Un lope gays devient pire qu’une chienne destinée à la reproduction BDSM.
- Allo
- Oui bonjour, je vous appelle parce que j’ai quelques questions à propos de votre gîte.
- Mais je vous en prie, que désirez-vous savoir ?
- Je suis un peu gêné de vous poser ces questions mais j’aimerai savoir si vous acceptez les chiens humains et si cela est possible chez vous ?
- Ne soyez pas gêné, cela fait 40 ans que je suis dans le monde des rencontres fétichistes, il n’y a donc pas de sujet tabou avec nous. Chien humain dites-vous, en clair est-il possible de faire du pets-play ou dogtrainning au gîte ? Et bien la réponse est oui, sans aucun problème. Par contre, je vous conseille de prévoir des genouillères et coudières ou des gants car si certaines parties sont, disons carrossables, si vous vous éloignez un peu dans la propriété, ce sont des chemins ou sentiers avec des pierres.
- On peut vraiment se promener comme ça sur votre propriété ?
- Oui, sans aucun problème, rien ne nous gêne. Nous pourrons même, si vous le désirez, servir des repas en gamelle.
- C’est génial, et si on est gay, cela vous pose des problèmes si on joue en extérieur ?
- Toujours pas ! Il y a même du matériel qui se prête bien au fist et autre comme chaise percée, piloris. En fait, le matériel que vous voyez en photo sur le site peut être utilisé à votre convenance que vous soyez lesbienne, gay ou hétéros, on s’en moque.
- J’ai encore une question ?
- Je vous en prie !
- Le gîte est limité à 4 personnes mais si on est 5 comment cela se passe ? Il faut qu’il y en ait un qui aille dormir à l’hôtel ?
- La limitation est due au fait que nous n’avons que deux grands lits et que, pour des raisons juridiques, nous ne pouvons accepter des tentes ou caravanes.
- Oui mais vous avez un lit spécial qui permet de faire dormir dessous ! Si je compte bien cela fait 5 places.
- Allons droit au but, vous désirez venir à 5 et me demandez si on peut s’arranger ?
- Oui c’est ça !
- A partir du moment où il y en a un de vous qui accepte de dormir ailleurs que dans un lit conventionnel, nous pourrions adapter le forfait de la location.
Après cet entretien téléphonique, Damien décide de réserver le gîte pour un week-end du mois de juillet. En réalité il est tout seul pour le moment. Son idée est d’offrir un week-end au gîte à deux Maîtres gays et d’être leur lope. Pendant deux mois, il s’acharne sur les forums et sites gays ainsi que sur Fessestivites et Abkingdom où parfois, il a croisé quelques ABDL intéressés par le BDSM.
Sur Fessestivites il a trouvé un dom gay très pervers qui est d’accord pour l’accompagner au gîte et s’occuper de la lope. Pour être sûr de ne pas se faire planter, Maître Max lui a demandé une copie de la réservation puis à téléphoner au gîte. Ce dernier a confirmer qu’il y avait une réservation mais a refusé de dévoiler l’identité du locataire. Après une discussion, le gîte lui a simplement indiqué que la personne avait loué, à priori, pour un week-end BDSM gay. Malgré les autres demandes de renseignements, le gîte a respecté l’anonymat du client.
Pauvre Damien....
Pauvre Damien car lors des discussions téléphoniques, faîtes que d’une main, il lui a dévoilé ses fantasmes d’être chien et lope en version BDSM hard. Entre fantasmes et réalités il y a un grand pas. Après être allé le voir chez lui pour « tester » la lope et s’amuser un peu, assez connu dans le monde des rencontres, Maître Max n’a pas eu de mal à trouver dans son relationnel trois autres personnes branchées BDSM gay pour aller avec eux en Espagne. Parmi elles, il y a Master Paul et son ami Lucas qui est switch et Mamadou qui est blanc de peau mais surnommé ainsi pour la taille de son service trois pièces, toujours volontaire pour péter des rondelles.
Bien que Damien ait proposé de tout payer, les invités participent aux frais de transport à bord d’un monospace loué pour la circonstance. Pendant le trajet pour aller de Lyon au gîte, le soumis aux anges continue de les allumer. L’excitation rend parfois dingue et fait oublier la prudence....
