Ma copine et moi nous sommes séparés.
J’imagine que mes envies de sexe entre hommes m’ont sans doute inconsciemment éloignée d’elle. Les jours qui ont suivi, je me suis fait du bien avec mon gode plusieurs fois. Rapidement, je me suis décidé à m’inscrire sur un site de rencontre gay. L’envie de sucer une belle queue était trop forte.
Dans ma description, j’ai bien précisé rechercher un actif uniquement pour ma première fois, n’étant pas spécialement attiré par le fait de sodomiser un autre homme. Je ne m’attendais pas à recevoir autant de réponses. Après quelques jours à discuter avec plusieurs mecs, mon choix s’est arrêté sur Philippe. C’était un homme de 45 ans, plutôt bien foutu, et avec un sexe de taille normale (15 cm). Le fait qu’il soit plus âgé que moi me rassurait. On a fini par échanger nos numéros et par fixer un rendez-vous. Ça allait donc se passer un samedi après-midi, chez moi. J’ai préféré lui dire de venir chez moi pour ne pas me défiler au dernier moment. Là au moins, je n’aurai pas le choix. Les jours qui ont précédé notre rencontre m’ont paru interminables. Je ne pensais qu’à ça.
Quand le grand jour est arrivé, j’étais aussi excité que stressé. Une heure avant l’arrivée de mon premier amant, je me suis douché et me suis fait un lavement. Je me suis habillé comme il me l’avait demandé : chemise, boxer, jean et pieds nus.
Vers 16 heures, il m’a appelé pour me dire qu’il était en bas de chez moi. Je lui ai donné le code pour entrer dans mon immeuble. Je dois bien avouer qu’à ce moment-là, je ne faisais pas le fier. Je l’attendais à l’entrée de chez moi, la porte entre-ouverte. Quand il est arrivé à mon étage, on s’est serré la main et je l’ai fait entrer. Physiquement, il était assez commun : 1m75, 75 kilos, cheveux courts, un peu grisonnants. J’étais assez mal à l’aise, ne sachant pas vraiment quoi dire ou quoi faire. Je lui ai proposé une bière, me disant que ça me détendrait peut-être un peu. Philippe et moi avons commencé à parler de tout et de rien. Il était sympa, ça me rassurait. On en est venus à parler de sexe, notamment de mon inexpérience et de comment je voulais que ça se passe. Cette discussion a commencé à m’exciter, si bien que je lui ai proposé spontanément d’aller dans la chambre (je me surprenais moi-même).
Arrivés dans la chambre, Philippe a voulu m’embrasser, mais j’ai eu un mouvement de recul. Je n’en avais pas envie. Sans rien dire, il a commencé à me déshabiller. Après avoir enlevé ma chemise, il a passé ses mains sur mon torse et mon dos. J’ai fait la même chose avec lui. Une fois torse nu, j’ai posé ma main sur son torse. C’était assez déstabilisant au début.
Il a poursuivi en déboutonnant mon jean, qui est tombé à mes chevilles. Il m’a mis la main au paquet par-dessus mon boxer. Ça m’a un peu surpris. Il a tiré sur l’élastique pour voir ce qui se cachait sous mon boxer. Il a dit :
— Hmmm, ça a l’air pas mal tout ça !
Je n’ai rien répondu. J’ai enlevé mon jean qui était toujours à mes chevilles. Philippe s’est mis à genoux et m’a descendu mon dernier vêtement. Ma bite, mi-bandée, n’était qu’à quelques centimètres de son visage. Il l’a mise directement dans sa bouche. Je me souviens m’être dit « putain, il suce bien ! ». Il faisait tourner sa langue autour de mon gland. Il n’hésitait pas à me lécher les couilles, c’était vraiment bon. Si bien que j’ai dû l’arrêter au bout d’à peine cinq minutes pour ne pas jouir tout de suite.
Il s’est relevé et m’a demandé :
— Ça t’a plu ?
— Oui, tu es doué !
— Tu veux essayer ?
