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4 | L'HOMME DÉVOILE SON SEXE
L'homme dévoile alors son sexe énorme en entier ! Un zob immense, très viril, poilu, veineux, plein de peau et de plis... un gros gros machin turgescent, avec des grosses couilles plissées... un vrai truc de papa, dressé vers le ciel.
- Oh putain Jacques !!!
- Arrête, Romain... tu l'avais déjà vue, non ?
- Oui... mais putain...
L'homme est toujours debout. L'apprenti approche son visage...
- Patron... je peux regarder ?
- Tu veux me regarder la bite ?!
- Ben oui... Jacques... elle est tellement belle...
- Non Romain... tu fais chier, c'est pas possible, enfin...
- Allez...
Alors l'homme ferme les yeux... il relâche ses épaules et s'approche.
- Oh merci patron !
Le jeune ouvrier se rapproche encore plus, et Jacques Hulles écarte les jambes.
- Oh...
- ...
- Wahhh... c'est beau... surtout là...
- Arrête ! Putain tu me chatouilles !
- Et là...
Je ne crois pas ce que je vois ! Je ne sais pas si ces deux-là sont pédés ou non, mais en tous cas ils se touchent les couilles !
Mais Jacques se dégage et fait un pas vers moi. À présent son énorme sexe poilu est au niveau de mon visage. Il pose une main dans mes cheveux... Je sens l'odeur forte de son sexe. Un mélange de transpiration, de pisse et de foutre séché.
Moi qui ne suis vraiment pas pédé, cette odeur mâle devrait me repousser... mais non... et puis merde, je dois bien avouer que j'ai rarement vu quelque chose d'aussi beau...
Il s'approche encore. Quel spectacle incroyable !!
- Allez, Monsieur le banquier de la TEuB... à votre tour de tout montrer... parce qu'ensuite, faut qu'on vous...
(Qu'on me quoi ??!)
Les quatre mains progressent le long de mes jambes, s'attardent à l'intérieur de mes cuisses, ce qui me fait beaucoup d'effet...
- Oui, mon chef a raison, Nathan...
- ... Va falloir enlever votre pantalon, maintenant...
Depuis que je travaille à la TEuB j'ai vécu toutes sortes de situations très stressantes... très intimes et même très sexuelles... mais là...
Là je commence à prendre peur... je sens qu'il existe un risque... un risque que je finisse carrément par me faire me faire sodomiser, pour être clair... voire même doublesodomiser... et moi, je ne veux pas qu'on me double sodomise !!
- C'est que... je ne suis pas pédé, moi... vous comprenez...
- Houlà ! mais nous non plus !
Les deux hommes se regardent et se sourient. Sexes dressés, ils se rapprochent l'un de l'autre... la main du chef se glisse sous les couilles de son ouvrier... leurs bouches ouvertes se rapprochent... ils respirent le même air... cette fois, je ne rêve pas !! Leurs lèvres se touchent presque... Le jeune se laisse tripoter les couilles et sa grosse teub rose libère une longue goutte de mouille qui s'étire fébrilement et se pose sur le bras du chef.
- Nous non plus, Nathan...
Ils ne s'embrassent pas vraiment, mais leurs lèvres ne cessent de se frôler ! Mais sur quels chantiers les hommes de travaux partagent-ils une telle intimité ?!... Et d'ailleurs quel chef de chantier se laisse-t-il toucher les testicules en disant juste "ça chatouille" ?!... Mais putain qui sont ces gens ??!...
Et en même temps, comme dirait l'autre, je les envie... je les envie, avec leur absence d'interdits sexuels, leur impudeur, leur absence totale de tabous, leur façon d'exhiber leur intimité, de se toucher et de se rapprocher... leur liberté, quoi !... Cette liberté que je n'ai pas, coincé dans ma petite vie étriquée d'hétéro de merde !... Heureusement que j'ai mon travail de pute à la TEuB, au moins...
Mais quelque chose ne cesse de me turlupiner : C'est cette foutue règle numéro 7, dont je n'arrive toujours pas à me rappeler...
- Allez... votre chemise, Monsieur Nathan...
- ... et votre pantalon...
Les deux hommes se lèvent et ils me forcent à m'allonger sur le canapé. Je résiste un peu...
- Non !...
Leurs énormes zobs balancent autour de moi. Quel ballet ! Leurs mains me touchent. Ils tentent de déboucler ma ceinture. Ils me déboutonnent. Leurs mains se glissent partout. Elles sont rapeuses. Elles me touchent le torse, les jambes et se glissent le long de mon sexe en érection.
- Non !...
Putain c'est bon ! Par souci de bien faire et par loyauté envers la TEuB, je continue à ouvrir grand les jambes, mais c'est compliqué, ils veulent me déshabiller complètement... Alors, tout en gardant les jambes écartées, je m'accroche à ma braguette !
