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Saison 1
7 | Weekend avec Julien
La semaine de cours se passe sans encombre, les gens dans mon lycée commencent a accepté mon homosexualité, même si ce n’est pas leur vie, enfin vous m’avez compris, sauf peut-être le footeux, mais bon ils sont trop beau pour que je leur en veuille, vous me direz, ce critère est superficiel, oh oui je le sais et j’assume complètement, à la fin de le la semaine, je vais à la bibliothèque avec Emma pour faire mes devoirs j’aurais pas le temps ce week-end, je veux profiter de chaque moment avec mon meilleur ami,
Emma : « pourquoi je ne peux pas venir avec vous ce week-end »
Marco : « c’est un week-end entre mecs, c’est pour ça »
Emma : « moi aussi, je peux être un mec pour un week-end, ça me ferait du bien de partir aussi, ça fait longtemps qu’on n’a pas fait une sortie à 3, moi aussi Julien me manque »
Marco : Je sais bien, promis la prochaine fois, on se fait un truc tous ensemble
Emma : tu n’es pas marrant, mais j’ai ta promesse.
Marco : promis juré, si je mens je vais en enfer
Emma : tu as intérêt sinon c’est moi qui vais te faire vivre cet enfer (crie)
Bibliothécaire stagiaire Quentin (beaux blonds yeux verts, 1 m 70,60 kg, très fin de corps) : chut ce n’est pas un salon de discussion ici
Emma : j’aurais bien aimé qu’il me fasse taire avec autre chose
Marco : qu’est-ce qui t’arrive Emma
Emma : ben quoi, n’y a pas que les mecs qui ont une libido
Quentin : Si vous avez fini, vous pouvez sortir
Marco : Monsieur ma copine a dit qu’elle arrêtait de parler si vous lui passé votre numéro
Emma me lance un regard noir et me donne un coup de coude
Quentin : et elle a un prénom, celle qui passe par son ami pour avoir mon numéro et qui parle fort pour se faire remarquer (avec le sourire en coin)
Marco : elle s’appelle Emma (elle est rouge de honte)
Quentin prend un bloc-notes, écrit son numéro dessus et le passe à Emma, tu m’appelles quand tu veux la muette.
Et nous partons,
Emma : tu es fou, ça ne va pas, pour qui tu me fais passer
Marco : oh c’est bon, tu as su son numéro et c’était pour me faire pardonner pour ce week-end, comme ça, on pourra tous prendre du bon temps ce week-end (oups ma langue a fourché)
Emma : comment ça du bon temps ?
Marco : tu sais aller en soirée, à la plage
Emma : et ça on ne pouvait pas le faire à trois
Marco : je suis désolé, je t’ai dit la prochaine fois on ira tous ensemble
Emma : tu as de la chance que je t’aime et ne joue plus jamais les entremetteurs, j’ai cru que j’allai mourir sur place.
On rentre je prépare mes affaires et attend Julien, on part en Normandie, 2 h 26 de route, il a réservé un hôtel 3 étoile, on est enfin sur la route, hâte d’arrivé, il a sélectionné une playlist pour le trajet, il a essayé de me faire plaisir, parce qu’on n’a pas les mêmes goûts musicaux lui c’est plutôt rap français, et moi plutôt pop américaine, il ne faut pas juger les goûts musicaux à ce qu’il paraît. On est comme des amoureux des regards furtifs des mains qui se touche, ont chantent, ont rigolent, on arrive sur place, il est déjà tard, 22 h 35, on prend les clés et montons dans la chambre, va chacun prendre sa douche (séparément) oui, il faut y aller en douceur, on se commande du champagne, on avait déjà mangé nous, je pense que c’est aussi pour se détendre moi, c’est pas première fois, et lui sa première fois avec un mec, moi aussi d’ailleurs lol, on est en boxer, on se sert, une coupe de champagne, je lui raconte ma semaine, lui aussi, il aime vraiment le foot, mais il sait que ses parents ne laisseront jamais jouer en professionnel, même si d’après l’entraîneur, je suis un jour d’exception, moi je lui raconte d’abord pour Greg, Julien : « s’il t’emmerde celui-là, je le défonce, déjà qu’il se la pète sur le terrain de foot alors qu’il est une brèle et en plus il se vante d’avoir soulevé plein de meufs, alors que son cousin Carlos m’a dit qu’il était encore puceau. »
Marco : « tu inquiètes je sais me défendre, et puis il n’est pas si méchant, il aboie juste. »
Et après je lui parle de l’épisode Emma à la bibliothèque, il est mort de rire, d’ailleurs je lui fais promettre de l’amener avec nous la prochaine fois.
