Premier épisode
"Des vêtements de pute", cette phrase m’a travaillé toute la nuit. Elle m’excitait tout en me faisant poser une question: voulait-il me féminiser. Un rêve inaccessible pour moi car je me trouvais trop gros et surtout j’avais une barbe certes très rase, mais visible.
C’est au petit matin à mon réveil, après avoir fait l’amour, que Merzak leva le voile sur ces vêtements.
— Aujourd’hui, tu vas devenir ma vraie pute, cela excitera encore plus les cueilleurs en manque à la ferme. Mais pour cela, on va devoir te transformer un peu pour que cela soit un minimum crédible, tu vas déjà te débarrasser de tous tes poils et de ta barbe.
À la salle de bain, tout était prévu; je me rasai complètement et finit l’épilation complète de mon corps à la crème épilatoire. C’était bizarre de me voir sans barbe, je me l’étais fait pousser à 18 ans. Merzak vient me rejoindre pour l’inspection et me passer sur le corps une huile pour rendre ma peau plus lisse, j’avais déjà une petite queue, mais sans poils, on aurait dit celle d’un garçon.
Sur le tabouret, mes vêtements que j’enfile au mieux, une paire de bas avec porte-jarretelles et un soutien-gorge blanc. Merzak me bourre le buste de chiffon pour me donner une poitrine plus féminine. Ensuite, je mets une jupe courte, une petite culotte plaquant ainsi ma queue contre mon ventre, un chemisier léger et des chaussures sans talons.
— Pour mieux marcher dans la terre, me dit-il en riant.
Une perruque blonde et un peu de maquillage vinrent finir ma transformation. Le résultat ne tromperait personne, cela devait juste exciter un peu plus les mâles à qui je serais vendu, ils m’avaient déjà vu en photo, nu, et seulement quelques parties de moi les intéressaient: mes trous. Merzak fut satisfait du résultat, il vérifia que ma jupe se relevait bien, qu’à genoux rien ne pourrait entraver les queues de glisser au fond de moi; j’allais en prendre pour mon grade et pour aller plus vite je devais me faire baiser sans avoir à me déshabiller. Merzak semblait assez fier du résultat et il était excité, il sortit sa bite toute gonflée.
— Allez, viens ma salope, viens me soulager.
Je me mis à genoux devant lui, il était assis sur son fauteuil et moi je le pompais avec amour; j’étais aussi excité que lui. Ce fut assez rapide et il déchargea sa semence en de gros jets au fond de ma gorge, sperme que j’eus du mal à avaler tellement il y en avait.
— Bon, faisons quelques photos pour tes clients.
Je prends différentes positions très subjectives, suivant ses conseils, je me penche en avant, il flash mon cul. Puis, il me fourre un doigt, puis deux, un peu de gel et un troisième, tourne ses doigts dans ma rosette et les ressorts d’un coup, refaits des photos avec mon anus encore ouvert, c’est très excitant. Merzack transféra les photos, puis avec une bonne claque sur mes fesses:
— Bon! Ma chienne on va au boulot. Tu seras salope et très docile, il ne faut pas trop faire attendre tes clients…
Après une heure de route, nous arrivons, dans une grande ferme, entourés par des tas d’oliviers. C’est très beau, ces taches de verts sur ce sol ocre. Il fait déjà bien chaud, et je transpire légèrement. On se gare près du corps de ferme principal. Mon homme descend, rentre dans la ferme et ressort au bout de 5 minutes avec un homme de 50 ans, assez baraqué. Il arrive à la voiture me regarde:
— Bien Merzack, elle a l’air mieux que les autres que tu nous ramenais, et en plus une blanche, j’en connais qui vont apprécier de se vider les couilles dans ce PD.
Sur un signe de mon Mac, je descends de la voiture et je les suis jusqu'à un petit bâtiment. Sur une des portes, mes photos de la vielle, cul en l’air, sont affichées avec l’horaire de ma venue et ce qui semble être un tarif. La pièce est suffocante, cette chambre est très spartiate, un lit avec un drap, un lavabo, deux chaises et une table sur laquelle Merzack pose une boîte de capotes et un tube de gel (il disait en route que sinon j’allais avoir le cul en feu ce soir). Immas, le maître des lieux, ouvre la fenêtre pour créer un semblant de courant d’air.