- Pas ma braguette !!
Leurs énormes matos balancent magnifiquement. Je suis allongé et je les vois presque du dessous... Je me dis que ça doit être bien d'être pédé, quand même... Leurs mains rudes et intrusives s'insinuent partout, elles me grattent et me chatouillent, elles scrutent mon intimité à travers le pantalon et me détaillent. Des doigts se glissent sous mes couilles et se rapprochent de mon trouducul !
- Non !...
Je tressaille de plaisir...
- Arrêtez ! Je veux pas qu'on m'encule !!
- Jacques... Il veut pas se laisser faire... il arrête pas de bouger...
Et toujours ce petit sourire...
Je suis toujours sur le dos. Je me débats, si bien qu'ils n'arrivent pas à défaire ma ceinture. Je ne sais plus si je dois garder les jambes ouvertes... Leurs sexes sont devenus énormes, des gros trucs poilus et plissés en érection, ça se balance de droite à gauche... Et leurs caresses sont tellement sexuelles ! Putain... mais qu'est-ce que c'est bon !!
- Arrêtez...
Ça y est, ils ont défait ma ceinture ! Ils l'ont complètement retirée des passants... Ils la jettent au loin... Mon pantalon ne va pas tenir longtemps non plus... J'essaie de l'agripper, mais ils ont déjà défait le bouton du haut, et ils essayent de descendre ma braguette...
- Non !...
Et putain, il y a une main qui ne me lâche pas les couilles ! Elle me les malaxe ! Ça se fait pas ! C'est humiliant... Il y a aussi des doigts qui cherchent mon anus...
- Putain ! Regarde ça comme il bande !
Je me débats. J'agite mes jambes. Ils essayent de maintenir mes genoux grand ouverts.
- C'est juste un pédé de banquier...
- S'il vous plait... pas ma braguette !!...
- Romain... aide-moi à le déshabiller...
- Oui patron. Tenez-lui les mains, s'il vous plaît.
Les hommes sont organisés. Je sens qu'ils sont habitués à collaborer.
Je suis toujours sur le canapé, allongé sur le dos. Ma tête repose sur l'accoudoir. Le patron se glisse derrière moi et me bloque les épaules avec ses mains puissantes. Son énorme sexe s'approche de mon visage. Je sens son odeur. Il sent bon. Mmmmh putain ! Il sent l'homme.
Il pose un genou sur l'accoudoir et se penche pour me bloquer les avant-bras. Ses énormes couilles se balancent au-dessus de ma figure. Elles me frôlent... Putain qu'est-ce que c'est beau !
Il appuie de toutes ses forces sur mes bras. Ça fait mal. Je suis totalement immobilisé.
- Allez vas-y... Je le tiens...
J'essaie de me dégager, mais l'homme est puissant. Mes bras sont bloqués. C'est un mâle. Avec des attributs de mâle, lourds et libres.
L'apprenti parvient à descendre ma braguette. - Au secours !...
Ça m'excite... Ça y est, je sens l'air sur ma bite.
- Wow... il a pas de culotte, le pingouin !!!
- Oh ! T'as vu comme il bande !
Sa main se glissent autour de mon sexe. Son autre main descend mon pantalon jusqu'aux chevilles.
- Arrêtez ! Qu'est-ce que vous allez me faire ?!
J'essaie encore de me dégager mais en remontant la tête, mon visage rencontre les deux balloches pesantes qui me surplombent !
- Eh ! Attention, c'est fragile !
Je réalise que j'ai une vue incroyable sur les burnes du chef de chantier, sur tous ses replis, tous ses poils de derrière, et sur son anus !! C'est incroyable ! Moi qui ne suis vraiment pas pédé, je suis hypnotisé ! Qu'est-ce que c'est beau, un anus de chef de chantier, quand même !!
Ce gars m'a ouvert la porte en slip il y a à peine 20 minutes, et voilà qu'il m'impose à présent son intimité la plus indécente et la plus secrète !
- Que pensez-vous de la baisse des bourses, Monsieur de banquier ?
Je ne relève pas l'allusion. Ses bourses à lui sont lourdes et basses... elles sentent bon...
À présent je suis à poil. Le chef me bloque toujours les bras, j'ai la tête entre ses jambes, et le jeune me bloque les genoux. Je suis en position écartée, ouvert de force, offert et vulnérable.
- Mais arrêtez !!!
Une goutte de mouille salée descend doucement depuis le gland du patron jusqu'à ma bouche... Un doigt s'enfonce dans mon anus. Des lèvres mouillées entourent mon gland.
- Ben dis-donc Romain... je savais pas que tu...
- Mmmbbbllmmmhhh...
- Ah mais ça ouvre des perspectives, ça...
J'éprouve un plaisir inouï... j'avoue... qu'est-ce que c'est bien d'être pédé !
- Putain, mais qu'est ce que vous allez me faire ??!
