1 | La rencontre
Je ne sais pas si vous savez la chance que j'ai d'habiter dans les Vosges. Je ne parle pas des sapins, des lacs et des bonbons que l'on peut sucer (quoique), mais je vais vous parler d'une histoire que j'ai vécu aujourd'hui. Nous sommes début mai, le soleil a enfin décidé de se pointer pour afficher une belle température sur le tableau de bord de ma voiture. Dimanche 14h, je viens de quitter le boulot (eh oui je bosse le dimanche parfois) et pour rentrer chez moi, soit je prend la route qui passe par la vallée, soit celle qui emprunte le col. Comme il faisait beau et que rien (ou personne 😕) ne m'attendait je décide de prendre la route qui grimpe. Arrivé au milieu de la montée, j'aperçois devant moi 2 cyclistes qui montaient d'un bon rythme. C'était de dos, 2 beaux corps bien longilignes, mollets saillants totalement rasés et beaux fessiers dans leurs tenues de lycra. Je serais bien resté un moment derrière eux, avançant péniblement à 20km/h mais cela aurait été suspect bien qu'agréable visuellement. Je décide donc de les doubler, et je vous le rappelle, il faisait chaud et mes vitres étaient ouvertes (je garde la clim pour les canicules estivales), bref en doublant je ne peux m'empêcher de leurs crier "allez les gars". En continuant ma route et observant dans le rétro, je vis le 1er des deux gars sourire tandis que celui de derrière me faisait un fuck (il avait l'air d'en baver contrairement à son pote). En les doublant et en les voyants dans le rétro, je pu observer que c'était 2 beaux brun aux environs de la 40aine, l'un barbu et l'autre juste une petite moustache. Ils avaient fière allure avec leurs casques et lunettes de soleil, en clair bien mignons. Arrivé en haut de la monté, je décide de profiter de la vue et je me gare donc sur le bas-côté où seule une voiture peut se garer. Je descend de ma voiture et je vais m'asseoir sur un des rochers qui surplombe la vallée. J'adore cette saison, où les arbres retrouvent peu à peu leurs feuilles offrant une palette de verts tous aussi beau les uns que les autres. Perdu dans ma contemplation, je n'ai pas vu le temps passer, un bruit de roues sur le gravier me fit sortir de ma torpeur. En tournant la tête, je vis que c'était mes deux comparses arrivés en haut du col et s'occtroyant comme moi une petite pause (bien méritée pour eux). J'ai dû rester un moment à les regarder sans un mot tellement je me délectait de ce que m'offrait la vue. Ils avaient adossé leurs vélos contre un arbre et se trouvaient debout l'un à côté de l'autre leurs corps bien moulés dans leurs combis. Le barbu avait une combi blanche de marque Giant, légerement ouverte au dessus et son pote moustache lui avait une combi bleu ciel de marque inconnu. Je les voyais de profil, ils m'offraient donc leurs silhouettes sous un angle charmeur: fessiers bien ronds et Bulges bien garnis. J'étais donc là sur mon rocher, ébahi et excité par la situation (je vous rappelle que nous sortons d'un confinement, dans les Vosges de surccroit 😁). Le barbu tourna la tête et me souria, il se tourna vers son pote pour lui dire qqc, je n'ai pas pu entendre car une voiture passa derrière nous au même moment. Je le vis s'approcher de moi en se touchant le paquet, je voyais à l'œil nu et au fur et à mesure de sa progression une belle barre se dessiner sous le tissus et qu'il continuait à triturer de sa main gantée. Arrivée devant moi, il me dit en français avec un bel accent italien: -j'ai l'impression que tu aimerais bien une petite glace italienne ? Et en me disant cela il descendit la fermeture de sa combi jusqu'au en bas du nombril et en sorti une belle bite bien droite. Je pu apercevoir son corps totalement imberbe, quelques poils au pubis seulement et une belle paire de couilles rasées elles aussi. Voyant que les mots seraient inutiles je n'offris pour seule réponse que mes lèvres sur son mât chaud bouillant. Je m'appliquai avec dévouement