Chapitre 1
Salut les Loulous.
Je m'appelle Paul et j'ai dépassé légèrement la trentaine, cheveux bruns aux yeux bleus.
Il y a quelques années (moins de 10 ans, je vous rassure), je venais de subir une dépression d'avoir été largué par mon mec (il s'appelait Vincent avec qui j'avais passé près de 4 années) pour un autre passif ... peut-être plus salope encore que moi !
Quelques temps avant notre séparation, mon mec m'avait proposé de faire des parties à trois : lui, son nouvel amant qu'il fréquentait déjà dans une double vie et moi.
J'avais refusé et quelques jours après il m'avait largué avec juste un mot d'adieu sur la table du salon et un appartement vide.
Bon, il m'a fallu du temps pour que j'ai à nouveau envie d'avoir un mec qui me domine, qui me baise comme un dieu régulièrement et bien sûr, qui m'aime.
Ah oui, à cette époque, j'avais 26 ans, 1,78 m et 69 kg.
Mince mais avec les épaules et les pecs bien dessinés, et surtout un petit cul cambré qui, parait-il, faisait triquer bon nombres de males en rut ... et il faut bien le reconnaître avec qui j'en joue pour faire craquer les superbes étalons !
J'adore qu'on me déshabille, qu'on me masse et qu'on me mordille les tétons et qu'on me défonce ... et Vincent me fécondait presque toutes les nuits ... un vrai bonheur !!!
Oui, avec lui j'étais et je suis resté très affamé de bites vigoureuses et très actives (peut-être une vraie pute), bites dans ma bouche et dans ma chatte frémissante.
Avant de me mettre en couple, je fréquentais assidument les saunas et j'adorais donner du plaisir aux mecs fiers de leurs bites, sachant s'en servir de façon virile et qui ne jouissaient pas en 5 mn.
Après, quand je suis tombé totalement fou amoureux de mon mec, je n'ai plus fréquenté, pendant 4 longues années, les lieux de débauche (saunas, sex-clubs, sex-shops) car il me donnait, à lui seul, 200 % (même plus !) avec son magnifique membre (19 x 4 cms, circoncis) et satisfaisait tous les besoins sexuels dont j'avais continuellement besoin ...
Donc, je suis seul, et mes congés annuels viennent de commencer ce dernier vendredi de juillet 201* ... et je m'emm*** chez moi .
Nous habitions et j'ai encore habité après notre séparation une ville du sud-ouest de Lyon.
Après une nuit de vendredi à samedi agitée, seul dans mon trop grand lit, (avec branle effrénée et souvent obligatoire avant de m'endormir comme toutes les nuits sans Vincent) je décidais d'aller passer 15 jours à m'encanailler au centre naturiste du Cap d'Agde sans même m'imaginer s'il y aurait de la place pour y dormir ou si une bonne âme (ou plusieurs bonnes âmes) me rajouterai(en)t dans son lit ou leurs lits (ou ailleurs) toutes les nuits.
Le lendemain, je me réveille avec un trique d'enfer et après une douche complète et intime, où, pour une fois, je ne me fais pas plaisir tout seul souhaitant garder un max de jus dans mes couilles) je décide de prendre peu de choses comme vêtements dans mon sac de voyage pour quinze jours (sans oublier brosse à dent, dentifrice, maillot de bain et capotes et gel en quantité !) et je me dirige vers mon garage.
Manque de bol, ma voiture est en panne, batterie vide !
Peut-être un signe du destin pour les vacances débridées que j'ai eu après ... mais je ne le savais pas encore !
J'appelle un ami (celui qui m'avait défloré et qui m'avait révélé ainsi que j'étais un passif à 100 %) et je lui demande s'il veut bien me déposer sur une aire de station-service de la nationale 7 au sud de Vienne (Isère).
