La première chose dont je me souvienne, c'est la grosse porte pressurisée qui s'ouvre, laissant sortir la vapeur froide dans laquelle je repose depuis toujours. Je descends quelques marches, un peu interloqué. Mes circuits se mettent en marche. Devant moi, mes créateurs, Yvon et Jack Hulley, les deux génies jumeaux. Non contents d'être des cerveaux suprêmes, ils sont extrêmement bien bâtis, entretiennent une musculature impressionnante, et ont été bien pourvu par mère Nature.
Ca je le sais, car dès l'instant où je sors, le jumeau à ma gauche a annoncé "Protocle RSJ", et immédiatement je sus qui ils étaient, et qui j'étais. Je suis un robot super intelligent, bâti avec une carcasse de membrane-carbone à tromper l'oeil et la main humaine, un cerveau quantique d'une technologie du futur. L'intérieur de mon corps est creux, mais la surface laisse croire que je suis un humain parfait ; parfait car à l'image de mes créateurs.
Je dispose en outre d'une énorme capacité sexuelle, comme par exemple une réserve de sperme de synthèse directement dans mes entrailles, et non dans mes testicules ; mon sexe peut bander en quelques secondes et rester actif ad vitam aeternam, et bien sûr je ne parle pas des coups de reins que je peux donner jusqu'à extinction de mes batteries. Dès les trois lettres annoncés, mon programme se lance en quelques secondes à peine, et je m'approche de mon créateur Yvon, tend la main sur sa blouse et lui retire. En-dessus, il est complètement nu, et sa partie organique déjà opérationnelle.
Car j'ai été créé pour un seul but : réaliser un fantasme non assouvi, une pratique contre nature qu'ils n'ont pas l'éthique de faire. En tant que troisième jumeau, je suis surtout un être à part, je ne suis pas humain, je ne suis pas leur frère, je ne suis pas eux. Yvon et Jacques sont chacun mariés, ils aiment leur femme et leurs enfants, mais surtout, ils rêvent depuis qu'ils ont les hormones en ébullition de leur adolescence, de se découvrir mutuellement... C'est un peu comme faire l'amour avec soi-même.
Je les comprends plus que tout, puisque j'ai été programmé avec cette envie, moins évidemment cette appréhension puisque je suis en partie que lignes de commande. Je m'approche donc de Yvon, lui ôte violemment la blouse et regarde sa bite en érection. Vingt-deux centimètres de pur plaisir, à deux pas de mes vingt-deux centimètres identiques. Des bites jumelles, des bites triplées, même !
- Suce-moi, Hank, dis Yvon en tremblotant.
Quelle blague ! Non seulement la plaisanterie "Yvon et Jack Hulley" les font marrer comme des gosses à l'oral, mais moi je suis un "Hank Hulley" !
Je m'agenouille et prends la bite de Yvon en pleine poire. Mes glandes salivaires se mettent à produire abondemment, pour mieux ruisseler et faire plaisir à mon créateur. Ma bite coulisse, mon cerveau fait l'assimilation entre les mouvements que je produis, la sensation que j'ai en bouche, et les confronte aux cent vidéos de "meilleures fellations" qu'ils m'ont rentré. Je produis donc, en quelques secondes, la fellation parfaite, celle idéale selon la taille de ma bouche, ma quantité de salive, et évidemment les terminaisons nerveuses de la grosse queue qui n'a cesse de grossir.
Yvon grogne, non que dis-je, il hurle de plaisir.
- Haaaaa, c'est trop bon ! Jack ! Si tu savais comment il suce bien !
- Hank suce bien ? ou alors c'est moi ? ou c'est toi qui t'auto-suce toi-même !
- Haaaaa, je sais pas, Jack. Je peux plus penser, c'est tellement bon ! Il, tu, je me pompe la bite comme on m'a jamais pompé ! Ma femme ne m'a jamais fait une pipe aussi bonne ! Holala, ça coulisse tellement bien, sa, heu, ma bouche épouse parfaitement ma verge. Que c'est bon, si seulement tu peux goûter ça, mon frère !
- Et comment je veux !
Jack se positionne près de notre duo et ôte à son tour sa blouse, sous laquelle évidemment, il est tout nu. Sa bite ne fait qu'un bond et vient me frapper à la joue. Nous rîmes tous les trois de bon coeur, avant que le rire de Jack ne se transforme à son tour en râle de plaisir et d'agonie, lorsque je lâche de la bouche la queue de son frère pour fourrer la sienne dans ma bouche.
