Bonjour à tous,
Voici une anecdote qui m’est arrivée lorsque j’avais 18 ans, au début des années 2000.
À l’époque, je vivais avec mes parents dans une petite ville typique du nord de la France. J’étais assez renfermé sur moi-même. Ni beau ni laid, je passais le plus souvent inaperçu. J’étais un geek. Avec mes copains, nous ne parlions que de films, jeux vidéo et manga. Très peu de sexe et des filles en général.
À 16 ans, ma puberté ne s’était pas déclarée. Pas très grand et mince, je n’avais pas encore de pilosité. J’avais hérité des yeux bleus familiaux et de la blondeur de ma mère.
L’été avait commencé et mes parents ne voulaient plus me voir passer tout mon temps devant PlayStation. Mon père, qui était responsable du centre sportif de la ville, avait décidé que j’irais passer au moins 1 h de sport tous les mercredis. J’avais pu choisir le sport que j’allais pratiquer et l’horaire. J’avais choisi la natation de 17 h à 18 h, car c’était la seule activité qui ne se pratiquait pas en club. Je voulais être seul dans mon coin.
Le 1er mercredi donc, j’arrive en bus à la piscine. Un vieux bâtiment des années 70’ en béton au look soviétique. J’avais déjà envie de partir. Mon père m’avait averti qu’il serait en réunion jusque 18 h. Je pouvais directement aller me changer au vestiaire, la caissière était prévenue de mon arrivée. J’entre dans le couloir des vestiaires, à gauche des vestiaires collectifs à droite des cabines individuelles. J’entre dans une cabine et me déshabille. J’enfile mon maillot de type « speedo » (merci maman…). Dans le couloir, je sens le speedo me serrer un peu les fesses. Aurais-je enfin un peu grandi ? Je me dirige vers le comptoir où l’on peut y déposer, en toute sécurité, son sac de sport. À ce comptoir, un noir est en train d’écouter de la musique avec un Discman. Assis à une table, il ne pas entendu arriver.
– Excusez-moi ? Je peux vous donner mon sac de sport ?
Surpris, le noir sursaute et me fait un grand sourire. Il se lève et se dirige vers moi. Il est gigantesque ! Au moins 1m90 ! Il porte un short de surf jusqu’aux genoux et un débardeur. Aux pieds il porte des tongs.
– Oui bien sûr, je ne t’avais pas entendu arriver. Tu peux me donne ça, dit-il toujours avec un large sourire.
Il prend mon sac et l’accroche à côté de la table où il était installé.
– Vous ne me donnez pas un bracelet avec le numéro de mon sac ?
– Non, pas besoin. Il n’y a personne d’autre dans l’eau et nous allons fermer dans 3/4 h.
– OK merci !
Je me dirige vers le bassin, me douche rapidement dans la salle de douche collective et saute dans l’eau. Effectivement, il n’y a que moi dans l’eau. Le noir est dans son local d’où il peut surveiller le bassin à travers une grande baie vitrée.
Durant 1/2 h je fais quelques longueurs et plongeons. J’avoue que ça me fait du bien. Vers 17 h 45, j’entends mon père m’appeler depuis les gradins. Je sors la tête de l’eau et l’écoute.
– Benoit, ma réunion va durer plus longtemps que prévu. Quand tu as fini de nager, c’est Armand qui te reconduira à la maison.
Mon père pointe du doigt le noir dans son local. Armand me regarde à travers la vitre et me fait un grand signe de la main. Je lui réponds en faisant de même. Je connais donc maintenant son prénom : Armand.
Mon père retourne à sa réunion. Je continue mes longueurs.
À 17 h 50, je vois Armand commencer à fermer certaines portes à clé. Il enroule les lignes d’eau et range les planches. Je termine mes 2 dernières longueurs quand j’entends un grand « plouf ! » à côté de moi. C’est Armand qui est entré dans l’eau et fait une longueur en crawl à grande vitesse. Il va tellement vite que je ne peux que remarquer qu’il a retiré son short de surf et qu’il nage en caleçon ! Ça lui fait comme un parachute aux fesses. Je rigole en moi-même et le vois s’éloigne de l’autre côté du bassin. Je me dis qu’il est plus que temps de sortir de l’eau et me dirige vers les douches.
Sous la douche, l’eau est vraiment bonne. Chaude comme il faut. Je ferme un instant les yeux, face au mur.
