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HISTOIRE

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Sam donne des cours de math

Chapitre 1

Bonjour à tous. Après avoir lu plusieurs histoires ici, il est temps pour moi de me lancer. Cette histoire est un mélange entre fantasme et réalité. À vous de faire la part du vrai du faux ;) Je vous préviens aussi tout de suite. Ce récit est bisexuel, et il mêlera sexualité, sensualité, découverte, domination …

Je me prénomme Sam, je viens d’avoir 18 ans et enfant unique. Je vis avec mes parents dans une ville du sud-est de la France. Étant proche de la mer, la pratique régulière de la natation me permet, si ce n’est d’être musclé, d’être au moins « sec » avec une très fine musculature apparente pour ma plus grande peine. Car oui, je l’avoue, même en ayant fait d’autres sports plus physiques, je n’ai jamais réussi à avoir une musculature digne de ce nom. Je ne vous cache pas que j’ai surpris quelques fois des regards me suivre lorsque je sortais et que de l’eau ruisselait sur mon corps complètement imberbe, s’arrêtant sur mon boxer qui, étant aidé par l’eau de mer, moule parfaitement mon sexe qui même au repos est d’une taille plus que respectable. Mère nature m’a au moins gâté à ce niveau-là. Malgré mon corps loin d’être repoussant même si pas assez musclé à mon goût, et mon boxer plutôt bien remplis, à chaque fois que je surprends ces fameux regards furtifs, je ne peux m’empêcher de vite me cacher sous une grande serviette et de rougir à en devenir rouge tomate. Vous l’aurez compris, je suis d’une timidité maladive. Le genre de timidité qui m’empêche de regarder quelqu’un dans les yeux lorsqu’on me parle.

Pour compléter le tableau, je suis assez grand (1.80m), les yeux bleu-gris, une fine chevelure blonde avec une petite mèche sur le devant (sans qu’elle soit excessive) et de fines lunettes sur mon nez. Une tête de gendre idéale en somme. Pour compléter le tableau, je suis plutôt bon en classe, et j’excelle particulièrement en maths où je ne suis jamais descendu en dessous de 18/20. Et heureusement pour moi, car je me suis toujours demandé comment mes camarades de classe faisaient pour oser poser des questions aux professeurs devant toute la classe lorsqu’ils ne comprenaient pas quelque chose. Je me souviens d’une fois où, n’ayant pas bien saisi un théorème en cours de maths, j’ai préféré travailler chez moi et regarder sur internet jusqu’à 2h du matin plutôt que d’affronter le regard de toute la classe.

Préparant le concours aux classes prépa sur Paris, et m’imaginant le coût de la vie à la capitale, je me suis décidé à trouver un petit boulot pour ne pas partir « léger » (mes parents sont plutôt aisés, mais ne veulent pas m’aider pour je site « me préparer à la dure réalité de la vie, et que l’argent ne tombe tout seul du ciel »… je pense plutôt qu’ils sont radins comme pas possible ouais).

Après avoir écumé les petites annonces des différents palaces de la Côte d’Azur, et autres petits boulots dans des grandes surfaces, il me fallait me rendre à l’évidence : avec une telle timidité jamais je n’arriverais à trouver un petit boulot pour mettre quelques sous de côté. En en parlant avec un et une amie que je connais depuis le jardin d’enfants (les seuls que je n’ai jamais eus), ils m’ont donné l’idée de regarder du côté des aides scolaires à domicile. Le soir même, je repérai une annonce d’une mère de famille cherchant quelqu’un pour donner des cours à son fils (Paul) de 18 ans également, mais avec de grosses difficultés scolaires. Par chance, il était dans le même lycée que moi (moi en TS et lui en 1re STG), et l’ayant déjà croisé une ou deux fois dans les couloirs, je me suis dit qu’il serait plus « facile » de lui donner des cours plutôt que d’aller chez un total inconnu. Me voilà en train d’appeler et de fixer un rendez-vous pour le samedi suivant l’appel chez eux.

