Toujours écouter ses désirs
Voila je me lance, y’a longtemps que je bande comme un fou en lisant vos histoires alors a mon tour de vous raconter une des miennes.
J’espère que vous serez indulgents et ‘espère bien vous faire bander aussi.
Donc cette histoire s’est passé y’a une dizaine d’année, j’avais alors 26 ans.
J’ai rencontré Bertrand à la salle de sport , moi je débutais et lui était un de ces habitués perfectionniste et très sympa. Il a vite commencé à me donner des conseils, m’assurer, me montrer les mouvements, j’étais hypnotisé.
Bertrand avait la trentaine : grand, brun, musclé sec et épilé : mon pure fantasme sur pattes.
Pour rien gâcher il était policier et dans le costume il était bandantissime !
Au fil des séances on s’est bcp rapproché et on a fini par devenir des réguliers l’un pour l’autre, on fsait du sport ensemble et on s’envoyait en l’air sans les prises de tète d’un couple : le top.
On s’éclatait bien au pieux mais il y avait un gros mais : il était monté comme un cheval, mais vraiment c’est-à-dire un bon 24 et très très épais. Le genre de bite qui fait rêver n’importe quel salope, mais moi j’étais du genre bien étroit et ça m’effrayait.
Et il le savait , plusieurs mecs avaient déjà renoncés devant son pieux !
On avait convenu que je serais tjs actif et ça fonctionnait bien pendant plusieurs mois.
Puis peu a peu il s’est mis à me manger les fesses, me doigter, pendant de longues sessions, j’ai commencé à en vouloir plus et lui aussi. J’ai fini par lui réclamer de me baiser. On a convenu que ça se passerait chez lui le lendemain soir. Toute la journée je n’ai pensé qu’a ça avec a la fois le désir et l’envie, mais en même temps l’angoisse d’avoir trop mal, la boule au ventre. La journée m’a paru interminable.
Le soir est en fin arrivé, j’ai sonné à sa porte, il m’a ouvert en tenu de flic hummm bandant.
Il avait bien préparé les choses : lumière tamisée des bougies parfumées autour du lit, sur la table de nuit plusieurs tubes de gel et des capotes. C’était décidé j’allais passer à la casserole.
On s’est embrassé longuement, caresses effeuillage suce, de longs préliminaires, puis il s’est attaqué à mon trou longuement coups de langue, doigts, il m’a fouillé en profondeur de sa langue, peu à peu j’ai senti que je m’ouvrais, en douceur mais surement. Au bout de cette longue session j’en pouvais plus : je lui ai dis j’en peu plus vas y possède moi !
Je me suis mis a 4 pattes sur le lit, lui derrière moi.
Il a enfilé une de ses king size , s’est enduit la bite de gel et a commencé à me tartiner le cul, il m’a bien graissé , tellement qu’a peine il a appuyé son gland sur ma rosette qu’il est entré. J’ai cru qu’il m’avait littéralement déchiré en 2, j’ai hurlé, je me suis crispé et redressé, il s’est retiré , je me suis laissé retomber sur le lit et il m’a pris dans ses bras , j’ai porté ma mais à mon cul pensant la voir pleine de sang , mais rien juste du gel.
Il m’a câliné et embrassé un long moment. J’étais frustré j’en voulais plus.
Je ne voulais pas abandonner , je lui ais dis , il m’a demandé : t’es vraiment sur de toi ? et pas de doute je le voulais vraiment. Il a alors sorti de sa table de nuit un flacon de poppers et m’a demandé si j’avais déjà testé. Honnêtement non alors il m’a dit sniff : ce que j’ai fais, un coup, rapidement j’ai senti la chaleur monter en moi, et le désir , jusqu’à n’être plus que désir. Je lui ais dit prends moi.
Je me suis remis à 4 pattes, lui derrière, il m’a dit pousse comme si tu voulais chier et sniff. Je me suis exécuté : une narine, puis la 2eme, il a callé son gland et comme la première fois c’est rentré direct, comme la première fois j’ai hurlé, je me suis sentis étiré a l’extrême, à la limite de la rupture mais je ne me suis pas crispé, pas redressé, j’ai sniffé comme un affamé . en entendant mes hurlement il a voulu se retirer j’ai gueulé non reste, continu, j’en vaux plus, je te veux entièrement en moi !!
Il s’est penché sur moi, j’ai senti son torse frôler mon dos et son sexe a commencé a progresser en moi. J’était tellement écartelé que je sentais mon cœur pulser dans ma rondelle, et à mesure de sa progression je sentais chaque millimètre de mon conduit s’étirer à l’extrême. La sensation était a la fois horrible et divine , le poppers m’électrisait.
Il progressait tout doucement pour ne pas me faire trop mal et me couvrait de bisous a mesure qu’il enfonçait sa poutre en moi. Au bout d’un long moment qui ma parût interminable j’ai senti ses boules s’écraser sur mon cul. Je sentait mon conduit étiré à l’extrême, à la limite de la rupture.
J’ai sniffé encore , bien a fond et à ma grande surprise c’est moi qui ai commencé a coulisser sur sa poutre, j’avançais et reculais de plus en plus fort, et les hurlements ambigus se sont changés en gémissements de plaisir. Quand il a senti que je n’étais plus que plaisir, il m’a chopé par les hanches et a commencé à me pilonner sans ménagement, je me suis remis a hurler, mais cette fois plus aucun doute n’était permis ce n’était que du plaisir.
Il s’est déchaîné , j’étais en vrac je n’avais plus aucune force, mes jambes et mes bras ont cédé en même temps et je me suis écrasé sur le lit , lui en moi, lors de la chute le coup de boutoir a été monumental et il a continué a se déchaîner en moi, je sniffais a tout moments et en voulais tjs plus. Puis dans un dernier accès de puissance j’ai senti tous les muscles de son corps se contracter, et au même moment j’ai senti une explosion de plaisir m’envahir. la capote avait craquée et il se déversait en moi, moi mon sphincter n’arrêtait pas de se contracter, je découvrais mon premier orgasme anal.
Il n’en finissait plus de se déverser en moi et je n’étais plus que plaisir.
On est resté un long moment comme ça : lui allongé sur moi, son sexe en moi , il me caressait et m’embrassait. J’étais au 7 eme ciel.
On a remis ça tres très souvent après et c’était les meilleurs séances de baise que j’ai eu.
Si ça vous a plu n’hésitez pas à me le dire et a me faire bander !
Sexadict
sexadictgay@outlook.fr