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HISTOIRE

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Premier épisode | Suite de l'histoire

Je kiffe mon collègue Nicolas

Chapitre 5 | Rendez-vous

Je crois n’avoir jamais eu un orgasme aussi intense. Des vagues de frissons successives traversent mon corps du bassin jusqu’à la nuque, je commence à avoir des spasmes légers pendant que ma bite est électrisée par une sensation d’éjaculation qui semble sans fin. Il fait sombre et je distingue à peine le mec qui est en train de me prendre pendant que je suis sur le dos. Je vois juste qu’il est grand et sûrement fort bien monté pour que cela me fasse un tel effet…

Tut Tut-Tut Tut – Tut Tut :

Arghhh, j’attrape à tâtons mon téléphone pour le faire taire, mais c’est sur le bouton « décrocher » que j’appuie :

– allo, Oliv ? C’est Rodolphe !
– Hum, qu’est-ce qui te prends de me réveiller si tôt ?
– Euh il est 14 h 30, même pour un dimanche ça va quand même !
– Ah merde, j’étais au 7e ciel avant que t’appelles…
– Ah désolé, je ne pouvais pas savoir. Si tu veux, je peux passer et tu vas voir.
– Rho
– Nan en fait de toute façon je ne peux pas aujourd’hui.
– Ah bah c’est cool ça, tu me réveilles pour me dire que tu n’as rien à me dire en fait !
– Nan, ce n’est pas ça, je voulais juste prendre des nouvelles
– On s’est vu mardi dernier !
– Oui, mais… Comment s’est passée ta petite séance au sauna avec Gian et Nico ?
– Ah le pervers ! Voyeur va ! tu ne sauras rien !
– Allez, tu ne peux pas me faire ça. Dis-moi juste comment ça s’est passé avec Nico, il est monté comme tu pensais. Tu crois qu’on pourrait faire un plan à trois ?
– Va te faire mettre !
– Oui quand tu veux si c’est avec toi ou lui ou les deux !

Je suis accroc au sexe, mais franchement ce n’est rien à coté de Rodolphe, ce qui en fait un remarquable amant, mais à ce niveau-là quand même c’est pathologique ! Cela fait combien que je le connais ? 3 mois ? Non, ça fait déjà presque de 9 mois. C’était en juillet l’année dernière ! Eh bé on en a fait des trucs avec Rodolphe. Avec le temps Il est devenu mon amant régulier. Je crois bien qu’on n’a jamais niqué deux fois au même endroit. Il est cool en plus. Quand l’un de nous deux a envie, il envoie un message à l’autre : « T’es chaud ? ». En général la réponse est soit : « oui, où ? Quand ? », soit « oui, mais je ne peux pas maintenant, biz ». Et s’il n’y a pas de réponse c’est qu’on est probablement déjà en train de baiser. On ne peut pas faire plus cool et on sait tous que ce n’est pas toujours le cas.

– Hello Olivier, t’es encore là ? Alors ? Allez racontes steup !
– Oui, oui. Bah en fait Nico n’était pas là.
– Ah…
– Oui j’étais déçu. Mais bon, Gian m’a consolé.

Pourtant je me réjouissais de cette partie au Riad, pas seulement parce qu’il y aurait Gian et surtout Nico, mais aussi parce que j’aime bien ce sauna. Il n’est pas trop grand, les mecs sont cool et souvent souriants et même quand on ne trouve pas chaussure à son pied (disons bite à son cul), on peut mater les mecs qui passent et il y en a toujours au moins un qui est vraiment beau.

Je n’avais pas vraiment envie, mais sans m’en rendre compte je me mis à raconter cette après-midi au sauna pour satisfaire la curiosité de Rodolphe toujours à l’affut de détails salaces.

