Je suis en train de faire mes courses quand soudain, je reçois un message de Brahim : « Salut. Envie de me vider. 16H chez moi. »
Il est 15h47. Pas le temps de rentrer. Je file directement chez Brahim.
Brahim est un beau mec musclé mais pas trop. Il est Marocain et bien membré. Il peut-être doux et en un quart de seconde devenir agressif.
« Salut. Entre. »
J'entre dans la maison. Il ferme la porte derrière moi, me prend par le bras pour me stopper.
« Attends, reste là, sur le paillasson. »
Je ne sais pas ce qui va m'arriver,... Je suis inquiet et en même temps très excité.
Il porte un bermuda blanc à la base qui est maintenant jaune et un jogging.
« Fou toi à poil ! Dépêche-toi ! »
Je m'exécute, il a un ton très autoritaire.
Une fois tous mes vêtements retirés, il s'approche sans un mot, un souffle court et m'inspecte de haut en bas.
« Mets toi à quatre pattes ! Tu es ma chose, mon clebs et je veux que tu te comportes comme un bon Toutou. Tu parles quand je t'y autorise ! »
« Oui maître ».
« Qu'est-ce que tu as dit ?! »
Là, il me prend par les couilles et me les serres tellement qu'il me fait mal... Il me les tire vers le bas. Je suis obligé à m'agenouiller et de me mettre à quatre pattes.
« Tu parles encore une fois et la punition sera plus importante ! TU LA FERME !!! »
Il va dans la pièce d'à côté. Je n'ose pas bouger, je ne sais pas quoi faire. Je bande toujours de plus en plus fort.
« Avec ça, tu comprendras que tu es vraiment un clebs.
Tu ne te lèves JAMAIS sauf si je t'y autorise. Un bon clebs marche à quatre pattes. »
Tout d'un coup, je sens quelque chose forcer le passage et s'introduire en moi. C'est sec, je pousse un cri.
Heureusement il ne me punit pas. Je me retrouve maintenant avec une queue de chien dans le cul. Bon bâtard que je suis.
Il retourne dans l'autre pièce.
J'entends un sifflement.
« Sale clebs, ammènes-toi ! »
Je m'exécute et m'approche de lui.
« Lèche moi les ieps. Tu vas adorer. Ca fait une semaine que je ne me suis pas lavé. »
Ses pieds sentent fort. Je lui lèche doucement le pied droit du talon en remontant vers les orteils que je nettoie bien entre chacun et les suces un à uns. Ces ongles sont noirs. Après avoir fini le pied droit, je passe au pied gauche.
Pendant ce temps, il fume tranquille sa clope en matant un bon film de boules.
« Viens, ouvre la bouche, je n'ai pas mon cendrier. »
Il m'écrase alors la cigarette sur la langue.
C'est très chaud. Je sens des boutons se former sur ma langue.
« Maintenant que tu t'es bien occupé de mes ieps, tu vas t'occuper de mes aisselles. »
Elles sont bien fournies en poils et surtout daubante à souhait. Je trique de plus en plus. Il tape sur ma queue pour la faire redescendre. L'effet est tout inverse et me fait bander plus fort encore.
« STOP ! STOP ! STOP ! Tu n'es pas là pour prendre du plaisir ! » C'est alors qu'il se lève brusquement, me fout une tarte et me met au sol. Il enfile une sket bien crade, pleine de boue et m'écrase les burnes et la bite avec. J'en ai les larmes aux yeux.
« Pour ta peine, tu ma nettoyer mes skets. Avec la langue ! Y'a INTERÊT qu'elles soit CLINES ! »
Il me faut du temps. Sous les semelles il y a de la boue, des cailloux et des choses, des odeurs dont je n'ose même pas imaginer.
« Tu as du mal. Tiens, pour te nettoyer la langue. »
Il dépose une gamelle vide à côté de moi. Je me dis qu'il va prendre la bouteille d'eau qui est à côté de lui. Non, il sort sa queue de son jogging et commence à pisser dans la gamelle.
« Une fois que tu auras fini, il ne faudra pas en laisser une goûte. »
Les skets propres après une bonne demi-heure, je bois entièrement sa pisse. Elle est forte en goût et très jaune.
« Ok. Ok. On va passer aux choses sérieuses, mais avant, encore un peu de nettoyage. »
Il enlève son jogging.
« Couche toi sur le dos ! »
Il me présente alors son cul. L'odeur est forte et insoutenable. Non lavé depuis de nombreux jours. Plein de papier et de je ne sais quoi dans les poils... Je manque de vomir... Il me met une claque, puis une deuxième.
« Grouille ! Je veux un cul propre ! Fait ton job chien ! »
Je commence par les extrémités de son anus. C'est épais avec tous ses poils. Je tousse. Je me rapproche de plus en plus du centre et là, il commence à pousser.
