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Soumis au proprio du bar

Cela fait longtemps que je ne vous ai pas raconté d’histoire.

Je suis Matthieu (Matt, pour les intimes ; mais comme vous avez le voir, on est vite intime avec moi, alors appelez-moi Matt directement), j’ai 37 ans. 1m80 pour 78 kg. Pas beau mec, juste normal (brun, yeux court, peu poilu), avec ses qualités et ses défauts. Dans mes qualités ? Mon cul ! Je travaille pour cela il faut dire. Un beau cul bombé. Et donc vous l’aurez compris, je suis passif. Et bien plus passif que lors de mes premières histoires écrites il y a cinq ans. De l’eau a coulé sous ponts. Dit autrement du jus a coulé dans mon cul (c’est moins poétique mais plus clair).

Oui, désormais, je ne suis plus que passif. J’ai découvert peu à peu la joie d’être totalement passif, d’être soumis, d’être à disposition d’un (ou plusieurs …) mâle. Une pute ? Une salope ? Si je détestais ces mots avant, désormais, je m’assume, et être traité ainsi en pleine action m’excite encore plus …

L’histoire que je vais vous raconter s’est déroulée il y a moins d’un an. C’est la situation la plus chaude que j’ai vécue.

Après une petite balade, je suis allé seul dans un bar gay un soir, avec mon petit sac à dos. Sans espoir particulier, juste pour boire un verre et mater des beaux mecs. Au bout d’une demi-heure, toujours au comptoir, je me suis fait engueuler par un jeune mec d’une vingtaine d’année. Il m’accusait de lui avoir volé son portefeuille. C’était évidemment faux, je ne savais pas pourquoi il me disait ça. Mais il continuait de m’accuser, disant qu’il m’avait vu lui voler et le mettre dans mon sac. Je commence à m’agacer et décide de lui montrer qu’il a tort. J’ouvre mon sac et … s’y trouve son portefeuille ! Je ne comprends vraiment pas ce qu’il se passe. Le barman appelle alors quelqu’un.

Un gars plus âgé, d’une quarantaine d’années, arrive, discute avec le barman et me demande de le suivre. On monte à l’étage du bar, dans un bureau. On s’assoit tous les deux, lui devant son bureau, moi derrière. Il me dit qu’il est le propriétaire de l’établissement. Je suis énervé par la situation car je n’ai rien fait ! Je me défends en lui disant que c’est faux, que j’ai dû me faire piéger pour je ne sais quelle raison. Il me demande d’avouer, et il passera à autre chose. Sinon, il appelle la police pour me faire déguerpir de là et me menace d’avoir une plainte au cul, à défaut d’avoir autre chose ... Cela m’énervait profondément car je n’ai vraiment rien fait. Donc je lui dis que je n’avouerai pas.

Pendant que je parlais pour me défendre, j’avais l’impression que son regard changeait. Moins agressif et un peu plus … lubrique. Je devais me faire des idées, mais en même temps, on est dans un bar gay. Que le propriétaire le soit aussi ne serait pas déconnant … Et puis, il me plaisait bien … Un peu plus âgé que moi, ce que j’aime. Plutôt bien bâti, sa chemise mettait en avant ses biceps et ses pectoraux. Je me disais qu’il devait être une bête d’actif, qui ferait du bien à ma soif de sexe …

Quand j’ai fini de parler et qu’il a compris que je n’avouerai pas, il s’est levé, s’est mis debout devant moi contre le bureau. Les dialogues devaient être à peu près ceux-là :

- Tu es actif ou passif ?

- Euh pourquoi cette question ?

- C’est moi qui pose la question, tu n’es pas en position de force-là. Alors ?

- Passif.

- Parfait.

D’un geste brusque, il passe son bras droit derrière ma nuque et tire ma tête vers lui. J’en tombe à genou par terre au niveau de son entrejambe. Il prend ma tête entre ses mains, la cale contre la bosse de son pantalon.

- Avoue, sinon tu sais ce qui t’attends !