— Viens, m’ordonna-t-il.
Merzack acquiesce de la tête et sort dehors en refermant la porte. Je m’approche de lui, il est assis sur le lit et a baissé son pantalon. À peine à sa portée, ses bras puissants m’attirent vers lui m’obligeant à m’agenouiller la tête contre son entrejambe.
— Allez suce!
J’abaisse son slip et sa queue toute gonflée jaillit sur mon visage. Il sent la sueur, il m’appuis la tête:
— Avale!
J’ouvre en grand ma bouche et enfourne sa bite dans ma bouche, salive dessus, glisse de bas en haut, il m’appuie sur la tête,
— Allez poufiasse, bien à fond!
J’en ai presque la nausée tellement il enfonce sa queue dans ma bouche, je me sers de ma main pour faire une cale sur sa queue et aussi pouvoir le branler pour accélérer sa jouissance. Je lui malaxe les bourses velues, quitte sa queue pour les lécher. Il sent vraiment fort mais je me force à le sucer du mieux possible. Il grogne commence à bouger sur le lit pour mieux dégager sa queue afin que je puisse bien la branler la sucer.
— Allez retourne-toi pute, viens t’empaler sur ma queue.
Je me lève, enlève ma jupe et ma culotte, je prends un préservatif que je lui tends. Pendant qu’il se l’enfile, je profite que je suis à côté de la table pour m’enfiler à l’entrée de mon fion une dose de gel. Immas est à moitié assis sur le bord du lit, queue tendue, je passe une jambe de chaque côté de lui, cul tourné vers lui et en pliant les jambes, j'approche mon trou du cul de sa verge, cette position une première pour moi, permet en même temps de bien m’ouvrir les fesses. Je commence à descendre doucement, le gland pointe dans l’ouverture, mon anneau commence doucement à s’ouvrir.
— Plus vite, salope.
Et avec ses deux mains puissantes sur mes hanches, Immas m’empale d’un seul coup à fond. Je crie de douleur, j’ai l’impression que l’on m’ouvre le cul en deux. Certes, il était moins membré que mon amant mais c’est la première fois que l’on me prenait si brusquement, sans trop de préparation. Je voudrais m’enlever, mais il pose une main sur ma bouche.
— Arrête de crier comme une truie, tu es une pute, tu vas en prendre plein le cul alors, habitue-toi à la bite, chienne, ou je te fais prendre par l’âne de la ferme.
Je ferme ma gueule, après tout c’est moi qui voulais. Il m’oblige à aller et venir sur sa queue, le gel commence à faire son effet, sa bite coulisse bien en moi, je me surprends même à pousser des petits cris, pour l’exciter un peu plus et me faire ressentir que je suis une pute, mais une pute qui aime la queue. Il se raidit d’un coup, m’oblige à rester bien enficher sur sa bite:
— Ahhhhh, je me vide, trop bon ton cul.
Je sens les soubresauts de sa queue, puis le calme, il reprend son souffle. On se relève, Il se réajuste et sort. Je remets ma culotte ma jupe, réajuste ma tenue, ma perruque, heureusement que mes seins était faux vu comme il les a malaxés. Je sors, Immas a rejoint Merzack assis sur un banc à l’ombre d’un arbre, je m’approche près d’eux quand un troisième individu s’approche. Il signe une feuille placée sur le banc, en me regardant tout en se malaxant la queue à travers son short. Merzack vient vers moi:
— Tiens ton premier client, ma pute, sois bonne avec lui.
Je retourne au local avec cet inconnu, pas le temps de reprendre mon souffle. À peine la porte fermée, il me palpe fermement les fesses. Moi, je me retourne commence à caresser son corps, descends ma main jusqu’à son sexe, lui malaxe la bite.
— Suce mon zob conasse!
Je me mets à genoux, descends son short et enfourne sa queue dans ma bouche. Elle se redresse et reprend encore plus de volume sous mes coups de langue et mon aspiration. J’adore vraiment sucer, je suis une vraie avaleuse de queues. Je commence à le branler avec ma bouche, il apprécie visiblement au point qu’il me repousse la tête.
— Va t’allonger sur le lit.
