1 | La Découverte
Bonjour à tous!
Avant de commencer ce récit, puisqu'il s'agit de mon premier, laissez-moi me présenter! Je suis Léo, j'ai 26 ans, et je suis danseur. Je pratique aussi l'autoportrait photographique avec une dimension d'érotisme. En effet, j'ai un rapport à mon corps assez particulier, j'aime toujours le découvrir, l'apprivoiser. Ce qui me pousse aujourd'hui à vous faire part de mes rencontres, de mes différentes expériences, vous laisser rencontrer aussi ceux qui ont participé à forger celui qui je suis aujourd'hui. Alors bonnes lectures...
Exploration corporelle 1 / Sortir enfin de chez soi
Ma première rencontre se passe lors de ma dix-huitième année, mes études de danse venaient de se conclure et les premières auditions me tendaient les bras, tout comme le stress qui était livré avec! J’habitais chez mon père, un militaire assez aigri qui ne comprenait pas mes choix de vie, ainsi que mon frère, jeune militaire aussi, qui était franchement très solitaire! Ce contexte étant l'idéal pour ne pas pouvoir librement m'exprimer, je me tournais vers des sites de rencontres où le sérieux n’est pas une priorité... mais où j'annulais au dernier moment, par crainte évidemment! Ce que j'étais froussard en y repensant! En même temps mon physique de danseur classique, imberbe, fin, de son mètre soixante-quinze pour cinquante cinq kilos, de sa peau lisse et nacrée était le fantasme de ces messieurs…
C'est alors qu'un utilisateur au nom bien évocateur, dadpourtoijh, 39 ans, m'envoie un premier message bien loin du célèbre "tu cherches quoi par ici?"
- Salut, je suppose à ton âge que tu est récemment arrivé ici, je serais ravi d'échanger avec toi, beaucoup vont essayer de te sauter dessus, ce n'est pas mon cas!"
C'est aussitôt que le dialogue fût sérieux, posé. Il avait tout de suite compris que m'exciter ne servirait qu'à lui promettre un rendez-vous impossible, il était avant tout là pour me rassurer, me permettre de passer le pas! J'appris qu'il était marié, dans une relation libre, ancien rugbyman, et qu'il préférait la fougue des jeunes hommes, tandis que moi l'expérience et la sagesse des plus matures.
- Voici ce que je te propose, me dit-il, je connais un hôtel simple, je t'y accueille habillé, et nous pourrons commencer par un massage, ce qui te permettra de me toucher tout en ayant conscience qu'il t'est possible de dire stop! J'amènerai des jouets de mon côté pour que l'on puisse te préparer sans crainte et sans douleur... et si à la veille ou le jour même tu renonces, tu ne culpabilises pas, ok?
Il fût le premier à me décrocher par message un…:
-Disons mercredi prochain?
-Alors à mercredi, Léo.
Le mercredi vint alors, avec toutes questions dans mon crâne:
- Comment je m'habille?
- Je mets des sous-vêtements sexy?
- Et si c'était un piège...
Mais je reçu ce SMS:
- Salut Léo, je voulais t'appeler mais si jamais ta famille est dans le coin ce n'est pas prudent. Je voulais te dire que je suis en ville et je me dirige bientôt à l'hôtel. Surtout ne t'embête pas pour savoir quoi mettre ou prendre avec toi, le principal est que tu viennes toi!
- Merci de ton message, je me prépare et je pars de chez moi!
14h00, mon lavement s'étant bien déroulé, je pars... et après quarante cinq minutes de bus, nous y voici, devant cet hôtel premier prix où seules quelques voitures meublent le parking et le paysage!
Un grand homme se rapproche de moi, frôlant les deux mètres, me dit avec un accent occitan:
- Salut Léo, enchanté! Tu vas comment?
- Enchanté Franck! Et bien, bizarrement, je ne me sens pas stressé!
- Alors qu'attendons nous? Allez! Suis moi...
