1 | Un plan inattendu
Je l’avais rencontré à peine une heure plus tôt sur une appli et il était là en face de moi dans ma chambre étudiante, trop petite pour deux. Lui c’est Yassine, un beau rebeu de 27 ans 1m85, plutôt musclé, un regard froid et des cheveux noirs courts un peu en brosse. Quant à moi, je suis Axel, tout juste 19 ans, 1m80, quelques kilos en trop, cheveux longs (jusqu’aux épaules, ce qui fait bien kiffer certains mecs d’ailleurs).
C’était la première fois que je me connectais sur ce type d’appli et même si je n’étais plus un novice, je n’avais pas eu beaucoup d’expériences. Tout ce que j’avais retenu de ma sexualité adolescente, c’est que j’aimais être passif. Plus que ça, soumis même. J’adorais que le mec en fasse de moi me fasse comprendre rien qu’avec son regard qu’il allait m’utiliser, comme il l’entendait. Et j’en redemandais toujours. Je ne suis cependant pas fan de la violence, une petite claque, quelques fessées bien placées oui mais au-delà ça ne m’excite plus vraiment. J’étais donc surpris qu’après à peine 10 minutes sur cette appli, Yassine m’ait contacté. Un profil vide indiquant juste son âge, pas de photo et juste un « Salut tu cherches quoi ? ». Je lui ai donc expliqué tout ceci et il m’a répondu être super intéressé pour « utiliser la chienne que j’allais devenir devant lui ». Et 45 minutes plus tard il était assis sur mon lit à siroter une bière pendant qu’on discutait.
Le plan n’était pas comme dans mes attentes, on parlait un peu, il me chauffait du regard, me caressait légèrement, m’invitant à en faire de même. Après 30 minutes à ce régime, et à force de voir sa queue déformée de plus en plus son jogging, je n’en pouvais plus. J’avais envie qu’on accélère, et sérieusement. Il le vit aussitôt dans mon regard puisqu’il me sourit, se rapprocha doucement de moi et saisit d’un coup ma nuque. Toujours en souriant, il me cracha sur le visage et dit :
- Je sais que tu la veux vu comment tu la regardes, t’inquiète pas, moi aussi j’ai bien envie.
- T’étais pas obligé de me cracher dessus (j’avais été assez surpris par la spontanéité de la chose)
- Je fais ce que je veux de toi, d’ailleurs
Pendant qu’il parlait, il appuyait sur ma nuque pour que ma tête descende vers son entrejambe, je du me mettre à quatre pattes sur mon lit pour suivre le mouvement, ce qu’il n’apprécia pas.
- Reste pas avec moi sur le lit, mets toi par terre à mes pieds, à ta place !
Je changeais donc de position, silencieux en me disant que ce début était finalement pas si mal engagé que ça. À genoux devant lui, je pouvais maintenant prendre conscience de la taille de sa queue. Même si elle était enfermée dans ses vêtements, j’avais la tête coincée dessus. Il n’avait pas retiré sa main de ma nuque et m’obligeait à sniffer et à lécher sa queue, enfin m’obligeait c’est un grand mot. Il desserra son emprise après une ou deux minutes et profita que je m’étais légèrement éloigné pour baisser direct son survet et son boxer. Sa queue atterrit sur ma joue et il commença à me mettre quelques bifles.
- Aaaaaah ouais je sens que je vais bien m’éclater avec toi.
Je lui lançais alors un regard bien salope, pour lui faire comprendre que je n’attendais que ça.
- Mais en plus t’en veux ptite salope. Bah t’en fais pas, je suis bien chaud et j’ai pas vu une bouche depuis 10 jours, alors t’as intérêt à assumer ce que t’as démarré.
Je le regardais, à la fois excité et un peu apeuré. Sa façon de me parler me rendait de plus en plus fou. Il a capté mon regard pendant une énième bifle et m’a lancé :
- De toute façon t’auras pas le choix.
Avant de coller on gland qui avait déjà mouillé à mes lèvres et de pousser fortement sur ma tête pour rentrer dans ma bouche. Je ne cherchais même pas à résister, savourant la délivrance de sentir sa queue commencer à pénétrer ma bouche. Il bandait déjà complètement, ça devait effectivement faire quelques temps qu’il n’avait rien fait, je décidais donc de lui procurer le plus de plaisirs possible. Il avait arrêté sa pénétration quand son gland avait touché le fond de ma bouche, juste contre mes amygdales. Il avait poussé un grand râle de plaisir.
