Chapitre 1
3 ans de vie de couple. 1 an de vie sexuelle monotone. 1 an de vie sexuelle solitaire.
Je venais de me faire larguer après 3 ans de vie de couple dont 2 à se faire chier royal sur le plan sexuel.
À l'époque où j'étais célibataire, j'avais papillonné pas mal, eu quelques plans culs réguliers très excitant. Les 2 dernières années avaient du coup été assez difficiles à supporter sur ce plan-là. Mais la vie de couple offrait d'autres attraits, je ne m'en plaindrais donc pas.
J'étais donc célibataire depuis quelques semaines maintenant. Je mettais jusque là contenté de sites porno, de mes mains et quelques jouets. Je me décidais à tenter les rencontres en ligne, mais aucun mec ne me donnait particulièrement envie de passer du virtuel au réel. Certains étaient pourtant très sexy, vraiment engageant, mais je n'arrivais pas à me décider pour autant.
Et puis je retombais par hasard sur le profil de Steph, un de mes réguliers avant mes quelques années en couple.
Ou plutôt, c'est lui qui retomba sur moi, car son profil n'avait aucune photo publique, je ne l'avais donc pas contacté. Moi à l'inverse, j'avais mis une photo de mon visage, il m'avait donc reconnu de suite.
À l'époque où nous couchions ensemble, j'étais célibataire, il était plus ou moins casé, mais il avait de gros appétits sexuels. Et un gros attribut dont il savait particulièrement bien se servir. Avec lui, j'avais été presque exclusivement passif. On avait été assez conventionnel au départ, il passait chez moi entre 2 rdv de boulot, on baisait et il repartait au taf. Il baisait comme un dieu. Très peu d'actifs me faisaient prendre mon pied comme lui, et aucun ne me mettait autant en confiance pour me lâcher que lui. Petit à petit, il m'avait vraiment soumis au plaisir de sa queue, dès qu'il m'envoyait un message, la mienne se dressait, je n'avais plus envie que d'une chose, le sucer, le faire bander, l'exciter le plus possible puis qu'il me prenne, m'ouvre assez pour m'enfourner sa grosse queue et me baiser aussi longtemps qu'il en avait envie.
Petit à petit, on en était arrivé où je pouvais l'attendre la porte légèrement entrouverte, moi à genoux derrière ou sur mon lit attendant mon mâle. Il m'avait même convaincu sans difficulté aucune de le retrouver un soir en rentrant de son travail en plein hiver le long d'une route isolée pour qu'il me baise vite fait sur le capot de ma voiture. Une des expériences qui me fait le plus bander aujourd'hui encore quand j'y repense. Ça n'avait pas duré longtemps, lui était en costard, chaussures cirées, il avait juste sorti sa queue, je l'avais sucé rapidement. Il m'avait descendu mon jean sous mes fesses, j'avais mis un jockstrap pour l'exciter encore plus, je ne sais même pas si il s'en était rendu compte. Et il m'avait pris là comme ça dans le froid, les pieds dans la neige, les phares des voitures passant non loin. En quelques minutes, il avait juté dans la capote, ses couilles écrasées contre mon cul, son chibre bien au fond de mon cul. J'avais senti passer son excitation, sa tension sexuelle accumulée tout au long de la journée. En 5 minutes, ma queue coincée dans la poche de mon jockstrap avait trempé celui-ci.
Bref, lui m'avait reconnu tout de suite sur l'appli de rencontre. Après un " salut ", il m'envoya une photo de sa queue avec le message suivant " tu t'en souviens ? ".
Il fallut quelques échanges supplémentaires pour que je comprenne que c'était lui.
On se raconta notre vie depuis notre dernière rencontre. Quand il apprit que j'étais célibataire depuis peu et que j'avais une grosse frustration sexuelle depuis plus d'un an, il me proposa de prendre les choses en main. Il promit qu'il pourrait m'aider à retrouver mes sensations de quelques années plus tôt. Bref, à l'entendre, je n'avais qu'à le suivre pour retrouver tout le plaisir que j'avais avant mon ex.
