Premier épisode
Le jeune Jean Michel m'obsède, dans le train lorsque je suis rentré, je n'arrêtais pas de bander en pensant à lui et entré chez moi, je me suis précipité dans ma chambre pour me branler en pensant à lui. Il y avait longtemps que mes draps n'avaient connu autant de sperme, j'ai joui plusieurs fois en pensant que dans son hôtel parisien il se faisait jouir lui aussi seul sans moi ! Je suis jaloux et ça m'excite.
Un mois plus tard, je n'y tiens plus et je reprends le train pour Paris en bandant dans mon jean. Dans l'entrée de l'hôtel, j'aperçois Jean Michel toujours aussi beau, ma bite se dresse dans mon jean en le voyant, il ne me voit pas et je monte dans ma chambre. Je lui réserve la surprise.
Après avoir rangé mes affaires, je reste devant la porte de ma chambre dans l'espoir de la voir passer dans le couloir. Gagné ! Il arrive au bout du couloir, en m'apercevant il accélère ses pas et, avec son beau sourire, il ma dit : - Ah ! Te revoilà ! Je pensais justement à toi ! Il m'embrasse en me poussant vers ma chambre. Enlacés, nous nous cambrons, nos braguettes se tendent, il murmure :
- Enfin, je mourais d'envie de toi ! Tu n'imagines pas comme je me suis branlé en t'attendant !
Super excité, je lui dis :
- Viens, ferme la porte, déshabille-toi et raconte-moi ce que tu as fait depuis tout ce temps.
Sur mon lit, bites dressées que nous caressons lentement, il me raconte :
- Tu te doutes que je ne suis pas resté sans rien faire ! J'ai continué à chercher de beaux garçons dans l'hôtel.
- Et tu en as trouvé ?
- Il y a quinze jours est arrivé un jeune asiatique, Thaï, je crois, dix-huit ans, j'ai regardé sa fiche d'inscription, Il est très bandant, j'en avais terriblement envie ! Le teint mat, les cheveux noirs, j'imaginais un désir vicieux dans ses yeux bridés, ça me faisait bander ! Si je pouvais jouir avec lui ! J'ai tout fait pour le rencontrer.
- Et alors, dis-je en bandant dans la main de Jean Michel qui continuait à caresser ma bite raide
- J'ai sympathisé avec lui, un soir je suis entré dans sa chambre ; il n'était pas là, et comme d'habitude j'ai ouvert son lit pour prendre les draps, je m'en doutais, ils étaient pleins de sperme encore frais, il s'était branlé il n'y a pas longtemps, j'ai fermé la porte, sorti ma bite bien raide et en léchant son sperme je me suis branlé à toute vitesse, quand je suis parti il y avait deux fois plus de sperme ! Mais j'étais soulagé ; j'ai remplacé les draps en les respirant.
Un jour, comme nous avions sympathisé, je lui ai fait la bise, à ce moment ses lèvres ont rejoint les miennes et il m'a embrassé profondément, j'ai alors senti une barre se dresser dans son entrejambes, il bandait !
- Tu n'as pas perdu ton temps ! Dis-je.
- Non, un soir, j'entre dans sa chambre, il était couché sur son lit, comme nous avions fait connaissance, j'ai osé lui dire :
- J'ai vu l'état de tes draps, tu te branles sans arrêt !
Il a souri :
- Ben oui, Tu le fais pas, toi ?
- Si ! D'ailleurs je me suis branlé sur tes draps quand je les ai changés.
- Tu t'es excité sur mon jus ?
Là j'ai tenté le coup, j'ai répondu : - Je l'ai même gouté, c'était très bon !
Il a encore souri en disant : - Si tu aimes ça, je vais t'en donner encore ! Viens !
Et il a ouvert sa braguette, sorti une belle bite raide en disant :
- Suce !
En l'écoutant, je bande à mort entre les doigts de Jean Michel qui me branle lentement, c'est délicieux, mais vicieusement, il continue son récit :
- Ce garçon s'excitait, nous avons fini à poil, le l'ai sucé, il m'a sucé, ça a duré longtemps, il a joui dans ma bouche, j'ai joui sur son beau visage, je le désirais follement, eh bien je n'ai pas été déçu ! Nous nous revoyons souvent, il reste encore deux mois. Et... Je lui ai parlé de toi !
- Qu'est-ce que tu lui as dit ?
- Je lui ai dit ce que nous faisons, et il aimerait te rencontrer !
- Je n'ai rien contre, dis-je, je te fais confiance.
- Je vais lui dire, on se voit demain ? Tu verras, il est super bandant, il va te plaire !
Le lendemain, Je vois entrer dans ma chambre Jean Michel suivi d'un splendide jeune asiatique qui me sourit, en effet, il est super bandant ! Je sens durcir ma bite dans mon jean.et lui continue à sourire, Jean Michel me fait un clin d'oeil et dit en fermant la porte à clé :
- Ce sera plus intime comme ça pour faire connaissance ! Je te présente Pierre.
Et Pierre le bel asiatique approche sas lèvres et m'embrasse, il est délicieux, et me souffle à l'oreille :
- T'as envie ? Regarde, je bande !
- Oui, moi aussi, je bande pour toi !
En nous regardant, Jean Michel dit :
- Vous êtes bien partis tous les deux ! Vous m'excitez, allez, branlez vous !
Pierre en riant enlève son t-shirt et son jean et apparait en petit slip rouge tendu par une longue bite. En le regardant, Jean Michel attrape une barre énorme qu'il sort de son pantalon en disant :
- J'en peux plus, vous êtes super bandants, branlez-moi !
Jean Michel pousse Pierre sur le lit, caresse sa bite qui se gonfle à travers son slip rouge Pierre dit :
- OOH ! Que c'est bon ! Fais-moi jouir ! Branle-moi, suce-moi ! Jean Michel ôte le petit slip et admire la belle bite raide et longue et lui dit : - Tu te rappelles, Pierre, la première fois que je t'ai sucé ?
- Oui, terrible, et tu as avalé mon jus ! Qu'est-ce que c'est bon ! Branlez-moi, sucez-moi tous les deux !
Jean Michel et moi suçons tout à tour le gland gonflé du bel asiatique qui crie et gémit de plaisir :
- AH OUUIIII ! C'EST BOOON ! ... H....ENCORE !, Son beau corps se cambre et transpire, il introduit sa barre dans ma bouche et se cambrant plus encore, je sens entre mes lèvres se gonfler et durcir sa bite, il va jouir ! Jean Michel le regarde en se branlant vigoureusement, lui aussi est sur le point de jouir, Pierre crie à cet instant :
-AAH !...H !...JE VIEEEENS ! Un torrent de sperme chaud gicle dans ma gorge, j'avale pour la première fois ce jus parfumé d'asiatique, Jean Michel et moi n'en pouvons plus, dressés au-dessus du corps frémissant de Pierre, nous nous embrassons en branlant l'un l'autre nos épieux brûlants Jean Michel : - Tu vas juter ? H !...Je vais venir !
- J'halète : - OUIII !...H !...JE JUUUUTE !
Et en même temps nos spermes giclent sur le beau corps en sueur de l'Asiatique ravi de sentir tout ce sperme l'éclabousser. Jean Michel et moi nous écroulons sur le corps de Pierre et nos corps agités de spasmes délicieux nous roulons tous les trois dans nos spermes et nos sueurs
- Qu'est-ce que c'est bon ! Fait Pierre.
Ce soit là, Pierre, Jean Michel et moi sommes rentrés épuisés dans nos chambres, mais nous nous sommes branlés en pensant recommencer demain en une orgie à trois dans l'hôtel !
Frank
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