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Ma vie de bâtard botteux

Préliminaires : Début botteux

Ici, je relate des faits réels uniquement, qui explique le début de mon amour pour les bottes.
À partir du chapitre 1, l’histoire tiendra plus de la fiction.

J’habite dans la campagne française. Perdu dans un petit village de 200 habitants, dont 90 % sont des paysans. J’y suis né dans une famille de paysan. Mon père a décidé de venir habiter là et de commencer sa propre exploitation. Il était assez connu dans le village. Il avait de bonnes méthodes et a tenu seul pendant longtemps une exploitation brillante. C’était une exploitation laitière.
Pour moi, les cottes et les bottes ont toujours été une partie de ma vie. Tout temps à la ferme devait être effectué en bottes. Quand j’ai commencé à pouvoir y travailler, j’ai eu une vieille cotte de mon père pour travailler sans avoir peur de me salir.

À savoir que j’étais jeune. Et les paysans au collège – lycée c’est toujours un peu mal vu. Avec les amis du village aussi. Alors j’essayais toujours d’éviter de devoir mettre des bottes et ma cotte. Des fois ça allait, des fois mon père me renvoyait me changer.
Jusqu’à là, rien de très sexuel. Je découvrais gentiment les joies d’internet et du porno, et me tourna assez rapidement dans des catégories avec plus d’hommes que de femme ! Je gardais ça un secret évidemment. Le BDSM ne tarda pas. Cuir, latex, domination et autre.
Le grand déclic arrive lors d’une sortie en famille. Une sortie promenade vers un col. Après de longues heures de marche, on s’arrête dans un petit restaurant de col. Et là, motard a gogo, des mâles barbu qui mangent en étant en cuir, le bruit des bottes et l’odeur de transpiration mixée au cuir. J’avais déjà une bonne attirance pour les motards. Mais là, les combinaisons m’attirèrent vraiment. Je me souviens d’avoir ce jour demandé à mon père « Tu auras besoin d’aide ce soir ? »
Je voulais porter ma cotte. Tout d’un coup. À partir de là, tout se passa très vite. Je me savais déjà très attiré par des figures dominantes. Militaire, macho, skinhead ou autre.
Ce soir-là, je sautais dans ma cotte et mes bottes. J’ai bossé dur durant la traite du soir, et dès que j’ai pu, je me suis éclipsé dans la grange pour vider toute cette excitation après avoir passer tout ce temps en cottes. Et là j’ai entendu le bruit de mes bottes sur les planches : et j’ai adoré. Complètement. En une fraction de seconde j’ai réalisé que les bottes de paysan étaient incroyables.
Je me suis agenouillé j’ai senti ma cotte se serrer, le talon de mes bottes se frotter à mon cul dans la cotte. Et je me suis vidé comme plus violemment que jamais. C’était le début d’une pente très glissante ! La pente qui fera de moi un botteux dans l’âme, et un véritable bâtard.

À partir de là, je ne fuyais plus les bottes. Je les mettais le plus possible. Mon père en était ravi. J’ai passé quelque année comme ça. Découvrant qu’en plus des bottes, la virilité des paysans m’attirait. Que je ne voulais pas être comme eux, car je leur étais inférieur. Que je rêvais de les servir. Qu’il m’utilise et me dénigre.

Quelque chose qui m’a vraiment aidé à me former a été les fréquentes visites des paysans du village. Comme je l’ai dit, mon père avait beaucoup d’amis paysans ! Et il n’était pas rare qu’ils viennent boire un café ou une bière après le boulot. À ce moment, ils laissaient leurs bottes au garage. Le rêve pour moi. Entre deux et cinq paires de bottes d’autre paysan. Des modèles différents. Des pointures différentes. Des couleurs différentes. Des niveaux de saleté. Et ce que j’ai vite découvert, des odeurs différentes. Toutes à des paysans que je connaissais, et qui me connaissaient aussi.

Au début je portais juste leurs bottes. J’entendais le son des bottes sur le sol dur du garage, je sentais leurs chaleurs. J’entendais les autres paysans parler fort à l’étage du dessus. Ça me rendait dingue.

