Mon histoire n'ai pas banal car j'ai été déniaisai par mon frère, ce qui n'est pas si rare, mais moi ça a été par mon petit frère de 5 ans mon cadet ...
Lui s'appelle Victor et a toujours était un gars détendu et sans complexes qui profitais de la vie que soit en sport, en amitié ou en sexe et il n'a pas hésité, l'année de ses 18 ans, à présenter son petit copain ( il est BI) à nos parents.
Moi je m'appelle Alexandre, mais on me dit en général simplement Alex, et au contraire de Victor, j'ai toujours étais assez réservé et disons même timoré de sorte que je faisais pas de sport et n'avait que 3 copains et encore je leur racontais pas tous mes états d'âme... Par contre j'aimais la musique classique et je jouais, et joue toujours, du piano ce qui faisais de moi un garçon à part au lycée. J'avais été trois fois plus ou moins amoureux de filles, mais sans aller plus loin qu'un baiser et encore sans recommencer souvent. Bref j'étais tout le contraire de mon petit frère et on était pas proche du tout.
A 24 ans passés j'aimais, enfin, beaucoup une fille, Marie, même si on a quasi rien fait et surtout pas l'amour. J'avais 25 ans quand cette fille m'a quitté pour un gars plus déluré et alors mon frère avait donc 20 ans. Il était toujours avec son petit copain de ses 18 ans, Antoine dit Tonio : ça avait l'air assez sérieux entre eux et Victor respirait le bonheur.
Moi je broyais du noir alors mon frère m'a proposé d'aller quelques jours dans un camping à la mer pour me changer les idées, je pensais qu'on y irait avec Tonio et j'avais peur de les déranger et de mes sentir mal à l'aise entre eux ; mais mon frère m'a rassuré en disant que Tonio était occupé et qu'on serait seuls tous les deux alors j'ai accepté.
Finalement on se retrouve au Grau du Roi, on monte vite fait la tente et on va à la plage et, en me surprenant pas mal, mon frère a voulu qu'on aille à la section nudiste. J'étais un peu complexé car je me trouve moche : je suis grand mais assez maigre et poilu : les poils me donnent un faux air viril que mon absence de muscles dément, ainsi que mon sexe qui dépasse pas les14 cm en érection et fait bien moins au repos.
Mon frère lui n'avait pas à être complexé car il est grand, fin mais pas maigre avec ses muscles bien dessinés par son absence de graisse ; de plus il a alors affiché un sexe que je voyais pour la première fois et qui, bien qu'au repos, était enviable: long et épais avec un gros gland ( pour des raisons d’hygiène on a été circoncis tous les deux).
Bon j'ai quand même surmonté mon malaise en me jetant vite à l'eau car j'aime nager et que aussi ça me permettait de cacher mon corps, pendant ce temps Victor, après avoir nagé une demie-heure, se bronzait et attirait les regards des gars et des filles indistinctement : je vis qu'il en bandait à moitié et me demandais ce que je ferais si il ramenait une conquête sous notre tente...
Mais bon finalement on est rentré que tous les deux au camping et, après une bonne douche, on a mangé au petit resto sur place. Pendant le repas Victor a essayé de me changer les idées et comme ça marchait pas trop il m'a dit que Marie s’éclatait avec son nouveau mec et que moi aussi je devrais prendre du bon temps. Mais je lui dit que n’avais pas trop le gout à faire du sexe en ce moment et il m'a charrié en disant que c'était tout le temps en fait, mais que c'était je n'étais pas encore tomber sur une personne qui avait su y faire avec moi...
Bon on s'est attardé au resto jusqu'à la fermeture puis on est allait se coucher . On avait amené chacun un duvet mince mais il faisait bien trop chaud, aussi je voulus juste me glisser dans le drap housse ; mais Victor me dit que ça serait encore trop chaud et il s'installa dessus ... et à poils ! Je fus un peu surpris de cette promiscuité, mais quand il me dit de faire pareil je l'imitai mais j'étais un peu troublé...
On a éteint les lumières mais il faisait pas noir complet dans la tente translucide et je vis que Victor bandait ! Ça m' encore plus troublé et moi aussi je me suis mis à bander ! Très gêné de ses doubles bandaisons entre frères je me suis tourné sur le coté pour cacher la mienne de sorte que j'avais les fesses vers mon frère. Je cherchais a faire semblant de dormir même si j'étais trop troublé pour sombrer dans le bras de Morphée. Et en fait de bras c'est un bras de Victor qui est passé sur mon flanc avec une main qui a commencé à me caresser le torse !
- Qu'est tu fais ? dis-je surpris, tout autant de son geste que le l'effet agréable que ça ma faisait.
- Laisse-toi faire, tu verras ça seras cool et tu as besoin de ça !
Alors je me laissais faire ! Ses caresses se sont intéressaient à mes tétons en les pinçant et ça aussi c'était cool, bien que nouveau pour moi. Mais ce qui était surtout nouveau c'est que je sentais son gland chaud dur et doux à la fois qui appuyait contre mon anus. C'était surprenant mais agréable, aussi, instinctivement, je me cabrai offrant mon trou à cette caresse.
Mais mon frère avait un plan que je soupçonnait pas dans mon innocence : il profita de ma position pour m’attraper par les hanches et poussa du gland contre mon anus, progressivement mais fermement, de sorte que petit à petit il m'ouvrit et ce trouva installé en moi. Bien sûr j’eus mal et je gémis en me mordant les lèvres, tout en me retenant de hurler pour pas alerter les voisins de tente...
Comme je ne me débattait pas Victor en conclut que j'étais consentant et commença à me limer, d’abord cool, ce qui me permit de me faire à son calibre dans mon trou vierge, puis de plus en plus fort et rapide me secouant tout le corps depuis l'intérieur et là je recommençai à gémir, mais de plaisir cette fois. Au passage il me massait la prostate ( je connu après l'existence et les capacités jouissives de cette glande) de sorte que quand il me féconda au bout d'une vingtaine de minutes je jouis sans même me toucher d'une double jouissance : celle classique de l'éjaculation et, surtout, celle inconnue de venue du fond de mes boyaux : je connu l'extase !
Victor laissa son sexe débander calmement en moi, puis celui-ci sortit doucement. pendant ce temps mon frère me serrait dans ses bras contre sa poitrine puissante et s'endormit d'un coup. Je sentais sa respiration régulière dans le cou, cela me berçait agréablement mais je ne pus pas m’endormir car je pensait que, contre toute attente, j'avais rejoint le camp des enculés et même des enculés heureux et que, bien plus troublant, c'était grâce à mon petit frère. Je sentais que ce moment allait nous rapprocher tendrement et durablement...
Alex
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