– Bah voilà, bon je ne te décris pas l’endroit tu le connais. Première déception, je me suis rapidement rendu compte que Nico ne serait pas avec nous. Au début j’ai retrouvé Gian dans la piscine il était avec un jeune mec tout sec, brun avec une peau très blanche légèrement poilue sur le torse avec des poils très noirs, pas mal je dois dire. À sa gauche il y avait un black absolument magnifique, taille mannequin, torse de sportif, un visage d’ange et bien sûr un cul et une bite de rêve. Malheureusement le bellâtre n’est pas resté avec nous. On l’a quand même croisé plusieurs fois en train de promener sa bite ce qui était déjà un beau spectacle. Donc on a fini moi, Gian et le petit brun. Bon Gian, je ne regrette pas, il m’a enculé comme un dieu pendant que je suçais le petit brun. Il est doux, mais il peut être aussi brutal si besoin, juste au bon moment, juste quand il faut. C’est un artiste !
– Et vous avez fini comment ?
– Ben j’ai pris le petit brun en levrette, pendant que Gian me donnait sa bite. Ensuite, je me suis mis sur le dos sur un banc, Gian m’a fourré et le petit brun s’est fait sucer.
– C’est tout ?
– Oui bah je résume. Bon on ne s’est pas ennuyé quand même, et Gian baise super bien. Mais je suis reparti 2 ou 3 heures après. Voilà gros pervers !

Tout en gardant mon téléphone à l’oreille, Je me lève pour aller me préparer un café, mais j’ai une telle gaule suite à ce magnifique rêve, que je me rallonge pour me caresser pendant que Rodolphe reprend :

– Bon ben du coup je vais faire un truc pour toi Olivier.
– Oooohhh quel honneur ! Vas-y, raconte.
– Mercredi prochain je vais déjeuner à la Défense avec Nicolas, pour le boulot hein !
– OK, et ?
– Bah quoi, tu ne vois pas ?
– Non pas trop !
– T’es vraiment trop con ! Tu vas venir par hasard au bistrot, je vais t’inviter à notre table, ensuite je prétexterai une urgence pour vous laisser seuls !
– Non, mais Rodolphe ! sans déconner ! c’est un truc de midinette ton plan, tu crois pas qui si je veux déjeuner avec Nico je n’ai qu’a le lui demander ?
– Ah bien sûr mon camarade ! et tu as déjeuné combien de fois avec lui ces dernières semaines.

Il n’a pas tort, c’est vrai que c’est un truc que j’ai souvent essayé au début, sans succès et que j’ai fini par abandonner.

– OK, mais, invite-nous tous les deux directement, ça fera moins con et puis c’est plausible puisque tu travailles avec nous deux !
– Vendu ! À mercredi
– Yep !

J’arrive le mercredi matin avec une tête de déterré, tellement j’ai mal dormis. Sûr que je ne suis pas à mon avantage.

Le plan de Rodolphe fonctionne comme prévu. Nico est détendu et semble très heureux de ce petit repas. Il sourit, il rigole. Ce qui m’agace par contre vraiment, c’est quand il fait le « beau » et joue le rôle du mec gay parfait, qui s’assume et qui fait tout bien. Et là, il fait un peu le « beau » et ça commence à me titiller, mais bon on est pas là pour se faire la guerre.

Personne n’a pris d’entrée, on finit juste notre plat quand le téléphone de Rodolphe sonne. Comme prévu il a une urgence et doit s’absenter.

– Bon, messieurs désolé je dois y aller, l’addition est pour moi. Nicolas, comme prévu je vais te renvoyer le contrat modifié et on en reparle. Ciao.

Et me voilà devant mon beau Nico, presque gêné et ne sachant pas comment reprendre la conversation.

Nico me sourit, alors je me lance.

– Bon, ben voilà ! Ça va ?
– Oui super. Merci encore pour la réunion avec le boss, tu nous as bien sauvé la mise.
– Ya pas de quoi. C’est normal. Je… Enfin je trouvais que les reproches qu’il te faisait étaient injustes.
– Oh merci, c’est aussi mon avis.
– Puis… Et… enfin
– Quoi ?
– Bah voilà, je l’ai fait pour toi, Nico, parce que…. Voilà on est amis.
– Oui, oui, on est amis.
– Cool !

Nico m’agace vraiment dans son attitude, il est presque hautain, alors que je suis en train de lui dire que je le kiffe vraiment. Qu’il me dise d’aller me faire voir si c’est ce qu’il pense et on en parle plus et ce n’est vraiment pas grave.

