Premier épisode | Épisode précédent
3 | Le parking | Fin
Après ces deux baises mémorables (cf histoire précédente), je me dirige vers le parking souterrain pour récupérer ma voiture. Je sens le jus des mecs me couler le long des cuisses et tâcher mon fond de pantalon. Je dois puer le foutre tellement j’en ai pris dans le cul et en bouche. Arrivé à la voiture, impossible de remettre la main sur mon ticket de parking. J’ai dû le perdre dans l’une ou l’autre baise.
Pas d’autre choix que d’aller au PC sécurité du parking pour expliquer mon problème et pouvoir sortir. J’arrive au comptoir et je vois un grand black d’au moins 2 mètres sortir d’un bureau adjacent.
« - bonjour Monsieur, que puis-je pour vous ?
- J’ai perdu mon ticket et je viens pour payer
- Ah, mais je dois vérifier à quel moment vous êtes entré avec votre voiture. Suivez-moi.
Il me précède dans le bureau d’où il arrivait : une batterie d’écran montre l’ensemble du parking et il commence à chercher dans son ordinateur en fonction de l’heure que je lui annonce. Les images commencent à défiler sur l’écran en bas en face de moi. A un moment je reconnais ma voiture et me penche en prenant appui sur la table :
« - la voilà, à 9h02 »
Pas de réponse de sa part. je me retourne et je le vois les yeux bloqués sur mon cul. Je comprends qu’il regarde la grosse auréole de foutre sur mon fonds de culotte mais c’est lorsqu’il approche sa main de mon cul et vient me doigter la chatte que je comprends qu’un de mes deux mâles précédents m’a déchiré mon pantalon à ce niveau-là et que l’on voit ma culotte de dentelle.
Je regarde le mec de la tête au pied : un black de 40 ans, genre sénégalais, tête rasée, en uniforme de la société de parking avec une bosse qui semble grossir. Je me dis qu’une queue black me permettrait de finir la journée en beauté et je lui prends le paquet à pleines mains. Il a l’air beaucoup mieux monté que les deux mecs précédents. Il se laisse faire et je m’agenouille. J’ouvre sa braguette, vais chercher sa queue et me trouve face à un anaconda black appétissant.
« - j’suis pas pédé, j’suis pas pédé, répète-t-il
- Je sais, laisse-toi faire tu vas aimer, lui dis-je en prenant son gland en bouche »
Sa queue est tellement énorme que je ne peux prendre que le gland en bouche. Jamais vu une telle queue. Je lui tête son champignon comme un chaton. Quelle queue, ma bouche ne peut pas faire plus. Je me dis que ma chatte sera plus accueillante.
Je me relève et le fais reculer et asseoir sur son fauteuil de bureau à roulettes. Il se laisse faire : je comprends le dilemme dans sa tête, il aime ce que je lui fais mais il ne peut admettre qu’il est en train d’avoir une relation avec un mec. Je pousse mon avantage en tombant mon pantalon qui révèle mon cul lisse et rasé, en tanga, porte-jarretelles et bas. Je fais glisser mon tanga et me laisse descendre sur son pieu droit comme un i. Son gland frotte ma raie.
Il gémit : « non, non, il faut pas faire ça » mais il ne bouge pas. Je prends sa queue à pleine main et dirige son gland vers ma rondelle. Son gland est bien plus large que mon trou, mais foi de salope, il va entrer !
Je pousse sur mon cul pour l’ouvrir en me laissant descendre.
Oh putain, son gland vient de passer, j’ai l’impression qu’il vient de me ravager la chatte malgré le jus des autres mecs qui fait lubrifiant … j’arrête là, le temps de reprendre ma respiration et de me prendre du poppers. Après quelques snifs, je continue à m’empaler sur la queue et sent son baobab progresser dans mon conduit anal. J’en profite pour remonter un peu avant de descendre plus bas.
Au bout que quelques va-et-vient, je sens son bassin contre mes fesses. J’ai toute sa queue d’éléphant dans le cul et je serre mes sphincters pour le faire réagir.
« - ah, rugit-il d’une voie rauque »
Je commencer à coulisser sur la queue en mode ascenseur : je prends appui sur les accoudoirs pour m’aider à monter et descendre. J’y vais doucement au début … avec un tel monstre, je fais attention.
Ma chatte est maintenant faite à son gabarit, je me soulève jusqu’à quasi sortir la queue de ma chatte et je me laisse retomber de tout mon poids pour sentir la queue me ramoner la chatte. Je me baise tout seul car le mec reste inerte comme tétanisé par l’idée de baiser un cul de mec. Je gueule comme une actrice de porno à chaque fois que mon cul touche ses couilles.
Ce mec n’est qu’un gode géant pour moi mais je prends mon pied.
Je me baise la chatte pendant vingt minutes et, alors que je commence à fatiguer, je sens une réaction derrière moi. Le black me prend par les hanches et me bloque avec sa queue au fond du cul pour me le saucer. Je sens un geyser sortir de sa poutre et finir de me remplir la chatte. Ses couilles étaient bien chargées vu le nombre de giclées que je sens dans mon cul.
Il a à peine fini de jouir qu’il me repousse et m’intime de partir :
« - dégage, tu m’as forcé »
Pas grave, moi je me suis pris ma troisième queue de la journée et je le laisse à sa conscience tout en me disant qu’il refourra du cul de blanc maintenant qu’il y a gouté.
Définitivement repu de baise, je prends ma voiture et rentre à Paris, sans payer le parking …
Femelle à baiser en lingerie
salopeabaiser@live.fr
Autres histoires de l'auteur :