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Le cocu

Le cocu monte chez celui qui baise sa femme et se fait défoncer par Christian

Ce soir là je montais au 1er étage et me tenais devant le logement de Christian dans le but de m’exciter en pensant à ma femme qui montait régulièrement se faire baiser par lui… je portais ma main sur mon sexe et commençais à me faire du bien lorsque la porte s’ouvrit brusquement et Christian en pyjama short gris apparu devant moi, un sourire sadique aux lèvres et après portés une gifle me fit entrer chez lui et me donna une seconde qui me projeta immédiatement à terre. Christian, l’amant de ma femme Annick me releva par les cheveux. Lui se tenait les mains sur les hanches, la verge en avant, droite et fière. Je me doutais que tu étais une tafiole pauvre mec…. D’accepter sans broncher que sa femme soit offerte à moi que tu as engueulé il y a quelque temps et traité de tous les noms et ensuite même de venir voir comment je baisais Annick cela me semblait bizarre et un peu anormal, mais te voyant ici devant moi je comprends mieux pauvre type… à genoux devant l’amant d’Annick, car je peux plus dire ta femme puisque c’est la mienne dorénavant et au moins moi je l’a fait jouir et elle prend du plaisir dans mon lit…. Et il approcha son sexe devant moi…

– Alors, tu suces pauvre type…

– Alors, j’attends !

D’un rapide mouvement du bassin, il secoua sa puissante colonne sous mon nez. Alors à genoux devant lui, baissais les yeux, soumis, prit doucement son zob dans mes deux mains et posa mes lèvres sur son gland, qui il y a peu inondait la matrice de ma chère épouse.

– C’est bien, suce salope, tu vas voir ce que c’est qu’un homme !

Il désirait encore plus humilier en me faisant sucer son chibre Il m’avait pris ma femme. Démontrer mon infériorité. Et maintenant, je le suçais avec application sa queue qui avait baisé ma femme enfin la sienne pardon !!!

J’avais englouti le gland et progressé sur la hampe. Je n’arrivais pas à aller très loin. Il me mit la main droite sur la tête, et me dit de faire attention avec mes dents. J’ouvrais au maximum les mâchoires. Je lui obéissais.

Il me faisait faire de petits allers-retours, reculait ses hanches et avançait son zob alternativement. Je sentais son ventre écraser mon front. J’étouffais un peu, et cela me faisait bien sentir ma soumission face à cet homme. Bientôt, il me prit la tête entre ses deux mains pour accélérer le mouvement.

Je n’avais pas dû me débrouiller très bien. Son zob allait de plus en plus profondément, jusqu’à pénétrer ma gorge. Je ne tenais plus en équilibre, et mes mains se raccrochaient à présent à ses cuisses musclées et puissantes. Je ne maitrisais plus ma bouche qu’il utilisait selon son bon vouloir. Lui-même, sa virilité s’ornait de mon humidité buccale. Je ne pourrais plus jamais me regarder dans une glace sans me rappeler cette scène. Il me fit poser les mains au sol et appuya ses pieds dessus afin que je sois vraiment sa chose. Les pieds de Christian aux orteils musculeux me maintenaient parfaitement sur le plancher…

– Ah’ Connasse, lèche mes couilles ! suce bien mon sacre avant que je me décharge dans ta gueule de connard, allez cocu suce moi à fond, tu ne peux pas faire mieux qu’Annick, mais applique toi…….
Puis il m’ordonna de me mettre à quatre pattes devant lui…

J’obéissais. Je plaçais ma tête entre ses deux imposantes cuisses, et la tournais pour placer ma langue sous ses bourses. Je rendais hommage à sa capacité reproductrice également bien dotée, et goutais au gout un peu rance de ses testicules. Elles étaient déjà humides de ma première fellation.

Je sentis mon dos ployer sous le poids de son ventre. Mon visage s’écrasait entre ses cuisses, ses couilles et son chibre, je m’affaissais sous son poids, et mes fesses s’écartaient mécaniquement, lui offrant une entrée royale vers mon petit trou qu’il commença à caresser.
Je vais te montrer comment un homme comme moi s’occupe aussi d’un cocu PD…

Je me débattais. D’abord, parce que je ne voulais pas qu’on me fasse ça, ensuite, parce que j’étouffais. J’étouffais réellement. Ne parvenant plus à respirer, j’abandonnais la lutte…

Soudain, ma tête trouva de l’air. Elle venait de passer entre ses cuisses. Je pris de profondes inspirations, le corps abandonné à Christian. Celui-ci me prit par le ventre, me fit coulisser et me reposa sur le dos.

