Je suis seul, en vacances dans le Gard, je vais rejoindre des potes en voiture. Il fait une chaleur de pute, aussi pute que moi. J’arrive dans un bourg désert. Ma voiture surchauffe et tombe en panne. Je remarque à 50 m un garage. Le Garagiste, jeune, la trentaine, viril et barbu m’accueille et me dit : « Salut, mon p’tit bonhomme, est-ce que je peux t’aider », à la fin de sa phrase, il crache au sol, à mes pieds. Je lui réponds, « euh oui, bonjour monsieur, ma voiture a surchauffée, pourriez-vous y jeter un œil s’il vous plaît », il me rétorque « Bien sûr, mais j’allais fermer, ce sera sûrement un peu plus cher », je le supplie « Oh merci beaucoup, je dois absolument retrouver des amis ». Je le conduis à ma voiture, et on la pousse jusqu’à son bâtiment. Moi à la portière et lui derrière à pousser. C’est sûrement à ce moment-là qu’il remarque mon jockstrap dépassé de mon short déjà bien moulant. Une fois arrivé à son atelier, il inspecte ma voiture, s’essuie les mains pleines de graisse à plusieurs reprises sur sa cotte noire entrouverte sur son torse musclé et poilu. Et remarque que c’est un problème de vidange. Il réalise la vidange, ça prend une bonne vingtaine de minutes. Une fois fini, il s’essuie une dernière fois les mains sur sa belle cotte noire, humant un mélange de transpiration et de graisse de moteur. Il vient vers moi, en allumant sa clope, en me disant « C’est bon mon petit, elle devrait aller mieux, et redémarrer sans problème, mais laisse la une peu au frais pendant une heure, histoire de la laisser refroidir », je lui réponds « Oh merci beaucoup, je ne sais pas comment vous remercier ». Avec un sourire en coin, soufflant de la fumée de cigarette 🚬, il me révoque « Eh bien, j’ai une petite idée, je viens de te faire ta vidange, à toi de faire la mienne ». Et je réponds « Mais je ne sais pas faire ça moi, je n’y connais rien en mécanique », et la il me prends, me soulève, m’attrape sur son épaule comme un sac à patates, et dit « Je ne parlais pas de ce type de vidange ».
C’est à ce moment-là, que je sens que son dos est transpirant, et que ses odeurs de clope, transpiration et de graisses me font voyager dans les plus profondes entrailles de la putasserie. Il me dépose sur un tas de pneus. Il décide alors d’arracher tous mes vêtements. Mon t-shirt fini en miette, mon short ne résiste pas une seconde. Il me dit « Je vais m’occuper de toi toute la soirée histoire que tu fasses bien ma vidange » il me laisse juste en jockstrap et me donne une grosse claque au cul, laissant une marque de graisse, il rétorque « Bon cul de salope, je suis certain que ce n’est pas la première queue que tu as bouffée ».
Je suis stupéfait, je ne m’y attendais pas. J’avais certes fantasmé sur ce beau trentenaire viril, mais jamais imaginé que ça arriverait. C’est alors qu’il ouvre sa cotte, et sort son braquemart, un peu taché d’huile, et bien humide de transpiration, il doit faire au moins 22x6, il avait déjà une demie molle, et me l’insère dans la bouche d’un coup sec, je remarque qu’elle a un goût différente des autres, la graisse lui donne un goût savoureux, accompagné de la transpiration et pisse, il baise ma gueule au moins pendant un quart d’heure, tout en fumant sa clope, il m’insulte de tous les noms « grosse chienne, tu kiff ça petite pute, bouffe ma queue grosse salope, vas y bouffe, tu aimes ça hein la taud de mec, ce n’est pas comme celles de tes pédales de copines », il fait à plusieurs reprises des gros à-coups pour réaliser une gorge profonde, je vomis à plusieurs reprise, au bout de la quatrième fois, il tire ma bouche, et me donne une mandale dans la gueule en disant « Bah alors tu n’assumes pas ma grosse queue petite fiotte ».