Soudain, j’entends une deuxième douche s’allumer. J’ouvre les yeux et me retourne. C’est Armand !
Il est juste à côté de moi. Lui aussi face au mur, le visage dans ses mains pour retirer le chlore. Maintenant je peux précisément détailler son corps. Les goutes roulent sur son corps. Armand me parait encore plus grand de près, Je dirais qu’il est proche des 2 mètres. Il est bien dessiné, les épaules et le torse larges, ses abdos sont visibles sans sauter aux yeux. Quelques poils parcourent ton torse et ses larges tétons. Au niveau du nombril et de son bas ventre, sa pilosité se densifie pour plonger dans son caleçon. Son caleçon d’ailleurs, lui colle aux fesses. On peut facilement les voir, car il est de couleurs blancs avec de fines lignes bleus. Ses cuisses sont très musclées, dignes d’un footballeur. Ses pieds, eux, sont grands, il doit faire du 46.
Armand sort de ta torpeur et tourne sa tête vers moi.
– Alors c’est toi le fils du patron ? lâche-t-il avec un grand sourire
– Oui… je m’appelle Benoit.
– Super, mec !
Armand me tend la main. Je lui sers.
Son ton franc et amical me met à l’aise.
Armand se retourne pour se mettre cette fois dos au mur. Machinalement je fais de même. Là, je vois quelque chose que je n’avais pas pensé voir : son caleçon mouillé lui moule le sexe ! Un sexe énorme qui pend vers le bas entre ses cuisses. Son pénis doit déjà faire 15 cm au repos. Son caleçon lui colle tellement le corps que ses couilles y sont comme « emballées ». Je détourne le regard, un peu gêné.
Armand étire ses bras au-dessus de ta tête. Deux épaisses touffes de poils gardiennassent ses aisselles.
– Putain que ça fait du bien 2-3 petites longueurs
– C’est la 1ère fois que je viens, moi…
– Tu devrais venir plus souvent ! C’est une chance d’avoir accès à une piscine gratos. Si tu veux, je peux te donner quelques conseils.
– Je veux bien oui, la prochaine fois
Armand me fait un chaleureux clin d’œil. Il se frotte le torse, descend sur son ventre puis se frictionne les cuisses. Je suis hypnotisé par son corps.
– Putain, ça ne sert à rien de garder ça ! En plus, il n’y a plus personne !
Dans un mouvement sec, Armand laisse fait tomber son caleçon à terre. D’un coup de pied sec, il l’envoie de l’autre coté des douches. Armand est maintenant nu devant moi ! Sans aucune gêne, il est là en tenue d’Adam. Il ferme les yeux et apprécie l’eau chaud. J’ai tout le loisir de regarder son sexe. Ses 15 cm pendouillent entre ses cuisses, sur ses deux grosses boules. Son gland, énorme, est à découvert, car Armand est circoncis. Ses poils pubiens sont fournis et s’étalent même sur l’intérieur de ses cuisses. Ses fesses, elles, sont légèrement velues. Sa raie et le bas de son dos sont plus denses.
Armand ouvre les yeux, je ne m’en pas compte. J’ai toujours le regard sur son intimité.
– C’est la 1ère fois que tu vois un circoncis ? me dit Armand avec un sourire.
Embarrassé, je détourne le regard.
– Oui, je n’avais jamais vu en vrai… et une bite de noir aussi. Désolé.
Je regarde mes pieds en rougissant.
– T’inquiète pas mec, « faut pas être gêné. Tu peux regarder comme tu veux.
Machinalement, je lui obéis et je recommence à regarder ses parties. Pour détendre l’atmosphère, Armand prend sa bite en main et fait semblant de jouer avec.
– Regarder ma trompe ! Il s’esclaffe de rire.
Armand soulève “sa trompe”, la met contre son bas ventre. J’ai une vue imprenable sur ses deux grosses couilles.
– Et ça ses mes noix de coco ! Armand fait danser ses couilles en remuant des hanches.
Sur ce coup-là, je ne peux que rire avec lui.
– Allez ! À toi maintenant !
– Quoi moi ?
J’avais oublié que, moi, j’étais en speedo.
– Ben fous-toi à poil mec ! T’as vu la mienne, montre-moi la tienne ! Il n’y a plus que nous deux ici, on est entre couilles ! dit Armand en sous-pesant ses couilles à lui.