J'hésitais quand même beaucoup, pas parce qu'il ne me plaisait pas, loin de là. Mais j'étais un peu comme à l'époque de mes premières expériences sexuelles. J'avais peur de passer rapidement pour un dépravé, peur qu'on me juge, ou que je me juge moi-même. Toutes ces peurs que j'avais pourtant déjà abandonnées par le passé.
Nous discutâmes régulièrement pendant quelques semaines. Jamais il ne me brusqua ou ne me fit du chantage pour coucher avec moi. Il me mettait bien en confiance. Ces 3 dernières années, je n'avais été qu'actif. Personne ni rien n'avait franchi mon sphincter depuis des années. J'eus l'impression que je venais de lui annoncer que j'étais puceau à nouveau et que ça l'excitait énormément. On parla de nos fantasmes. Il comprit alors que je fantasmais sur le fait de porter un jockstrap pendant que je me faisais baiser. Lui ayant donné mon adresse, j'en reçus 2 de sa part par colis quelques jours plus tard. Il comprit aussi que c'était lui qui m'avait décoincé le plus, sexuellement parlant. Il me proposa de recommencer et de m'aider à découvrir jusqu'où j'étais prêt à aller.
Vint alors le moment de notre nouvelle rencontre. Il m'invita chez lui un matin. Je devais entrer, me déshabiller dans l'entrée, et le rejoindre dans son salon, en jockstrap.
On y était. C'était la première fois que j'allais chez lui. C'était un petit appartement (sa garçonnière en fait). Lui était en pantalon de costard et chemise légèrement entrouverte. Une bosse proéminente se distinguait déjà à son entrejambe. Il puait le sexe comme quelques années auparavant. Il me tendit un whisky que je bus d'un trait. À peine le verre posé, j'étais contre lui, nos entrejambes collés me rappelant la taille de sa queue. J'ouvris la bouche, ses lèvres se posèrent sur les miennes, sa langue vint chercher la mienne. Il posa ses mains sur mes fesses et commença à les malaxer. Son index effleura ma rosette et il dit " hum, ça va être un plaisir de te déflorer. " J'étais déjà en transe.
Il posa ses mains sur mes épaules pour me mettre à genoux. J'étais comme hypnotisé, me laissant faire. Il descendit lentement sa braguette, sortit sa queue. Je le regardais faire, fasciné. Sa main droite vint se placer juste sous mon oreille. Pas vraiment derrière la nuque, mais pas loin. Il n'avait pas besoin de me pousser à le sucer de toute façon. J'étais déjà en train de baver rien qu'en voyant son gland s'approcher de mes lèvres. De sa main gauche, il dirigea sa queue jusque mes lèvres puis poussa lentement. Son précum rendit ma bouche poisseuse immédiatement. Je sentais déjà les effluves de son sexe, ça m'excitait encore plus. Il fit de longs va-et-vient dans ma bouche, toujours lentement, allant à chaque fois un peu plus loin, mais sans jamais sortir de ma bouche.
En une dizaine de passages, il parvint à ouvrir assez ma gorge pour y glisser son gland. Il y resta quelques secondes pendant lesquelles je ne pouvais respirer. Il inclina ma tête vers le haut pour aller encore un peu plus loin. Nos regards se croisèrent. Le sien était carnassier. Il semblait pleinement satisfait que je sois immédiatement si docile. " Je sens que je vais bien m'amuser " me dit-il. Il retira sa queue, recula et alla s'assoir dans son fauteuil. " Vient me sucer mon salop ".