Nous entrions dans une chambre plutôt spacieuse, comme décrite par Franck, simple! Je commençais alors à regarder avec plus de soin celui qui serait peut-être le premier à me pénétrer... Il portait un polo rouge, moulant ses pectoraux et ses abdominaux bien gonflés, un chino marron qui suggérait des cuisses musclées, et un fessier bien développé! Comme convenu nous allions commencer par des massages de l'un et de l'autre. Avec sa permission, il commença à m'ôter un pull trop large, déboutonna ma chemise froissée, ce qui me permettait de sentir son parfum boisé et viril. Il déboutonna mon pantalon, skinny à l'époque, descendît la braguette et retira le tout pour ne laisser sur ma peau plus qu'un slip blanc, moulant mes fesses et mon paquet, qui commençait d'ailleurs à gonfler. J'en fît de même le concernant, le haut retiré laissait apparaître une musculature impressionnante, recouverte d'un doux poil brun. ses jambes l'étaient tout autant, et complétaient cette image de bête féroce mais tendre que dégageait Franck. Comme mon père avait installé le contrôle parental à la maison, les seules images qui rôdaient sur mon smartphone provenaient de calendriers célèbres, exposant tantôt rugbymen, pompiers, curés italiens, ou encore nageurs... J'avais en face de moi cette figure fantasmée, que je ne pensais mériter un jour, qui me désirait encore plus en retour.
Franck s'allongea sur le ventre, retira son caleçon noir. Deux fesses intensément sculptées et recouverte du même pelage que le torse se présentaient devant moi et n'attendaient qu'à être détendues par mes soins. Je posais alors mes mains enrobées d'huile à la camomille sur son dos, un plaine de muscles qui était d'une douceur! Etant danseur, lui sportif, j'engageai des mouvements dynamiques, puissants... Sa respiration laissait supposer que je faisais du bon travail, mais surtout lorsque mes mains glissaient involontairement et effleurant le bas de ses reins. Après quelques minutes, la voix de Franck s'échappait de son oreiller:
- Tu es un vrai chef dis-donc! Ça fait longtemps qu'on ne m'avait pas aussi bien massé...
- En même temps ton corps est une invitation au toucher...
- N'hésite pas à descendre plus bas, d'ailleurs... et si tu te sens assez à l'aise...
- Me mettre nu...?
- Je vois qu'on pense les mêmes choses...
Je m’assis, alors nu, sur le bas des fesses de Franck pour lui masser les reins, puis lentement les fesses. Il commença des ondulation, je comprenais qu'il se faisait plaisir...
- Si tu souhaite te retourner... dis-je.
Et Franck laissa apparaître une énorme tige érigée de 23 centimètres, décorée par deux boules fermes et chaudes. Elle était impressionnante, mais l'excitation était trop forte pour me faire reculer. Ma main commença à l'effleurer, la frotter, la branler mais je ne pu résister longtemps: ma bouche se vît comme attirée et pendant que lui laissa sortir un râle, son gland vînt remercier le fond ma gorge. Je restait ainsi, en laissant ma langue caresser cette magnifique créature.
- Oh Léo mais tu as un don pour sucer! Continue un peu... mais après laisse moi goûter à ton corps.
Après plusieurs minutes de vas-et-viens, de râles, de lubrification, je retirai ma tête mais aussitôt... je sentis deux mains sur mes flancs, qui me prirent entre force et tendresse. En quelques secondes je me retrouvais dans les bras de ce titan qui me léchait le corps, les tétons, je ne pouvais retenir mon plaisir, alors que deux mains écartaient et malaxaient mes fesses! Il était devenu impossible pour moi de rester silencieux, de petits sons fuyaient ma gorge, passant entre mes lèvres qui s'entrechoquaient inconsciemment.
Franck me dit alors entre deux trois coups de langue:
- Si tu acceptes que je te doigte, dirige l'une de mes mains sur ton trou?