- Comme elle est chaude ta bouche ! Vas-y fait moi kiffer un peu, montre moi ce que tu sais faire.
Je commençais à sortir légèrement sa queue de ma bouche, la léchant au maximum au passage, jusqu’à ce qu’il ne reste que son gland entre mes lèvres que je serrais au maximum. Je passais frénétiquement ma langue sur son gland ce qui lui arrachait des petits cris de bonheur. Je ressortais son gland et lui dit :
- Alors, je fais ça assez bien pou …
Je n’avais pas eu le temps de finir qu’il avait enfoncé sa queue d’un coup dans ma bouche en mettant sa main derrière ma tête. Mon nez était écrasé sur son pubis un peu poilu et ses couilles se retrouvaient plaquées sur mon menton.
- Voilà, là tu me fais plaisir !
J’essayais de capter son regard mais il avait mis la tête en arrière et se retenait sur le lit avec son bras. Je sentais ma gorge, pénétrée par son gland, palpiter tout autour. Même si j’aimais pratiquer la gorge profonde, il était très bien membré (environ 20x5) ce qui demande quand même un peu de pratique. Pratique que je ne possédais visiblement pas assez car après une dizaine de secondes qui me parurent des heures où j’étais littéralement étouffer par sa queue, je commençais à suffoquer. Il avait relevé la tête et me fixait du regard, avec un sourire carnassier. Il sentis que je commençais à m’agiter et appuya un peu plus fortement sur mon crâne.
- J’aime trop voir ton regard paniqué pendant que tu t’étouffes !
Il mit un léger coup de rein qui fit taper son gland encore plus profond en moi et lâcha la pression sur ma tête. J’appuyais fort contre ses cuisses avec mes mains en reculant ma tête et respirer à grandes bouffées. Un long filet de salive reliait mes lèvre à sa queue, toute luisante. À peine ma respiration retrouvée, il recommença son petit manège. Il continuait sadiquement à m’étouffer et semblait vraiment apprécier me voir galérer à reprendre mon souffle. Après une dizaine defois, il se leva, mit sa queue face à ma bouche, me saisit la tête de ses deux mains et s’enfonça à nouveau avec la même violence dans ma bouche. Cette fois, il ne resta pas longtemps au fond et commença des va-et-viens de plus en plus rapides. Il se branlait entre mes lèvres et y prenait beaucoup de plaisir. Il me gratifiait de « salope », « comment jte démonte la bouche » ou « j’ai envie de te déboîter la mâchoire sale chienne » qui participaient à mon excitation.
Après 10 minutes de ce traitement je commençais à m’habituer. Sentant que ma gorge ne lui résistait plus assez, il est ressorti d ma bouche, maintenu ma tête avec sa main en se branlant à toute vitesse de l’autre main et a craché tout son jus directement sur mon visage. J’essayais de me dégager tant j’en recevait mais il choisit de plutôt m’enfoncer sa queue dans la bouche pour cracher les derniers jets dans ma gorge. Quelques coup de rein plus tard, il sortit à nouveau, remonta son boxer et son jog, finit sa bière et parti de chez moi sans se retourner et sans un mot.
Je peinais à réaliser ce qui venait de m’arriver, je déglutissais comme je pouvais le reste de son sperme, coincé dans ma gorge et commençais à comprendre ce qui s’était passé. Pour autant je ne m’expliquais pas pourquoi ce mec avait pris le temps de discuter, de nous chauffer tous les deux si c’était pour que ça se finisse comme ça. Comme s’il avait juste besoin de se vider.
Frustré et en colère je me décidais à lui envoyer un message sur l’appli qui disait à peu près « Sympa pour moi, dominant ça veut pas dire que tu m’utilises comme vide couilles et que tu te casses direct après connard. » Je n’avais même pas envie de me branler tellement j’étais déçu de ce plan. Je pris une douche bien longue et allait me coucher sans même regarder s’il m’avait répondu.
J’aurais certainement dû le faire car sa réponse allait être plus qu’intéressante.
J’espère que cette histoire vous a plu. Sachez qu’elle est totalement réelle et qu’elle m’est arrivé il y’a une dizaine d’année environ. Je compte bien vous apporter la suite bientôt. Vous pouvez m’écrire si vous le souhaitez pour me dire ce que vous en avez pensé ou autre. À bientôt.
Axel
axel.histoires@gmail.com