Je me déshabille pour rester qu'en bas et soutien-gorge, me couche sur le dos remonte mes jambes au-dessus de ma tête et lui présente mon trou du cul bien ouvert. Il grogne, crache sur mon cul et glisse sa bite en moi, ne s’arrêtant de pousser que quand ses bourses touchent mes fesses. Puis me laboure les fesses pendant cinq bonnes minutes, grogne, me traite de tous les noms et enfin jouit en moi. Il se retire de mon cul et vide son préservatif sur ma queue. Je me lave vite fait et retourne dehors voir mon Mac qui lui est déjà en discussion avec deux autres mecs. Je reprends mon travail, c’est toujours les mêmes choses, à quelques variantes près, des positions différentes, certains mecs voulant plutôt cracher et jouir dans ma bouche, ou sur mon cul...
Après mon cinquième client, je retourne voir Merzack, je lui dis que j’en ai un peu mare, je ne fais plus que les deux autres mecs qui sont là à attendre et qu’après j’arrête et on rentre. Il me fout une baffe qui me surprend et me laisse sans voix.
— Tu es ma pute, tu fais ce que je veux, on s’arrêtera quand il n’y aura plus de client. Tu te prends pour qui? Tu es à moi, tu te feras baiser par tous les mecs qui payeront, tu es ma pute et tu fermes ta gueule.
Il me fait un peu peur, jamais il n’avait crié comme cela. Je suis mal à l’aise, je ne sais pas quoi faire, je ne suis pas chez moi, je suis à sa merci. Je voulais jouer à la pute mais plus par fantasme. Maintenant je subis sans rien maîtriser. Je ne prends aucun plaisir, ma petite queue reste toute molle dans ma culotte. Mais que faire d’autre que d’accepter? Alors, je reprends mes passes avec le client suivant, je retourne à la chambre, Merzack me suit avec son client.
— Et puis, tu ne vas pas assez vite, pas la peine de te dépoiler puisque tu as des bas, tu lui lave la queue, le suce pour l’exciter et le porter au bord de la jouissance, tu te retournes, t’appuies sur le lit, tu soulèves ta jupe et tu le prends dans le cul.
J’entre dans la pièce, enlève ma culotte et en profite pour me remettre une bonne dose de gel.
— Et aussi crie un peu, soit démonstratif, cela l’excitera encore plus et il crachera son sperme encore plus vite dans ton gros cul de pute.
J’étais à l’abatage, cette journée allait être longue, j’avais déjà un peu mal au cul.
Les prévisions de Merzack furent juste, toute la journée des mecs attendais leur tour, plus de 20 bites ont pris ce jour, ma bouche et mon cul pour décharger leurs trop-pleins de sperme. J’étais même surpris par la grosseur des bites que j’arrivais à prendre dans mon cul tellement il était dilaté par tous ses va-et-vient. J’en pouvais plus, je prenais ses bites avec dégout, j’en avais marre. Mon calvaire finit vers 17h. J’avais l’anus rouge tellement il était irrité. Je ne pus remettre mon string. Même, m’assoir sur le siège de l’auto au retour ne m’apportait aucun soulagement. Je ruminais, cela avait été trop loin mais bizarrement, je n’en voulais pas à mon mac car au début j’avais vraiment pris du plaisir à être une pute, même après finalement, je savais plus trop quoi en penser…
De retour à la maison, je pris une bonne douche, je me changeai et prit du repos devant la télé. Merzack redevenant tendre, m’embrassa longuement. Je ne voulais pas de lui ce soir mais je ne résistais pas à sa douceur et surtout, cette queue si arrogante, ses gestes tendres. On ne fit rien ce soir-là, mon cul et ma bouche n’en pouvait plus.
Le lendemain matin, Merzack m’a acheté de la crème adoucissante. Je reprenais doucement la baise avec lui tendrement le soir. La journée, je visitais les environs ou nous allions à la plage, mais cette fois en homme, tout le temps.
Un soir, je parlais avec Merzack de la menace que m’avait faite Immas de me faire sauter par son âne, je lui avouais que cela m’avait fait peur mais terriblement aussi excité, même qu’un matin je m’étais branlé alors qu’il était sorti en repensant à cela… Le sourire lui revint, il rêvait lui aussi de ce genre de plan…
Pour la fin de mon séjour, il avait organisé un pot de départ à sa façon, pour me laisser de très bons souvenirs de mon séjour et me donner envie de revenir…
Passif73200
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