La bouche de l'apprenti monte et descend le long de ma hampe... Il ne me fera pas croire qu'il fait ça pour la première fois... Mon plaisir augmente à chaque va et vient dans sa gorge... Son doigt me titille l'anus... son autre main me saisit les testicules... qu'est-ce que c'est bon !!! Je ne vais pas tenir longtemps...
Puis je sens quelque chose qui appuie sur mon anus... de plus en plus fortement... quelque chose de chaud et de rond... Mon Dieu ! La bite de l'apprenti !!! Je réalise avec terreur que je suis sur le point de me faire enculer pour de vrai !!! Putain je suis complètement à poil... et on m'encule !!!
Au même moment, la grosse teub salée du patron se rapproche de mes lèvres...
Avant d'ouvrir la bouche, je réalise que je n'étais pas du tout venu pour ça ! Je repense d'un seul coup à mes contrats d'actions... c'est quand même pour ça que je suis là... à la base...
Alors je tente :
- Au fait... pour les contrats...
Mais pour toute réponse :
- Détends tes fesses...
- Ouvre la bouche...
- Oui mais...
- ... mais ta gueule...
- ... oui... ta gueule...
Je pense que c'est foutu pour mes contrats... et en même temps, comme dirait l'autre, qu'est-ce qu'on est bien jambes écartées (ça c'est moi qui le dis... pas l'autre... enfin je crois...)
Alors je décontracte mon anus et j'ouvre la bouche... Et je sens les deux gros glands se frayer simultanément un chemin en moi...
Quand je repense à ma femme, ma femme fière de son employé du mois, je me sens coupable :
" Coupable parce que le jeune homme qui m'a sucé fait ça tellement mieux qu'elle !
" Coupable parce que je n'ai jamais osé lui demander à elle ce doigt qu'il m'a mis dans le cul et qui m'a fait tellement de bien !
" Coupable parce que j'ai un énorme truc salé qui me rentre dans la gorge pendant que deux grosses couilles gonflées se posent lourdement sur mes yeux à chaque va et vient...
" Coupable parce que je n'ai jamais rien vu d'aussi près et d'aussi beau !
" Coupable parce que je sens que je commence à préfèrer cette odeur de pisse et de sperme à son doux parfum à elle !
" Coupable parce que l'apprenti a lâché mes genoux et que je les garde grand ouverts !
" Coupable parce que je sens monter en moi une excitation incroyable !
" Coupable parce que je me fais défoncer le cul à grands coups de boutoirs !
" Coupable parce que cela me procure un plaisir inouï et que je me dis que certains hommes ne connaîtront jamais ça...
" Coupable parce que si ma bouche n'était pas occupée à satisfaire ce braquemart géant, je voudrais crier : Allez ! Encore !...
" Coupable parce que mon plaisir est tel que je ne suis pas sûr que je maitriserai l'orgasme qui monte et qui va bientôt me submerger...
" Coupable parce que putain qu'est-ce que c'est bon de se faire enculer !
" Et coupable parce que le plaisir me submerge, que mes yeux se révulsent et que je jouis sur mon torse et sur mon ventre comme une tapette !
LES 7 RÈGLES DU REPRÉSENTANT DE LA TEuB :
Règle numéro 1 : Le représentant doit se mettre au niveau du client. S'adapter à son niveau de communication verbale et non verbale. Pour cela, utiliser toutes les parties de son corps.
Règle numéro 2 : Le représentant doit aller dans le sens du client, abonder, adopter des poses souples, suggestives, voire aguichatoires.
Règle numéro 3 : Le représentant ne doit jamais contrarier le client. Conserver une attitude corporelle ouverte, open, ou même exhibitoire.
Règle numéro 4 : Le représentant doit tenter le rapprochement, visuel, tactile ou même intime. Créer l'envie. Pour cela, utiliser toutes les parties de son corps (rappel).
Règle numéro 5 : Rebondir. Le représentant doit faire preuve d'agilité mentale et de souplesse physique. Utiliser un vocabulaire orgasmatoire : désiiir, plaisiiir, jouiiir, jailliiir...
Règle numéro 6 : Ne pas mollir. Le représentant doit maintenir une tension physique et sensuelle. Il ne doit pas hésiter à se toucher ostensiblement le sexe. En cas d'érection, assumer sa raideur, rester professionnel, et au besoin exhiber sa rigidité.
Règle numéro 7 (écrite en plus petit) : Dans le cas où un événement imprévu venait à se produire (d'ordre sexuel, libidinal, humiliatoire, attentatoire, pénétratoire, enculatoire, éjaculatoire ou autre...) la TEuB ne saurait en être tenue responsable, même s'il s'avère que le dit évènement résulte de l'application stricte des règles précédentes.
Jam
jorgeantoine.madri@yahoo.com
Ne pas copier - histoire protégée
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