A peine descendus de la voiture, Maître Max prend les choses en main ou plutôt en laisse. Damien se retrouve à poil avec un collier autour du cou devant les propriétaires du gîte. Pendant le pot de bienvenue, pris en gamelle pour Damien, les discussions vont bon train. La laisse du chien est détachée pour qu’il aille décharger les bagages. Les invités constatent qu’effectivement, les « activités » sont quasiment sans limite au gîte. La femme du patron n’a pas été offusquée de servir à boire au chien et a l’air « blindée ».
Lorsqu’ils arrivent au gîte qui a été préparé pour eux, les invités ne sont pas déçus ! ! ! Sur la terrasse il y a deux piloris. Un est en version Moyen-Âge, l’autre en version esclave à baiser le soumis se retrouvant bloqué par les membres à quatre pattes cul offert. A côté, se trouve le « banc de la défonce » permettant de bloquer une personne en position diaper. Autant dire qu’une fois la dessus, la voie est très accessible. Une niche de grande taille a également été installée à côté de la piscine. (HUMOUR Normal, en français Chien et niche contiennent les mêmes lettres)
A l’intérieur du donjon, un chaise percée recouverte d’un abattant WC les amusent mais ce qui les surprend, c’est le lit à baldaquin avec des anneaux de partout et son lit cage.
- Cela vous plait ? Demande Damien
- Mais on est où ici ? Demande Mamadou étonné de ce décor si particulier !
- Au gîte fétichistes !
- C’est assez surprenant répond Master Paul.
- Je prendrai bien une douche, le chien profite d’être encore debout pour venir m’aider !
Damien tiré par la laisse se retrouve dans la douche avec son Maître qui lui impose de se mettre à quatre pattes et de lui servir de chaise de bain. L’idée plaisant aux invités, il ne sortira de la salle de bain qu’après que tout le monde ait pris sa douche. Ses premiers pas de lope sont, pour l’instant, assez soft même si il a du lécher des culs et des pieds pour vérifier qu’ils s’étaient bien lavés. Là où Damien c’est un peu affolé, c’est devant la taille du mandrin de Mamadou.
Ce lieu si particulier donne des envies, Damien est conduit au « banc de la défonce » où, allongé sur le dos, entravé et menotté il a perdu de sa superbe. Pendant que les doigts de Master Paul jouent les spéléologues dans le cul bien offert, Maître Max se fait tailler une pipe. Les doigts fouilleurs font rapidement place à une bite très motivée, huit heures de route avec une lope qui rêvait de se faire sauter, cela donne des envies. Faisant de l’oeil à Mamadou, Lucas profite que Max a laissé la place pour se faire préparer le cul par la langue de Damien en faisant un facesitting.
Pendant que Mamadou et Lucas s’envoient en l’air, Maître Max et Master Paul prennent une bière. Abandonné sur le « banc de la défonce » Damien se désespère de ne pouvoir en prendre une avec eux, mais son avis.... En guise de bière, une demi-heure plus tard, lorsqu’il voit Lucas enjamber sa tête pour un facesitting, il refuse de lécher le cul qui vient de se faire défoncer. Ses réfutations sont très mal prises ! Maître Max prend un paddle accroché à l’étagère des accessoires pour le motiver. La fessée au paddle, cela pique mais en position diaper, c’est hard ! Master Paul rejoint son ami fesseur et entreprend de malaxer d’une main ferme les précieuses de Damien.
Entre deux cris, le désespéré cède et, comme si sa vie en dépendait, lape le cul chargé de lubrifiant et pas très propre. Très excité par ce qu’il voit, Mamadou enfile un préservatif et vient, à sa façon et avec sa bite 26 x 6 expliquer à Damien qu’il doit faire des efforts. Dilaté, défoncé, ramoné aussi bien en profondeur qu’en largeur, il « chante » plus qu’il ne lèche. Libéré et porté pour cause de manque d’énergie jusqu’à la niche où il est attaché, Damien s’y réfugie bien volontiers.
