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5 | Soirée au bar… Pour commencer
Lendemain difficile<
J’essaie difficilement d’ouvrir les yeux que je garde mi clôt. Le jour commence à se lever et un léger rayon de soleil passe à travers les rideaux. Je suis encore étourdi et ai bien du mal à rassembler mes idées
Concentrons nous un peu. D’abord je passe ma main sur mon sexe. Je bande c’est bon signe. Passage sur mes couilles qui elles aussi sont bien là et qui on droit à une petite caresse qui leur donne la chair de poule et les rend toutes dures. J’adore ça ! Je continue mon exploration, pour trouver quelque chose de collant au niveau de mon pubis, je remonte sur le corps également couvert d’une substance gluante que je reconnais sans problème, c’est du sperme séché ! Et j’en ai sur tout le corps !
Je commence un peu à flipper et j’ouvre d’un coup grand les yeux. Je suis dans ma chambre. Enfin est ce ma chambre ? On a beau être au Hyatt, « Hyatt Regency » avait ajouté l’hôtesse hier en levant l’index en l’air comme pour signaler un événement exceptionnel comme si nous étions, je sais pas genre invité par la Reine d’Angleterre à Buckingham Palace. Bref Regency ou pas, les mecs se font pas chier avec la déco : « allez, 20 hectares de moquette marron, 10 tonnes de peinture beige et hop 1000 piaules». Du coup la 555, c’est la mienne ça c’est facile à retenir, ou n’importe quelle autre, c’est tout pareil !!!
Je suis donc à poil allongé sur quelque chose qui a du être un lit à un moment donné, mais qui maintenant ressemble plus à champ de bataille. Je vois des préservatifs par terre, des flacons de poppers, des cachets de différentes couleurs, des fringues un peu partout et moi qui me suis donc fait juter dessus par, combien ? Un mec ? Plus ? La nuit à du être torride mais je n’en ai pas le moindre souvenir…
L’indice décisif sera un gémissement assez caractéristique, que seul Jérôme sait faire, qui vient de la salle de bain, où il semble passer un bon moment avec somebody else. Qui est le 2eme ? Une femme ? Un mec ? A priori dans le tas de fringues qui a été centrifugé dans toute la chambre je ne vois de pas de sous vêtement féminin. Bon, je ne suis pas spécialiste en lingerie féminine, mais quand même je pense que si j’en voyais, je pourrais faire la différence !
Il n’y a plus qu’a allez voir que je me dis, allez hop…. Et bien non justement ! Pas hop, je me lève trop vite, je suis instantanément pris de vertiges et je tombe comme une merde sur le lit.
Ah bah allons y par étape ! Je m’assieds sur le lit. J’attrape une bouteille d’eau que J’engloutis, je me lève et j’arrive en titubant un peu à la salle de bain.
J’ouvre la porte, Oh !
Jérôme est assis par terre en train de se faire sucer, par un petit blond à quatre pattes et qui me montre son cul ouvert. Putain quel cul ! oublié les vertiges, il faut que je malaxe ces belles fesses rondes, que je passe ma langues entre ces miches, que j’inonde cet anus de salive pour l’ouvrir progressivement et y planter ma queue redevenue toute raide.
En me voyant rentrer, les 2 compères s’arrêtent et se lèvent tout guillerets pour venir me saluer comme si j’étais leur meilleur ami qu’ils croyaient perdu et qu’il n’avaient pas vu depuis des lustres.
Le salut se traduit par une pelle bien baveuse de la part de Jérôme pendant que le petit blond commence à me sucer. Comme quoi, même si on se connaît depuis peu, le fait de s’être fait juté dessus ça crée tout de suite des liens.
Jérôme continue en suçant mes lèvres, puis passe sa langues sur ma joue pour finir en mordillant mon lob d’oreilles.