Cette situation est complètement ridicule et je me demande ce que je fais là. J’ai l’impression d’être un ado en train de demander à la plus belle fille du quartier de venir en boite avec moi. Totalement stupide ! j’ai passé l’âge pour ces conneries ! Et puis qu’est ce que j’en ai faire de ce mec, il m’emmerde après tout, je n’ai pas besoin de lui.

Cette dernière pensée et le manque de sommeil vont me faire péter les plombs.

– Écoutes, Nico, merde, mais brise la carapace putain, enlève le masque. Dis les choses, arrête de faire le beau et de jouer à Monsieur parfait.
– ??? !!!
– Non, mais c’est vrai, on n’arrive pas à savoir ce que tu penses, c’est chiant à la fin.
– Non, mais pour qui te prends Olivier ? t’es qui toi pour me dicter ma conduite ? C’est parce que tu as bien géré la réunion avec le patron ?
– Nan, mais attends, t’emballes pas, je veux pas te donner de leçons…
– Mais j’en ai rien à faire ! va te faire voir Olivier ! t’es pas bien dans ta tête toi !

Il se lève tellement précipitamment que sa chaise tombe par terre. Évidement, tout le monde nous regarde y compris les collègues qui s’entassent tous les midis dans ce resto au pied de notre tour.

Merde, merde, merde ! Rodolphe a raison je suis trop con, vraiment trop con, mais en même temps y fait chier ce mec !

Je remonte au bureau 15 minutes plus tard, très en colère.

L’après-midi est dramatique. Impossible de me concentrer. Je suis harcelé de SMS de Rodolphe. Au 4e sans réponse de ma part, je pense qu’il aura compris.

Cela ne m’arrive pas souvent, mais j’ai beaucoup de mal à gérer mes sentiments. La colère cède la place aux remords. Puis mon esprit toujours très rationnel finit par arriver à la conclusion que « bon c’est mort et ce n’est pas bien grave », pendant que mes mains font juste l’inverse en envoyant par SMS un pathétique : « Désolé, ce n’est pas ce que voulais – Olivier »

Je vais passer les deux prochaines heures à attendre une hypothétique réponse en regardant frénétiquement mon téléphone toutes les deux minutes. Elle viendra à 18 heures : « RDV au Balto à 18 h 30 – Nicolas ».

Le Balto ce n’est pas le bar le plus sexy de la terre, mais pour moi ce sera le « Last chance café ».

Quand j’arrive, il est déjà installé sur une table un petit peu à l’écart. Je m’assieds, sans lui demander :

– Désolé Nico, ce n’est pas ce que voulais. Voilà.
– Tu n’as pas à t’excuser, j’ai été con c’est tout.

Un petit moment de silence et nous reprenons tous les deux en même temps :

– Eh puis…
– Ah désolé Nico je t’ai coupé, vas-y !
– Non vas y toi.

Je repense à ce que je me suis dit, c’est le « last chance café ». Je reprends en approchant ma main de la sienne, mais sans oser encore la toucher :

– Écoute Nico, euh voilà, bah tu me plais beaucoup !
– Euh… cool, cool, mais tu es Gay ?
– Bah oui, tu ne savais pas ?

Il est vrai qu’au bureau je suis très prudent et je ne m’étends pas sur le sujet, j’essaie même plutôt de l’éviter. Il n’y a guère que Sophie qui soit au courant, mais je pensais que Nico l’aurait remarqué.

– Oui enfin, non. Au bureau personne ne dit ça sur toi et c’est mieux comme ça, crois-moi. On dit juste que tu dois être l’amant de Sophie.
– Rhooo, mais qu’est ce qu’on peut entendre comme connerie !

Nico se tait pendant quelques secondes, comme pour réfléchir à ce qu’il va dire, puis reprend avec une inédite voix douce et hésitante.

– Ok Olivier, faut que j’arrête de te dire des conneries. Oui je me suis bien douté que tu étais homo rien qu’à voir comment tu regardes les garçons. Il faut aussi que je te dise que quand tu as rejoint le service, il y a quoi 1 an ?
– Oui un peu plus même !
– Voilà, je me souviens de la première réunion avec toi. J’étais avec Florien et Sophie dans la salle, en train de faire le « beau » comme tu dis et j’ai vu arriver un joli garçon. C’était toi, tu portais une veste claire qui faisait ressortir tes yeux bleus, tu m’as souri et tu m’as tout de suite charmé avec ton humour et la façon dont tu t’exprimais.