Me voilà le samedi à 14h55 devant la sonnette de l’immeuble où habitent Paul et toute sa famille. Une fois trouvée la porte de l’appartement, sa mère m’ouvre en s’esclaffant « Ah, au moins un ici qui arrive à l’heure !! ». Ça donne tout de suite le ton, et je sens que l’après-midi va être long.
Martine (la mère de Paul) voyant ma tête se décomposer, s’excuse et me fait entrer chez eux. Elle m’explique que son fils est allé s’entrainer au foot dons son club, et qu’il ne devrait plus tarder même s’il devait normalement déjà être là, ses entrainements se finissant à 14h15, et le stade étant à 10 minutes à pieds. Ne sachant comment réagir ni si je devais réagir, je me contente de baisser légèrement les yeux en faisant un petit sourire gêné.

Voyant mon malaise s’installer, Martine s’excusa une nouvelle fois et me proposa de m’assoir en l’attendant. Une fois installé elle me proposa à boire. Je profitais de ce moment pour en savoir un peu plus sur le niveau de Paul et qu’elle m’explique un peu plus en détail ce qu’elle attendait de moi. Elle m’expliqua que son fils, même s’il n’était pas un cancre, ne voyait pas l’utilité d’apprendre formules, français, langue étrangère, etc., et que ça ne lui servirait à rien dans sa vie.
Une fois ce tableau fait, j’essayais tant bien que mal de la rassurer en lui disant que je ferai tout mon possible pour l’aider au moins en maths.

C’est à ce moment-là, après plus de 15 minutes de retards sur l’horaire convenu, que Paul arriva dans l’appartement et passa à côté de moi, me gratifiant d’un simple « salut ». Après une brève discussion entre lui et sa mère, nous décidâmes d’aller dans sa chambre pour commencer.

Nous voilà donc à son bureau. Son bureau n’étant pas vraiment fait pour deux, nous étions plus ou moins collés et je pouvais sentir son odeur de transpiration. Il dut remarquer le fait que, me tenant la tête pour relire ses cours, je mettais ma main devant mon nez pour éviter au maximum son odeur, puisqu’au bout de quelques secondes il me dit :

P : - Désolé pour l’odeur, je reviens de foot, je me suis douché, mais on a un peu chahuté avec les potes dans le vestiaire, du coup j’ai de nouveau transpiré un peu. Je vais me changer, ne bouge pas.

S : - Pas de soucie je comprends. Est-ce que tu sais que le phénomène de transpiration vient en fait de…

P : - Ouais euh nan. Je t’explique un truc. T’es là pour me donner des cours de maths, et ça me gonfle assez comme ça, alors ne joue pas à « monsieur-je-sais-tout ». Si j’ai accepté d’avoir des cours particuliers, c’est parce que ma mère m’a fait du chantage, c’est tout.

Pendant qu’il avait dit cela, Paul s’était levé, et, me tournant le dos avait enlevé son t-shirt pour pouvoir le changer.

S : - Désolé, je ne voulais pas…

En voulant lui répondre, je me suis machinalement tourné vers lui. Je suis timide, mais pas malpoli. Je me force toujours à regarder un minimum, ou dans la direction de la personne avec qui je parle.
En me tournant, j’avais une vue sur tout son dos musclé, dos que je n’aurais jamais même en faisant tous les sports possibles sur terre. En plus d’être parfaitement musclé, il commençait à être légèrement bronzé. Eh oui, le bon côté de vivre dans le Sud^^. Je ressentais une légère jalousie je dois bien l’avouer à le regarder comme ça. Jalousie qui m’a même perturbé pour finir ma phrase.

Essayant de reprendre mon esprit, je parvins à finir ma phrase pendant qu’il enfilait un nouveau t-shirt et qu’il se retournait vers moi :

S : - Euh, oui, désolé je ne voulais pas paraitre comme ça. C’était pour détendre l’atmosphère. Est-ce que tu peux me donner tes cours de maths et me dire où tu as des problèmes stp ?

P : - Ouais c’est bon on oublis t’inquiètes pas. Par contre, pour mes cours de maths, ça va être dur. Même si je suis présent en cours, je ne prends pas de notes ni rien. Et ne commence pas avec tes leçons de morales !!