Et voilà, un jour j’ai fait le pas. J’ai décidé de prendre la botte la plus chaude, de me mettre à quatre pattes devant et de fourrer mon pif dedans. Ce fut une révélation. L’odeur était asphyxiante. Si lourds. La transpiration, les grosses chaussettes en laine humide, les odeurs d’étable et le caoutchouc. À nouveau j’ai joui comme jamais. Et voilà que forcément ça a fini sur les bottes. J’entendais les paysans se lever en haut. Dans la panique j’ai rapidement essuyé les bottes avec mon tshirt. Il y avait clairement une marque humide. Ça m’a terrifié. Je suis vite remonté comme si de rien n’était. Mon t-shirt puait la botte. J’étais aux anges.

À partir de là, sniffer un maximum de bottes est devenu le nouveau rituel lors des visites. Je connaissais leurs modelés de bottes, et l’odeur si spécifique de chaque. J’ai eu quelque moment où j’ai failli être pris, mais jamais réellement.

Ça dura quelque temps jusqu’à qu’un nouvel élément entre en jeu. Mat. Mon père avait décidé d’engager, avec trois autres exploitations, un ouvrier de ferme qui partagerait sa semaine entre les quatre exploitations.

Je n’étais pas au courant, et un soir en rentrant je l’ai rencontré sur place. Un magnifique mâle, la trentaine. Il avait une cotte grise qui le serrait vraiment. Et des bottes Aigle qui épousaient ses mollets clairement musclés.
« - Ah salut Hugo ! Moi c’est Mat ! Je vais aller commencer aider ton père quelques jours par semaine ! »
Je tout avec une poignée de main si virile et franche. J’étais vraiment sur le cul. Il était si sexy. Un accent fort de paysan, des mains rustres, un mâle un vrai.
J’ai passé la journée à le mater discrètement. Il ne faisait qu’un avec ses bottes. Il riait et parlait fort. Je l’adorais.
À partir de là, je me levais tous les matins pour être debout quand Mat et mon père serait en train de petit déjeuner après la traite du matin. À ce moment, les bottes de Mat étaient en bas, encore chaude après le boulot. C’était l’odeur la plus forte de toutes les bottes. C’était SON odeur. Je me sentais illégitime dans ses bottes. C’était des bottes de mâle, des bottes de paysan. Pas des bottes pour le bâtard que j’étais. C’était la première fois que je me sentais vraiment fondamentalement inférieur à un autre.
Et évidemment, un jour ça arriva. Après avoir juté sur ses bottes, je n’avais pas envie de nettoyer mon sperme avec un papier. Alors j’ai posé ma langue sur sa botte et j’ai léché. Je l’imaginais dedans. Le goût était étrange, mais ne me dérangeait pas. J’étais dans un autre monde. J’ai adoré ce moment. À partir de là, les matins basiques consistaient à me lever pour porter, sniffer, et si possible lécher ses bottes. Je ne pouvais le faire que s’il les avait récemment laver. Bien sûr je continuais de faire ça avec les bottes des paysans de passage ! Et voilà. J’étais à fond dans les bottes. J’en portais à toute occasion. Pareil pour les cottes. Une dès que possible, voir même deux quand ça pouvait être discret.

Mes meilleurs souvenirs venaient des moments où Mat travaillait le soir sur l’exploitation et revenaient le lendemain. Dans ce cas, Mat laisser des fois ça cote et ses bottes a la ferme. À ce moment-là, je pouvais profiter de la nuit pour enfiler sa cotte et ses bottes et aller me balader dans la ferme et le village. Ça sentait comme lui. Je sentais ses bottes me serrer, le son qu’elle faisait sur le sol au milieu de la nuit me rendait fou. Je savais que je n’étais qu’un bâtard dans une tenue de Mâle. Mais j’adorais son odeur, et l’humidité après la longue journée de boulot de Mat a la ferme.

Être dans le village en botte, autant la nuit dans la tenue de Mat que la journée pour aller chercher des bêtes ou autre était un sentiment tellement fort. Me faire saluer par les autres paysans comme un des leurs « Ah salue Hugo ! Tu vas récupérer le veau ? Je l’ai vu en bas de la parcelle. ». Alors qu’ils sont tous crades et en bottes, et que je me savais inférieur à eux. J’avais alors déjà une mentalité de bâtard, élevé dans un milieu macho rempli de mec viril bien dans leurs bottes.

