Cela fait longtemps que je veux continuer à publier quelques-unes de mes aventures… alors aujourd’hui je prends le temps de raconter ce qui s’est passé ce matin.
Je viens d’être opéré, une opération bénigne mais qui m’a donné droit à une semaine d’arrêt de travail. Une infirmière passe chaque jour pour une piqûre d’anticoagulants. Piqûre que je pourrais faire moi-même mais je leur ai dit que je ne préférais pas. Les deux premiers jours, une infirmière est passée. La piqûre se fait dans la cuisse. Pour simplifier les choses, à partir du deuxième jour, j’ai donc attendu en short de pyjama (sans rien dessous selon mon habitude mais bon les infirmières ne me font pas grand-chose même si elles sont très sympas !). Hier quand je lui dis « à demain », elle me répond : « Ah non, le week-end, ce n’est pas moi, ce serai quelqu’un d’autre. » Pas de problème, du moment qu’on me fait la piqûre !
Ce matin, vêtu d’un t-shirt et d’un petit short de pyjama bleu clair, j’attendais donc sa remplaçante. Mais la remplaçante s’est révélée être un remplaçant : un infirmier de mon âge à peu près je pense (j’ai 28), un black aux cheveux tressés ramenés en arrière et au beau sourire. Il était vêtu d’un t-shirt blanc et d’un jogging gris. Il me dit que c’est lui qui assure les week-ends (quelle chance me dis-je !) et me demande de confirmer que c’est bien pour l’anticoagulant. Je confirme et lui dis que sa collègue fait ça dans la cuisse. « C’est le meilleur endroit », me répond-il. Je m’assoie donc au bord du lit pendant qu’il prépare le désinfectant et la seringue. « De quel côté elle vous a piqué ? » « Une fois chaque côté » « Ah, ok, je peux donc choisir ». Ceci dit, il regarde mes deux cuisses en relevant un peu les jambes du short de pyjama. Ses doigts sur ma peau me font frissonner et j’essaie de penser à autre chose. Je ne sais pas s’il s’en est rendu compte. Il choisit une jambe, remonte encore un peu la jambe du short (je me dis qu’il aurait pourtant largement la place un peu plus bas !) et désinfecte l’endroit qu’il a choisi, le pince et enfonce l’aiguille.
Il prend ensuite une nouvelle compresse pour désinfecter de nouveau et là, son autre main, pendant qu’il frotte avec la compresse, vient se poser sur mon short, sur le haut de la cuisse, le bout de ses doigts touchant le côté de mon sexe. Ça ne peut pas être fortuit : je fais exprès de pousser un gémissement et ma queue commence à prendre de l’ampleur… Il me regarde ; je ne dis rien mais mon sourire doit être suffisant car sa main se déplace, se pose sur mon sexe et se met à le caresser à travers le tissu. Je ferme les yeux et me laisse emporter par cette sensation que j’aime tant. Il me branle ainsi quelques instants puis remonte les jambes du short afin de dégager mon engin et ses attributs. Mes 19 cm sont tout droits dans sa main. Son autre main joue avec mes boules. « Ce n’est pas très professionnel mais j’en ai trop envie » et sans même attendre une réponse de ma part, il me décalotte bien et se met à lécher consciencieusement mon gland. Mes gémissements ne sont plus feints du tout ! Après le gland, c’est toute ma queue et mes boules qui bénéficient de ses coups de langue puis je goûte aux profondeurs de sa bouche.
Il fait ça tellement bien que j’ai peur de jouir trop vite. Je me redresse alors : il me regarde interrogatif et je lui dis simplement : « Je veux goûter à la tienne ». Son sourire vaut plus qu’un accord. Je comprends que c’est ce qu’il attendait. Je me lève, retire d’abord son t-shirt pour caresser son torse musclé et imberbe. Quand il se lève à son tour, je vois le devant de son jogging complètement déformé. J’attrape alors son sexe à travers le tissu pour le branler tout en léchant son torse, ses tétons puis en faisant lentement descendre ma langue jusqu’au nombril puis jusqu’au jogging en suivant la ligne de poils noirs. Je baisse le jogging, laissant apparaître un boxer jaune, style boxer de sport aux jambes assez longues. Ce qui est impressionnant est la belle bosse qui le déforme et la tache de mouille au niveau du gland. Je parcours l’endroit de la déformation avec ma langue et ma bouche. Il ne me laisse pas le temps de baisser le boxer, me relève, m’enlève t-shirt et short et me serre contre lui en m’embrassant dans le cou et me malaxant les fesses. J’ai l’impression d’être serré dans un étau, mon sexe coincé contre sa bosse.