— … Oui…
J’étais assez intimidé, j’allais toucher une autre bite que la mienne pour la première fois. Je me suis assis au bord du lit et j’ai déboutonné son jean. Il a fini de l’enlever lui-même. Il portait un boxer noir qui laisser deviner qu’il bandait. J’ai fait glisser son dernier tissu. Sa bite a frôlé mon visage. Je la regardais avec envie, mais aussi avec une certaine peur. Je l’ai d’abord prise dans ma main. Cette sensation nouvelle me plaisait beaucoup. Je le branlais lentement, en approchant petit à petit mes lèvres de ce membre tant attendu. L’odeur enivrante de son sexe a fini par me convaincre. J’ai passé ma langue sur son gland plusieurs fois, avant de le prendre dans ma bouche. Ça a été comme une révélation : j’ai tout de suite adoré ça. J’essayais de le sucer aussi bien que possible. Je guettais ses réactions. Il semblait apprécier. À un moment, je l’ai regardé dans les yeux alors que sa bite était dans ma bouche. Ça m’a énormément excité.
Après quelques minutes (je ne saurais pas dire combien), il m’a dit :
— Tu veux que je te prenne ?
— Oui, vas-y !
J’ai arrêté de le sucer pour me mettre en levrette sur le lit. J’avais l’impression d’être offert, ce qui ne me déplaisait pas, loin de là. Il s’est mis derrière moi pour me lécher le cul. Cette caresse buccale était assez surprenante au début. Je me suis dit « heureusement que je me suis fait un lavement ».
Et puis, j’ai senti un doigt se poser contre mon anus. Il est entré facilement. Par contre, quand il a voulu en mettre un deuxième, ça avait plus de mal à rentrer. Je lui ai donné du lubrifiant. Et là, c’est allé nettement mieux ! Même si je me doigtais souvent, quand c’est quelqu’un d’autre qui le fait, c’est totalement différent. Le fait de ne pas avoir le contrôle est assez déroutant.
À un moment, il a enlevé ses doigts de mon cul. J’ai compris que c’était le moment que j’attendais tant. Philippe a mis une capote, un peu de lubrifiant sur mon petit trou et il a posé son gland contre mon anus. Il a fait entrer sa queue lentement en moi. Là, c’était sur, j’étais fait pour ça. J’ai immédiatement ressenti beaucoup de plaisir. Je n’avais pas l’impression de briser un tabou, au contraire, ça me semblait totalement normal. Je me suis surpris à gémir. Au fur et à mesure, il accélérait la cadence pour mon plus grand plaisir. Je sentais ses couilles taper contre les miennes, ça m’excitait encore plus. Mon enculeur y allait assez fort à la fin. Il s’est planté au fond de moi et j’ai senti les spasmes de sa bite. Il était en train de se vider en moi !
Quand il s’est retiré, j’ai eu une sensation de vide. J’aurais voulu que ça dure encore très longtemps, envie aussi d’essayer d’autres positions. Philippe m’a enculé à peine cinq minutes. On s’est allongés sur le lit, totalement nus. Il a voulu m’embrasser, mais je l’ai repoussé à nouveau. Il s’est levé pour se rhabiller, et il est parti après m’avoir remercié. J’étais surpris qu’il parte comme ça.
Au final, ma première expérience était assez mitigée. J’étais maintenant sûr d’aimer le sexe entre hommes. J’avais adoré sucer une bite et la prendre dans mon cul. Par contre, assez déçu de la durée et de la manière dont mon amant du jour était parti. Je n’ai d’ailleurs plus jamais eu de nouvelles de lui.
J’ai bien sûr eu d’autres expériences avec des mecs. Petit à petit, je me suis rendu compte que j’avais une préférence pour les hommes plus vieux que moi (dans les 40-50 ans), un peu directifs et si possible bien montés.
Il y a environ deux ans, j’ai fait la connaissance de François sur un site de rencontre. Il avait une cinquantaine d’années, 1m80 pour environ 90 kg, assez poilu et une belle queue de 18 cm. Il était uniquement actif et se disait très endurant. Bref, tout pour me plaire. En plus, il vivait seul donc il était disponible assez facilement. Après quelques jours à discuter sur internet, on décide de se voir un vendredi soir chez moi.