En une fraction de seconde, plein de choses sont passées dans ma tête. J’étais à la fois choqué de cette situation, jamais on ne m’avait forcé à quoi que ce soit, et excité car merde, il me plaisait et je ne dirai pas non !

- Alors, tu attends quoi ?

Il m’enfonçait la tête contre son pantalon, j’avais du mal à respirer, je me débattais en lui disant que je n’avouerai pas car je n’ai rien fait ! Mais il est bien plus fort et baraqué que moi, je sais bien que je suis coincé, et entre le choc et l’excitation, c’est l’excitation qui prenait le dessus … Mais je ne voulais pas être forcé, mais être consentant ! Alors, après 30 secondes qui m’ont paru une éternité, j’ai décidé de jouer franc jeu avec lui, et je ne me suis mis à crier :

- JE SUIS UNE SALOPE !

Il ne s’y attendait pas. Il a relâché son étreinte, m’a regardé et m’a demandé de répéter. Je me suis levé et je suis alors parti dans un monologue tout en me déshabillant, ne souhaitant qu’une chose : qu’il me soumette et qu’il profite de moi.

- Je suis une salope. Tu l’auras ma bouche. Je vais te sucer, je vais bien baver comme une pute sur ta queue, tu vas me l’enfoncer en fond de gorge. Tu vas me retourner et me pilonner le cul, je vais couiner comme la chienne que je suis et tu vas me juter bien au fond. Alors vas-y, fais de moi ce que tu veux, insulte-moi, crache-moi dessus, occupe-toi de mes trous. Mais je n’ai pas volé le portefeuille.

Car oui, je suis peut-être une salope, mais j’ai encore un minimum d’honneur et je ne veux pas être accusé de voleur à tort !

Je suis donc tout nu, face à lui. Après quelques secondes sans réaction, il se met à sourire :

- Ok, je te crois.

- Heureusement, car je dis la vérité, je n’ai rien volé.

- Je ne parlais pas de ça. Je te crois quand tu dis que tu es une salope. T’as le regard qui pue la bite.

Il s’approche de moi, me demande d’ouvrir la bouche, ce que je fais. Il me crache sur la langue. Je n’avale pas, je le regarde et attends ses ordres, je reste donc avec mon crachat sur ma langue, la bouche ouverte, le regard qui pue la bite (car c’est vrai…) sur ses yeux.

- Avale.

Je m’exécute et lui montre bien que j’ai ingurgité avec plaisir sa salive. D’un coup, il appuie sur mes épaules et me fait m’agenouiller. Il sort aussitôt sa bite de son pantalon (je crois qu’il n’avait rien en-dessous) et me dit.

- On va voir si tu es bien obéissant. Si tu n’obéis pas, tu sors du bureau et c’est fini. Allez, lèche mes couilles. Elles sont bien pleines et prêtes à se décharger pour une bonne chienne comme toi.

Elles étaient légèrement poilues, et effectivement bien grosse. Soit elles se rechargent vite, soit il n’a pas baisé depuis longtemps, ce qui me surprendrait vu le milieu dans lequel il travaille. J’opte donc pour la 1e option, ce qui promet une inondation dans mon cul dans quelques minutes …

Je les lèche dans un mélange d’attention pour le plus faire plaisir et de vitesse de langue car oui, je me permets d’être prétentieux en disant que je sais me servir de ma langue et de ma salive qui coule à flot pour humidifier tout le matériel nécessaire à ma soumission.

- Gobe-les et regarde-moi.

Je les gobe alternativement et m’attache à le regarder avec des yeux « qui puent la bite » comme il l’a dit. Nos regards se figent. Pendant que ma langue pétrit ses boules dans ma bouche, je vois son regard à la fois dur, celui d’un mâle qui prend les choses en main, et fier de lui d’avoir à ses pieds un tire-jus. Lui voit aussi mon regard, un regard qui lui dit « je veux ta queue ».