J’ai vécu une super année, pouvant enfin profiter pleinement de ma situation. Les paysans du coin qui viennent boire des verres, la liberté d’être en bottes dans tout le village, la relation virile de camarade de boulot que j’entretiens avec Mat qui rend toujours difficile de ne pas bander. Malgré ça impossible de faire plus. De mettre à usage mon mental de bâtard. Je ne pouvais absolument pas révéler mon attirance pour les hommes, et encore moins les bottes ! Mais j’étais quand même content de profiter de la vie en bottes.

Chapitre 1

Mais voilà. J’avais 19 ans, je venais de finir une BAC ES. Je ne savais pas vraiment quoi faire dans la vie, je me disais que des études d’économie me permettraient de toujours avoir un peu de temps sur le côté et d’avoir des débouchés. Mais voilà, je n’avais pas vraiment bien calculé mon coup. Je m’étais inscrit dans une ou deux facultés à proximité de chez moi. Et la date limite pour être accepté c’était hier. Aucune ne m’avait accepté, et il était trop tard pour trouver simplement une faculté où aller. J’étais dans la merde.

Hier j’ai annoncé la nouvelle à mon père. Autant dire que l’idée de me voir faire une année sans rien faire a la maison ne lui plaisait pas du tout.
«  Je ne te veux pas dans mes bottes toute la journée. Tu n’es vraiment pas le fils de paysan le plus efficace. Mais ne pense pas que tu vas passer une année à ne rien faire ! »
Autant dire que l’ambiance était tendue pour la soirée. Je ne m’étais vraiment pas préparé à ça.

J’ai passé la journée à ruminer ce qui s’est passé hier. Je cherchais une solution, mais rien ne venait.
Le soir, mon père revient de la ferme et me dis clairement.
«  Écoute-moi bien Hugo, le frère de Bertrand habite vers Moulin. Il cherche un apprenti pour lui donner un coup de main sur la ferme. Il a une vieille ferme avec une chambre de libre. Tu vas aller passer l’année là-bas. Ça te formera, te rapportera un peu d’argent. Après on verra bien si tu trouves une faculté, ou si tu peux commencer à sérieusement travailler à la ferme. Prépare tes affaires ce soir, je te dépose au train demain. »
Je n’avais clairement pas mon mot à dire. C’était de ma faute si je me retrouvais dans cette situation. Et après tout pourquoi pas ? Je serai en fin un peu éloignée de la famille, et j’aurai une petite paye !
Je vais dans ma chambre préparer mes affaires. Je finis avec deux valises. Une pour mes vêtements et autre, et une avec ma paire de bottes préférée, les anciennes Aigles parcours de mon père. Ainsi qu’une ou deux cottes évidemment. Quand mon père me voit préparer ça, il m’arrête en disant
« Oh, je vais en avoir besoin de ces bottes. Tu t’en achèteras sur place. Les miennes arrivent au bout et celle-ci est clairement mieux. T’en profiteras pour acheter des cottes aussi, je vais garder celle-ci. Tout est au clair avec Luc, le frère de Bertrand. Il m’a appelé et il viendra te chercher à la gare. »
Bon, bah je finirai avec juste une valise de vêtement usuel. Je devrai aller m’équiper assez vite quand j’arrive alors. De toute façon les magasins d’habit de travail y’en a pas mal en campagne.

Je passe une nuit agitée en pensant quand même que je vais quitter le lieu où j’ai toujours vécu. Le réveil le lendemain est tôt. On va à la gare qui est à 15 minutes en voiture. Mon père n’a jamais été dans les émotions donc ça a été rapide.
« Tiens ton ticket. Je te pose et je rentre. Y’a une génisse qui va vêler. »

Et voilà. J’entre dans le train, je laisse derrière ma campagne et ses beaux paysans, mais je garde avec moi plus que jamais ma mentalité de bâtard qui s’est développé au cours des années. J’allais à l’inconnue, commencer une vie de vrai paysan, dans un endroit que je ne connaissais pas. J’espère que Luc n’est pas le genre à bosser en basket et jeans ! Je ne sais même pas s’il a une femme, ou son âge.
Mais bon, j’aurai le temps d’y réfléchir durant le trajet. Le train démarre vers une nouvelle étape de ma vie de botteux.

FarmerSonSub

FarmerSonSub@gmail.com

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