– Tu vas voir, çà peut te faire mal, mais bon je vois que tu avais envie de passer par là, mais je sais que ce n’est pas facile, alors je vais te mettre du gel…….
C’est à ce moment qu’Annick arriva dans la pièce étonnée de me vois pris comme çà…. Bonjour chéri tu vois je vais m’occuper de ton cocu ce pauvre type qui ne sait même pas te faire jouir, toi qui es une femme délicieuse….. Place-toi devant lui et pendant que je vais enfoncer mon dard dans son cul de sale PD il va te lécher non pas la chatte ou le cul, mais tes baskets et dessus et dessous il va les nettoyer à fond…

Il me prit la tête et Annick après s’être assise sur la chaise qui servait habituellement à moi lorsque j’étais invité à assister à leurs ébats et mis ses chaussures devant ma bouche. Pendant qu’il relevait mes jambes sans forces, il m’ordonna de lécher avec application les semelles…

Allez nettoie bien les pompes de ma femme pauvre cocu de merde….

Il me barbouilla le cul de gel et j’entendis un crachat qui atteignit ma rondelle. En attendant, ma langue léchait, nettoyait, aspirait les semelles de sa femme…

Les doigts de Christian couraient autour de mon petit trou. Il le chauffa quelques minutes, puis il commença à picoter. Je tentais d’agripper les jambes de ma femme, mais ne trouvais que celle de l’homme assis sur mon torse.

– Tu commences à aimer, hein’ tafiole…..

Un grognement négatif essaya de se faire comprendre, mais en réalité, je devenais moite et mon corps commençait à remuer. Son index grattait ma corole. Il éclata de rire lorsqu’il vit, entre mes jambes complètement écartées, mon anus sauter vers son doigt. J’avais envie de le recevoir.

– Attends, lève-toi chérie s’il te plait’ alors, tu as compris mec »

Un silence, je ne le voyais pas, mais le devinais souriant, satisfait. Cela s’entendait à son petit air diabolique.

– Alors, c’est qui le Maitre’ C’est qui l’Homme’ celui qui peut mettre sa bite partout »
Je répondais d’une voix aigüe :

– C’est toi, c’est toi Christian

J’avais chaud, mes jambes et mon bassin tournaient tous seuls. J’avais les yeux mi-clos.

– Alors, qu’est-ce que tu veux »

Mes idées n’étaient pas claires, mais l’instinct me faisait lui répondre.

– S’il te plait, s’il te plait, Je t’en prie, baise-moi ! J’ai envie ! Allez Christian je compris enfin pourquoi Annick sa femme maintenant prenait plaisir à baiser avec lui tant cet homme avait su m’exciter. Ma femme rit.

– D’accord, d’accord, je vais m’occuper de toi. Mais toi aussi, il faut que tu t’occupes de moi. D’accord’ alors, pendant que je m’occupe de ton cul, tu vas t’occuper du mien.

Il plaça ses fesses au-dessus de mon visage. Je projetais ma langue à la rencontre de son anus, sans dégout, mais avec envie et rapprochais son très large postérieur de mes mains. Il y avait un gout un peu âcre, qui m’excitait encore plus.

Sitôt mis à ma besogne, lui entreprit mon trou. Il y fit pénétrer une phalange qu’il fit lentement tourner. Il prenait tout son temps. Mon sexe était bouillant, mais je ne pouvais m’en occuper. À la place, je poussais des gémissements plaintifs, en écartant mes jambes comme si je voulais me déchirer moi-même en deux.

Bientôt, il fit entrer un doigt entier dans mon fondement. Il tourna pour élargir mes possibilités et lorsque je fus un peu assoupli, il y joignit un second. De ses deux doigts, il entreprit de me masser l’anus. Je progressais dans la jouissance.

De son autre main, il caressait la poitrine de ma femme, s’occupait de ses tétons, faisait courir sa paume sur sa nuque……..

Pendant ce temps je m’étais abaissé à lécher son cul. Cet homme me rendait fou, il avait un talent immense pour s’occuper des femmes et de moi aussi.

Une caresse prodiguée par les doigts de Christianz, courant dans mon rectum, fit s’évanouir cette réflexion. Je gémissais pour de bon, en continu.