pour récompenser comme il se doit ce beau sportif après l'effort qu'il venait de faire. Après plusieurs minutes à alterner gorges profondes, sucotage de gland et bouffage de couilles, je sentis mon bel italien se contracter et il me déchargea une bonne dose dans la bouche. Par pure dévotion et afin d'honorer mon admiration pour ces beaux sportifs bien gaulés, je n'en perdis pas une goutte. Satisfait et plus léger, il remonta sa fermeture éclair, replaca son paquet encore un peu gonflé, retrouva son pote et son vélo et tout les deux reprirent leurs courses. Mon barbu me fit un signe de la main et moi aussi je repris mon chemin... Me voilà donc reparti le cœur léger en me disant que j'avais bien fait de prendre cette route. Après quelques virages, et à la sortie d'un très serré je revis mon bel italien debout à côté de son vélo me faire des grands signes avec un regard paniqué. Juste après j'ai vu son comparse assis par terre le cuissard déchiré et quelques éraflures sur le corps. Il avait l'air mal en point mais beaucoup mieux que son vélo qui était plié en 4 dans le fossé. Je m'arrête quelques mètres plus loin, descend de la voiture pour aller au devant d'eux. Mon bel Italien vînt à ma rencontre: - merci de t'être arrêté, la roue avant de mon ami a crevé dans le virage et il a fait une belle chute. Son vélo et cassé, et nous n'avons pas nos téléphones. -ah oui c'est bête ça, si vous voulez je ramène votre ami et son vélo, et vous rentrez à vélo car je ne peux pas mettre les deux vélos dans ma voiture. - oh merci, ce serait gentil, nous avons loué un chalet dans le camping au prochain village. -OK parfait, on charge le blessé et je l'emmène, au fait moi c'est Dom. -Enchanté moi c'est Marco et lui c'est Sergio. Nous nous avançons vers Sergio, et Marco échange en italien avec son pote, évidemment je n'ai rien compris. Je me joins à Marco pour relever Sergio qui pousse quelques petits gémissement, rien de cassé mais quelques contusions mal placées et douloureuse. Une fois mis le blessé debout, nous nous mettons de chaque côté de lui pour le soutenir, nos corps collés serrés et la fine épaisseur de tissus n'offrait guère de mystère sur l'anatomie musclée de Sergio. J'étais déjà tout chamboulé et excité par la situation, je sentais que dans mon pantalon la bête se réveillait. Une fois le mal-empoint installé dans la voiture, nous chargeons l'épave à deux roues dans la voiture. En fermant le coffre, Marco me dit de prendre bien soin de son pote en attendant qu'il arrive à son tour. Je lui répondit que je n'y manquerai pas, joignant à ma parole un petit clin d'œil. Tout en m'asseyant dans la voiture, je demande à Sergio comment il allait, il me répondit en anglais que ça allait... un peu. Grâce à mes quelques mois passés au Canada anglophone, nous avons pu échanger aisément. Je découvris donc que lui et Marco étaient Italiens meilleurs amis depuis le lycée et qu'ils habitaient du côté du lac de Côme. Ils étaient venus faire du vélo dans les Vosges quelques jours pour profiter des montagnes un peu plus facile à grimper que les Alpes italiennes. Le camping n'était pas très loin, si bien que le temps passa très vite. Une fois sur le parking, je proposai à Sergio de l'aider à marcher jusqu'au chalet, et que je viendrais chercher son vélo après. J'aide donc Sergio à sortir de la voiture, passe son bras au dessus de mon épaule et mon autre main vient se poser sur sa hanche opposée. En marchant vers le chalet, avec les soubresauts de la marche, ma main glissa vers ses fesses, d'ailleurs son cuissard etait déchiré et ma main était directement en contact avec sa peau douce et ferme. Nous arrivâmes tant bien que mal devant le chalet, Sergio s'appuya à la barrière et m'indiqua où se trouvait la clé. J'ouvri la porte en grand, aida le blessé à entrer le posa sur le lit. Je lui suggéra de se déshabiller, pour prendre une douche et ensuite lui nettoyer ses blessures...