À quatre pattes, je le rejoignis, me plaçait entre ses jambes et commençait à lécher son énorme queue. Elle m'avait tellement manqué. Un coup de langue sur le frein, les lèvres embrassant son gland, ces deux actions me firent me rendre compte que j'étais vraiment affamé de sa bite. Mes lèvres descendirent tranquillement sur sa queue, ma langue étirée autant que possible pour lubrifier sa hampe. En retenant ma respiration, rapidement son gland buta contre ma luette, je déglutis fortement et l'avalais, je pus continuer à descendre le long de ce sexe imposant et rapidement, mes lèvres furent en contact avec sa bourse. Sa queue profondément ancrée en moi lui provoqua un soubresaut " ben mon salop, tu es vraiment en manque " me dit-il. " Tu veux jouer un peu plus ", me demanda-t-il ?
Je le regardais d'un air interrogateur, sans avoir lâché son sexe pour autant. Il sortit un large bandeau de derrière le fauteuil ainsi qu'un flacon de poppers. " Je suis à toi " lui répondis-je. Il me fit renifler le poppers, narine par narine, pendant que je suçotais son gland. Il me mit ensuite le bandeau sur les yeux en m'expliquant que sous le nez se trouvait une petite poche dans laquelle un coton imbibé de poppers était placé. Je commençais déjà à me sentir bien chaud et de plus en plus excité. Une langueur se répandait petit à petit dans mon corps. J'avais très envie de sexe, de son sexe, de lui. De me soumettre à ses désirs. Sous l'effet du poppers, ma queue jusque là bien dure se ramollit un peu. Mais je m'en foutais, c'était avec la sienne que j'avais envie de jouer de toute façon.
Il dirigeait ma fellation, parfois autoritairement parfois plus lâchement. Pendant 10 minutes, je suçais, léchais, avalait tout ce que je pouvais de son précum, son gland parfois m'empêchait de respirer, à d'autres moments, il me tapotait le visage de toute la masse de sa queue. J'étais vraiment soumis à son désir.
À nouveau il me fit renifler du poppers puis me dit " Viens sur mes genoux et attends, mon gland entre tes fesses ".
Je me mis debout, et comme je pus sans tomber montait sur le fauteuil face à lui, plaçait mes genoux de chaque côté de ses cuisses et me laissait redescendre jusqu'à sentir son gland à l'entrée de ma grotte. La tentation était forte de me laisser descendre encore plus, mais j'obéis quand même. Il changea le coton sous mon nez. À cet instant, je pensais déjà qu'il pouvait faire ce qu'il voulait de moi. Je souhaitais qu'il me déprave, qu'il me baise, me soumette toujours plus, le poppers me laissait lucide, mais si chaud. Sans attendre son autorisation, je descendis sur sa queue. Je la sentais ouvrir petit à petit mon cul. Il ne disait rien, ne faisait rien pour m'empêcher. Son gland me remplissait bien, mais malgré le poppers, ça n'était quand même pas si facile. Il finit par me donner une claque sur le cul pour m'obliger à me relever. J'entendis un bruit de déchirement, sans doute une capote qu'on ouvrait. D'une main dans le dos, il m'attira contre lui et commença à me bouffer un téton, de l'autre, je le sentis sous me fesses se branlant. Il devait étaler du gel sur sa queue, je m'attendais à ce qu'il me doigte avec, mais non. Il s'essuya la main sur ma fesse puis m'appuyant dans le bas du dos, il me fit redescendre à nouveau sur son sexe. Son gland entra plus facilement. Il me bouffait toujours un téton et commença à triturer l'autre, mon excitation continuait à monter, je me sentais comme fou de désir, fou d'envie, je voulais m'empaler le plus possible sur son chibre, le sentir me posséder complètement. Je recommençais à descendre sur son sexe, c'était si bon. J'y allais doucement, car il me retenait en même temps, aucune douleur ne se faisait sentir, sa queue enduite de gel glissait tranquillement, mais surement. Il savourait surement autant que moi cette lente pénétration.
Je fus soudain assis sur ses cuisses. Je soufflais de manière saccadée, même si je n'avais pas mal, sa queue était quand même énorme et je n'avais plus été pénétré depuis si longtemps que l'élasticité de mes sphincters était mise à rude épreuve. Il me maintenait assis tout contre lui et donnait quelques coups de bassins comme pour aller encore plus loin en même temps.