Pendant ce temps, ma langue s’enfonçait de plus en plus loin, visitait plus profondément son intimité. J’avais envie, en léchant ce cul, de lui sucer la bite. Comme je ne pouvais pas le faire, c’était son anus qui contentait ma faim. Car c’était cela, j’avais faim de lui.

Soudain, ses doigts arrêtèrent leur mouvement. Il les retira. J’eus brutalement froid et ressentis un vide profond. De la déception, aussi. Il se leva.

Je le regardais l » il implorant. Comme une vulgaire salope, je me touchais les tétons, effleurais ma bite qui à présent ne m’intéressait plus. J’avais envie de lui. Je voyais son zob viril et imposant, doté de tous les droits, son ventre proéminent qui me dominait, ses cuisses puissantes et velues.

Lui me regardait de toute sa hauteur. Il mit son pied sur ma bouche. Avec délectation, dans une totale soumission, je passais ma langue entre ses orteils en gémissant. Je passais lascivement mes mains entre mes cuisses relevées, et approchais mes doigts de mon trou. Je le trouvais souple, humide et brulant.

D’un petit coup, il me fit tourner la tête et abandonner ma tâche. Il se dirigea sans dire un mot vers le tas où se trouvait ma femme tout à l’heure. Il me regardait, impérial, méprisant. J’obéissais.

Arrivé à sa hauteur, tête baissée, il m’attrapa par la bouche, me cracha soudainement au visage.

– Chienne !

Puis il me projeta sur le tas de linge. Je poussais un petit cri de surprise. Sur le ventre, les bras me retenant faiblement au linge autour de moi, j’avais les fesses relevées, et le visage au niveau du sol.

Tournant légèrement la tête, je le vis se mettre à genoux, ses jambes enserrant les miennes, et son gland dépasser de ma raie. Il m’asséna une claque sonore sur la fesse.

– Écarte tes fesses, grosse pute !

Encore une fois, je m’exécutais. Je baissais les yeux, rouges de honte. Christian allait m’enfiler, comme une femelle. Et moi, je n’attendais que ça. Il avait raison. Je mouillais. J’étais une salope pour lui.

Christian rigolait. Il me faisait lécher les doigts avec lesquels il m’avait doigté et se moquait de moi :

– Alors c’est ça, ton ex-mec… et bien une vraie pute ce gars… Et tu as trouvé ma bite quand tu as baissé les yeux, hein’ tu as vu, la mienne c’est une vraie. Ah, mais en fait, c’est ça’ Tu n’es pas jaloux parce que ta femme te trompe ! Tu es jaloux parce que tu voulais la gouter toi aussi’ Ah c’est bon, la bite de Christian, hein’ tu la veux dans ton cul, hein, maintenant’ alors, c’est qui l’Homme ».

Je n’en pouvais plus. J’étais humilié comme jamais, il m’avait pris ma femme, mon honneur, et maintenant il voulait faire de moi sa femme. Mon anus s’ouvrait et se fermait tour à tour. Il était devenu vivant. Il avait faim. Son immense sexe coulissait dans ma raie humide. Sa main gauche pinçait mes fesses. Il prenait son droit.

– Alors, c’est qui l’Homme ici’ répond !

– C’est toi, oh oui, c’est toi, oui »

Ma voix mourante exprimait autant ma défaite, ma soumission que mon désir.
– Vas-y, je veux t’entendre me supplier, putain »

Je ne tenais plus. Alors que ma femme s’installait à la place que j’occupais tout à l’heure, je l’implorais, le cul ouvert,

– Oh, prends-moi, prends-moi, vas-y, j’ai envie de ta grosse bite, je veux que tu me la plantes, tu m’as fait jouir avec tes doigts, prends-moi, je ferai tout ce que tu veux, je te lècherai les pieds, je te téterai la bite, mais pitié, BAISE-MOI !

J’essayai de happer sa bite avec mon cul. Mais ce n’était apparemment pas suffisant. En face de mon corps haletant,

– Explique pourquoi c’est moi qui te baise, pourquoi c’est moi qui baise ta femme et pas l’inverse, grosse tantouze.

Je dégoulinais littéralement. Je lui aurais dit n’importe quoi.