2 | Sergio le blessé
Il approuva et me demanda de l'aider à oter sa combi, et je dois vous dire que l'idée de foutre a poil cet Apolon même abîmé ne me fit pas hésiter une seconde. La tâche fût rapide, le pauvre ne portait que sa tenue de sport sans rien en dessous mais en dessous de cette tenue, ce n'était pas rien. Mama Mia, quel corps ! Un corps de cycliste sportif, longiligne, musclé sec. Ses pectoraux musclés mettaient très bien en valeurs ces abdos en béton. Sur son torse aucun poil et son entrejambe n'était pas plus fourni, en poil bien entendu. Car côté Matos, bien qu'un peu rabougri par l'émotion de l'accident, sa queue était de belle taille, circoncise et surplombant une belle paire de couilles rafermies par une journée écrasée sur la selle du vélo. Il avait de belles jambes musclées elles aussi, avec un bronzage s'arrêtant mi-cuisse mettant encore plus en avant ces muscles aiguisés. Il était là assis sur le bord du lit presque nu, seules ces chaussettes l'habillaient encore. Je me suis donc mis à genoux devant lui pour lui retirer, dévoilant ainsi de jolis pieds longs et fins que j'entrepris de lui carresser, remontant mes mains jusque ces mollets. Ces muscles étaient bouillants, le pauvre avait bien du en baver. Sergio était donc là, nu devant moi, je pouvais voir son sexe, il était beau et un peu moins endormi. Je me mit debout et lui proposa de l'aider pour le mener jusqu'à la salle de bain. Il me répondit qu'il devrait y arriver seul. Je l'aidai quand même à se lever, profitant de l'occasion pour effleurer son sexe de ma main. Je restai quelques minutes dans la chambre m'assurant que tout allait bien, puis je parti à la voiture chercher son vélo, enfin ce qu'il en restait. Le temps de trouver la solution pour porter le vélo, il était hyper léger (merci le carbone) mais vu qu'il était plié, la tâche était difficile. Me revoilà après 10 bonnes minutes dans l'encadrement de la porte qui était resté ouverte. Sergio sortait au même moment de la salle de bain, les cheveux encore mouillés et une serviette nouée à la ceinture. Il me souriait, il était beau tout simplement...
3 | Sergio en intimité
Posté dans l'ouverture de la porte, la bouche ouverte tellement j'étais ébahi par cette plastique quelques heures auparavant cachée sous son emballage en lycra. Il me souriait, j'étais stupéfait. Il s'approchait, je me liquéfiais. Il était là juste devant moi avec seule sa serviette autour de la taille. Je pouvais sentir le doux parfum caramel de son gel douche, parfum qui se mariait à la perfection avec le teint hâlé de sa peau. J'étais enivré, il approcha son visage du mien qu'il prit entre ces mains douces et chaudes. Il vînt poser ses lèvres sur les miennes, puis me remercia " merci beaucoup pour ton aide". Je posai à mon tour mes lèvres sur les siennes et lui repondi " Mais de rien c'est un réel plaisir". Il prit ma main et fît quelques pas en arrière pour s'approcher du lit, il était acculé et ne pouvait plus reculer. Il posa ses mains sur mon visage, descendit sur mon torse en dégraffant un à un les boutons de ma chemise. Arrivé au dernier bouton , il fit tomber ma chemise, je me trouvais donc à mon tour dénudé. Avec ses lèvres chaudes, il parcouru mon torse glabre et finement musclé, il descendait lentement vers ma ceinture en n'oubliant aucun centimètre de ma peau. Ne pouvant s'agenouiller, il s'assit sur le bord du lit. Sa bouche se trouvait à la hauteur de mon entrejambe qui était en transe. Une belle bosse et une belle barre se dessinait sous mon jean. Il défit ma ceinture puis un à un les boutons de ma braguette, dévoilant mon sexe bouillant. (eh oui je ne porte que très rarement des sous-vêtements sous mes jeans afin d'apprécier à chaque mouvement le frottement du tissus sur ma peau). Il était la fièrement dressé devant mon bel italien tel un soldat Napoléonnien durant la campagne d'Italie, était-ce une revanche du pays des spaghettis où simplement une nouvelle bataille qui se jouait ? Ce qui est certain, c'est que le bel Italien savait y faire et surtout quoi faire. Ma queue se trouvait déjà entre ses lèvres humides, il commença par le gland qu'il lecha telle une glace italienne, puis l'engouffra jusqu'à la gaufrette. Il avait tout mis dans sa bouche le gourmand, et à entendre ses gémissement il y prenait du plaisir, je n'étais pas en reste, il savait y faire. Après plusieurs minutes de ce délicieux supplice, je n'en pouvais plus et était prêt à cracher, il dût le remarquer et s'est arrêté. Il me caressait le torse avec la paume de ses mains, il avait relever la tête et me regardait avec l'œil coquin. Je me baissai pour l'embrasser, sa bouche était chaude et légèrement