Julien : « on n’est pas venu pour parler », il me regarde intensément et commence à m’embrasser, il est doux, sensuel, nos deux langues s’entremêlent, j’adore le goût de sa langue et de ses lèvres, je ferme les yeux pour apprécié chaque moment, puis il passe à mon coup, il s’attarde dessus, hum que j’aime ça, je la sens toute chaude, c’est vraiment agréable, puis il descend plus bas, jusqu’à mes tétons et la-il les savourent, sa bouche aspire ma peau, il a l’air de se délecter, il me regarde avec un air malicieux, puis remonte vers ma bouche et se bécote pendant de longues minutes puis me regarde et j’ai aussi envie de lui faire plaisir je fais le même rituel que lui, d’abord le cou puis les tétons, mais ce que je désire, c’est sa tour Eiffel* (chapitre 8 pendant la séance de sport), je descends plus bas et commence à renifler son caleçon, je mouille l’endroit où la bosse commence à se former et je suce à travers le tissu, il l’air d’aimé çà, puis je n’arrive plus à attendre, je l’enlève et observe enfin l’objet de mon désire, ouah j’en ai jamais vu une aussi grosse, me yeux s’écarquillent, il me sourit avec fierté, je pose ma bouche délicatement dessus, cette odeur m’enivre, je la fait rentré petit à petit et je débute ma fellation, je la déguste, j’ai faim de sa queue, à chaque va et viens, je vais, un peu plus loin, un peu plus vaillamment et plus rapidement et là j’ai pris une bonne cadence de succion, on entendre bien le bruit, Julien est presque pris de convulsion, tellement il prend du plaisir, J : « oh c’est trop bon, on m’a jamais sucé comme ça Marco, continue), il me prend la tête et commence à me pilonner la bouche, pour une première fois, je suis fier de moi, Julien : “comment tu encaisses bien meuf” il s’en rend compte, Julien : oh désoler min chou, tu suçais tellement bien que je me suis perdu pendant un moment tu vas bien ? » moi : « oui tu inquiètes », Julien : « allonge-toi sur le dos »,
Il relève mes jambes et fait un bon léchage d’anus, je dirais même il le bouffe comme si ça vie en dépendait, je commence à gémir au début a de mi-voix, ensuite je crie presque, je n’ai jamais ressentir un tel plaisir, Marco : « oh Julien ne t’arrête pas », j’apprécie ce moment, mais j’en peu plus d’attendre, je veux qu’il me pénètre, Marco : « je te veux en moi Julien », Julien : « hum faut pas me le dire deux fois », puis il se masturbe encore un peu puis commence à rentrer cm par cm, j’ai presque pas mal malgré la longueur (22 cm), Julien : « pour une première fois, elle est entièrement rentrée mec, ton trou c’est le rêve, en plus bien serré et chaud », il commence de longs mouvements amples et délicatement pour ne pas me faire mal, il n’ose pas aller plus vite ni plus fort alors je lui donne la permission et je vois un large sourire sur son visage, il commence à me pilonner, mais une moyenne cadence, et il m’embrasse en même temps, le pied intégral, on gémit à l’unisson, je n’ai pas envie de changé de position, je veux savourer ce moment, peau contre peau ; lui sur moi de tout son poids, ma queue qui frotte contre son torse, je ne veux pas jouir, je me retiens le plus possible, mais c’est trop bon et j’éjacule des litres de sperme, ouaaaa, il veut se retirer, Marco : « non-reste en moi, ne sors pas s’il te plaît », il continue à me pénétrer pendant 20 minutes puis j’éjacule à nouveau, lui se retire, il éjacule direct sur mon torse, julien : « oh mec c’était trop bon, ta bouche, ton cul, merci désolé j’ai éjaculé sur toi, je ne pouvais pas me retenir plus »
Marco : « ce n’est pas grave » et je prends son sperme sur mon torse et le met dans ma bouche. Je vois un regard lubrique dans ses yeux et la queue tressauté »
Julien : « tu aurais été une meuf, je t’aurais pris sal ».
Hum j’aimerais bien (je l’ai pensé), j’aurai aimé un deuxième round, mais ont été tous les deux fatigué, on s’est endormi dans les bras l’un de l’autre.
Le samedi matin vers 9 h, Julien dort encore,
Je commande le petit-déjeuner, croissant, pain au chocolat, jus de fruits pressé, œuf brouillé, salade de tomates,
Je retourne au lit, entre sous la couette et commence à sucer Julien, au début il dort encore, puis j’entends sa respiration s’accélérer, il se réveille tout doucement, il met sa main tout doucement sans me brusquer, il impose un rythme, mais c’est gérable, j’intensifie la fellation jusqu’au bord de l’orgasme, Julien : « arrête je vais jouir », je continue et hop il éjacule dans ma bouche, j’avale tout jusqu’à la dernière goûte, je ne laisse rien échapper de ma bouche, Marco : que c’est bon, Julien : désolé mec je voulais pas jouir dans ta bouche, les meufs n’aiment pas ça en général, elle recrache souvent mon sperme, mais toi tu as l’air d’aimer ça, si tu étais une fille, je ne t’aurais pas lâché »
Marco : le petit-déj est servi, on se régale et en mangeant Julien n’arrête pas de me dévorer des yeux.
Julien : je croyais que c’était une seule fois, mais une fois que tu as goûté à ma bite, tu deviens accroc.
Marco : ce n’est pas moi qui dirai le contraire et puis comme dit la pub, les produits laitiers sont nos amis pour la vie, faut bien que j’aie ma ration quotidienne, en plus je me suis dit on est un week-end entier ensemble tout seul, autant profité de ton corps encore un peu.