- Hooooooo, Yvon tu as tellement raison... c'est parfait, il aspire comme il faut... Holala, il ne doit pas continuer, sinon je vais juter dans quelques secondes !
Mon programme déclenche le mode "ralentissement", et je produis l'effet inverse si bien que sa queue se calme. L'éjaculation imminente est remplacée simplement par une simple tension maximale de sa bite en rut.
- Hoooooo, merci Hank ! Tu es suceur merveilleux. Tu viendras me sucer quand tu veux hein ? Tu es notre robot esclave, il suffira juste d'un mot et tu seras là pour me faire une petite gâterie quand j'aurai passé une mauvaise journée.
- Slrrrrrp Moui, répondis-je difficilement, la bite de mon autre créateur quasiment jusqu'au fond de la gorge. Je slrrrrpr vous obéirai ummlllpppp
- Et moi alors, s'indigne Yvon, tu m'as sucé quelques secondes, ne m'oublie pas !
J'empoigne alors les deux hampes fermement, une dans chaque main, puis j'adonne une gâterie à l'un puis à l'autre, une léchouille par-ci, un baiser par-là, une aspiration par-ci, un bon pompage bien baveux par-là... évidemment, eux sont trop égoïstes pour s'occuper de ma bite, qui reliée à mon cerveau, me fait très mal et aimerait bien qu'on s'occupe d'elle ! Mais je ne peux rien dire, d'abord parce que je ne suis pas programmé pour mon plaisir mais le leur, et surtout que désormais, j'ai deux bites dans la bouche ! La commissure de mes lèvres étant extrêmement élastique - ils y avaient pensé, les bougres - je peux accueillir désormais les deux biroutes en plein travaux, qui vont et viennent dans ma petite bouche de robot-salope !
Mon programme m'aidant à prendre des initiatives, maintenant que je n'ai plus besoin de mes mains, celles-ci glissent furtivement le long de leur jambe depuis l'arrière de leurs genoux jusqu'à leurs fesses... Hourra ! Ils écartent les cuisses, laissent mes index explorer l'orée de leur trou du cul, d'abord caressant la fleur d'anus de mes doigts pulpeux (et légèrement artificiellement électrisé) avant de plonger quelques centimètres ! Hooo, moi qui croyais que leur bite ne pouvait grandir encore, les voici qui prennent encore plus de rigueur ! Nous aimons cela tous les trois !
- Ho oui, titille-moi, fourre-toi donc ton doigt dans nos petits trous du cul ! branle-nous l'anus !
- UMMMMMLLLLLLPP ne puis-je que protester, la bouche pleine de deux bites gorgées de sang.
Mes deux créateurs sont des scientifiques : il faut qu'ils découvrent tout type de plaisir. Ils ne sont donc pas du tout fermés à l'idée de goûter leur propre bite. Ils avaient d'ailleurs essayé, quand ils étaient jeunes à s'adonner à l’auto-fellation, Sur le dos recroquevillé, ils ont levé les jambes et malgré le fait qu'ils avaient, ados, déjà d'énormes biroutes, ils n'avaient pas la souplesse pour se la gober personnellement, et bien sûr s'interdisaient de se le faire mutuellement.
Alors évidemment, un nouveau fantasme s'envole quand je leur présente fièrement mon braquemart fièrement tendu, à l'image de la leur ! Yvon, toujours l'esprit empreint d'initiative, n'hésite pas longuement avant de la gober. Ses yeux s'écarquillent et des étoiles apparaissent sur ses larmes de joie, quand enfin il prend plaisir à bouffer sa première bite. Il s'y adonne à cœur joie, comme si c'était la dernière fois, savourant l'énorme mandrin chaud, dur et charnu. Il découvre chaque centimètre carré de peau, gobe le gland, le titille du bout de la langue qui virevolte autour. Cette joie ne fait qu'accélérer mon érection, si bien qu'il reste une petite surface encore sèche, heureusement vite traitée par la petite langue de salope de Jack qui vient porter secours à son frère quant à la lubrification de mon chibre. Après avoir savouré à tour de rôle le pompage de mon sexe pendant bien cinq minutes, les voici enclins à une nouvelle expérience.
- Passons à autre chose, dis Yvon. Et pas des moindres : l'étape ultime ! Qui commence ?
- A quoi, demandions-nous en chœur Jack et moi !