baveuse. Je profitai de l'instant pour me dévêtir moi aussi. Une fois nu, je basculai Sergio, il se trouvait donc couché sur le dos, les pieds toujours au sol. Nos langues étaient toujours entre-mêlées, de mes mains je caressai son torse, sa peau était douce et lisse, ses têtons étaient durs. J'entrepris alors de faire glisser ma langue pour me délecter de son corps. Il fremissait de plaisir, ses poils étaient dressés. Arrivé au niveau de la serviette que j'arrachai d'un geste, libérant de ce fait son beau prisonnier, j'eu( l'agréable surprise de découvrir que mon vicieux partenaire l'avait emprisonné dans un très joli cockring en silicone vert, blanc et rouge ( bien entendu). Sa queue fièrement ornée se dressait au dessus de sa cuisse droite, je continuai donc l'exploration de ce corps d'athlète en empruntant la cuisse gauche. Le bout de ma langue en frôlant sa peau procurait à mon partenaire une sensibilité et un plaisir intense. Arrivé plus bas, au niveau de la plante du pied, ma langue devint plus gourmande, de toute sa surface elle léchait la plante du pied, puis les orteils un par un. Je remontait par l'intérieur de la jambe, pour me trouver nez à nez avec sa belle paire de couille gonflée par le cockring. Je les pris en bouche, elles étaient délicieuses. De ma main je me saisi de sa bite raide comme un morceau de bois, mais assez souple pour la diriger vers le bas ( quel chanceux !!!) ce qui me permi de la fourrer dans ma bouche. Mais ma langue était curieuse, j'entrepris de descendre en dessous de ces couilles, vous savez cette zone interdite mais hautement érogène. Bien que la position n'était pas idéale, je réussi à atteindre mon but. Son œillet était doux, totalement rasé, il n'était ni trop gros, ni trop petit. Une taille parfaite, montrant qu'il avait été déjà visité auparavant. Ma langue vint se poser sur ce puits d'amour et, tel un chat devant une tasse de lait, je le lappai délectueusement. Je l'entendais gémir de plaisir, et sans même me prévenir, il fit un demi-tour rapide pour se retrouver à 4 pattes, cambré, m'offrant ainsi son trou d'une manière plus egornomique qu'academique. Ainsi facilité par la position, je pouvais encore plus lui bouffer son trou qui paraissait affamé, je n'en n'oubliais pas cependant sa bite que je caressait de ma main droite et parfois apportait à ma bouche pour une humidification. Concentré dans ma besogne, je n'ai pas entendu arrivé Marco qui se trouvait à son tour dans l'encadrement de la porte...
4 | L'arrivée de Marco
Marco était là dans l'encadrement de la porte, il se carressait la queue par dessus son cuissard, et au vu de sa bosse, il devait y être depuis un moment. Faut dire que dans l'excitation et la précipitation , la porte du chalet était restée ouverte. C'est au moment où il descendit la fermeture de son habit de sportif, que je sursautai et tourna la tête. La fermeture de son cuissard descendu jusqu'en bas de son nombril laissait entrevoir les quelques poils de son pubis. Je le regardai avec envie, tout en continuant de bouffer 420 32le cul de son pote, mon dieu que c'était divin. Sergio qui avait24 la tête sur l'oreiller n'avait pas Le texte que vous copiez s'affichera automatiquement iciLe texte que vous copiez s'affichera automatiquement iciLe texte que vous copiez s'affichera automatiquement iciLe texte que vous copiez s'affichera automatiquement iciLe texte que vous copiez s'affichera automatiquement iciÉpinglez les morceaux de texte copiés pour qu'ils n'expirent pas après 1 heure vu ni entendu son poteLe texte que vous copiez s'affichera automatiquement ici, ce qui rendait la situation encore plus excitante. Marco s'approcha doucement de moi sans un bruit en posant son index sur sa bouche, pour me dire de ne pas faire de bruit. Il s'approcha de nous et veint coller son sexe bandé sur la fesse de son compatriote, ce 3 me permit de donner des coups de langue sur son gland tout en continuant ma besogne sur le trou de Sergio. Ayant le trou maintenant bien mouillé et lubrifié de ma salive, Sergio était prêt à se faire chevaucher. Mais avant d'y glisser ma queue raide et bouillante, je pris l'initiative d'y glisser un doigt, puis deux et son trou aspira sans problème mon troisième doigt. Les doigts bien au chaud dans le cul de mon cycliste blessé (qui cela dit en passant avait l'air d'aller beaucoup mieux), je pouvais me consacrer pleinement à sucer la belle bite de Marco, qui ne pu à ce moment là se retenir de manifester son plaisir " Mio dio va bene". Au son de ces belles Paroles, je sentis autour de mes doigts, la rondelle de Sergio se serrer de surprise, le bougre pensait encore que l'on était seul... Sergio