Puis il me lâcha complètement et me dit, " fais toi plaisir ".
Aussitôt je commençais une lente remontée jusqu'à amener son gland à la limite de sortir puis redescendit un peu plus vite que précédemment et je recommençais, langoureusement et sans me précipiter, mais de plus en plus vite. Pendant ce temps, il me triturait les tétons toujours, parfois les pinçant, parfois les caressant puis les léchant.
J'allais pour me branler tellement j'étais excité, mais il m'en empêcha " Tu es ici pour ton cul et ta bouche chéri, tu te branleras quand on aura fini si tu en as encore envie, mais j'en doute ". Il me mit mes deux mains dans mon dos et commença à me pilonner le cul. Il m'avait attiré contre lui, mon ventre était collé contre ses pecs, ma queue, à l'intérieur du jock frottait contre ses abdos et sa bouche mordait régulièrement mes tétons ou léchait mes pecs. Je devenais fou. J'aimais me sentir sa chose, là rebondissant sur ses cuisses, sa queue glissant en moi avec tellement d'aisance. J'étais pourtant toujours bien serré.
Ses deux mains empoignaient mes fesses, les écartaient pour faciliter sa pénétration de plus en plus sauvage. D'un coup, il me releva un peu plus que les fois précédentes. Son gland sorti complètement, je sentis l'air frais sur mon sillon. Il remit du gel sur sa queue puis pointant mon trou m'empala d'un coup en me plaquant contre ses cuisses. À peine au fond de moi, il me releva, sortant encore sa queue puis m'empala à nouveau. C'était si bon. Il recommença plusieurs fois puis se remis à me baiser avec volupté. Son index commença à jouer avec mon anus à chaque fois que je redescendais sur sa queue. Il voulait surement m'élargir un peu plus pour pouvoir me baiser plus fort sans que mon cul ne résiste.
Il me roulait régulièrement des pelles, mélangeant nos salives et étouffant mes gémissements dans sa bouche. J'avais chaud, j'étais tellement excité. Je ne sais pas depuis combien de temps on baisait, j'avais l'impression que le temps s'était arrêté quand sa queue avait commença à me pénétrer.
" Mon cochon, tu es bien chaud, t'étais vraiment en manque " me dit-il. Je ne répondis que par un gémissement de plaisir plus fort.
" Allez, on change " ajouta-t-il. Il se retira, nous nous relevâmes puis il me fit m'agenouiller sur son fauteuil. J'étais complètement aveuglé par le bandeau, je me laissais faire comme une poupée. Il se plaça derrière moi, sa main droite agrippa la ceinture du jock fermement, il pointa son gland entre mes fesses et me pénétra de tout son long en une seule ruade. Puis il resta planté au fond, se couchant sur moi.
À nouveau, il changea le coton imbibé de poppers sous mon nez et me demanda si j'étais bien. " Oui " soufflais-je haletant de désir.
- Tu en veux encore ?
- Oui !! Continue !!
- Tu en veux plus ? " me demanda-t-il.
Je ne savais pas ce que pouvait être ce plus qu'il me proposait, mais je voulais qu'il me baise jusqu'à plus soif, je voulais me sentir empalé sur sa grosse queue, je voulais sucer sa grosse queue, je voulais branler cette grosse queue, je voulais tellement qu'il me démonte le cul et la mâchoire, qu'il me recouvre de sperme.
Putain, il me faisait tellement d'effet et le poppers me faisait tellement décollé que je répondis sans hésitation " OUI " presque en criant d'une voix rauque et affamée.
" Parfait, mon salop, j'étais sûr que tu serais tellement en manque que je ne suffirais pas à éteindre le feu en toi " me répondit-il.
