Cette histoire remonte, il y a quelques années. J’avais tout juste vingt et un an. A cette époque-là, j’étais étudiant à la fac. Et pour les fêtes de fin d’année, tous les samedis et dimanches, je travaillais comme lutin du Père Noël au centre commercial, qui se situait tout près de chez moi. Bien entendu, ce n’était pas le job le plus, mais cela me permettait de me faire un peu d’argent pour subvenir à mes besoins. Le job n’était pas compliqué en soi. Il suffisait d’accueillir les enfants et d'assurer le bon déroulement des séances de photos avec le Père Noël. Pour que cela devienne encore plus réalité, je devais porter un déguisement de lutin de Noël. Il était composé des vêtements suivants : un chapeau vert et rouge, un pull à manche longue blanc avec des rayures rouges accompagné d’une chemise verte, un pantalon court vert, une ceinture, des grandes chaussettes blanches à rayures rouges et des sabot rouge. Bref une tenue qui était plus ou moins ridicule, mais pour les enfants cela fait rêver leur imagination.
Ainsi, en ce samedi 16 décembre 20... Je me rendis au centre commercial en ce début d’après-midi pour assurer la permanence du Père Noël qui devait avoir lieu à 16 h précise. Arrivé dans les vestiaires, je commençais à me changer. J’étais seul ? j’ouvris mon casier, sorti mon costume de lutin et commençai à me déshabiller. Alors que j’étais en boxer et en train d’enfiler les chaussettes, je vis le Père Noël. C’était un monsieur d’une cinquantaine d’années. Il me salua. Il ressemblait à une ourse blanche. Les cheveux court, mais une longue barbe blanche bien entretenue. Tout rondouillard, il se déshabilla à son tour et je n’arrêtais pas de le fixer. Si je n’arrêtai pas de le fixer, c’est par ce qu’il portait quelque chose qui m’intriguait. Ce n’était ni un slip, ni un boxer, ni un string. C’était une espèce de slip qui cachait son sexe, mais on voyait ses fesses.
« Ça s’appelle un Jock !
- Hmmm »
Je continuai à m’habiller tranquillement, tandis que le Père Noel, enleva son jock et enfila un boxer. Je le regardai faire et d’un seul coup, il me parla à nouveau.
«Quoi ? Tu as jamais vu un homme nu ! »
Dépourvu par ses propos, je baissai la tête et s’il approcha de moi.
« Alors gamin ! J’attends une réponse. »
Ne sachant pas trop quoi répondre, je continuai à baisser la tête et mon regard se porta sur sa bite.
« Ah… Je vois ! Le lutin veut sucer le Père Noël. »
Choqué par ses propos, cette fois-ci, je pris mon courage à deux mains et levai la tête et nous nous regardâmes droit dans les yeux.
Le Père Noël, émit un petit sourire en l’espace de quelques secondes (dont je n’ai toujours pas compris), il me retourna, me plaqua contre le mur, baissa mon pantalon, le sien me tenu les mains de force contre le mur, dont j’avais du mal à me défaire et d’un seul coup, il enfonça sa bite dans mon cul. Je poussai un cri strident sans trop savoir si je gémissais ou bien parce que qu’j'avais mal. Il me fit des viens et viens et continuais à pousser des cris d’orgasme et de douleurs.
«Ta gueule la crevette !» Finit-il par lâcher.
Je me tus et souffris en silence. Puis me tenant plus, le Père Noël expulsa son joui dans mon cul. Je le sus, car j’avais senti une substance liquide couler entre mes jambes.
« Eh bas voilà crevette ! Ce n'était pas difficile que ça ! Allez, nettoie-moi tout ça ! Il faut qu’on aille bosser. Conclut-il.
Fantasio
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