S : - Mais… euh… oui… j’ai ri…

Le cours particulier ne pouvait pas mieux commencer, et je me demandais bien pourquoi il était autant sur la défensive avec moi alors que je n’avais rien pour le braquer.

Je pense qu’il a dû cerner mon caractère et qu’il a aussi dû remarquer le trouble que j’ai eu quand il a enlevé son t-shirt. En effet, ne m’ayant pas retourné lorsque lui-même s’était retourné après avoir enfilé son nouveau t-shirt, il avait bien vu que je l’avais regardé se changer.
Il jeta alors son t-shirt en boule à côté du bureau (de mon côté) alors qu’il revenait s’assoir à côté de moi, son sac de cours à la main. Après avoir fouillé dans le « bordel » de son sac, il me tendit son classeur.

P : - Ben tient, tu voulais bien mes cours. Tu les as. Enfin, ceux où j’étais en cours et pas en train de me faire plaisir dans les toilettes du lycée avec une fille. Me dit-il avec un petit sourire en coin comme s’il était fier de lui.

P : - Si tu savais tout ce qu’il se passe toilettes du lycée, et pas que là d’ailleurs. Franchement, j’en ai connu quelques-uns de lycées, mais celui-là c’est le plus chaud et loin. Mais tu dois le savoir toi qui es dans ce bahut depuis la seconde.

Commençant à rougir et ne sachant quoi répondre, je finis par lui dire simplement :

S : - Oui… euh… bon pendant que je vais relire rapidement tes cours, dis-moi où ça pêche pour les maths.

P : - Ah ben là, faut remonter à y’a longtemps alors. J’pige rien aux maths et j’ai pas envie de comprendre. Ça me sert à quoi de connaitre le théorème de Pythogène quand j’ai une fille au bout d’ma queue, hein ?

Me disant ça, je me sens de plus en plus rougir et j’enfonce ma tête de plus en plus dans le classeur de Paul pour qu’il ne remarque pas mon trouble.

S : - C’est Pythagore, et ça peut te servir dans plein de choses dans la vie.

P : - Si tu veux. J’m’en fous. Tout ce que j’veux c’est pouvoir partir de ce lycée, et c’est pour ça que t’es là.

S : - Mais si tu n’aimes pas le lycée, pourquoi tu n’as pas fait un apprentissage ? Ça serait peut-être mieux pour toi tu ne penses pas ?

P : - C’est à cause de ma mère ça. Elle veut absolument que je fasse des études. Parait-il que ça ouvre plus de portes que de faire un apprentissage. Au fait, ça te dérange pas mon t-shirt en boule à côté de toi ?

C’est vrai que je n’y faisais même plus attention, mais maintenant qu’il m’en parlait, l’odeur de transpiration revenait légèrement. N’osant pas le contrarier encore, je préfère lui répondre par la négative :

S : - Non, non. Je pense qu’on s’est habitué à l’odeur. Tu sais d’ailleurs que plus tu restes en contact avec une odeur et plus…
Voyant simplement la tête de Paul se tourner vers moi, je m’imaginais que la suite de ma phrase était de trop lui. Aussi, et sans même le regarder en face, j’ai préféré ne pas la continuer.

S : - Pardon, pardon. Non, le t-shirt ne me dérange pas. Et pour tes études, je dois avouer que ta ma maman a raison, mais ça ne sert à rien à vouloir s’entêter dans une branche si on n’est pas fait pour y être.

P : - Si le t-shirt te dérange pas, je vais aussi enlever mes baskets alors. Je serai plus à l’aise pour continuer.

S : - Euh… ouais enfin t’as du sport avec non ? Ça risque aussi de sentir la transpiration non ?
Voyant que je n’étais pas super « chaud » pour supporter cette odeur-là, il décida d’être « sympa »
avec moi :

P : - Ah ça oui, je te confirme. Quand je fais du sport, j’te raconte pas les odeurs qui sortent de mes chaussures. Mais bon, c’est normal quoi, c’est des odeurs de mecs quoi. Je vais sympa avec toi pour cette fois, je vais pas les enlever.