Avant que j'aie pu même penser au sens de ses paroles, un gland tapait contre mes lèvres " Suce-les " m'ordonna Steph " je te les présenterais après si tu le mérites ". À peine ouvris-je la bouche pour accueillir cette nouvelle queue qu'elle s'était déjà engouffrée m'étouffant presque. Quelqu'un me saisit la main gauche et la posa sur une queue qui était presque aussi grosse que celle de Steph. J'allais me régaler. Celle que j'avais en bouche me semblait un poil plus petite, mais elle restait de bonne taille quand même. Les deux étaient bien juteuses, on sentait qu'ils étaient bien excités.
Steph repris ses mouvements dans mon cul, toujours accroché par la ceinture de mon jock, il me chevauchait et me bourrait à grand coup de bassin. Ma queue était comprimée toujours dans mon jockstrap.
Les deux devant moi alternaient leur queue dans ma bouche ou mes mains. Parfois aussi ils se frottaient contre mon visage. J'étais maintenant tout gluant de leur précum. J'étais comme enivré de sexe.
Derrière moi, Steph recommença à introduire son doigt en moi avec sa queue, il finit par en mettre 2 puis 3, le long de son sexe. C'était si bon, je me sentais si bien, pris en main par ces 3 mâles, soumis à leurs désirs, laissant libre cours à mes envies décuplées par le poppers, et les sensations que c'est 3 mecs généraient en moi.
Ma queue me paraissait couler de plaisir, sans doute à cause du frottement de la grosse queue de Steph sur ma prostate, mais sans doute aussi à cause du bonheur de me laisser aller, de me laisser soumettre à ces hommes. C'était une explosion de testostérone partout dans la pièce. Heureusement que je ne pouvais pas me branler, sinon, j'aurais surement déjà joui et j'aurais eu du mal à supporter ces assauts multiples.
Soudain, Steph plaça ses mains sur mes pecs, me redressa et me fit me mettre debout, libérant la place sur le fauteuil. Comme il était plus grand que moi, sa queue était ancrée bien profondément en moi, et j'étais sur la pointe des pieds pour tenir en équilibre. " John assis toi sur le fauteuil, tu vas tester son cul toi aussi ". Quelques instants après, il se retirait de moi et me faisait grimper sur le fauteuil comme au tout début de ma cavalcade sur sa queue. Il me fit m'accroupir au-dessus de la queue du fameux John puis m'obligea à m'empaler dessus. C'était visiblement celui qui était un peu moins membré que les autres. Je le sentis quand même passer avec beaucoup de plaisir. Il était sauvage et me pilonna immédiatement. Ses mains alternaient entre caresses appuyées sur tout le corps, de grandes claques sur mon cul et mes tétons qui se faisaient pincer, sucer, caresser.
À un moment, on m'appuya dans le dos pour que je me couche le plus possible sur John. Une queue rentra alors dans ma bouche et je pus reprendre la fellation interrompue quelques minutes plus tôt.
Steph (je supposais que c'était lui) se glissa derrière moi à nouveau et je sentais sa queue jouer sur mon anus déjà occupé. J'étais excité, mais un peu apeuré en même temps. Il me claque le cul, fit couler du gel dans mon sillon et commença à me doigter pour le faire rentrer. Ce faisant, il caressait la queue de John qui avait l'air d'aimer ça. Quand il jugea qu'il m'avait assez préparé, je sentis son gland appuyer sur mon ouverture, le long de la queue de John. Celui que je suçais se retira, sans doute pour me laisser respirer le temps que la double pénétration se fasse. Petit à petit Steph avançait en moi. J'avais à nouveau les sensations de la première pénétration du début de notre baise. C'était très bon et toujours sans douleur, mais il fallait que mes sphincters s'assouplissent encore un peu plus pour que cette pénétration puisse se faire sans difficulté. Dans un dernier petit coup de bassin, Steph se retrouva entièrement en moi. Je me sentais tellement bien, j'avais l'impression d'être le mec le plus désirable sur Terre, une source de plaisir intense pour ces mecs, un réceptacle de toutes leurs envies les plus débridées. Le troisième m'appuya sur la tête pour que je reprenne son gros sexe en bouche, il appuya en me disant " Avale " et son gland franchit ma glotte, difficilement, mais il y parvint. Il me maintint comme ça sur sa queue, bougeant à peine, se branlant la base de sa queue (oui elle était assez longue pour que tout ne soit pas dans ma bouche). Puis lentement, il se retira de ma bouche, entraînant de longues effluves de sperme et de salive, j'avais l'impression que sa queue et mon visage en étaient recouverts. J'étais au paradis ainsi coincé entre ses 3 mecs au paroxysme de leur excitation. Les deux dans mon cul se remirent à bouger, pendant que la queue du troisième revient m'emplir la bouche. L'excitation montait, ils se déchainaient de plus en plus, mon cul subissait des assauts toujours plus vif, toujours plus fort, mes lèvres étaient distendues, ma langue léchait tout ce qu'elle pouvait et j'utilisais mes mains comme je pouvais pour me stabiliser entre eux 3.