Je pris alors sa main droite, je l’emmenais vers mon anus lorsque je sentis son majeur commencer à s’insérer. A mesure qu’il entrait, une sensation unique prît l’ensemble de mes jambes, de mes reins, puis l’ensemble de mon corps. Cette première fois, on s’en souvient tous! Il me suçait un téton et tirait en même temps sur mon trou, j’étais serré… mais je sentis bientôt l’index rejoindre son voisin.
- C’est rare d’avoir un trou aussi facile à desserrer, dit Franck, tu es vraiment naît pour être passif ou versatile, toi !
C’était surtout car je ressentais toute son excitation, j’écoutais ses soupirs, sentais son parfum mélangé dorénavant avec sa sueur, touchais sa verge dure contre la mienne, jalouse de ne pouvoir encore me pénétrer.
En effet, il était encore trop tôt pour moi de recevoir le coup de grâce! Franck m’allongea sur le dos et venait de sortir un gode plus petit que son phallus. Après m’avoir lubrifié, il me positionna à genoux à côté de ma tête. Je le suçait, il me travaillait. Les mouvements qu’il réalisait avec le gode étaient francs, mais d’une grande bienveillance. Je m’appliquais à en faire de même, alternant va-et-vient, coups de langue, je sentais qu’il aimait particulièrement lorsque je restais au niveau de son gland et que ma langue effleurait celui-ci. Le moment dura jusqu’à ce que le gode ne fût plus assez pour moi. Il le retira et se mît à tapoter de sa main de géant sur mon anus. La sensation était intense et exquise:
- Je te penses enfin prêt, que dis-tu?
- Je ne peux plus attendre, essayons…
Il enfila un préservatif. Je me mis alors à quatre pattes, lui à genoux derrière moi. Je n’avais pas peur, il était si réconfortant, ce Franck. Alors que j’avais une image du vieux macho rugbyman du Sud dans ma tête il y a quelques semaines de notre rencontre, j’avais avec moi un homme assuré, tendre et dynamique avec moi. Je me cambrais au maximum, j’avais lu sur des forums qu’il était mieux ainsi pour ne pas trop souffrir. Une main se posa sur mon dos, accentuant cette cambrure encore plus:
- Je n’ai étais passif que quelques fois dans ma vie, précisa Franck, tu risques de ne pas trouver cela agréable au début. Mais il faudra que tu évites de te retirer trop vite si tu ne veux pas accentuer la douleur…
- D’accord, répondis je.
Son gland se positionna sur mon anus, puis entra, me libérant à jamais de ma virginité. Aussitôt une sensation, mêlée de chaleur, de douleur, d’extase me vint. Il était en moi, enfin un homme était en moi. Mon plaisir s’unissait avec le plaisir d’un autre. Mais vite la douleur prenait le pas…
- Retiens moi, soupirai je …
- Ne t’en fais pas!
Il me remonta le dos contre son tronc et m’entoura de ses bras. Je commençais à onduler, et sentais que cela permettait d’atténuer cette douleur accentuée par la crainte. Je réalisait les mouvements, donnait le rythme, lent et appliqué pour ses plaisirs, une main commençait à me caresser le ventre, l’autre me titillait un téton. Puis Franck me pencha de nouveau en avant et prît le contrôle des choses, il allait plus vite, faisait se faire entrechoquer mes fesses à son corps. Son souffle devenait de plus en plus saccadé, et dans un dernier élan, me remonta dans la précédente position pour asséner l’ultime coup. Sa bouche était à côté de mon oreille, son râle était incroyablement excitant. Ma main enfourcha alors ma verge et seulement quelque va-et-vient eurent raison de moi. Quatre jets furent délivrés sur le long du lit…
Franck se retira, s’allongea à plat dos. J’allais prendre une douche, l’esprit partagé par le plaisir de ce moment mémorable, et cette mélancolie du retour aux banalités de mon quotidien…
Orpherotico
ancel.leox@gmail.com