Pendant le repas, pris avec les propriétaires du gîte, le chien manque à l’appel. Deux gamelles sont apportées à Damien, une d’eau l’autre contenant une sorte de pâtée faite avec ce qu’il y a au menu du soir. Le Maître des lieux leur demande si ils vont le faire dormir dehors ou dans la cage sous le lit en précisant que les nuits sont fraîches. Pour protéger son gîte d’éventuelles fuites urinaires, il leur donne une couche pour personne incontinente ce qui les amusent. De fait, en redescendant à leur gîte, le chien est détaché et mis en couche avant d’être bouclé sous le lit.
Le samedi matin, le petit déjeuner a été déposé sur la table de la terrasse du gîte. Encore une fois, Damien n’a pas pu manger normalement. Equipé de genouillères et moufles, hormis un petit séjour de deux heures au pilori, il va vivre en chien toute la journée. Vers midi, après les avoir vu « s’amuser » sur la balançoire, il prend place sur le « banc des plaisirs » suspendu à la poutre de la balançoire. Il doit attraper avec sa bouche une bite tendu face à lui à chaque balancement. Ne vous y trompez pas, Maître Max ne le fait pas balancer de façon conventionnelle mais à coup de grandes claques.
Pendant le repas pris à 14 heures, Maître Max discute avec le maître des lieux en lui demandant si le sulky servant pour du pony-play peut être adapté pour du chien de traîneau. N’y ayant pas pensé, le maître des lieux leur promet de chercher une solution en précisant « sans garantie ». Après réflexion, il parvient à bricoler quelque chose avec des s a n g l e s et des colliers de plomberie fixés sur les barres du sulky. « Cela n’est pas très esthétique mais devrait fonctionner » lui dit-il en arrivant avec le sulky.
Attelé comme un chien de traîneau, Damien raccompagne son Maître en promenade jusqu’au gîte où il compte bien faire une sieste. Porter et tirer le sulky à quatre pattes est épuisant mais très distrayant comme façon de faire du pony.
- La prochaine fois, on devrait lui attacher les couilles au sulky et le faire tirer comme ça ! Dit Master Paul en affolant le toutou convaincu qu’ils sont capables de le tenter.
Après la sieste, Maître Max découvre qu’il y a des chaînes et des anneaux un peu partout dans les arbres autour du gîte. Il va donc voir le maître des lieux pour voir si il a des idées pour profiter du terrain.
- Vous pourriez organiser une chasse à l’homme. Vous lui laissez un quart d’heure d’avance et après vous le chassez. Libre à vous de décider ce que vous ferez au gibier !
- Vous pourriez me prêter un fouet et des bracelets ?
- Pour les bracelets, prenez ceux de la chambre mais avez-vous déjà fouetté au sens propre du terme avec un vrai fouet ?
- Non jamais !
- Nous allons jouer prudence car cela peut être dangereux pour vous comme pour lui. Je vais voir ce que je peux vous prêter.
Le lâché du gibier nu se fait vers 17 heures. Le maître des lieux confit à Maître Max un mini fouet en lui donnant quelques conseils et en lui disant « attention aux yeux, un fouet peut être détourné et arriver là où vous ne voulez pas et parfois même sur vous ».
Parti sur la propriété, Damien se demande ce qu’ils vont lui faire. Marcher lui pose rapidement un problème, Maître Max lui ayant posé un gros ballstretcher. A chaque pas, ses testicules ballottent. « Si cela dure longtemps, elles vont traîner par terre » se dit le gibier. Rattrapé facilement par les chasseurs s’étant partagés le terrain comme des rabatteurs, le pauvre Damien est ramené aux arbres à chaîne pour y être lié bras et jambes écartés. Maître Max découvre rapidement que le fouet peut être cruel pour celui qui le donne. Malgré tout, il commence à s’habituer à cet instrument au grand dam du gibier commençant à être strié de partout.
Assoiffé, il demande grâce et supplie. La négociation est simple, champagne contre l’arrêt du jeu. Les poignets libérés, la lope peut se mettre à genoux et prendre en bouche la verge de Paul. Derrière lui, Lucas, taquine les précieuses pendantes avec son pied, histoire de motiver la lope. La « collation prise », ils rentrent au gîte pour prendre un apéro plus conventionnel en tirant Damien par sa laisse pour prendre une bonne douche.