Je me souviens aussi qu’il a une belle queue que j’ai très envie de sucer, mais il va falloir que je la partage avec Wyatt. Oui ça y est ! Je me souviens de son nom. Je pense d’ailleurs que nos noms sont les seules paroles que nous ayons échangées avant de baiser comme des fous.
Je commence donc à m’accroupir pour m’occuper de la queue de Jérôme avec mon ami Wyatt. Il nous vois venir et anticipe le plaisir en rejetant sa tête en arrière tout en gémissant. Wyatt et moi positionnons nos bouche de part et d’autre de sa queue qu’il va faire glisser en va et viens. Nous profitons lorsqu’il la recule pour rapprocher nos bouches et nos langues pour nous embrasser. Puis il revient en forçant le passage, mais nos bouches restent bien serrées pour procurer un maximum de plaisir à cette bite charnue et bandée à mort. Jérôme ne peut s’empêcher d’accélérer le mouvement comme si il défonçait un cul bien étroit.
Wyatt, qui est très gourmant, va finalement me faire comprendre qu’il la veut pour lui tout seul. Il s’installe à quatre pattes pour donner toute latitude à sa bouche de faire des mouvements qui vont faire gémir Jérôme, pendant qu’il cambre bien son cul qui manifestement a besoin d’une bonne queue dure.
Puisque sa queue est prise je vais quand même passer un peu de temps sur les couilles de Jérôme. On ne parle pas souvent des couilles des mecs. De l’épaisseurs et de la taille surdimensionnées des bites, oui. Circoncis pas circoncis, aussi. Mais les couilles non. Même quand les mecs t’envoient une photo de leur bite sur Grindr ou autres, ce que nous sommes quand même très enclin à faire, je me demande bien pourquoi d’ailleurs, en général c’est sous un angle ou les couilles ne sont pas mises en valeurs. Et pourtant, qu’est ce qu’une bite sans couille. Moi j’adore les couilles, j’adore les regarder, les caresser, les lécher, les sucer. Si la position le permet, je caresse toujours les couilles du mec qui est en train de m’enculer et je fais pareil au mec que j’encule. La texture, le volume, la taille change aussi en fonction de ce que on est en train de leur faire.
Les couilles de Jérôme me font presque plus flipper que sa bite. Elles sont bien rondes, d’un bon volume, elles ne pendent pas trop et réagissent toute de suite à un bon léchage ou un bon suçage. Alors, pendant que Wyatt s’excite sur la bite de Jérôme, je me positionne en dessous pour aller lécher et sucer ses couilles. Jérôme qui adore qu’on s’occupe de ses couilles va écarter les cuisse pour me faciliter la tache a laquelle je vais m’appliquer avec sensualité, en les léchant, en mordillant la peau, en les prenant toute entière dans ma bouche.
Tiens là, c’est un nouveau gémissant de la part de Jérôme que n’avais pas encore entendu. Sa respiration est intense, les gémissants sont profonds et montent parfois dans les aigues. En même temps, un mec pour s’occuper de sa bite et un autre pour ses couilles, il ne manque plus qu’un léchage de cul et le septième ciel est la. Tiens puisqu’on en parle je boufferais bien un cul. Mais il n’y a pas de raison que tout soit pour Jérome et je vais m’occuper du plus beau cul du monde, j’ai nommé le cul de Wyatt.
Je me positionne derrière lui à quatre pattes aussi, pour entamer un léchage d’abord tout en retenue, puis jusqu'à lui mordiller la rondelle qui commence à se dilater. Wyatt continue à faire des mouvements de bassin d’impatience. Ma queue devenue particulièrement dure et ultra sensible a très envie de fourrer.