Après quelques minutes, il me recrache au visage sans prévenir, un gros crachat qui atterrit sur ma joue droite.

- Ouvre la bouche et prend mon gland. Suce-le, tête-le, lèche-le. Montre-moi ton savoir-faire petite pute. Et continue de me regarder.

Sa bite devait faire environ 16 cm. J’en ai connu des plus longues, mais je sentais qu’il savait s’en servir, et c’est bien là l’essentiel. J’ai obéi. Je me suis occupé de son gland. J’ai eu le malheur de baisser le regard. Une baffe. Pas bien méchante, juste pour rappeler quel était ma place : une pute obéissante. Alors je n’ai plus lâché son regard, jusqu’à ce qu’il rentre d’un coup dans ma bouche tout ce qu’il pouvait rentrer de sa queue. Oui, sans prévenir. J’ai eu un haut le cœur et j’ai dû fermer les yeux. Nouvelle baffe. Plus franche que la précédente.

Je relève le regard vers lui et ouvre au maximum la bouche. Je dois la prendre en entier, c’est mon rôle, c’est mon devoir. Et c’est mon plaisir. C’est lui qui domine, qui fait des va-et-vient avec sa queue qui grossit au fur et à mesure qu’elle s’enfonce dans ma gorge. Ma salive déborde de ma bouche et se joint à un nouveau crachat. C’est de plus en plus chaud. Ca va de plus en plus vite. Ses insultes se font plus fréquentes : « t’es ma pute », « vas-y prend tout p’tite salope », « oh putain t’es vraiment né pour prendre des bites dans ta bouche, sale chienne ». Et à chaque fois qu’il m’insulte, il retire sa queue une seconde, le temps que je confirme : « oui je suis ta pute », « oui je suis ta p’tite salope », « oui je suis une chienne à queue ». Et à chaque fois cela m’excite encore plus, je suis un autre homme. Je bande comme un fou mais je ne touche pas à ma queue. Ma concentration, mon plaisir, c’est la sienne.

Il me baise la bouche, il n’y a pas d’autres mots. Pendant de longues minutes, sans changer de position. Il me domine, il choisit le rythme, toujours rapide. De temps en temps, il m’enfonce la tête sur sa bite. Et de plus en plus facilement, je l’encaisse. Je n’ai plus de mal à respirer quand elle est entière en moi. Je commence à avoir de l’expérience, et je salive tellement que beaucoup de beaux morceaux pourraient y passer sans difficulté.

- Allez à quatre pattes. C’est l’heure de changer de trou.

J’obéis, je n’ai que ça à faire. Je me cambre pour offrir la vue de mon trou à celui qui va me le laminer. Mais c’est ce que je veux. Alors je bouge mon cul, comme s’il appelait une queue à l’aide. Il finit par se mettre à genoux derrière et me donne une fessée. D’abord sur la gauche. Puis sur la gauche. Je gémis, ce qui l’encourage à continuer. Il est toujours habillé et cela m’excite terriblement. Après une dizaine de fessées, il me dit :

- Doigte-toi. J’aime pas lécher les trous, juste les défoncer. Alors doigte-toi, ouvre ton cul pour que je puisse rentrer.

Ce qu’il ne sait pas, c’est qu’on n’y entre assez facilement. Il n’est pas très serré et il faut peu d’effort à un gland pour me pénétrer. Pas besoin de sonner, la porte reste ouverte … Je me doigte pendant pas plus de deux minutes, mes doigts faisant le trajet bouche-trou-bouche-trou. Après ses deux minutes, je lui dis d’y aller.

- Vas-y, je veux te sentir en moi.

- Déjà, t’es sûr ?

- Fais ton bonhomme putain, mets-là moi et défonce-moi.

