Je n’ai dans ma vie eu que très peu de relation « gay »!
Outre les « touche pipi » durant la puberté, et 3 ou 4 petites aventures avec des copains de l’époque, je n’ai depuis plus eu aucun rapport « homosexuel » comme on disait à cette époque.
Bref, aujourd’hui j’ai 56 balais (un jeune Daddy en fait), hétéro dans la vie mais gay dans mes pensées les plus secrètes.
Car je n’ai jamais pratiqué la fellation, la sodomie, et j’en rêve constamment !
D’ailleurs aujourd’hui, mon vrai rêve, voir même mon Grand Fantasme, serait de me trouver un Jeune sexfriend (20/35 ans) plutôt passif. Je m’imagine avec lui, lors de l’un de nos premiers rendez-vous secrets, à l’hôtel.
Je l’attends un soir ; Il frappe à la porte. Je le fait entrer, et lui dit de ne plus bouger.
Il est enfin là à ma portée, entièrement offert.
Je le regarde attentivement, scrute son corps habillé de mes yeux, plongé dans les siens pour essayer d’y lire son ressentis.
Il est d’origine asiatique, environ 25 ans, 1,65m, fin et musclé.
Je lui demande de se déshabiller et de ne garder que son caleçon.
Il se retrouve donc torse nu, ne portant que son caleçon assez moulant qui laissait deviner de très belles petites fesses bien fermes, une belle ligne de poils partant de son nombril et se dirigeant vers son pubis.
Je me place alors debout derrière lui, et commence à sentir son cou, le lui lécher et dans le même temps, je commence à promener mes mains sur sa taille, son ventre et ses tétons. Je le sent frémir sous mes doigts. Je l’embrasse alors dans le cou, le fait tourner sur lui-même afin qu’il me fasse face.
Je le regarde dans les yeux, m’approche de lui jusqu’à ce que nos corps se touchent (sachant que je suis toujours habillé), je sens son odeur musquée, son haleine, j’approche mes lèvres des siennes et les lui lèche ! Puis je l’embrasse du bout des lèvres et lance ma langue à la conquête de sa bouche. J’écarte ses lèvres, pousse sur sa mâchoire jusqu’à son ouverture, et je peux enfin déguster sa bouche dans ses moindres recoins, enrouler ma langue autour de la sienne… Durant ce temps, mon petit mâle commence à gémir, promène ses mains partout sur mes vêtements, et je crois deviner une protubérance croissante au niveau de son entre jambes.
D’un coup je cesse mes investigations, me recule, rompant ainsi tout contact avec lui. Je lis alors dans ses yeux, à la fois la surprise et de l’interrogation. Puis vient ensuite une autre expression sur son visage, celle de l’envie mêlée à la frustration, déception d’une excitation interrompue.
Et là, justement, sans le quitter des yeux, afin de saisir le maximum de son ressentit, je commence par m’effeuiller, lentement, en commençant par retirer mon blouson que je n’avais pas encore quitté, laissant apparaitre mon t-shirt au travers duquel on pouvait deviner ma poitrine ainsi que mes tétons, mais également un ventre quelque peu ballonnant. Ses yeux commencèrent alors à briller, et regarder attentivement ce qui s’offrait à leur vue ; Car innocemment et nonchalamment, je continuais ma séance de déshabillage, enlevant mon t-shirt pour laisser enfin apparaitre la nudité de mon tronc. Une poitrine légèrement tombante (due à mon âge), mais des tétons rosés bien dessinés et déjà dressés. Ensuite un ventre bedonnant, et un nombril bien creusé d’où partait un fil de poils en direction du pantalon.
Ses yeux n’arrêtaient pas d’explorer mon anatomie. Je sentais bien qu’il avait du mal à se maitriser, même s’il était censé n’être exclusivement que passif. Autant je constatais que son membre était de plus en plus à l’étroit dans son boxer, autant je ressentais tout à fait son envie de déroger à la règle qui était instaurée entre nous, et donc, celle qui l’obligeait de ne plus bouger tant que je ne lui en donnerais pas la permission.
Je continuais donc ma séance de strip-tease, en débouclant mon ceinturon et déboutonnant mon jean, puis, toujours avec beaucoup de lenteur, je baissais ma braguette. Je voyais bien que son excitation était énorme, à telle point que je me demandais s’il n’allait pas éjaculer sans aucun attouchement. Je me retrouvais alors devant lui avec pour seul vêtement mon caleçon moulant très convenablement mes parties intimes.
Une petite pose s’impose dans mon récit. J’ai beau avoir des envies, mais comme bon nombre de “Gay Lutins”, je ne vais pas m’étendre sur mes attributs, cependant ces derniers sont dans la moyenne raisonnable de 15 centimètres “au travail”, par 5 centimètres de circonférence. Je parle là de mon pénis bien entendu.
Il est certain que mon érection en était presque à son maximum, mais je devinais amplement que mon jeune ami était dans le même état, vu le dessin rectiligne de son sexe sur le tissu de son boxer. Et c’est à ce moment précis, que je me suis rapproché de lui, avec pour premier contact, nos sexes emmitouflés et transpirants sous notre sous-vêtement respectif. Je fis alors, avec mon entre-jambes, des allées et venues, à l’horizontale tout comme à la verticale, pour que nos pénis entrent bien en contact sur toute leur longueur. Je sentais la raideur de son membre sur le mien, j’entendais clairement l’accélération de sa respiration, je ressentais, même à distance, que les battements de son cœur s’accéléraient à une vitesse vertigineuse ; Bref, nous étions bien partit pour franchir le point de non-retour. Mais j’en pris le risque et la responsabilité.
Je me rapprochais donc encore de lui, et collais mon corps tout entier contre le sien, nos peaux collées l’une à l’autre, je passais une jambe entre ses cuisses pour bien sentir son sexe contre moi, je caressai son torse de mes mains baladeuses tout en l’embrassant et dévorant sa zone buccale ; En fait, je lui roulais un patin comme jamais il n’en avait connu.
Mais une envie était en moi depuis de longues minutes. Celle de découvrir son anatomie en son entier, et surtout, partir à la conquête de son pubis et de ses trésors cachés. Je glissais donc une main le long de son torse, tout en lui titillant les mamelons au passage ce qui le fit pousser un petit cri très expressif, avant de continuer vers l’élastique de son boxer qui laissait déjà deviner une belle touffe de poils. Je le sentais se raidir, et je devinais avec mes doigts une certaine humidité au niveau du tissu recouvrant son gland. Ça y était, j’avais maintenant, dans ma main, son sexe bandé, ses couilles bien pleines, que je devinais au travers de son boxer que je rêvais de lui ôter sur-le-champ !
Mais je me retenais encore, et je glissais ma main sous l’élastique, en peignant ses poils de mes doigts, jusqu’à arriver à la base de son pénis. Et c’est là que je fis une découverte qui allait m’exciter encore plus …
PS
Zut ! Hé oui ! Il faut bien mettre un peu de suspense, non ?
Mais n’oubliez pas, il ne s’agit là que d’un rêve, d’un fantasme … et donc d'une histoire inventée mais bougrement souhaitée.
Je suis du Sud Aveyron, alors si ça vous dit de correspondre, n’hésitez pas !
La suite pour très bientôt ! Merci à tous
Papynouk
papynouk@gmail.com
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