Nous y arrivons vers 11 h. du matin en ce dernier samedi de juillet et après l'avoir remercié d'une bise soft sur les lèves, je me mets à la sortie de la station service, pouce levé, avec une tenue "adéquate" pour se faire prendre en voiture : nu sous un short taillé assez court dans un vieux jean, ma bite déjà assez gonflée en travers du short pour ne pas qu'elle dépasse, un Tshirt un peu étroit mais qui me moulait bien les pecs ... et baskets blanches.
Chapitre 2
11 h. 15, rien
11 h. 30 rien ... toujours à attendre.
Je commence à désespérer.
11 h. 45 une Audi A4 noire s'arrête à ma hauteur, juste après avoir pris de l'essence, et me demande dans un français approximatif où je vais.
Droit dans les yeux, je lui réponds Cap d'Agde et aussitôt, je sens ma bite se gonfler.
Il me répond :
"Come on" et en plaçant mon sac de voyage sur les sièges arrières, je mate sa bosse ... il me semble qu'elle est énorme.
Je dois rougir un peu quand je rentre dans la voiture et quand je lui serre la main je crois qu'il l'a vu.
J'attache ma ceinture et nous voilà parti sur la Nationale 7, mais rapidement, il bifurque et prend l'entrée d'autoroute à hauteur de Chanas et nous voilà à 130 km/h. (parfois plus) en direction du midi.
On baragouine en un mélange de français et d'anglais et vers 1 h. de l'après midi, il me demande :
"Tu as faim" ?
S'il savait que c'est de sa bite que j'ai faim et rien d'autre ...
Je lui réponds bêtement :
"Oh yes"
et mon regard ne peux pas s'empêcher de m'appesentir une seconde de trop sur son entrejambes.
Et dans la seconde d'après il me demande :
"Do you like it" ?
Là, mon cœur s'emballe totalement et je lui réponds aussi effrontément :
" Oh no, I don't like ... I love it and I'm so addict about it" !!!
Là, je sais qu'il sait que je suis tout prêt à le sucer et m'empaler sur sa colonne brûlante.
D'ailleurs, lorsque nous nous arrêtons enfin dans une station-service et y manger dans un self, je remarque qu'en sortant de la voiture il replace difficilement son membre en feu pour qu'il soit moins voyant sous son jean.
Moi, je bande comme un fou !
A table, face à face, nos jambes se frôlent dans un jeu d'apprentissage de nos corps et je m'aperçois enfin combien ce garçon (Helmut de son prénom) est beau à un point de devenir fou et de vouloir baiser sur la table, tout de suite, devant tout le monde ...
J'apprends qu'il a 32 ans, 1m80, 75 kg, athlète en gymnastique, course de fond et de demi-fond de Rhénanie (Allemagne) et qu'il est célibataire.
Je lui demande où il va ? quels sont ses projets ?
Il me répond qu'il ne sait pas vraiment mais qu'il a besoin de superbes vacances avec beaucoup d'affection, de tendresse et de sexe avec des mecs ..
Je lui dis que je vais au Cap d'Agde et il fait un "wowwww" d'admiration car il avait pensé, il y a quelques jours, d'y retourner plus de 6 ans après y avoir déposé des flots de spermatozoïdes ... dans des amis gays de son âge et dont il savait pertinemment que certains y arriveraient ce soir aussi !!!
Il a dû remarquer mon émotion car après le repas, il me dit :
Ok Paul, I can't wait, I want you suck me, now, immmediatlly" !
Là, mon cœur bat à tout rompre ... j''ai peur de défaillir ...
Nous fonçons dans les toilettes et là, en moins de 5 secondes, porte fermée, je suis à genoux et j'avale un membre extraordinairement gros (au moins 21 cm sur 6 ... je ne m'étais pas trompé en voyant sa bosse) et peu après, après avoir entendu un cri de fauve, il m'inonde la bouche d'un jus doux et sucré ...
Juste après s'être remonté le jeans, il me relève et me roule un pelle d'enfer et il s'excuse d'avoir jouir trop vite (et bruyamment) tant il était excité !
