Celle histoire est en bonne partie véridique !
J'avais vingt ans et un copain du même âge : Jean Michel. Cet été j'e l'ai invité à passer quelques jours chez moi, nous nous entendons bien, c'est un beau garçon au visage rond, aux lèvres épaisses, et eux yeux bruns, il a subi une éducation religieuse dans un collège catholique, il lui en reste quelques traces ! Il dort dans le deuxième lit dans ma chambre, à trois mètres de mon lit. Après nous être dit bonsoir, il s'endort, moi, curieux, je décide d'aller le voir dormir, à pas de loup je m'approche de son lit et le regarde dans la pénombre et la clarté diffusée par la fenêtre, il y a ce soir un clair de lune dont la clarté baigne son lit. Il dort paisiblement au-dessus des draps, il porte un slip blanc sur lequel je distingue la forme de son sexe emprisonné dans le tissu.
Discrètement je pose la main sur son slip en caressant de mes doigts la forme de sa bite en espérant qu'il ne se réveille pas, non, il dort profondément et je m'enhardis : mes doigts caressent franchement sa bite à travers le tissu de son slip. Après quelques minutes de caresses, je sens durcir et s'allonger la bite de Jean Michel qui dort toujours, de sentir dans mes doigts la chaleur de sa bite, je commence à bander, il est terriblement excitant ! Je sors mon épieu de mon slip et je m'enhardis de plus en plus, je baisse la ceinture de son slip et dégage sa bite qui raidit par à coups et devient dure comme fer à mesure que ma main va et vient lentement, je le branle franchement dans son sommeil, il pousse des petits gémissements de plaisir, je bande dur, je vais le faire juter ! Mais il se met à bouger, il respire plus fort et, dans son sommeil, tend une main vers ma bite et la saisit, ma bite devient super dure en sentant la main du copain qui la serre ! Il dort toujours ou fait semblant ! Sous ma main qui le branle franchement, il commence à haleter, il gémit et dans un grognement, il décharge plusieurs jets sur son ventre, il vient de jouir.
Sa main abandonne en même temps ma bite prête à éjaculer, excité à mort, je me branle à toute vitesse vers son visage endormi et dans une formidable jouissance, mes jets de sperme fouettent ses lèvres et son visage.
Il continue à faire semblant de dormir et je regagne mon lit, un peu soulagé.
Le lendemain, nous n'avons pas dit un mot de l'aventure, mais le soir après nous être couchés, je l'entends qui se lève et s'approche de mon lit en abaissant son slip blanc, dans la pénombre je vois son mât dressé, mon copain bande dur ! Il s'étend près de moi en soupirant, à califourchon sur moi, il approche sa bite raide de mes lèvres sans dire un mot et force mes lèvres de son gland, m'obligeant à ouvrir la bouche, il donne des coups de reins frénétiques en murmurant entre ses dents : - S... Salaud... H !...Tu vas me faire juter !...H !...Salaud !
Il est excité à mort, il se sent terriblement coupable de commettre ce péché, mais plus il se sent coupable, plus sa bite durcit et entre et sort de plus en plus vite de ma bouche !
Il continue à murmurer entre ses dents : - Salaud !
Oui, je suis un salaud de l'avoir entrainé à commettre ce grave péché qui l'excite au plus haut point !
Il est déchaîné, il murmure : - suce ma bite, salaud ! Il transpire, me tenant par les cheveux, il m'enfonce sa bite dans ma bouche de plus en plus vite, jusqu'à ce que : - H !....SALAUUUUUD !
Ses jets puissants de sperme giclent dans ma gorge, il saisit alors ma bite prête à éjaculer en disant toujours tout bas entre ses dents : - salaud, j'vais t'faire juter ! Tu aimes ça salaud !
Sa main va et vient à toute vitesse sur ma hampe, j'halète : - H !....OUIIII ! C'EST BOOON !...H !...CON... CONTINUE !
Il dit : - AH !...TU AIMES ! SALAUD ! ALLEZ, JUTE !
Il approche ses lèvres de mon gland, je n'en peux plus, je crie : - AH !...OUIII !...
Et mes jets de sperme éclaboussent ses lèvres, son visage, ses cheveux...
Il murmure : - AH ! Qu'est ce que c'est bon ! Tu as aimé ?
- Oui, terriblement !
Et J'embrasse ses lèvres couvertes de sperme en respirant son odeur de transpiration et de sperme, nous n'avons jamais parlé de tout ça, mais nous nous sommes fait jouir le plus souvent possible pendant plusieurs années et très vite il ne s'est plus senti coupable ! Souvent il me demandait : - Tu bandes ?
- Oui ! Il m'excitait toujours,
- Viens alors ! Et il m'entrainait dans sa chambre, nos mains se perdaient dans l'entrejambes de nos jeans, puis nous caressions le renflement de nos slips et perdant toute culpabilité, il murmurait : - OOOH ! C'EST BOOON ! VASS-Y, FAIS-MOI JOUIR ! Et nous adonnions à de formidables plaisirs, nos spermes giclaient plusieurs fois. Je lui ai demandé s'il faisait semblant de dormir la première fois que je l'ai branlé, il m'a répondu qu'il ne dormait pas, qu'il me laissait faire, que c'était bon et que c'était la première fois qu'un garçon le branlait, qu'il avait éprouvé un immense plaisir quand il avait senti mon sperme gicler sur son visage, ça l'avait rendu fou ! Et qu'il avait adoré ce péché ! D'ailleurs, le soir même, en y pensant il n'a pas pu résister et a saisi fermement sa bite dure comme acier et l'a branlé fougueusement faisant gicler son sperme sur ses draps !
Parfois, je me fais aussi jouir en pensant à Jean Michel, mais c'est bien meilleur quand nous le faisons ensemble !
Frank
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