L’année scolaire s’était terminée et nous étions tout juste diplômés. Pour fêter ça, on était partis avec quelques copains (Simon, Benoît et Sebastian) en vacances dans l’arrière pays niçois, où la famille de Benoit avait une maison.
On était partis avec la Mercedes de ses parents, moi qui venait d’une famille assez modeste, j’étais très impressionné par la voiture et la maison avec piscine !
On était tous les 3 différents mais on s’entendait très bien :
- Simon était l’archétype de la racaille de banlieue, avec un parler très banlieusard, bien musclé.
- à l’opposé Benoît était le riche du groupe. Très sûr de lui et parfois un peu hautain. Petit en taille, sec mais très baraqué aussi.
- Sebastian était d’origine allemande. Il était assez banal physiquement, mais il était super marrant, contrairement à mes a priori sur les allemands.
- De mon côté j’étais la petite crevette. Petit, très fin et pas très musclé.
J’avais déjà eu quelques expériences gay mais mes amis n’en savaient rien.
On est arrivés et il y avait 3 chambres.
Benoît a pris une chambre pour lui et on a tiré au sort pour savoir qui aurait droit à une chambre pour lui et qui devrait partager une chambre. J’aurais bien aimé tomber avec Simon pour pouvoir le mater la nuit, mais j’ai eu la « chance » de me retrouver tout seul…
On avait bien besoin de décompresser et on n’a vraiment rien fait de la semaine. Il avait fait hyper chaud et on avait passé le temps à boire, fumer et à se balader à moitié nus ! Autant vous dire que je n’arrêtais pas de mater et fantasmer, sans pour autant oser passer à l’acte, du moins ce n’était pas du tout mon programme.
On avait prévu de descendre à Nice pour la finale France-Italie et chercher un bar ou un écran géant. Mais en fin d’après midi on avait tous trop bu pour prendre la voiture. Simon était chaud pour conduire quand même, mais avec Sebastian on a convaincu Benoit et Simon de ne pas partir. On allait regarder tranquillement le match à la télé. Pour être honnête je suis pas très football donc l’idée de me retrouver dans une fanzone ne m’enchantait pas, j’étais bien content de rester à la maison !
Alors je vais vous décevoir tout de suite, mais là c’est un peu le trou noir. J’ai bien fumé et picolé, et je ne sais pas vous dire comment c’est arrivé, mais je me suis retrouvé à sucer et branler mes 3 potes. Eux posés dans le canapé et moi à genoux.
C’est la 1ere fois que je me comportais ainsi, je n’avais jamais fait de plan à plusieurs.
Benoît avait le sexe rasé, qu’est-ce qu’il était beau et raide. La bite parfaite selon moi.
Simon était très très bien monté, je pense qu’il était assez jaloux que je passe autant de temps à m’occuper de Benoît parce que régulièrement il m’attrapait et me plaçait son engin dans la bouche.
Sebastian était moins intéressant avec un engin de taille normale mais par contre il était très doux, me caressant la tête, c’était très agréable aussi.
Ce soir là pour la première fois j’ai joui sans même me toucher. Je ne sais pas si ça vous est déjà arrivé mais c’est une sensation très agréable et un orgasme qui dure longtemps !
C’est aussi la 1ere fois que j’ai avalé, et 3 mecs en plus. Quel bonheur de se sentir la femelle d’un groupe. On est allés se coucher dépités par le résultat du match. Je me suis douché et j’ai fait un petit lavement, sait-on jamais. Je me disais que Simon allait sûrement passer, en tous cas il avait l’air bien chaud.
Je suis allé me coucher, et à ma grande surprise c’est Sebastian qui est entré dans ma chambre quelques minutes plus tard. Apparemment il n’avait pas tout dit et lui avait prévu son coup. Il avait du gel et une capote à la main !
J'ai fait semblant de dormir et il est venu se poser à côté de moi. Il a commencé à me caresser le dos et les fesses, c’était très doux. Il parlait tout en douceur tout mais utilisait des mots crus « je le savais que tu étais une cochonne, j’ai bien vu que tu avais un cul de petite pute depuis le début des vacances. Je vais te limer. Ne fais pas de bruit parce que je ne partagerai pas avec les autres ».
Il a commencé à me masser l’anus avec du gel mais sans entrer un doigt. Ce n’est pas faute d’essayer de le guider, mais il prenait un malin plaisir à restait à l’extérieur.
Puis il a attrapé une capote, l’a enfilée avant de me pénétrer en douceur. Il a commencé à faire des mouvements de va et vient pleins de tendresse. Et à me dire des mots plus doux : « tu me plais, je me sens bien avec toi, qu’est-ce que c’est bon d’être en toi ». Il était super doux et en même temps il me prenait avec vigueur, c’était vraiment l’extase. Au bout de quelques minutes il s’est arrêté et il est sorti, je lui ai dit « n’arrête pas, baise moi encore ».
« Non je ne peux pas, sinon je vais jouir. Laisse moi reprendre mon souffle, je veux te faire l’amour toute la nuit ».
Il est parti chercher un verre d’eau et est revenu, il bandait toujours. Il a remis une capote et je suis monté sur lui. Il me caressait les fesses, tout le corps… et je commençais à le chevaucher de plus en plus fort. « Arrête je vais jouir », me dit-il en essayant de m’arrêter. Mais je ne voulais pas et je me balançais d’avant en arrière sur lui. Et là, il se mit à jouir en criant ! Sentiment mixé de plaisir de le sentir jouir et pas très envie de se faire rejoindre. Je pense que nos amis étaient déjà endormis car personne n’est venu voir !
Il m’a basculé sur le côté et est venu dans mon dos, toujours le sexe en moi, qui débandait petit à petit.
Il me fit un bisous dans le cou, quelques mots tendres et très gentils.
Il s’est endormi près de moi, mais je ne parvenais pas à trouver le sommeil. Je me mis à bander et j’avais très envie de jouir moi aussi. J’ai commencé à me branler, de plus en plus fort… et ça l’a réveillé.
« Ne fais pas ça tout seul, t’es con je suis là ! » et il a commencé à me branler, toujours avec sa douceur incroyable. Je lui ai dit que j’allais jouir, et il a approché sa bouche, a englouti mon sexe. Et j’ai joui immédiatement. Quel bonheur. Au départ c’est certainement celui qui m’attirait le moins, mais finalement ce fut un vrai moment de plaisir partagé.
Il est resté encore quelques heures je pense, et au milieu de la nuit m’a dit « c’était une nuit incroyable, mais je vais retourner dans ma chambre pour ne pas faire d’histoire. Embrasse moi s’il te plaît petite crevette ».
Le lendemain tout le monde a fait comme si de rien n’était. C’était le jour du départ. Il y avait un peu de gêne au petit déjeuner mais ensuite tout le monde était naturel.
Nous avons un peu perdu contact à la fin de nos études car nous partions dans des régions différentes… jusqu’à une autre soirée quelques années plus tard… mais c’est une autre histoire !
Matt91-1983
moreaumathieu1983@gmail.com
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