tourna la tête vers Marco qui fit de même, ils echangèrent un sourire et des paroles en italien (que je ne compris pas évidemment). Sergio se libéra de mes doigts, se redressa pour venir se mettre à genoux au bord du lit, m'offrant de ce fait ça belle queue bandée. J'avais devant moi deux beaux cannellonis chauds bouillants. Alternant un à un, ces belles bites en bouche, parfois les deux en même temps, je prenais un plaisir non dissumimilable. Afin d'occuper mes doigts et comme attiré par le trou de Sergio, je reveins mettre mes doigts là où ils étaient quelques minutes auparavant, lui arrachant en même temps quelques soupirs de plaisirs. Afin d'occuper ma deuxième main, je carressai le torse de Marco, mes doigts s'affairant sur son têton droit, je remarquai au toucher un tout petit piercing, que je m'empressai de titillé. Après plusieurs minutes, je décidai de me relever et porta ma bouche vers celle de Sergio pour lui rouler une bonne grosse pelle bien baveuse, qu'il partagea avec la même fougue. Marco peut être un peu jaloux s'approcha de notre étreinte buccal pour se joindre à nous. Sans conteste partager ce moment à trois était fort délicieux. La température avait fortement augmenté dans le petit chalet du camping, nos corps étaient luisants et perlaient d'excitation. Sergio descendit sur nos corps du bout de sa langue tandis que Marco et moi, tel 2 ados qui découvraient le plaisir des longs baisés ne pouvions nous séparer. La sensation d'une langue bien humide sur nos queues respectives nous fîmes sortir de notre ébat lingual. Ma langue, j'avais bien envie de la glisser de nouveau sur le trou de Sergio, je fis donc quelques pas en arrière pour contourner le lit, je fis placer Sergio perpendiculaire au lit, afin que Marco debout puisse aussi se faire sucer. Sergio était beau ainsi offert. Après plusieurs minutes dans cette position, j'avais bien envie de fourrer ma queue dans ce trou bien alléchant. Debout derrière lui, je fis glisser ma queue tendu sur son cul bien humide et bouillant de désir. Marco me voyant hésiter m'indiqua la table de nuit. J'en sorti quelques préservatifs, gel et poppers (apparement ces deux coquins n'avaient pas prévu de chevaucher que leurs vélo pendant leurs week-end entre potes 😜). C'est donc habillée de latex que ma queue s'aventure dans ce trou accueillant à souhait. Je m'activais dans ce trou sans vergogne mais beaucoup de plaisir. Sergio était aux anges, je me pencha en avant tout en attirant son visage à moi pour l'embrasser goulument. Marco profita de cet instant de douceur entre nous pour venir se glisser derrière moi. Le bougre avait sûrement remarqué mon envie de me faire assaillir par lui. Je restai donc immobile quelques instants, la queue bien au fond dans le trou de Sergio et ma langue dans sa bouche, profitant de la langue de Marco affairée sur mon trou à préparer son assaut. Après m'avoir bien préparé, Marco se mit debout, chaussa une capote et présenta son gland devant mon anus qui n'attendait que lui Ni une, ni deux, il rentra d'un coup sec, ce qui me procura un petit cri de surprise et un mouvement bien profond dans le trou de Sergio. Mon dieu que c'était bon, après quelques minutes, nous avons trouvé le rythme de croisière, nos 3 corps n'en faisaient plus qu'un, chacun prenait son plaisir, et moi doublement. J'entendais Marco derrière moi me dire qu'il n'allait pas tarder à jouir, je lui proposa donc de se lâcher sur mon torse. Marco sorti de mon trou, je quittai également celui de Sergio pour me coucher sur le dos en travers du lit. Marco se plaça à ma droite et Sergio à ma gauche, ils étaient à genoux de chaque côté de mon torse, ils s'activaient sur leurs queues pour en faire jaillir le précieux liquide. C'est Marco qui vînt en premier, suivi de prêt par Sergio. Moi j'étais encore là à me branler, ne pas être un ejaculateur est parfois difficile... J'attirai vers ma bouche la queue demi-molle de Marco, que j'engouffra dans ma bouche ( j'adore la plastique des bites après l'éjaculation). Sergio pris l'initiative de glisser un doigt dans mon trou pour me titiller = la prostate, ce qui me fit gémir de plaisir. Il prit donc ça pour une approbation et n'hésita à m'en glisser un deuxième puis un troisième. Entre temps, la queue de Marco toujours en bouche, je n'arrêtais pas de me branler. C'est au moment où Sergio m'enfila son 4ème doigts que je larguai toute ma sauce. J'étais tellement excité que j'en mis partout. Les deux italiens étaient stupéfaits. Ils me carressairent le torse et vinrent simultanément poser leurs lèvres sur les miennes. Nous nous sommes effondrés l'un contre l'autre, dégoulinant et puant le sexe à plein nez...