Pour la paella, il est décidé de laisser Damien s’asseoir à table, il a mérité une pause syndicale. La nuit se terminera au bord de la piscine où le chien a appris la brasse coulée et la pipe coulée. La problématique fut que l’eau de la piscine et la bière cela donne des envies. Maître Max se rend au donjon pour aller chercher la chaise percée. Installée dans le gazon, avec un système d’évacuation humain, la lope prend plusieurs douches....
Sa soirée est loin d’être terminée, Mamadou a encore des envies. L’orgie se termine tard dans la nuit après de multiples « « échanges » » sur le sling et sans couche pour Damien, il est trop tard pour aller en acheter. De fait, il peut sortir à quatre pattes pour aller une lever dehors. « Si je te vois te lever comme un humain, je te fouette les couilles » lui avait indiqué Maître Max. Autant dire que le toutou a été obéissant.
Le lendemain, après s’être bien défoulés, amusés dans le donjon et le jardin, nos acolytes font du tourisme conventionnel ou presque puisque c’est avec un gros plug que Damien fera la visite. Ils se rendent au monastère de pierres, un lieu méritant grandement le détour. Ils profitent également de l’immense parc verdoyant et de ses cascades. Marc leur avait conseillé de bien se chausser car il faut crapahuter un peu, cela va avoir de l’importance pour les aventures de Damien. Même si les arbres et les cascades rendent la visite agréable, les chaussettes sont montées en odeur comme le constatent les Maîtres dans la voiture pendant le retour.
Arrivés au gîte, prises sur la terrasse, les bières bien fraîches sont salutaires pour nos assoiffés. Damien pourra en boire une quand il aura léché les pieds déchaussés et dépourvus de chaussettes. Ils les a trouvés « salés », allez donc savoir pourquoi ! Après une bonne douche, nos acolytes prennent un peu de bon temps dans la piscine où, Damien se doit de faire un peu de plongée pour lécher ci et là^^^.
N’ayant pas envie de faire des courses, Damien n’aura pas à cuisiner puisqu’ils se sont fait livrer des repas à 9,50 euros. Si le repas du chien n’a pas été mixé ni mis en gamelle, puisque les Maîtres avaient oublié ce détail, la lope mange malgré tout à quatre pattes sous la table. Nous dirons que ce n’est pas parce qu’ils manquaient de place, mais que c’était juste pour lui faire plaisir...
Le donjon et sa chambre Love sont un peu comme des aimants pour nos acolytes. A peine entrés, Damien est placé puis entravé sous la chaise percée servant de toilettes humaines. Sa mission est simple, préparer les culs de sa langue et, il l’espère, ne pas avoir à les nettoyer après usage. Il n’en nettoya que deux sans trop de résistance, un pied posé sur vos testicules, cela motive.
Nos acolytes s’étant éclatés entre eux, la fatigue aidant, ils s’occupent rapidement de la lope pour qu’elle ait un minimum de plaisir, mais à leur façon... Traduction ? Sur l’étagère aux accessoires, ils avaient repéré le masque permettant de fixer des chaussettes ou slips parfumés sur le visage d’une personne. Maître Max propose généreusement de prêter son slip et une de ses chaussettes afin que la lope profite de lui toute la nuit et ne se sente pas abandonné.
- Tu ne te sentiras pas abandonné puisque tu vas pouvoir me sentir toute la nuit ! Lui indique Maître Max en faisant bien rire ses complices.
Pour qu’il ne pourrisse pas le lit, il doit mettre une couche avant d’être entravé bras et jambes écartées avec son masque aux fragrances humaines bien serré. La nuit parfumée de Damien n’est qu’une mise en bouche car Maître Max a des projets pour lui le lendemain.