– Parce que tu es trop fort, parce que tu as une grosse bite, parce que tu baises trop bien ! Tu es un Homme ! Un Homme ! Je ne fais pas le poids, tu es trop fort et trop viril ! Allez ! ENFONCE-MOI TA BITE ! Je t’en supplie, enfonce-moi ta bite »

Je commençais presqie à pleurer. Lui donnait le rythme de mes phrases en me claquant les fesses. Il faisait durer le plaisir, je ne pouvais rien faire qu’attendre son bon vouloir, là, concubine jetée sur un tas de linge.

– Et toi, tu es quoi’ Hein’ Allez, dis-le
!
– Je suis un pauvre type !!!

– Non, tu es une PUTE ! Tu es un sous-homme qui ne mérite pas sa femme ! Tu es un mari lopette !

Une douleur fulgurante me traversa le cerveau. J’avais les yeux écarquillés et le souffle coupé. Ma femme se pencha sur moi :

– Il en a enfoncé la moitié d’un coup. Tu dois avoir mal mon pédé. Mais ne t’inquiète pas, tu aimeras. Toutes les femmes aiment.

Il me caressait le dos, lentement, en me parlant doucement :

– Calme, calme, détends-toi, ça va aller, je vais bien m’occuper de toi, va. Tiens, mange ça !!!!

Il me présenta ses doigts à sucer. Ma femme reprit son poste d’observation.

Après quelques instants, je commençais à me détendre. Il le sentit et commença à reculer doucement sa bite, avant de me la réenfoncer avec force. Je me sentais’ envahi.

J’avais quelque chose de chaud, vibrant et puissant qui prenait possession de mon fondement. Des mains rassurantes me retenaient par les hanches. Un homme s’occupait de moi. Il prenait quelques instants pour me flatter la nuque, ou caresser mes flancs.

Mon souffle revenait. Il devenait chaud, et profond’ Je soupirais bientôt. Lorsqu’il était entré, je me sentais rempli. J’étais bien’ Lorsqu’il se retirait, je me sentais vide, et je voulais qu’il reprenne sa place. Mais c’était la lente caresse de sa virilité dans mon humidité qui me procurait le plus de plaisir.

Je commençais à sentir quelque chose au niveau des couilles. Une sorte d’électricité passagère. Soudain, dans un râle, il plongea entièrement en moi en m’attirant à lui.

– Voilà, c’est à moi.

Ses lourds testicules recouvraient les miens, plus modestes. Son bassin collé au mien témoignait de sa domination sur moi. Son ventre qui écrasait à présent mes reins, ses jambes qui contrôlaient les miennes, ses mains qui lui permettaient de m’enfiler m’assuraient de la présence d’un homme qui faisait ce que tout homme doit faire : utiliser sa supériorité.

Il ressortit la longueur de son sexe, et la replongea avec vigueur et détermination dans mon trou béant. Etait-ce lui qui m’empalait ou moi qui servais de gant à sa bite’ Je lui servais de sac dans lequel il plongeait sa virilité. Il accéléra peu à peu le mouvement, et moi je commençais à ahaner mon plaisir.

– Ah, putain, tu aimes ça hein’ Annick chérie, regarde ton mari comment il aime prendre ma queue »

Christian imprimait sa vitesse, de plus en plus grande, et c’est lui qui retenait réellement mon corps de ses mains et ses bras puissants.

– Ah la pute !

Un bruit de succion se faisait à présent entendre, entre deux percussions par ses couilles. Mes fesses aussi claquaient. Je glissais tellement que sa verge sortit plus d’une fois de son fourreau. Elle en retrouvait tout aussi naturellement le chemin.
Ses mains se dérobant également, il me prit par la tignasse. Moi, j’étais enculé en profondeur et je criais, le visage levé, les yeux fermés. Le plaisir avait fini de m’envahir ; ma femme avait raison, j’aimais ça.

J’aimais la manière dont il me chevauchait. J’aimais le sentir entrer, ressortir, prendre possession de moi. J’aimais être soumis à son sexe, plus imposant que mon petit zizi. Et j’aimais me faire prendre devant ma femme, voire ma virilité complètement anéantie devant celle à qui je faisais si souvent l’amour.

Il m’insultait en me baisant, entre deux souffles.

– Ah grosse chienne ! Tu voulais que je te nique hein ! je l’avais pressenti depuis longtemps. Qui c’est qui te nique hein, maintenant’ Grosse pute ! Tu l’aimes ma bite, hein connasse’ T’en veux hein’ T’en as plus rien à foutre de ta femme maintenant, tout ce que tu veux, c’est le foutre de Christian, hein salope ! À me lécher les pieds comme une pute, tu aimes ça hein’ Hein ! HEIN » ! »

Je sentais quelque chose monter profondément de mon ventre, toucher mon sexe avant d’atteindre à mon cerveau et d’exploser partout en même temps.

