
– moi c’est Georges, mais tout le monde dit JO.
– OK, à plus.
Je referme la porte et sort rapidement de l’immeuble, je suis encore tout tremblant et super excité, j’en ai mal dans le bas ventre tellement j’ai besoin d’éjaculer. Arrivé devant le bâtiment de ma copine je commence à stresser, comme si elle pouvait s’imaginer ce que je viens de faire.
Dans l’ascenseur je me rends alors compte que je sens fort le sperme, je suis à la fois paniqué et excité. Heureusement j’ai une clé, je me dirige donc directement à la salle de bains en entrant prétextant un coup de chaud à cause de la came afin de me rincer au mieux le visage.
Après s’être un peu défoncée, elle me demande chez qui j’étais, je lui dis alors « je sais pas, un mec qui s’appelle Georges » « Ha ouais JO, je le connais »
À ce moment je me dis que ça craint, que se passera-t-il s’il sait que c’est elle ma copine ? Ça me stresse.
Dans la soirée alors qu’elle s’est endormie je regarde la télé allongé à côté d’elle, je suis songeur, je repense à l’après-midi passé avec envie, mais aussi avec quelques appréhensions d’avoir avalé le sperme d’un inconnu quand mon téléphone se met à sonner, Je coupe immédiatement la sonnerie pour ne pas la réveiller et en même temps je vois que c’est Georges qui appelle. Je ne réponds pas, il insiste et finit par m’écrire un message :
« C’est Jo, t’es encore chez ta meuf ou quoi ? »
Je ne sais pas quoi faire, j’ai peur qu’il écrive quelque chose de compromettant et qu’elle se réveille, du coup je pars aux toilettes avec mon téléphone pour lui répondre.
« Oui pourquoi ? »
« Je voulais que tu repasses, j’ai du bon matos pour toi »
« Je ne peux pas »
« Dommage regarde ! »
Je reçois alors en pièce jointe la photo d’un autre black, même gabarit que lui, avec des locks, torse nu en train de fumer un joint suivit d’autres photos de sa queue en gros plan.
« Mon pote il veut te rencontrer T’en penses quoi ? »
Ça m’excite grave, mais en même temps je me dis que c’est abusé qu’il ait parlé de moi à quelqu’un d’autre le soir même déjà, je n’ose plus répondre alors que lui m’envoie message sur message :
« Tu ne réponds pas, ça ne te branche pas ? »
« Vas-y, viens, qu’on te démonte à deux !!! »
« Allo ?? »
« Une dans ta bouche et une dans ton cul, t’as pas envie ? »
« Vas-y lâche la ta meuf, viens on va te doser !! »
« Mon pote il veut se vider les couilles sur ta gueule »
Je suis vraiment excité, je suis à deux doigts d’y aller, mais finalement je finis par me branler dans les toilettes avant de lui répondre que je ne peux vraiment pas et qu’on se verra une autre fois, puis j’ai effacé tous les messages et mis son numéro sur liste noire par précaution.
Les jours suivants je profiterai des moments seuls pour enlever son numéro de la liste noire, des fois qu’il m’écrive, mais pas de nouvelles jusqu’au jour où j’aurais envie d’acheter « quelque chose », ce qui me mènera à ma deuxième « Big black cock ».
Jc111
Jamesone000@gmail.com
Autres histoires de l'auteur : Big black cock | Premiers émois, premier amant.