En rentrant du travail ce jour-là, je file directement dans la salle de bain pour me préparer. Je venais à peine de sortir de la douche que mon téléphone sonnait. François était en avance, il était en bas de chez moi. Je me suis séché rapidement et j’ai noué une serviette autour de ma taille. J’ai accueilli mon futur amant et nous avons discuté quelques minutes autour d’un verre. Il m’a demandé s’il pouvait prendre une douche (il était venu directement après le travail). Je lui ai répondu :
— Oui, vas-y. Tu me rejoins dans la chambre après ?
Je lui ai montré où étaient les serviettes avant d’aller dans mon lit. Je l’attendais impatiemment, j’avais très envie de me faire enculer bien comme il faut !
Il m’a finalement rejoint dans la chambre. Il s’est allongé à côté de moi. Nous nous sommes caressés l’un l’autre. Il a voulu m’embrasser, mais j’ai refusé. Je n’avais toujours pas embrassé de mec. Je ne sais pas vraiment pourquoi, mais je n’en avais pas envie. J’ai glissé ma main sur sa queue déjà bien dure. J’ai immédiatement eu envie de la mettre dans ma bouche. Je me suis donc penché pour le sucer. Il m’encourageait par des « tu suces bien salope » ou des « hmmm continues ». Ça m’excitait énormément. En plus, sa bite était comme je les aime, assez longue avec un beau gland.
À un moment, il m’a dit sur un ton assez strict :
— Met toi à quatre pattes, je vais te préparer.
Je me suis exécuté. Il s’est placé derrière moi pour me lécher et me mettre des doigts. Quand il m’a senti prêt, il a enfilé une capote et m’a pénétré. J’ai rapidement senti sa bite entièrement en moi. Il me baisait exactement comme je le voulais, en faisant des mouvements assez amples. Parfois, il ressortait complètement sa queue et me disait « Tu es bien ouverte salope » ou encore « Tu aimes la bite toi ». Ces mots ne faisaient que m’exciter encore davantage.
Après plusieurs minutes, il a voulu que je me mette sur le dos pour voir mon visage. Dès que je fus en position, François m’a pénétré d’un coup. Dans cette position, je prenais encore plus de plaisir. Je trouve qu’on la sent mieux. Il me regardait droit dans les yeux en m’insultant. Je n’avais jamais ressenti autant de plaisir jusque là. Je me suis fait enculer profondément de longues minutes, jusqu’à ce que mon amant jouisse dans mon cul (enfin dans la capote).
Il s’est retiré de moi, il est allé se nettoyer avant de revenir s’allonger à côté de moi. Là, il a rapproché sa bouche de la mienne, et pour la première fois, je ne l’ai pas repoussé. On s’est embrassés langoureusement. En fait, c’était très agréable. J’ai presque regretté de ne pas l’avoir fait avant. Mes mains parcouraient son corps. Quand j’ai touché son sexe, je me suis rendu compte qu’il bandait encore. Sans réfléchir, je me suis penché pour le sucer. Je frottais sa queue sur mon visage, j’étais surexcité. Il me disait toujours des mots crus, j’adorais !
J’ai rapidement eu envie d’avoir à nouveau sa superbe bite dans mon cul. Je lui ai mis une capote et je me suis empalé sur son membre. Dans cette position, c’est moi qui donnais le rythme. J’alternais les mouvements et la vitesse. Au bout d’un moment, nous avons changé de position. François m’a pris assez violemment en levrette. Je prenais un plaisir immense. Je me suis fait enculer près d’une demi-heure. Quand mon amant a joui, il m’a insulté de tous les noms. Je me sentais vraiment comme sa chienne.
Après cela, on est allés prendre une douche tous les deux. On s’est roulés des pelles et on s’est caressés. Ensuite, il est resté boire un verre et on a discuté. On était tous les deux d’accord, on avait envie de se revoir. Je sentais qu’avec lui, le sexe allait être encore meilleur et que j’allais pouvoir assouvir quelques fantasmes…
Solenc
solenc_08@live.fr
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