« Enfonce bien ta langue pour nettoyer l'intérieur aussi. Je sais que tu kiffes çà Salope ! »
Ma langue s'enfonce de plus en plus profondément dans son anus. C'est horrible. J'étouffe.
« Bien. Bien. Bien. Je vais me chercher une bière. »
Je profite de ce moment pour reprendre mon souffle.
Le voilà qui revient.
Il s'allume à nouveau une clope. Le quantième ? Difficile de dire.
Il s'assied dans son fauteuil complètement nu.
« Vas-y maintenant. Tu attends ce moment depuis des heures. Suce ma bite ! »
Je m'exécute. Je sais qu'il aime ça, je commence par lui lécher les couilles tout suaves. Je m'appllique bien. Il gémit de plus en plus fort.
« Oui, ho ouiiiiiii sale chienne, lèche bien mes couilles. Je veux qu'elles brillent. »
« Mmmmmmmmm ».
Je monte petit à petit vers sa queue. Elle est bien droite et bien dure avec le travail des couilles.
Je le suce en alternant le rythme, doucement puis en accélérant et vice versa.
A chaque fois qu'il finit une clope, il l'écrase sur mon cul.
Dans l'action tout d'un coup, je me ramasse une gifle énorme.
« PAS LES DENTS ! »
Une deuxième gifle s'abat sur moi et j'en ai la tête qui tourne.
« Encore UNE FOIS ! Et tu ne te relèves PAS ! »
Je reprends la fellation en faisant bien attention de m'appliquer.
« Relève toi ! Contre le mur ! »
Il me colle face au mur. Je sens son souffle sur mon cou. Sa queue est dure... 22 cm sur 5 de large. Je bande aussi fortement et ma bite me fait mal écrasée contre le mur.
« Tu vas avoir ce que tu mérites maintenant après ton bon boulot. Ne bouge pas et tout se passera bien. »
Il me retire la queue de chien du cul. Il met une capote et un peu de gel entre mes fesses.
Il se plaque contre moi et fait des va-et-vient sur mon dos avec sa queue. Ce moment de tendresse est agréable. Je ferme les yeux et je commence à rêver.
D'un coup, sans prévenir, il enfonce sa queue directement jusqu'au plus profond de mon cul.
J'ai mal, ça brûle. J'en perds l'équilibre. Il me retient en m'écrasant contre le mur. Il me fourre son vieux slip crado de pisse et de sperme dans la bouche pour que l'on n'entende pas mes cris.
Il reste un moment sans bouger.
« Ferme ta gueule, Tu sens bien ma bite dans ton cul.'
Il se met alors à faire des va-et-vient doucement...
Je m'habitue à sa queue et sa grosseur. J'en prends presque du plaisir.
Il accélère la cadence...
Il sort et entre dans mon cul plusieurs fois.
Le bourrage dure un long moment.
Quand soudain, il s'arrête bien enfoncé en moi, sa queue grossit encore.
« Haaaaaaaaaaa. »
Je sens un liquide chaud envahir mon cul. Il jouit en moi.
Lors d'une sortie de sa queue de mon cul, il en a profité pour retirer la capote.
« Te voilà maintenant bien fécondée chienne. J'ai mis tout mon jus en toi. Tu es mon jouet maintenant. Tu es ma pute. »
Il se retire et je sens son sperme couler sur mes cuisses.
Je m'écroule au sol. Je n'en peux plus. J'ai le cul ouvert comme une orange.
« C'est que je vois que tu as eu bon aussi ma pute. Mais tu vas vite nettoyer avant que je m'énerve. »
Sans m'en rendre compte, j'avais joui sur le mur.
Je veux prendre un essuie-tout pour frotter.
« Non, non pute. Comme le reste, tu utilises ta langue. »
Me voilà en train de lécher mon sperme tout froid sur le mur.
Son téléphone sonne.
« Ouais Icham. Ca boum et toi ? Ok, je vais arriver. Ha tu sais pas quoi, je viens de féconder une bonne chienne de pute. Ouais, je ne manquerais pas. Á toute. »
Il me balance mes fringues.
« Grouille toi de t'habiller et de te casser, on m'attend. »
Au moment d'ouvrir la porte de la maison il me dit : « Garde bien ton téléphone allumé. Quand j'ai besoin d'un bon clebs, tu as intérêt à rappliquer vite fait ».
Je monte dans ma voiture. Je suis crevé. Je mets du temps pour rentrer chez moi.
Mon téléphone sonne.
Un message de Brahim... « Samedi 15h pute. Je te loue à Icham. »
Mon coeur bat...
Cedthou
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