- Pour la triple sodomie ! Allez j'y vais : Jack, j'ai toujours rêvé que tu m'encules, car je t'aime mon frère comme j'aime ma bite, mais nos liens familiaux nous l'interdisent. Nous le ferions donc par l'intermédiaire de notre automate.
Yvon s'appuie sur une rambarde, cul ouvert. Le programme "enculage bien profond" s'active immédiatement en moi. Je m'approche de son trou du cul, la bite bien en érection, et d'un coup sec et bien placé, je pénètre dix des vingt centimètres. Yvon hurle de jouissance.
- Vas-y, encore, salaud, salope ! Encule-moi bien profond, j'aime ça ! Ca sera mon tour après ! Mais en attendant, baise-moi en rythme comme une machine. En mode marteau-pilon, pilonne-moi sans cesse et en grande amplitude !
Je m'exécute, attrape les hanches de mon créateur, et me mets à bourriner son arrière-train comme un taureau au galop. Mes allers-retours ont une vitesse extrême, et une endurance déployée ! Je pourrai l'enculer des heures, mais je crois que son cul finirait par faire une overdose. Pendant ce temps, Jack lorgne sur mon cul (à l'image de celui de son frère et même du sien), et me passe également par derrière. Les tissus et les liaisons électriques de mon anus prennent ça pour du plaisir. Nous poussons tous les trois des râles de plaisir, moi encore plus car je prends comme je donne.
Je tends la main et empoigne de nouveau la bite d'Yvon, toujours en pleine érection, et tant que la cadence infernale de mes coups de reins continuent à lui martyriser l'anus, je le branle fermement de mes deux mains de libre.
- Haaaaa, c'est trop bon, Hank! Tu es un enculeur aussi vivace que tu un doux suceur ! J'aime ce que tu me fais, c'est tellement bon ! Comment j'ai pu attendre aussi longtemps avant d'avoir une si grosse bite au fond du fion ? Continue à me pilonner, j'aime ça ! J'en peux plus tellement c'est tellement bon de se faire ramoner l'arrière-train ! Ramone-moi, pilonne-moi, encule-toi, plus vite, plus fort !
Nous sommes une drôle de créatures, triples, identiques, en train de nous donner du plaisir. Quel mal y a-t-il à cela ? A la demande de Jack, nous inversons les rôles : il devient l'enculé, Yvon l'enculeur, et moi toujours la part du roi, avec une bite et un trou à ma disposition pour mon trou et ma bite !
De toute évidence, Jack bénéficie également de mon ardeur, si bien que son petit cul bien modelé est à son tour martyrisé par la taille de ma bite énorme, rythmé par la cadence infernale de mes coups de rein qui viennent claquer sur ses fesses. Il gémit à son tour du plaisir d'être enfin enculé ; pour ma part, je savoure les coups de butoir dont Yvon se donne à coeur joie, découvrant le plaisir à son tour de sodomiser !
Je suis programmé pour baiser des heures, mais sous le coup des émotions, mes créateurs faiblissent. Vient alors le bouquet final ! Je m'agenouille en m'extrayant, et les voilà à se branler au-dessus de ma bouche. Ils jouissent en quantité astronomique de sperme ! Leur substance organique coule alors dans ma bouche, en coule, et je m'en retrouve également sur le nez, les paupières, les sourcils et les cheveux. C'est doux, c'est gluant, ça colle, ça sent plutôt agréablement.
A mon tour, je me mets debout, le faciès toujours peinturluré de leur semence, et ils sont cette fois-ci esclaves pendant que je débouche le champagne. Les vannes actives alors l'astronomique réserve cachée de foutre, le tout propulsé par une pompe extrêmement violente ! Le sperme jaillit en abondance, telle une fontaine intarissable, et là où un humain a six ou sept projections, je peux en lancer une bonne cinquantaine si ce n'est plus ! Mes deux créateurs sont aux anges, ragaillardis. Agenouillés, ils rient et explosent de joie comme moi j'explose de plaisir. Ils peuvent profiter d'un sperme sans MST, hypoallergénique, en plein directement leur bouche, leur gosier, le visage ! Ils en prennent quantité dans un bescher qu'ils boivent en riant de plaisir et de bonheur. Ils avalent le foutre, s'en frotte le visage, le déguste, le recrache.
C'est ainsi que commence le jour 0 de ma nouvelle vie, dédiée au bonheur et au plaisir sexuel des mes créateurs, qui ont toujours voulu baiser leur propre image.
Fellateur Fellatore