J’avais rencontré Ethan sur une app, classique. Il m’avait très vite plu. Il avait cette belle façon de dominer, ne laissant jamais trop le choix, mais toujours à l’écoute des limites qu’il devait tenir. Maigre comme moi, il me dépassait par la taille et par la longueur du sexe comme je le noterais plus tard. Le lieu était toujours un dilemme, j’avais donc pris un hôtel pour simplifier et il m’y avait rejoint.
Une fois la porte de la chambre passée, il ne me laissa plus aucun doute sur son côté dominateur. Il me força au sol, me mit une de ses chaussettes blanches dans la bouche avant de me gifler. Tout se passait comme il me l’avait promis.
« Je suis direct et j’aime rentrer dans la domination très vite »
Comme réponse je lui avais envoyé une photo de mon cul ce qui l’avait convaincu d’avoir un bon candidat.
« Je veux progresser dans la soumission, je lui avais écrit. »
Pas de doute, j’allais progresser. Il m’ordonna de me mettre à poil pendant que lui se contenta de plonger sa main dans son boxer pour caresser gentiment. Naturellement j’étais à genoux, cela m’offrait un beau point de vue sur sa queue qu’il venait de dévoiler. Un beau 19 cm qu’il me claqua au visage. Il libéra ma bouche de la chaussette pour y installer son gland que je me mis frénétiquement à téter. Il laissa alors glisser sa verge sur mon palais pour tester ma première limite. J’en étais surpris et je sortis sa queue. Il en profita pour me gifler.
« Il y a du travail. Ouvre la gueule petite pute. »
Il me crachat dessus, sans viser ma bouche, me gifla à nouveau avant de prendre en main ma tête et de forcer les va-et-vient. Les coups à la gorge sont difficiles à prendre et il voit bien que j’en bave. Il garde cette tension pendant une poignée de minutes sadiques avant de le relâcher.
« C’est mieux, on voit que tu en veux !
– Merci.
– Tu vas me montrer comment tu suces maintenant. »
Il retire pantalon et son pull, s’installe sur le lit et me fait signe de m’avancer. Je décide de commencer par ses couilles et il semble apprécier l’initiative. Puis j’obéis et me mets à téter. Il apprécie et me laisse saliver sur sa tige. Il en profite pour prendre son portable et pianote. Il me regarde de temps en temps. J’adore le voir discuter avec ses potes et j’espère secrètement qu’il leur raconte le traitement de sa queue.
Il décide de reprendre les choses en main. Il accélère et je remarque un beau sourire sadique lorsqu’il me pilonne. Je commence à fatiguer, il me laisse respirer tout en me couvrant peu à peu de crachats. Sa main glisse vers mon trou rasé, il tâte le terrain et me fait comprendre qu’on allait changer d’activité. Il porte ses doigts à ma bouche, les imprègne de ma salive avant de revenir à mon cul qu’il pénètre délicatement.
« Un bon trou de pute ! »
Je n’ai pas le temps d’acquiescer qu’il me plaque sur le ventre et me claque le cul. Il recommence et continue.
« Tu rougis bien, j’aime beaucoup »
En effet je sens mon cul chauffer et chaque passage de main devient brûlant. Au moment où je m’y attends le moins, il me lèche la peau, me donnant une sensation que je n’avais ressentie avant. Il garde sa langue et la dirige vers mon trou. Jamais je n’aurais pensé que quelqu’un d’aussi brutal pouvait être si doué pour lécher un cul. Au moment où je me sentais m’abandonner à lui, il se saisit d’une capote et l’enfile. Je devine tout ça, car je suis encore allongé sans pouvoir l’admirer.
Je sens son gland s’appuyer sur mon cul. Attendant la douleur, je comprends après un va-et-vient qu’il était déjà dedans. Il m’avait si bien ouvert que je n’avais rien senti. Les coups de queue sont délicieux et il me tient ainsi pendant plusieurs minutes avant de me retourner. Gifles, crachats et coups de queue s’enchaînent à bon rythme.
« Tu voulais une faciale c’est bien ça ? »
C’est vrai que je l’avais chauffé par message en lui disant que j’adore qu’on me jute au visage. Je fais oui de la tête. Il se dégage, me sort du lit et me force à terre allongé. Il se met sur moi et me tient la tête pendant qu’il se branle. Il est beau. Très vite les jets s’écrasent sur ma peau. Nous restons ainsi quelques instants. Je suis encore excité, lorsqu’il se lève pour aller aux toilettes, je reste allongé au sol, à me caresser. Je l’entends et l’imaginer pisser dans l’autre pièce m’excite encore plus. Je jouis en m’imaginant le rejoindre.
Il revient, on discute un peu, suffisamment pour qu’on sache tous les deux que ça ne serait pas la dernière fois qu’on se voyait.
LuK
prostlucas@yahoo.com