Après dix secondes il reprend.

– Ma vie sentimentale était un peu compliquée et je t’aurais bien abordé, mais je n’étais pas totalement sûr que tu sois Gay et du coup cela me semblait risqué, surtout avec l’ambiance qu’il y avait au bureau à l’époque.

J’ouvre la bouche pour dire, je ne sais pas quoi d’ailleurs ! Et Nico continue.

– Et puis tu te souviens l’été dernier quand tu es venu à la salle de sport avec nous ?
– Ah ça je m’en souviens comme si c’était hier. Je te regardais tout le temps et tu ne m’as carrément pas calculé.
– Oh si je t’ai vu, beaucoup plus que tu crois.
– Alors, pourquoi tu ne m’as rien dit ?
– Je ne voulais pas t’aborder devant les autres, c’est pour ça que je suis parti rapidement, c’était pour t’attendre dehors.
– Dehors ? Mais tu n’étais pas dehors Nico quand je suis sorti.
– Si Olivier, tu ne m’as pas vu, c’est tout.

Le ciel me tombe sur la tête ! Je lui pose une dernière question pour en avoir le cœur net, mais je crains déjà sa réponse.

– Mais Nico, j’étais seul dans la rue, pourquoi tu ne m’as pas parlé ?
– Pas eu le temps, tu es monté juste avant dans une voiture, j’étais à 10 mètres, peut être même pas, un peu à l’écart. Je vous ai vu ensuite toi et Rodolphe, Je vous ai même suivi un peu avant de rentrer chez moi. Et voilà, j’en suis resté là.
– Mais je ne le connaissais pas avant de montre dans sa voiture ! lui dis je en approchant ma tête au-dessus de la table comme pour essayer de l’embrasser.

Nico se recule légèrement, me regarde et me fait remarquer la bague qu’il porte à l’annulaire de la main droite. J’ai souvent remarqué cette bague que je trouve très belle d’ailleurs, elle est formée de trois anneaux entrelacés, en Or, je crois. Sophie m’a dit que c’est une bague de chez Cartier, à moins que ce ne soit une copie. Si ce n’est pas une copie, il ne s’emmerde pas le Nico avec un bijou Cartier. Mais en tout cas pour moi ce n’était qu’un accessoire, surtout porté à la main droite, je ne pensais pas que c’était une alliance.

– T’es marié ?
– Non, mais en couple avec quelqu’un que j’aime.
– C’est le même que l’année dernière ?
– Oui
– Tu disais que cela n’allait pas très fort ?
– Oui, mais ça va mieux maintenant. Tu sais la vie de couple c’est pas facile tous les jours…. Je suis désolé !
– Non, non Nico, t’as pas a être désolé, c’est ta vie… C’est cool pour toi. Je suis content.

Nico, que j’ai toujours considéré comme plus intelligent que la moyenne, aura en plus dans cette circonstance la finesse de ne pas me lancer un : « restons bons amis ».

Je finis par lui sourire en lui prenant la main qu’il a gardée posée sur la table.

Puis je m’enfonce dans le dossier de ma chaise et me dis que cela faisait bien longtemps que je n’avais pas vécu cette sensation d’étaux autour de ma poitrine et de boule au ventre.

Nous décidons de partir après avoir échangé quelques banalités.

Je pensais que Nico venait en voiture, mais nous partons ensemble jusqu’au RER. Avant de descendre l’escalier, il me dit en s’approchant pour m’embrasser sur la joue en signe d’au revoir.

– Ok Oliv, je te laisse je vais récupérer ma voiture.

Nos têtes s’approchent pour le petit bisou anodin. Nos lèvres s’effleurent, quand Nico pose sa main délicatement derrière ma tête afin que nos bouches se rencontrent pour un baiser tellement tendre que je m’en souviens encore, mais tellement court aussi !

Puis il tourne les talons sans rien dire, ni même se retourner.

Olivier777

olivier.benedicte@outlook.fr

Suite de l'histoire

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