Soudain, John, sous moi, colla sa bouche entre mes pecs, m'écrasa contre lui et s'immobilisant au fond de moi cria " je viens ". Steph se cala bien au fond de mon cul lui aussi comprimant ainsi la queue de John. Celui-ci se mit à décharger en moi, à travers le préservatif, je sentais les giclées de sperme sortir se son chibre, une giclées longue et intense, une seconde presque aussi longue, une troisième puis une quatrième. La capote se remplissait au fond de mes entrailles. Chaque éjaculation était accompagnée d'un soubresaut de son corps, augmentant encore la sensation de la double pénétration.
Une fois qu'il eut finit de se vider ainsi, lui et Steph se retirèrent de moi. Je fus placé différemment : le dos allongé sur le fauteuil, le cul levé et les jambes maintenues en l'air par l'un d'entre eux. Steph dis " Yas, mets-toi à côté de moi, on va le pilonner à tour de rôle avant de le reprendre ensemble ". Je sentais le lubrifiant rajouté sans doute par John couler lentement de mon cul. Avant qu'il ait pu sortir, je me pris un coup de bite, un coup sec et profond, aussitôt la queue ressortie et une autre vint la remplacer. Steph et le dénommé Yas alternaient un coup de bite chacun dans mon cul. John vint se placer à hauteur de mon visage pour que je lui nettoie sa queue pleine de sperme. C'était très excitant, il n'avait pas beaucoup débandé. Il me faisait le lécher et le sucer lentement pour que je retire le jus de sa queue.
Pendant quelques minutes je subis donc ces assauts, ils s'amusaient dans mon cul, m'ouvrant encore un peu plus comme si c'était possible. Puis plus rien. Ils me lâchèrent et je n'eus plus que John à m'occuper. Une fois sa bite bien propre, il me fit me relever du fauteuil, faire quelques pas puis me fis enjamber un obstacle. Il me guida pour que je m'accroupisse puis me glissa à l'oreille " Leurs queues sont juste sous ton cul, défonce-toi et fais les jouir au fond de ton cul, tu vas voir, tu vas adorer ". Je compris alors que c'était reparti pour une double pénétration. Je descendis lentement jusqu'à sentir un premier gland puis presque immédiatement un second, contre mon anus. Je tentais de prendre leur verge collée dans ma main, mais elles étaient bien trop grosses. J'arrivais cependant à les diriger pour qu'elles pointent juste en face de mon trou.
Je commençais à pousser pour descendre dessus. C'était difficile, mais doucement, ça rentrait, elles avaient été bien lubrifiées. John me fit renifler encore du poppers, ce qui me permit de me détendre un peu plus et d'accentuer ma descente sur cet énorme chibre. Je sentis enfin leur ventre contre mes fesses. Jamais je n'avais été autant ouvert, jamais je n'aurais cru pouvoir me détendre à ce point. John était toujours devant moi et son excitation revenant, il commença à se frotter contre mon visage. Il ne cherchait pas à ce que je le suce, mais juste à frotter son sexe contre mes joues, mon nez, mes lèvres, il me labourait littéralement le visage avec sa queue. Je me pris une claque sur chaque fesse de la part de Steph et Yas et je compris qu'il était temps de commencer mes va-et-vient. Je remontais donc jusqu'à la limite de faire sortir leur queue puis redescendit. C'était un sacré travail des cuisses. Je fis quelques allers-retours comme ça, je les entendais gémir, je gémissais aussi de plaisir. Mais je ne pouvais pas aller beaucoup plus vite.