Après quelques instants il reprit :

Bon, c’est pas tout ça, mais tu me fais ce cours qu’on en finisse ? J’ai un rendez-vous avec une fille après, une de ces chaudasses j’te raconte pas. Elle est capable de te faire des gorges profondes et tout, hmmm un régal. Putain rien que d’y penser je commence à être à l’étroit dans mon jogging.

J’étais de plus en plus gêné et je ne savais plus du tout où me mettre. Moi le timide maladif qui n’avais jamais rien fait à part quelques masturbations sous la douche pour être tranquille la nuit.

S : - Tu, tu, s, s, tu sais, commençais-je à bégayer. Tu sais, je veux bien te donner tous les cours de maths que tu veux, mais si tu n’as pas la tête à ça, et si tu n’y mets pas un peu de bonne volonté, tu n’y arriveras jamais…

P : - Ouais je sais, j’ai essayé des fois, mais ça m’saoule, j’y pige que dal à ce truc.

S : - Bon, commençons déjà par trouver une source de motivation. Tu verras, le cerveau hum… désolé… en gros, si on trouve une source de motivation pour les maths, je vais pouvoir te faire apprendre n’importe quoi.

P : - Nan vas-y explique ton truc avec le cerveau, la motivation et tout ça ?

S : - Ben pour faire simple, si tu sais pourquoi tu fais quelque chose, tu te focalises que sur ça, tu oublies le reste et tu peux devenir très bon dans ce domaine. Évidemment que je dis que tu oublies le reste, c’est une image, tu continues à faire ce que tu aimes. Par exemple, quand tu joues au foot. Tu peux avoir une douleur, mais si t’es vraiment motivé à marquer un but contre le camp adverse, tu oublies la douleur à cause de la motivation, parce que tu penses qu’à ça. Mais ça ne t’empêche pas d’aller t’amuser avec une fille après. Tu vois, tu te concentres sur un point pour oublier le reste, mais après tu peux faire ce qu’il te plait.

P : - Ah ouais je vois, comme toi. T’es tellement motivé à t’occuper de moi et de me donner des cours de maths, t’es tellement à fond dans tes explications que t’as même pas remarqué que j’ai enlevé mes chaussures et que ça daube comme pas permit.

Lorsque Paul me dit cela et que je remarquai qu’effectivement il avait délicatement enlevé ses chaussures de ses pieds, et qu’une odeur commençait à envahir la pièce.

S : - Euh… ouais si on veut.

P : - OK j’ai compris. Bon maintenant, faut trouver la motivation… et c’est pas gagné ça. Si t’avais été une fille, ça aurait pu être toi, mais bon, j’fais pas dans la tantouze moi. J’suis un vrai mâle tu vois.

Dit-il en essayant d’en faire plus qu’à la normale. Comme pour prouver quelque chose.

S : - Écoute, ce que je te propose, vu que l’heure de cours est passée, c’est que pour samedi prochain tu trouves un moyen de motivation. Et s’il te plait, essaie d’aller en cours et prendre des notes, sinon même avec toute la meilleure motivation au monde, ça va quand même être plus dur…

P : - OK pour la motivation, mais les cours je sais pas trop, faudra voir si je suis d’humeur.

Au moment où l’on sort de la chambre de Paul, sa mère vient nous voir pour aller aux nouvelles :

M : - Alors les enfants, comment ça s’est passé ?

P : - Mais combien de fois je t’ai dit de pas m’appeler comme ça devant quelqu’un ?

M : - Ben quoi, t’es mon enfant, et même je vais te dire un truc, tu resteras toujours mon bébé, même quand t’auras 40 ans. Par contre t’aurais pu mettre des chaussons pour marcher au lieu de salir tes chaussettes comme ça…

Voulant couper le blanc malaisant qu’il y avait à la suite de cette phrase entre Paul et sa mère, je lui simplement et d’une manière aussi décontractée qu’elle m’a étonné :

S : - Je pense que Paul est sur la bonne voie après ce premier cours. Et j’ai hâte de voir les progrès de Paul samedi prochain.

M : - Si seulement tu pourras avoir raison… mais bon, je te fais confiance. Ça ne te dérange pas si je te tutoie ?