C’est à ce moment-là qu’il remarque que je bande tellement que ça a fait craqué mon jockstrap, il sourit, et dit « Sacré petit veinard, je vais te déboîter, tu vas bander jusqu’à en chialer », il me relève, me mets sur le ventre sur le tas de pneus, et m’attache les mains et bras derrière le dos avec une corde. Il prend un gros tourne vis, en graisse le manche et l’insère dans mon cul, le cruciforme rentre parfaitement, et fait plusieurs aller-retour en chuchotant « Mmh, ça rentre bien dit donc, tu dois avoir l’habitude de te faire prendre, je suis sûr que tu es la pute de ton quartier qui sert à vider tous les mecs du quartier ». Je ne fais que gémir, hhhm, argh, oooohmmm, il dit « avoue tu aimes ça quand un vrai mec prend soin de toi ». Il retire le tournevis, et décide de passer à la clé à molette, pas la petite, la grosse, il ne prend même pas la peine de lubrifier, et l’insère en moi, et je me mets à gindre « Ooooooohwn mmmmh » le métal glacial me fait jouir, il remarque ma semence, la ramasse, et me la fait lâcher sur ses doigts. Je lèche et suce ses doigts comme si c’était un cornet de glace. Après plusieurs aller-retour, elle tient toute seule dans ma chatte. Il décide alors de la laisser, et de déchausser de ses chaussures de sécurité catepillar noire plus très neuve, je remarque ses chaussettes qui devait être blanche à l’origine, mais qui n’ont pas vu la machine à laver depuis des lustres qu’elles étaient marron, et d’où j’étais, je sentais leur odeur de renfermé, de transpiration et de vieille chaussette. Il enlève une de ses chaussettes, me la met dans la bouche pour ne plus m’entendre meugler. Et prends sa chaussure de sécurité qui a bien vécu sur mon nez en la laçant derrière ta tête pour qu’elle tienne toute seule. Je suis envahi de ses odeurs de pieds, je ressens sa masculinité et sa supériorité avec ses essences. Ce mec n’est pas pote avec les douches et ça se sent au goût de ses chaussettes. Ça me fait bander comme jamais. Je me mets à éjaculer une nouvelle fois. Il le remarque, ramasse. Retire d’un coup sec la grosse clé à molette de ma chatte, prends une masse (très gros marteau), lubrifie à l’aide de mon sperme, et me l’insère, je me met à brailler tellement ça me fait mal, mais bander en même temps à cause du gazage de chaussettes. Il faut plusieurs aller-retour avec la masse, arrivés à la mettre en entier (que le manche).
Ça va faire deux heures que je suis à sa merci, j’en suis fatigué, j’ai une masse dans le cul et la tête complètement gazée. Et lui il est tranquillement assis dans son canapé en cuir en train fumer sa clope et à me prendre en photo. Il retire la chaussure de sur mon nez, retire la chaussette de ma bouche, me mets une bonne baffe, me crache un vieux gros mollard dans la bouche, et dit « avale sale chienne ». Il me fait avaler son chibrax, et me pisse dans la bouche. Il m’ordonne de tout avaler et de ne pas en laisser une goutte. Il prend son autre chaussette qui était restée sur son pied pour me la mettre dans la bouche et referme le tout avec son autre chaussure de sécurité encore plus savoureuse que la précédente. Il s’accroupit au niveau de mes fesses, retire la masse, et me doigte avec ses mains de mecs virils de Garagiste, bien épaisse et musclée.
Il prend ensuite ses deux index, et ouvre bien ma chatte pour apprécier sa souplesse. Il crache dans mon trou et me claque le cul et dit « Oh ça va bien rentrer, tu vas prendre cher ma salope ». Sans autre lubrifiant, il me saute comme une chienne, j’ai beau gueuler il continue, il m’insulte de tous les noms les plus dégradants « Grosse chienne, trou à bite, cuve à foutre, chatte à sperme, tafiolle, pute.. ». Il pilonne pendant quarante bonnes minutes, tout pendant que j’ai les mains attachées, sa chaussette dans la bouche, et sa chaussure de sécurité dans le nez ! Pendant cette performance tu éjacules 2 ou 3 fois, je ne sais même plus tellement que je ne sens plus ma bite. « Tu aimes ça pov chienne te faire ramoner par le garagiste hein, c’est ça les vrais mecs, ça te change de tes petites pédales de cités qui glandent toute la journée ». Il éjacule en moi, une charge des plus volumineuses, 100 bons millilitres. À ce moment, il pousse un grogronement viril « Aaaaaaaaaaaaaah grosse pute, tu m’as fait craché ».
Ensuite il enlève la chaussure et la chaussette de ma tête. Recrache dans ma gueule. Me baffe en me traitant de traînée, me tire du tas de pneus, et ensuite me jette sur le canapé en cuir. Il s’affale dans le canapé, et me force à le pomper, il nettoie sa queue avec ma bouche. Il dirige ma tête, et la tienne pour faire des gorges profondes. Je m’étouffe à plusieurs reprises. Il gémit « Oohh va y, fais ta gourmande, sois pas timide, tête dada », je le pompe pendant 20 bonnes minutes. À plusieurs reprises il me gifle. Au moment de juter, il enfonce ma tête pour que je reçoive son jus au plus profond de ma gorge. Il rugit encore plus fort. Et dis « C’est bien, tu as été docile, tu as bien bossé ». Pendant ce temps-là, je suis encore en train d’essayer d’avaler et de me remettre de cette session. Il défait la corde qui liant mes mains. Se lève. Me demande de partir, et en reprenant mes affaires il dit « Tu vois que tu sais faire les vidanges ma salope, reviens quand tu veux, je saurais te faire le même accueil » et je réponds crédulement « Oui m’sieur »
Stan Metch
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