Pas grave, j'ai la bouche pleine que je m'empresse d'avaler.
DIVIN !!!
Moi, je n'ai pas joui.
Un petit tour devant les lavabos et le miroir pour nous remettre de nos émotions en nous passant de l'eau froide sur nos visages et nous voilà repartis dans l'Audi et sur l'autoroute.
En roulant, il caresse ma bite sous le short et me demande de me mettre à poil.
J'entends à nouveau ce "wowww" et tout en me caressant de sa main virile (et semble t il très experte) il me demande de ne pas jouir de suite car ce soir, "je te promets des orgasmes à plus finir et que tu te videras et tu te feras remplir plusieurs fois" !
Et timidement, je lui dis :
"And AIDS (SIDA)" ?
"No problem my dear, we're all negative"
"You ?"
Oui, je sais que je suis positif puisque, depuis le départ de Vincent, je me suis fais tester et que je n'ai pas baisé depuis des semaines ...!)
Je lui réponds :
"OK, no problem for me, NEGATIVE !"
Et au même moment, je vois son regard s'allumer.
Il doit imaginer ses nuits folles nus et totalement excités, lui et moi, et ses orgasmes en moi et ceux de ses amis ... j'aurai la confirmation dès la nuit suivante et quasiment toutes les nuits à venir !!!
Je n'ai pas fait de partouzes depuis des années, mais là, je me sens plus pute que jamais, plus ouvert que jamais et plus affamé que jamais.
Je me resape, on remonte dans sa belle voiture et on continue.
Deux heures après, il me dit, je dois appeler mes amis.
On s'arrête à nouveau et je l'entends appeler deux amis successivement en allemand avec des soupirs de contentement.
Je ne comprends pas l'allemand, mais je comprends que je vais déguster ... dès ce soir !
Et on repart pour un trajet non stop désormais.
Chapitre 3
Vienne - Cap d'Agde, un peu plus de 300 km
On y arrive vers 4 h. de l'après sous un très beau soleil.
Moi, j'ai hâte de manger tout cru mon Helmut.
Il appelle ses amis.
L'un travaille, l'autre fait des courses pour le week-end.
Helmut me dit qu'on ne peut pas encore débarquer chez ses amis et il me demande si je veux aller me baigner avec lui, nus, dans une plage réservée aux gays.
Je lui dis que je suis totalement excité, ma bite prête à exploser mais il me répond que tous les gays sont pareils et que certains seraient très heureux de voir mon membre dressé ... et lui aussi de me remontrer le sien avec fierté !
Bon, on fait les différents formalités pour accéder à la plage des textiles puis, en longeant la plage, j'ai le plaisir de constater qu'il n'y a pratiquement pas de couples hétéros, mais de superbes gays nus arborant certains leurs sexes (souvent un peu gonflés) et d'autres avec un maillot de bain ... souvent bien rempli aussi.
Helmut me désigne un coin un peu à l'écart (je crois que cette première après-midi il me veut qu'à lui ... et cela m'accorde totalement).
En me déshabillant et voyant ma bite se dresser vers mon nombril, il me dit : "met ton maillot de bain sinon tu vas déclencher une émeute sur la plage".
De sa voiture j'avais sorti une très grande serviette de plage, un mini maillot (hummm ... impossible de caser mon engin dedans !) et de la crème solaire.
Lui, pour m'exciter encore plus, se désape devant moi et son énorme bite vient s'éjecter de son jeans et il enfile un boxer de bain (pas facile non plus pour cacher son énorme mandrin !
On éclate de rire de nos émerveillements communs, on se re-roule une pelle d'enfer et on court s'égayer dans la mer.
Là, dans l'eau on se caresse, on s'embrasse, je fais de l'apnée pour le sucer sous l'eau ... mais il ne veut pas jouir dans ma bouche à nouveau ...
Il me dit que j'aurais tout ce que je souhaite cette nuit !