S : - Non non du tout. Bon, je vous dis à samedi prochain même heure ici ?

M : - Oui, à la semaine prochaine, et merci d’aider mon fils.

S : - De rien, madame, au revoir

M : - Je t’en prie, appelle mois Martine, pas de madame qui tienne. Surtout si tu reviens tous les samedis…

Paul commençant à perdre patience lâcha un : Ouais à samedi prochain, et ferma la porte.

Je dois bien avouer que j’étais assez déstabilisé par la dernière partie de la phrase de Martine, et je recommençais encore une fois à sentir le rouge me monter aux joues.

Sur le chemin du retour, je ne pouvais m’empêcher de repenser à ce que m’avait dit Martine. Et surtout de la façon dont elle l’avait dit, de la façon où Paul avait subitement coupé la conversation en fermant la porte. Mais bon, je me faisais surement un film pour rien, oui c’était ça, je me faisais un film…
Après une soirée avec mes parents, regardant vaguement un documentaire à la télévision, et après qu’ils n’aient même pas demandé comment s’était passé le cours, je décidai d’aller me coucher.

Une fois dans mon lit, mon esprit recommença à divaguer sur ce qu’il s’est passé cet après-midi, mais… au lieu de repenser à l’épisode avec Martine, je me suis surpris à repenser à la vision du dos superbement musclé et bronzé de Paul, et des différentes odeurs qu’il y avait eu tout au long du cours. Mais que se passe-t-il ? Pourquoi je repense à ça ? Bon, OK la vision peut-être expliquée par le fait que je le jalousais, mais pourquoi diable je repensais à cette odeur de transpiration et à ce moment où il m’a fait remarquer qu’il avait retiré ses chaussures ?

Et le pire dans tout ça… c’est que je commençais à sentir mon sexe se réveiller !! Mais, que ce passe-t-t-il ?! Moi, le gendre idéal, bien propre sur moi qui commence à avoir une érection en repensant à des odeurs, et d’hommes en plus !!
S’il m’était déjà arrivé de me surprendre à regarder quelques garçons pendant leurs entrainements, joggings et autres, jamais je n’avais eu une érection avec ces visions.

S : - Bon Sam, calme-toi, ce n’est rien. T’as eu une journée un peu folle, mais ça va passer. Après tout, tu es hétéro, tu l’as toujours été, c’est comme ça.

Mais force est de constater qu’une après s’être couché, je ne dormais toujours pas, et mon érection n’était toujours pas partie. Je me résous donc à prendre mon sexe en main pour me masturber le plus silencieusement possible pour ne pas alerter mes parents dont la chambre est juste en face de la mienne, et qui sont montés se coucher eux aussi entre temps.

Après bien 10/15 minutes de masturbation, il me fallait me rendre à l’évidence : si je voulais jouir il me fallait me masturber plus fort au risque de faire bruit, ce que je ne pouvais pas faire. Il me fallait donc trouver quelque chose de plus excitant… mais quoi ?
C’est alors que mon esprit recommença à penser à Paul, et à ses odeurs. L’objectif a été atteint, en y repensant, en même pas 1 minute, je libérais une quantité de sperme encore jamais vu chez moi dans un orgasme dévastateur, libérateur et où j'ai dû me retenir pour ne pas gémir trop fort. Il y en a même un jet qui est arrivé sur mon menton, c’est vous dire…
Après cet orgasme comme je n’avais jamais eu et après avoir repris mes émotions, il était temps de me nettoyer. Je finis par le sperme que j’avais sur le menton. En le nettoyant, je m’en étais mis un peu sur le doigt. Un nouveau trouble est apparu en moi avec ce sperme sur ce doigt. Et si… non Sam, tu as eu assez de nouvelles expériences comme ça pour aujourd’hui. Je l’essuyais sur le papier que j’avais, et je me suis enfin endormi.

J’espère que ce premier chapitre vous à plus, n’hésitez pas à me faire des retours. Mais soyez indulgent, c’est mon premier récit ;).
Les prochains chapitres seront surement plus courts aussi…

Mectimide

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