Au petit matin, après avoir pissé dehors, il vient le libérer du lit pour le mettre à quatre patte avant de le faire un bondage l’obligeant à n’évoluer qu’en chien. Pour cela il lui attache les jambes une par une avant de lui poser des menottes qu’il passe dans son collier. Après quoi, il lui retire le masque avec son slip et sa chaussette mouillée puis la couche pleine d’urine. Cette dernière est alors placée sur son visage et fixée avec du scotch d’emballage.
- Pour te faire plaisir, et surtout pour que tu ne dises pas que je ne suis pas gentil, je vais placer les clés des menottes aux pieds de la table qui se situe dans la cabane naturelle au fond du verger. A ton retour, tu pourras déjeuner et prendre une douche. Attends, on ne peut pas te laisser le cul exposé à l’air, il faut le combler un minium. Cette queue de chien t’ira à ravir, en plus le rosebud est petit, c’est à peine si tu le sentiras passer. Bonne balade la lope ! Conclu Maître Max avant d’aller se faire un café.
Si il aime bien se faire loper et faire le chien, le pauvre Damien n’est pas au bout de ses peines. En effet, la couche détrempée posée sur son visage ne lui permet quasiment pas de voir. A cela se rajoute que, pour aller au fond du verger à quatre pattes, le trajet va être fort long. C’est lorsqu’il quitte la terrasse où il a été soigneusement équipé, qu’il prend conscience que la rosée matinale va être infernale pour lui. Même si Marc entretient le verger quasiment comme le parc, les herbes y sont plus hautes. Mouillées et fraîches, elles deviennent cruelles avec lui.
La lope transformée en chien est un train de vivre un de ses fantasmes, sauf que, le trajet fort long et avec les herbes mouillées, cela change la donne et c’est de suite moins amusant. En plus, l’herbe fraîche cela donne envie de pisser. C’est à mis chemin, fatigué et surtout par manque de courage qu’il se soulage comme une chienne. C’est dans ce moment d’abandon que sa queue décide de faire bande à part. Cela l’inquiète car Maitre Max risque de ne pas apprécier et de le punir pour ça si il l’apprend. Bien décidé à éviter la punition, Damien presse le pas, ou plutôt, les pattes. C’est en arrivant à la table placée sous la cabane naturelle, qu’il découvre quarante minutes plus tard que Maître Max ne lui a pas laissé les clés des menottes.
Serrer les fesses en revenant ne suffira pas à son anus, « bien usiné » les jours précédents à contenir son envie naturelle dit « solide ». Pour ne pas arriver le cul crade, il en est réduit à se frotter comme une chienne en chaleur dans les herbes. C’est en puisant dans ses réserves de courage qu’il reprend son périple canin. Au passage, il récupère la queue de chienne par très propre qu’il nettoie dans les herbes afin que Maître Max ou ses complices ne lui fassent pas laver avec sa bouche. Tant bien que mal, c’est vers 9h30 qu’il arrive à la terrasse du gîte où les acolytes prennent leur petit déjeuner.
C’est après presque deux heures de marche en chien qu’il est libéré et peut enfin boire ! Boire et déjeuner, après l’effort un peu de réconfort ne peut pas faire de mal, a estimé Maître Max.
- Bien la lope, il ne te reste plus qu’à ranger tes affaires et à faire le ménage, qui, je te le rappelle, est à la charge des locataires. Je t’invite à ne pas trop tarder car nous devons rendre le gîte et le donjon en parfait état de propreté. Je subodore sans trop de risque d’erreur, que Marc se ferait un plaisir de te punir au fouet si c’est mal fait. Je te laisse imaginer sa réaction si je lui disais que tu as mal fait le ménage par pure provocation... ! Lui indique Max avant d’aller faire quelques achats chez ABCplaisir.
C’est avec une pointe de regret et après l’état des lieux sans imperfection...., qu’ils prennent le chemin du retour. Par prudence, la lope ne conduira pas, mais sur l’autoroute, à l’arrière entre les sièges, elle officiera un peu de la bouche.
FIN
TSM
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- Si Marc existe réellement
- Si le gîte fétichistes existe réellement
- Si il est possible de vivre ce type d’aventure au gîte fétichistes
- Cette histoire est totalement fictive. Son but est de vous donner un exemple de ce qu’il est possible de vivre au gîte fétichistes