J'ai trente ans et, après avoir assisté au coup de téléphone érotique de ce beau garçon de vingt ans dans la clairière, je m'étais promis d'essayer de le revoir (voir la clairière). Durant plusieurs après-midis, je me suis promené dans le bois et la fameuse clairière dans l'espoir de le rencontrer, ce n'est qu'après trois jours que j'ai eu la chance de l'apercevoir, il marche dans le sentier, je m'arrange pour le croiser, comme l'autre jour il porte son léger short vert et un T-shirt blanc je le salue : " Bonjour ", il me répond de même puis je me décide : - Tu viens souvent te balader dans le bois ? Il sourit : - Oui, souvent, et toi ? Je fais demi-tour pour marcher à ses côtés et répond : - j'habite tout près, d'où je viens très souvent, mais je ne te vous pas souvent ! La dernière fois, c'était avant-hier et tu téléphonais à un copain... - Ah ? je ne t'ai pas vu ! Je tente de trouver un sujet de conversation et je lui demande : - Tu habite dans le coin ? - Oui, pas loin, comme toi. Je tente des questions plus personnelles : - tu as quel âge ? Tu as une petite amie ? - Je viens d'avoir vingt ans, et pas de petite amie en ce moment.
En marchant je regarde son profil, il est très beau avec son nez retroussé et ses lèvres sensuelles, je le désire, je commence à bander dans mon jean en le contemplant, et je me décide à lui demander : - A ton âge, si tu n'as pas de petite amie, comment fais-tu ? J'hésite : - Tu te branles ?
- Ben oui, mais pas tout seul ! - Ah ? Tu n'as pas de petite amie, mais tu as un petit copain ? Il rougit : - Ben oui !
Je le savais vu que le l'avais entendu lui téléphoner et même se branler dans la clairière.
J'entoure ses épaules de mon bras et nous continuons notre promenade, arrivés à la clairière, je propose : -On s'asseye un moment ? - Bonne idée. Répond-il en s'asseyant, je fais de même près de lui et je demande : - Donc tu as un petit copain, tu le fais souvent
avec lui ? Il sourit : - Presque tous les jours quand il est libre, j'ai toujours envie avec lui !
- Tu as de la chance ! - Oui, il sait me fait jouir comme jamais !
- Il a quel âge ? - Comme moi, non, vingt-quatre ans, rien que de penser à lui, je commence à bander ! Je regarde son short, en effet, une tente se dessine, poussée par un piquet ferme qui s'allonge de plus en plus, voyant cela ma bite se dresse dans mon jean. Il est beau avec son léger short qui se tend poussé par sa bite, j'ai envie de lui, de toucher son short tendu, je lui fais remarquer : - Tu penses encore à ton copain, je vois que tu bandes dans ton short !
Il sourit en baissant la ceinture de son short, il sort sa bite, elle est longue et raide, sa main commence à aller et venir, je n'y tiens plus, le renversant dans l'herbe, j'embrasse ses lèvres, aussitôt il sort sa langue et m'embrasse fougueusement tout en accélérant ses va-et-vient sur sa bite raide et dure comme fer. Couchés dans la clairière, il se branle et gémit de plaisir en m'embrassant, je bande à fond dans mon jean, je murmure à son oreille : - Tu me fais bander dur ! En réponse il détache ma ceinture et plonge la main dans ma braguette, il saisit mon épieu, en continuant à l'embrasser, je saisis sa bite, son gland humide brille dans la lumière, il est gonflé et me semble énorme ! Il me dit : - Arrête, tu vas me faire jouir ! - Déjà ?
J'arrête, et la bite de l'un dans la main de l'autre, il me confie : - Il y a trois jours, avec mon copain, nous nous branlions et j'étais tellement excité et ma bite était tellement raide que je lui ai mis dans le cul ! À ces mots mon désir me rend fou et ma main recommence à aller et venir sur sa bite raide et je lui dis : - C'était bon d'enculer ton copain ? - Terrible ! En même temps, il a branlé sa bite en transpirant, il haletait, j'entrais est sortais de lui, il gémissait et d'un seul coup il a crié " AAH ! " en jutant partout ! Alors je me suis retiré et je me suis approché de son visage, j'étais excité à mort, en quelques allées venues, je lui ai juté plusieurs fois dans la gueule, Il a léché mon sperme en disant que je l'avais fait jouir comme jamais ! Mais ARRETE DE ME BRANLER ! je te dis, fais durer le plaisir ! Ne me fais pas jouir tout de suite !
Ma main quitte sa bite à regret, je lui dis : - Qu'est ce qu'elle est raide ! Prête à enculer le copain ! - MMM oui ! Répond-il. Je crève d'envie de lui, je propose : - Et si on allait chez moi ?
Son regard s'allume en disant : - Ah ouais, pourquoi pas ? J'ai vachement envie ! Allons-y !
Nous rattachons nos ceintures et, bandant comme des cerfs, nous reprenons le chemin vers ma maison.
Aussitôt arrivé dans ma chambre, il enlève son t-shirt blanc et se débarrasse de son léger short vert, qu'est-ce, qu'il est beau ! Rapidement, j'ôte ma chemise tandis qu'il détache mon jean qui tombe sur mes chevilles, nous nous admirons, nus, il m'embrasse et son sexe se dresse contre son ventre n'attendant que le plaisir ! S'approchant il fait dépasser sa langue de ses lèvres, je fais de même et nous langues se titillent puis d'enlacent dans un baiser profond, dans nos mains, nos bites durcissent s'il est encore possible !
Assis sur mon lit je le regarde debout devant moi, bite dressée, il s'approche et je l'embrasse sur le torse, le ventre, je respire son odeur de garçon en chaleur, il pousse ma tête vers so épieu raide, manifestement il veut que je le suce, il saisit sa bite et pose son gland gonflé sur mes lèvres, d'un coup de reins, il introduit son épieu dans ma bouche, je bande à mort tandis qu'il donne des coups de reins furieux en haletant : - Ouais ! H !...H !...C'est bon ! Sa bite raide entre et sort de plus en plus vite, il saisit mon épieu qui n'en peut plus de bander et sa main va et vient au rythme de ses coups de reins, - C'est trop bon ! Dit-il et nous nous écroulons sur le lit, ma bite dans sa main qui me branle à mort et la sienne qui va-et-vient dans ma bouche, je parviens à dire : - Faisons durer ! - H !...J'veux bien... H !...Mais je vais juter !....IL se cambre et crie : -OOOOOH !...JE....OUUIII ! A cet instant, un torrent de son sperme jaillit dans ma gorge et sous ses doigts mon épieu se gonfle, mon sperme monte et jaillit dans sa main en spasmes délicieux.
Après s'être un peu calmé, il me dit : - Qu'est ce que c'était bon ! J'ai joui comme un dingue ! Et toi ? - Moi aussi, terrible avec toi ! - Alors, on ira encore se balader dans la clairière ! C'est bon de jouir ensemble !
Frank
Autres histoires de l'auteur :