– C’est que… je ne suis pas fait comme toi… ma bite est pas très grande…
Je suis pétrifié, mais Armand soutient mon regard. Je passe alors mes doigts sous l’élastique de mon speedo, le descends sur mes fesses. Armand me regarde, il me met au défi, je le vois bien. Je me retourne et me mets dos lui. Mon speedo tombe sur mes genoux puis mes chevilles. Je mets mes mains sur mon sexe tout recroquevillé. Du pied, je place mon speedo à côté de moi, pas loin.
– Jolies fesses toutes blanches mec ! me lance Armand.
Je me retourne, toujours en cachant ma bite. Armand shote dans mon speedo et l’envoie au même endroit que son caleçon à lui.
– Allez, fait voir beau gosse.
Je retire mes mains. Je suis maintenant nu face à ce colosse. Tout nous différencie physiquement.
– Tu vois, je te l’avais dit…
– Mais ne t’inquiète pas mec, elle va encore grandir. Tu en auras une grosse comme la mienne dans quelques années tu verras.
– Même mes poils, j’en n’ai pas beaucoup…
Armand éclate de rire. Je me force de rire avec lui. Soudain, Armand m’attrape la nuque, me bloque sous son bras robuste. J’ai mon visage sous son aisselle et là il me frotte le crâne comme pour me faire un “shampuinage”. Je hurle et rigole en même temps. Je me débats. Quelle sensation étrange de sentir sa peau contre la mienne alors que nous sommes nus tous les deux.
Au bout d’une dizaine de secondes, Armand me délivre. Une franche camaraderie s’est installée entre nous. Nous reprenons notre souffle en silence. L’eau des douches coule sur nos corps nus. J’en oublie que nous sommes à poil.
– Je vais chercher du gel douche dit Armand
– OK
– Je prends ton maillot, je vais le mettre à sécher dans mon local
– Pas de problème
Armand sort des douches, mon speedo et son caleçon sur l’épaule. Je l’imagine se balader dans les couloirs des vestiaires, nu comme un ver, les fesses rebondissantes sous ses pas, son dos magnifiquement musclé. Au loin, je l’entends siffler.
Je reste quelques minutes seul. Armand réapparait. Il me donne du savon. Nous nous lavons sans parler. Je regarde une nouvelle fois son sexe. Là, sous l’effet de ses propres caresses, je remarque que sa bite s’est allongée vers le bas et que semble plus rigide.
– T’inquiète pas cul blanc, c’est l’eau chaude qui me fait cet effet-là, pas tes belles fesses.
Je rigole avec lui quand soudain, je ne sais pas ce qui me passe par la tête, je lui dis :
– Je peux la toucher ?
Je m’attendais à un refus catégorique, mais Armand ne s’en offusque pas.
– Si tu veux mec ! Si tu n’as pas peur qu’elle te mange !
Je m’approche de lui, tends la main et lui saisis le pénis. Quelle différence de texture comparée à la mienne ! J’ai dans les mains un gros sexe de noir presque totalement rigide. Je tâte le haut de sa “trompe”, redescends vers son gland et mets un doigt sur son urètre.
– Arrête ! Arrête ! Tu me chatouilles !
Armand s’éloigne de moi, ne parvenant pas à se contrôler et à résister aux chatouilles.
– Allez c’est fini beau gosse, on doit quitter le bâtiment, il est tard.
Nous sortons des douches, nus, dans le couloir des vestiaires, nous nous habillons dans un vestiaire collectif. Armand commence par enfiler un débardeur blanc très mince, je peux voir sa peau à travers. Il reste comme cela, uniquement avec son haut et la bite à l’air pour me parler. Je suis en train de mettre mon slip.
– Si tu veux avoir une grosse bite, commence par mettre des sous-vêtements plus larges. Il faut qu’elle s’épanouisse ! Armand pointe ma bite dans mon slip.
– OK, merci du conseil.
Armand, lui, ne remet qu’un vieux jogging bleu foncé, sans remettre de caleçon. Sa queue est largement visible à travers.
Nous quittons le bâtiment. Armand ferme à clé quelques portes et me reconduit chez moi dans sa vieille Polo.
Il se gare devant ma maison et me dit :
– Monsieur est arrivé à destination ! À la semaine prochaine même heure ?
– À la semaine prochaine Armand !
Nous nous faisons la bise et je sors de la voiture. Armand klaxonne. Je lui fais un signe de main.
C’est comme ça que j’ai connu Armand.
Brun8
bruno.vdb8@hotmail.com
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