Je lui redis : « Je voudrais la goûter. » Il me lâche alors, s’assoie à son tour sur le lit. Je m’agenouille, lui retire chaussures, chaussettes et jogging puis enfin le boxer, dévoilant toute sa beauté. Une petite touffe noire, des couilles rasées et une queue, whaou… Elle ne doit pas être beaucoup plus longue que la mienne mais je suis impressionné par son épaisseur. Je n’ai pas une énorme expérience mais je n’en avais pas encore vu d’aussi épaisse. Je la prends en main, en lui disant combien elle est belle, puis me penche pour lécher son gland (il est circoncis). Très vite je la prends en bouche et je ne mens pas en vous disant que j’ai du mal. Elle entre bien sûr mais il faut sacrément écarter les lèvres et quand il appuie sur ma tête pour essayer de la faire entrer jusqu’au fond de la gorge, je manque étouffer pour de vrai ! Petit à petit je prends le rythme et beaucoup de plaisir à l’entendre gémir, à sentir ses mains dans mes cheveux.
Il prend la direction des opérations et m’indique où ma bouche doit se diriger : la queue, le gland seulement, les boules, le périnée tout transpirant, les cuisses, les tétons, les aisselles même… alors que je m’applique sur l’un de ses tétons, il me tire par les cheveux pour amener ma bouche au niveau de la sienne et m’embrasser longuement. En même temps, ses mains arrivent à attraper mes fesses : il les écarte et joue avec mon petit trou. Mon sexe est bloqué contre le sien et les sensations sont si fortes que je suis à la limite. Il s’en rend compte, rompt le baiser et me demande : « Tu veux juter ? » Oh oui… Il m’allonge alors face à lui et se met à me branler. Alors que j’attrape sa queue pour faire la même chose, il se met à aller de plus en plus vite, une vitesse que je ne pense pas avoir connu dans aucune branlette. Je lâche prise, ferme les yeux et lui envoie je ne sais combien de jets. J’ai dû crier de plaisir. Quand je rouvre les yeux, il me présente sa main sans rien dire et je la nettoie consciencieusement avec la langue. Je me rends compte alors qu’il a dirigé tous mes jets sur son sexe et ses boules : ils sont en bonne partie couverts de mon sperme ainsi que ses cuisses et ses poils.
« Nettoie tout. » En bon soumis, je m’exécute et lèche tout jusqu’à ce qu’il ne reste plus trace de jus. Il dirige alors ma tête vers son gland et je reprends mes mouvements de va-et-vient. Il est résistant et ça dure un petit moment, ce qui permet à ma queue de retrouver goût à la vie et de reprendre des couleurs ! Tout d’un coup, il m’attrape la tête et me baise littéralement la bouche, donnant de sacrés coups de boutoir à ma gorge. J’ai du mal à respirer mais je suis prisonnier de ses mains. Heureusement, il se retire tout d’un coup et m’asperge le visage. J’en ai partout, y compris dans les cheveux ! Il se couche sur mon lit et m’ordonne juste en montrant sa queue : « Nettoie ! » J’obéis et lui lèche bien son gland. Il se relève, se rhabille, attrape sa sacoche et se dirige vers la porte (je suis toujours allongé sur le lit, le visage plein de son jus). Il dit juste : « A demain. Prépare bien ton petit trou ! » Puis il part. Mon petit trou ? Ah non, il n’est pas habitué à un tel gabarit… Je pars sous la douche, partagé entre désir et peur, désir pour ce corps superbe et peur de ce qui va se passer demain…
Quentin
remicay@yahoo.fr
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