On changea donc de position. Je me retrouvais à quatre pattes au sol. Une première queue s'enficha rapidement dans mon cul grand ouvert puis la seconde se présenta derrière et commença à s'introduire avec quelques difficultés, mais ça ne ralentissait pas son propriétaire.
John s'était remis devant moi, il alternait entre frottage et pénétration de ma bouche. Il était tellement dur et excité que je devinais qu'il n'allait pas tarder à jouir à nouveau.
Derrière, après quelques mouvements pour se synchroniser, ils me pilonnaient à bon rythme. J'étais ballotté d'avant en arrière vigoureusement. Je devais faire de gros efforts pour tenir la position. J'étais au nirvana du plaisir, aidé par le poppers, les odeurs de transpiration et de sexe émanant de notre groupe ainsi que les sons de gémissement et succions qui emplissaient la pièce.
Steph et Yas étaient endurants, ça commençait à me chauffer les parois internes leurs pénétrations de sauvages à grosse queue. Mais c'était en même temps si bon, je perdais complètement pied, une chaleur remontait de mon cul à mes reins, puis dans mon ventre et jusqu'à mon cerveau. Celui-ci me semblait court-circuité par autant de sensations.
Soudain, les coups de reins de mes 2 baiseurs devinrent plus saccadés, plus forts. Ils eurent des gémissements qui ressemblaient à un seul cri bestial puis m'empalant le plus qu'ils pouvaient, je les sentis se répandre en moi. Je sentis chaque éjaculation, chaque flot de sperme lâché par leur queue. Je fus tellement excité par cette sensation que je gémis aussi, mes couilles se contractèrent et je me vidais dans mon jock alors même que je n'étais pas complètement bandé. John excité par ce spectacle se mit lui aussi à éjaculer, me maculant le visage. Aussitôt, il glissa son gland entre mes lèvres et finit de se vider sur ma langue. Sans réfléchir, j'avalais eu fur et à mesure.
Je m'écroulais au sol, complètement vidé et fourbu par cette baise si intense. Yas et Steph se retirèrent délicatement de moi, avant que je ne ferme les yeux, ils retirèrent chacun leur capote bien pleine me montrant à quel point ils avaient joui de mon cul. Ils les vidèrent sur mes fesses en souriant du même sourire carnassier que Steph avait eu au tout début de notre plan.
Je ne sais pas combien de temps je mis à émerger, mais lui seul était présent quand je me réveillais. Il m'avait mis un plug assez épais dans le cul. Je sentais le foutre séché sur mes joues et sur mes fesses.
Steph me retira le bandeau. Il était nu devant moi, son sexe était encore bandé. " Tu dors depuis 1 h, j'ai eu le temps d'être excité à te voir là allongé avec juste ton jockstrap et maculé de sperme ". Sans répondre, je pris son sexe en bouche et commençais à le sucer. De toute façon, je savais que je voulais juste être soumis à ses désirs et son plaisir. Puisque sa queue était bandée, il fallait que je m'en occupe, c'était pour moi un besoin impérieux, sans doute l'excitation et le poppers faisaient encore effet.
Je le suçais comme un affamé, léchant parfois sa queue, ses bourses puis réengouffrant son sexe en bouche. Lui triturait encore mes tétons. Tout d'un coup, il plaça sa main derrière ma tête et me maintint comme ça. Il jouit ainsi dans ma bouche et sans qu'il me demande, j'avalais au fur et à mesure qu'il se vidait.
J'étais sa chose, son passif, j'étais si bien.
Max
mimicq51@hotmail.fr
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