Je présente mon gland devant une rondelle encore bien résistante malgré tous mes coups de langues. Je pousse un peu, puis me retire. Je pousse encore un peu, puis me retire. Et encore. Et encore. Lentement, puis de plus en plus rapidement. La porte s’ouvre, mon gland passe. Puis je le ressors. Puis encore j’introduis mon gland. Puis le retire. Au bout d’un moment, le sphincter de Wyatt s’est complètement détendu et quand je retire mon gland je ne sens plus ses muscles qui l’expulse dehors. Ca y est il est prêt. Et c’est parti pour une séance de pilonnage. L’excitation de ce cul magnifique et accueillant ainsi que la vision de Wyatt qui suce Jérôme dont le plaisir fait ressortir tous ses muscles pour dessiner un corps qui en devient presque irréel, m’engagent à continuer à le pilonner de plus en plus violemment. A chaque coup de rein, il va de son coté serrer encore plus le gland Jérôme qui hurle à chaque fois.
Je pilonne, je pilonne, j’en perds le souffle mais mon corps est hors de contrôle et je pense que je pourrais continuer des heures. Ma bite qui glisse dans son cul me procure un plaisir immense. Jusqu’à ce que Jérôme décide de se pencher pour m’embrasser. Ah putain la bouche de Jérôme. Personne ne peut y résister et je sens que je vais juter. Je sors violement du cul magnifique de Wyatt, retire mon préservatif juste a temps. Je ne peux plus tenir et j’éjacule sur la bouche de Wyatt qui s’est retourné pour prendre sa dose de sperm.
Jérôme qui se branle vigoureusement lui enverra une deuxième rasade.
J’ai du mal à reprendre mon souffle, mais je ne peux pas m’empêcher d’aller sucer et caresser les couilles de Wyatt qui a bien mérité une petite gâterie. Il va m’envoyer des jets de sperm accompagné d’un magistral « Fuck, Fuck, Fuck » que seuls les Américains savent crier.
Nous allons rester allongés quelques minutes en respirant comme si nous venions de faire un marathon.
Je reprends un peu mes esprits et ressens immédiatement un sentiment mitigé. Ma petite sœur avait bien raison : « vous les mecs vous avez une bite à la place du cerveau ». Encore un signe de la supériorité de la femme par rapport à l’homme, une femme est capable de réfléchir plus d’une heure sans penser au sexe. Nous, non ! Alors que je suis amoureux comme un fou de Matthieu et que je n’arrête pas de penser à lui, il me faut ma dose de sexe comme l’alcoolique a toujours besoin d’un dernier verre.
C’est finalement la sonnerie du téléphone dans la chambre qui va interrompre notre récupération.
Jérôme revient dans la salle de bain et hurle :
- Air France confirme notre départ aujourd’hui. Enregistrement dans deux heures !
Ah putain, c’est pas trop tôt ! Bon en même temps on ne peut pas dire qu’on se soit ennuyé ces dernières 72 heures.
Wyatt qui a compris que notre départ était imminent, veux en profiter encore et se précipite sur Jérôme pour lui nettoyer la queue !
Eh bé, il a la santé et quel cul. Je l’emmènerais bien dans mes bagages celui là !
Pour une fois la raison l’emporte et je file préparer mes affaires. En sortant de la salle de bain, je vois un beau mec noir qui était par terre de l’autre coté du lit et qui commence a se relever l’air hagard. Ah bah merde je ne l’avais pas vu celui là. Dommage que je doive partir !
Enfin, nous embarquons, je m’affale sur mon siège en business classe. Je suis fracassé. Un joli garçon s’approche de moi pour me proposer une coupe de champagne. Pas mal le steward, si les regards parlent, je pense qu’il ne serait pas contre un bon moment tous les deux. Mais il repart faire son travail. On ne sais jamais peut être pendant le vol.
J’avale ma coupe. Je ferme les yeux et je sens déjà le sommeil m’envahir.
Les tremblements de l’avion. Ma tête qui va et viens. La dernière image que j’ai est celle de Jérôme qui, sûrement après le décollage, vient baisser mon dossier et me mettre une couverture.
C’est le choc de l’atterrissage qui me réveille.
Ca y est, Paris nous revoilà !
Mais ça c’est une autre histoire
Olivier777
olivier.benedicte@outlook.fr
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