Pour la première fois de ma vie, j’avais un orgasme. Je hurlais mon bonheur, mon pénis débandé se répandait sous la loi de Christian à qui mon anus, gémissant, révélait l’étendue de son talent.

– Ah, ah, gros pédé ! Tu aimes ça, la bite de Christian dans ton cul sale garce ! Elle te fait jouir, hein !

Je vis ma femme essoufflée prendre son pied à l’écouter et à me voir soumis au pieu de son amant. Il accéléra sa cadence, affermit son emprise sur mes cheveux et, d’un coup, se bloqua dans mon cul.

– AH !!!

Son long cri de jouissance retentit dans la pièce, et je sentis ses longs jets de foutre crémeux repeindre mon cul à ses couleurs. Il s’était enfoncé avec force, mais finit par se détendre. Il laissa s’échapper cet unique mot : « chienne », avant de s’effondrer sur mon dos.

J’avais encore son sexe épais planté dans le cul, et j’étais en nage. J’attendais le bon vouloir de mon maitre. Il ne se relevait pas, il prenait un réel plaisir à laisser sa queue à l’intérieur de mon cul…

J’entendis dans mon oreille un souffle fatigué, au bout d’un petit quart d’heure.
– Salope, va.

Christian se releva en s’appuyant sur ma tête. Il garda les doigts agrippés dans mes cheveux pour me relever également.

– Maintenant, nettoie avec ta langue. Fais attention à tes dents ou je te cogne !

Tombant à genoux, je m’appliquais immédiatement à reprendre son zob en bouche, mu autant par la peur que par la gratitude. Je léchais partout, avec gout cette fois. Oui, j’aimais la bite de Christian…

Son sperme avait un gout plus fort que ce que j’avais cru. Il y avait aussi une forte odeur de cul. Je nettoyais.

– Dégage du linge, tu as le cul qui dégouline !

Il me repoussa du pied vers le parquet. En plaçant une main sous mon cul, je sentis celui-ci encore ouvert qui se vidait lentement. Je commençais à me branler avec la main qui avait recueilli le sperme.

– Suce mieux !

Aussi étonnant que cela puisse paraitre, mon Maitre reprenait encore de la vigueur. Je m’exerçais à être meilleur encore et faisais tourner ma langue autour de son gland, comme me le faisait parfois ma femme. Je le lui tétais en levant les yeux par-dessus son ventre, lui lançant un regard excité.

– Tu essaies de me provoquer, salope’ Tu la veux encore, hein’ Tu la veux dans ton gros cul tout blanc »

Il me donna des petits coups de queue quelques instants. Je poussai un petit cri, surpris et légèrement indigné.

Il bloqua alors ma tête entre ses mains et s’enfonça d’un coup dans ma gorge. Comme précédemment, je dus me tenir à ses cuisses pour ne pas tomber. De nouveau, de la bave s’échappait de ma bouche. Son sexe devait être bien propre à présent.

– Écoute petite pute, le boss c’est moi. Maintenant, ta femme Annick, tu l’oublies. Tu la touches plus, sinon je te défonce pédé. C’est moi qui la nique. C’est moi qui te nique aussi. Mais tu ne vas pas te plaindre, tu aimes ça salope

Constatant qu’il avait raison, je grognais mon accord.

– Mais faut gagner le droit de me sucer la queue, petite soumise. Alors maintenant, le weekend pendant que je baiserais ma femme, tu viens direct ici chez moi faire le ménage et tu feras aussi la lessive et le repassage et ensuite je verras si j’ai envie de te prendre aussi.

– Tu feras ce que je te dirai, quand je te le dirai ! Je te retourne, je te baise où je veux, grosse putain ! Tu t’habilleras comme je dis, fini de jouer à l’homme ! OUVRE GRAND TA GUEULE CONNASSE ! Devant moi, tu baisses les yeux pédale ! Maintenant, AVALE !

Comme pour confirmer cet accord, il se déversa à jets encore épais dans ma bouche. Obligé par sa force, convaincu par sa supériorité, j’avalais son sperme. J’étais sa femme…

Michel

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