Il me dit de me calmer et que j'essaie d'avoir mon sexe moins brûlant et moins dressé.
J'ai du mal, car comment débander avec un Adonis dans mes bras et un étalon que je vais recevoir en moi cette nuit ... mais avec la fraîcheur de la mer j'y arrive ... partiellement !
On sort ensemble de l'eau et sur la serviette de bain il m'essuie en embrassant mille fois mon corps et quand il essuie mes jambes, il prend ma bite dans sa bouche un court instant, comme s'il voulait connaître tout de suite son goût.
Bien entendu, je rebande aussi sec comme un malade et je l'entends rire quand il la sort de sa bouche.
Je n'ai pas compté les baisers ardents sur la plage ..
Il avait baissé son boxer et je m'amusais aussi à le branler doucement et m'émerveiller de sa sublime beauté et incroyable virilité.
Vers 7 heures du soir, on a vu arriver 3 jeunes et beaux gaillards en mini maillots de bain et aux muscles bien découpés
En guise bonjour, un roulage de pelle de chacun ... merveilleux sensation de se savoir désiré dès le premier regard.
Délicieux augures d'un accueil et d'un séjour incroyablement heureux et tourné vers le sexe et la mer, exclusivement !!!
Ils avaient vu (et sans doute admiré nos deux bites dressées) car leurs maillots ne moulaient plus qu'ils ne cachaient des morceaux très gros de chair brûlante !
Ma seule pensée, ce soir là sur la plage, fut celle-ci :
"Eh bien mon pauvre Paul, je crois que tu vas déguster".
On est allé ensemble dans un appartement de Kurt, un ami allemand d'Helmut, comprenant tout le confort moderne avec un lit immense où on pouvait dormir au moins à 5 ou 6 personnes et une salle de bains avec plusieurs pommeaux de douche au plafond.
En moi, je me demandais combien de mecs étaient passés avant moi par la douche, sans aucun doute avant et après leurs gémissements et leurs hurlements de leur orgasmes sauvages ...
Je demandais en anglais à Kurt si c'était le seul lit, et en me répondant "Ya", je vis sa langue lécher ses lèvres et ses yeux s'allumer !
Lui aussi, il en voulait .. et je sais qu'il n'a pas été déçu de moi et de nos nuits torrides !
Le troisième était irlandais et s'appelait Jack, et totalement versatile, ce qui m'a permis aussi d'assister à des séances de sexe divinement belles et excitantes et des sexes déchainés allant et venant par trous de son corps !!!
Trois très beaux garçons, mais mon faible était pour mon bel Helmut ... mais je me suis donné à 100 % à ces trois lascars !
Peut-être un peu plus que 100 % à Helmut...
Là finit mon récit, car tout le reste est très intime, mais comme je l'écrivais plus tôt :
OUI, J'AI DEGUSTE PENDANT 12 JOURS, TOUTES LES NUITS !
Ce fut, je crois ... non, j'en suis sûr, les plus belles vacances à 4 gays de toute ma vie.
Avec Helmut et Kurt on s'est revu quelquefois à Lyon et ce fut toujours aussi merveilleux qu'au premier jour !!
Bises à vous tous ... avec un petit faible pour les bons étalons, bien sûr, et bel été à vous tous et n'oubliez pas qu'on n'a qu'une vie, ALORS, ENVOYEZ VOUS EN L'AIR SANS MODERATION !!!!
Si vous passez par la Savoie, pour une étape d'une nuit (ou plus) vers le sud, je peux recevoir et vous donner du plaisir, si vous le souhaitez, bien sûr, d'autant que j'ai obtenu un diplôme de masseur-kinésithérapeute et que pour mes amis gays, mes massages sont totalement gratuits !
Fin
Si vous voulez un peu plus de détails sur la fin de l'histoire, vous pouvez m'envoyer vos demandes sur mon mail :
Paul Savoie
paulsavoie73@yahoo.com
Autres histoires de l'auteur :