5 | Marco en intimité
Nos corps nus enlacés, offrait un tableau visuel fort intéressant. Placé entre les deux italiens, nos mains se balladaient en de multiples et douces carresses. Après quelques minutes nécessaires pour reprendre nos esprits, Marco qui étaient dans mon dos, me glissa dans l'oreille qu'il allait prendre une douche. Je me tournai vers lui, nos regards se croisèrent, et nos bouches se retrouvèrent pour un tendre baisé. Tout en se levant du lit, Marco pris ma main pour l'attirer à lui, il me conduisit vers la salle de bain et tout les deux entrèrent dans la cabine de douche. Nos bouches étaient toujours collées, nous étions en symbiose. C'est rare de trouver un mec qui embrasse bien, qui embrasse comme vous et qui aime ça. Marco trouva à tâton le robinet qu'il alluma. La douche était en position ciel de pluie, et c'est une pluie glaciale qui s'abbatie sur nous, autant vous dire que ça a eu le mérite de calmer nos ardeurs mais le bienfait de rapprocher nos corps. Passée la surprise, l'eau devint plus douce et nous pouvions profiter enfin de cette douche tant attendue. C'est Marco qui commenca par prendre du gel douche dans sa main pour me laver le corps de tendres carresses, il n'en n'oublia aucune partie, ce qui fit monter mon excitation et ma queue est redevenue à a la verticale. Pour mieux laver mes jambes, il était à genoux devant moi, si bien que ma queue était à la hauteur de son visage, il ne mit pas longtemps à la prendre en bouche. Sa bouche était délicieuse sur ma bite fièrement dressée, il savait comment me procurer du plaisir, plaisir décuplé lorsque je senti un doigt s'introduire dans mon anus encore ouvert par ses derniers assauts. Aidé par le gel douche et surtout par mon excitation mon bel italien n'eut aucun problème pour y insérer un deuxième, un troisième puis un 4ème doigt qui orchestraient dans mon trou un excellent doigtage. J'étais aux anges et je prenais un plaisir fou, encouragé par mes râles Marco essaya de glisser un 5ème doigts dans mon antre qui sans surprise entra, accompagné du reste de sa main. Ce qui ne fut sans conséquence, ma queue toujours embouchée par Marco, libéra le précieux nectar dans sa bouche. Il n'en perdi pas une goutte, et nettoya avec application l'objet de son plaisir tandis que sa main se trouvait toujours en moi pour mon propre plaisir. Une fois ma queue bien propre, Marco se releva pour joindre ses lèvres aux miennes, il était beau et souriant, on pouvoir son plaisir non dissimulé. Nous avons terminé notre douche puis nous sommes sortis pour nous essuyer En retournant dans la chambre nous vîmes Sergio endormi, allongé nu sur le ventre, nous offrant ainsi une très belle vue sur ses jolies fesses musclées. Nous nous sommes installés en face de lui nus sur les petits fauteuils, Marco me proposa une bière sortie du minibar et nous nous avons commencé une discussion. Il me dit que lui est Sergio étaient amis depuis le collège, issus tout les deux de la noblesse italienne, ils ne pouvaient pas assumer pleinement leurs homosexualités. C'est pourquoi une à deux fois parents ils s'offraient des week-ends entre mec pour en profiter. Marco le regard tourné vers Sergio me dit avec un air mélancolique que Sergio allait se marier dans un mois et que maintenant ce serait plus compliqué de s'échapper et vivre pleinement leurs amours, car oui ils s'aimaient tout les deux. Je croisai le regard humide de Marco, je lui souri, il me souri en retour. Nous fûmes sortis de notre étreinte visuelle par Sergio qui en se retournant tomba du lit...
À suivre
Celestin
domi8867@hotmail.fr
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