Bah oui, je veux qu’il me pénètre, qu’il me fasse sentir chienne, qu’il soit mâle, pas qu’il se mette tout à coup à faire attention. Je suis adulte, je sais ce que je veux, et si je ne voulais pas, je lui dirais ! Et là, ce que je veux, c’est sa queue dans mon trou ! Ma dernière phrase ne lui a pas plus … il m’a fessé bien plus fort et après avoir lâché un simple « d’accord », j’ai senti son gland poussé l’entrée … et plop, il est effectivement rentré facilement. Il m’a appuyé sur le bas du dos avec sa main pour me cambrer encore plus afin de bien sentir l’avancée de sa queue. Et elle progresse. Vite. Il sent que je suis relâché, prêt à l’accueillir tout en entier. Il ne fait pas de va-et-vient, il la fait rentrer petit à petit. Ça y est. Elle est là. En moi. Complètement. Il colle son ventre contre mon dos et me glisse à l’oreille : « tu es prêt ? ». Il ne m’a pas laissé le temps de répondre. Sa bite s’est retirée de mon cul, y a juste laissé son gland, puis il m’a percuté. Y’a pas d’autres mois. Il a rentré de nouveau d’un coup sec sa queue en mois. Mon cri a dû être entendu dans tout le quartier. Mais c’était un râle davantage de plaisir que de douleur. J’avais ce que je voulais. Les insultes fusaient, autant que les fessées. Les moments de répits étaient rares, son rythme était effréné, ce que j’adorais.

Au bout de 5 minutes, il m’a retourné sur le dos. A soulevé mes jambes et a continué de me pilonner. J’avais interdiction de regarder ailleurs que dans ses yeux. J’ai reçu plusieurs crachats dans ma bouche et sur le visage. Il m’a autorisé à me branler en utilisant sa salive pour humidifier ma queue. Il mettait une de ses mains autour de mon cou. Le mâle dominant que j’avais demandé était bien là. J’étais soumis, à sa merci. Merci, c’est le mot que je lui ai dit quelques minutes après quand il s’est déchargé en moi. Des jets puissants, j’avais l’impression qu’il me remontait très haut dans le corps ! Ses râles de plaisir aussi étaient puissants. Comme s’il n’avait pas juté depuis longtemps. A moins que, et j’aime à la croire, que j’ai réussi à la contenter en étant la salope que je lui avais promise.

Sa queue est longtemps restée en moi. Le temps que moi-même je jute. Il voulait que je continue de me branler.

- Branle-toi. Continue de me regarder. Et bois ta semence. Tu l’as bien mérité ma p’tite pute.

Ce compliment m’a fait juter presque illico ! Mon torse était noyé de ma crème blanche. Mes doigts la récupéraient et je les mettais dans la bouche. Je suçais mes doigts avec appétit, regardant mon beau mâle toujours avec mon regard de chienne affamé. Je voulais lui faire comprendre que j’étais insatiable et que je serai à disposition dès qu’il le souhaitait.

Il a fini par se retirer non sans me fesser une dernière fois. Il a rangé son beau matériel, fermer son pantalon, puis m’a dit de partir.

- Une bonne salope, ça se casse quand on n’en a plus besoin. Alors dégage. Mais reste dans le secteur, j’en ai pas fini avec toi.

J’ai souri. J’ai entendu ce que je voulais. Il voulait me revoir. Je me suis rhabillé et suis redescendu dans le bar. Le jeune qui m’accusait à tort était toujours là. En passant à côté de lui, je l’ai insulté de connard. Il a souri ce qui m’a encore plus énervé. Et là, il me glisse à l’oreille :

- Tu es resté combien de temps avec le boss ? Presque une heure ? Tu crois que je ne sais pas ce qu’il s’est passé ? Regarde-toi ! Il t’a bien baisé. Comme prévu.

- Comme prévu ?

- Je sais bien que tu n’as rien volé …

Et il est parti. Là, j’ai compris. J’étais sidéré. J’avais sûrement été piégé. Le jeune trouve un gars qu’il doit ramener au boss. Le fait accuser. Le fait monter au propriétaire qui n’a plus qu’à faire du chantage pour se le taper. Et aujourd’hui, le gars, c’était moi …

Matt

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