Julien : je me suis dit ça aussi, après la nuit dernière, j’aurais eu du mal à contempler ton corps sans ne rien tenter, puisque c’est toi qui en redemandes, je ne vais pas me priver, tu vas t’en souvenir de la visite de la tour Eiffel.
On finit de manger on s’habille, short débardeur, car on va à la plage, même s’il fait froid en cette période, il n’y pas grand monde, pas beaucoup de matière à gratter, Julien : « heureusement qu’il n’y a pas trop de minettes, comme ça je me concentre que sur toi ».
À midi on va manger dans un restaurant en bord de mer, on se prend une daurade avec des légumes, un bon vin blanc puis je prends un tiramisu au café en désert et Julien un brownie coulis de chocolat blanc.
Puis on va se balader un peu, mais il commence à pleuvoir, donc on rentre à l’hôtel, on se fait une séance de massage, puis jacuzzi, on est pas seul, donc on se lance des petits regards coquins discrets, on reste une bonne heure puis on remonte dans la chambre, en mode chill on se regarde un film et Julien sort de son sac des snacks qu’il avait acheté hier avant de venir me chercher, chips, bar chocolaté, bonbons, tout ce qui est bon pour un régime, on s’endort à moitié, je suis assis entre ses jambes, puis je me réveille, regarde l’heure, il est 19 h, je sens une bosse dans mon dos, hum il a toujours la trique, je l’allonge tout doucement, j’enlève son short, et je commence une fellation avec une vigueur, qui met le gros monument en forme rapidement, il ouvre les yeux, sourit et prend son plaisir pendant 5 bonnes minutes puis j’arrête, le sourire malicieux aux lèvres.
Julien : « Pourquoi tu t’arrêtes, ça ne se fait pas, s’il te plaît continue mon Marco »
Marco : « à une condition »
Julien : « tout ce que tu veux, tu sais que je suis là pour te faire plaisir »
Marco : « j’ai envie que tu me prennes sal, comme tu as dit hier, ça m’a trop excité de te l’entendre dire »
Julien : « tu n’es pas sérieux mec, j’ai envie de te faire plaisir, je ne veux pas que tu sois mal, je ne sais pas si tu vas encaisser, en plus quand la bête est de sortie, j’aurais du mal à m’arrêter »
Marco : « je veux quand même essayer et tu me referas l’amour plus tard, on a encore du temps »
Julien : « si tu le dis »
Je recommence à le sucer comme une salope, et là il prend les choses en main, il m’attrape la tête et commence à me pilonner la gueule, j’ai l’impression d’avoir la mâchoire presque démontée, mais j’aime ça.
Julien : « Marco, ça va ? »
Marco : « mais oui ça va tu inquiètes pas, tu peux y aller franchement, ne pense pas à ton meilleur ami, mais à une chienne que tu veux remplir »
Et là c’était le mot de trop, ça déclenche le monstre qui est en lui, il reprend le pilonnage de ma bouche, « tu la veux ma queue salope », il a un regard noir et au lieu de me faire peur, je kif encore plus, il me doigte en même temps l’anus et j’arrête de bouger mon cul comme une traînée, quand il a fini de jouer avec ma gorge, il me met en levrette et se place derrière moi, j’appréhende un peu, mais l’envie est plus forte.
Julien : « tu vas prendre cher » et il rentre d’un seul et s’arrête quand elle bien au fond, j’ai douleur éclaire, mais heureusement qu’il m’a bien doigté, il hésite, mais je le rassure et là il commence un commence à me mitraillé de sa bite en mode perceuse, pour l’encourager, je gémis et la pendant 20 bonnes minutes, je prends son pénis dans le cul sans difficulté et ils enchaînent les claques sur les fesses, et les insultes, « tu encaisses bien sale chienne, c’est ça que tu voulais salaud, tu en veux encore petite garce » puis au moment de jouir, il me retourne me remet sa queue en bouche et éjacules des rasades de sperme, j’avale presque tout, mais ça déborde quand même un peu, il me fait léché les draps pour récupérer tout ce qui reste, Julien : « les pétasse dan ton genre, ça perds pas une goute » la pression redescend, on s’allonge complètement vidé sur le lit.
Julien « je n’ai jamais vu quelqu’un encaissé aussi bien ma bite, aussi longtemps, au bout d’un moment les meufs ont mal et parfois je suis obligé de me finir tout seul, mais toi c’est comme si ton trou était fait pour elle. Merci me »
Marco : « tu ne regrettes pas que je t’aie demandé alors »
Julien : « ah non pas du tout, te baiser ou te faire l’amour, y a qu’a demandé et monsieur sera servi.
On se commande à manger, riz cantonais, brochette d’agneau et on reboit une bouteille de champagne, en désert yaourt aromatisé au sucre de canne, puis on discute encore peu, il me fera l’amour dans la nuit, puis le matin au réveil une bonne baise encore plus hard que la vieille,
On a encore pris un petit-déj copieux et on a repris la route pour la maison, le dimanche en fin de matinée.
Blackshy
yanou31@aol.com
