Chapitre-1
Je m’appelle Thibault et je suis ingénieur dans une grande entreprise. Je vais vous décrire ce qui m’est arrivé hier au bureau. Avant tout, je me présente rapidement. J’ai 35 ans. Je mesure 1,70m pour 63kg. Plutôt sec mais musclé avec pecs, abdos et bon petit cul bien ferme et rebondi.
Depuis 2 semaines, nous avons un nouvel alternant au travail qui partage le même bureau que moi. Nous avons 2 bureaux face à face dans la même pièce simplement séparés par nos écrans respectifs. Il s’appelle Nathan et a 21 ans. Il est plutôt grand (environ 1,85m) et très fin, peu musclé. Il porte des petites lunettes fines qui lui donne un petit air intello et a un sourire à tomber par terre.
Depuis son arrivée, je l’observe et mate son petit cul moulé dans son jean. Depuis mon poste de travail, je vois ses mains qui naviguent sur son clavier et sa souris. Il a de belles mains avec des doigts longs et puissants que j’imagine à l’image de son sexe. Cela m’excite terriblement.
En fin de semaine dernière nous avons évoqué ensemble les bars de la ville car il restait en ville pour la première fois ce weekend là et voulais de bonnes adresses pour sortir. Je lui en ai conseillé plusieurs et j’ai glissé un bar gay dans la liste pour m’amuser un peu et voir sa réaction s’il décidait de s’y rendre. Il y est effectivement aller et ce lundi en arrivant, il m’a dit avoir bien aimé mes adresses et notamment ce bar en question. En disant cela, il m’a envoyé un petit clin d’œil avant de m’adresser son grand sourire de tombeur. Je lui ai demandé si l’ambiance était sympa ce samedi soir et m’a répondu que oui mais que, malheureusement, il était quand même rentré seul et qu’il avait passé tout le weekend « sur la béquille ». J’ai enchaîné en disant que ce sont des choses qui arrivent malheureusement mais que je suis étonné qu’un mec aussi mignon ne trouve pas à s’amuser un samedi soir. Puis je suis passé à autre chose de peur qu’on nous entende depuis le bureau d’à côté.
Mais cette conversation m’a travaillé une bonne partie de la matinée et j’avais du mal à me concentrer. En fin de matinée, j’ai relancé le sujet et il m’a carrément annoncé que sa soirée au bar l’avait chauffé comme la braise et qu’il avait une gaule d’enfer à ce moment même. J’ai fait une allusion sur le fait que je pouvais peut-être l’aider à se détendre. Il m’a répondu qu’il ne serait pas contre.
J’ai tendu l’oreille pour m’assurer que personne n’arrivait dans le couloir, notre bureau étant au bout de celui-ci, et je me suis glissé sous mon bureau qui est accolé directement au sien. Je suis passé sous son bureau en étant complément caché par les caissons de rangement qui bloquent la vision depuis l’entrée du bureau et j’ai glissé ma main vers son entre-jambe. J’ai pu me rendre compte qu’il bandait effectivement mais, j’ai surtout senti une énorme queue sous son jean. Il était très gêné et voulait que j’arrête par peur de se faire surprendre. Je lui ai dit de ne pas s’inquiéter et qu’on ne risquait rien car je n’étais pas visible (et en plus il y avait très peu de monde au bureau du fait du télétravail largement adopté).
« Détends-toi et profite » lui ai-je dis avant de commencer à déboutonner son jean. Comme je galérais, il m’a aidé. Il a déboutonné son jean et sorti sa queue et ses boules qu’il a posé sur le siège avant de faire rouler sa chaise pour cacher le tout sous le bureau et derrière les caissons. Je me suis trouvé nez à nez avec un mastard de bien 22cm par 6cm posé sur une belle paire de couilles bien lourdes complètement rasées. Seule une petite toison courte recouvrait son pubis et le reste était dénué de poils. J’ai pris le gourdin en main et me suis approché pour commencer à le sucer. Ce n’était pas évident car j’étais limiter dans mes mouvements par le plateau du bureau. La taille de sa queue ne m’aidait pas non plus et j’avais bien du mal à en faire rentrer plus de quelques centimètres. Mais j’ai fini par trouver une position qui m’a permis de commencer à faire des aller-retours courts mais rapides le long de sa belle tige tout en caressant ses couilles. Il se glissait de plus en plus sous le bureau pour essayer de me donner plus de latitude pour que j’enfourne un peu plus de son manche dans ma bouche. Moi, j’essayais d’être aussi discret que possible pour ne pas faire de bruit de succion. A un moment, il a passé sa main sous le bureau pour venir la plaquer derrière ma tête et en faisant rouler son siège d’avant en arrière il a commencé à me baiser la bouche.
C’était jouissif de me retrouver sous ce bureau dominé par ce petit alternant à gueule d’ange qui m’enfournait son énorme queue dans la bouche. A ce moment, nous avons entendu notre seul collègue présent dans le bâtiment ce jour-là marcher dans le couloir. J’ai laissé tomber sa queue sur le siège et me suis arrêté de bouger. Il s’est arrêté dans l’embrasure de la porte et a annoncé qu’il allait à la piscine du temps de midi et serait de retour d’ici 45min à 1h si on voulait l’attendre pour déjeuner. Nathan a répondu qu’il verrait avec moi mais, que nous allions sans doute l’attendre. Et le collègue est parti. Il avait à peine tourné les talons que Nathan me ressaisissait l’arrière de la tête et m’enfournait sa queue le plus profond qu’il pouvait.
Nous avons entendu la porte du bâtiment se fermer et Nathan a reculé son siège pour me laisser sortir de sous le bureau. J’étais accroupi au sol devant son siège. Il s’est redressé et a baissé son jean et son boxer pour mieux dégager sa bite. Je l’ai prise à deux mains et me suis affairé dessus du mieux que je pouvais. Je suçais, je léchais, je branlais plus ou moins vite, plus ou moins profond. Nathan gémissait me disant que jamais il ne s’était fait sucer comme ça. « T’es vraiment une chienne en fait !» me dit-il en souriant. Je lui ai répondu par un clin d’œil (on m’a toujours enseigné de ne pas parler la bouche pleine).
Alors, il s’est enhardi. Il a retiré sa queue de ma bouche et il m’a fait me relever. Il m’a retourné et fait me pencher sur le bureau. Ce qu’il voulait était très clair. Je lui ai demandé de prendre un peu de temps pour me préparer car, vu le morceau de viande qu’il a entre les jambes, ce ne serait pas passé comme ça. Il a donc commencé à me lécher la rondelle et à me mettre des doigts. Il y mettait beaucoup de salive ce qui était une bonne chose. En parallèle, il se branlait doucement. De là où j’étais, je voyais son pré-sperme perler au bout de sa bite. Je l’ai attrapé du bout des doigts et l’ai déposé sur ma rondelle pour lubrifier encore un peu plus. Il a pris cela pour un signe d’approbation et est venu placer son gland sur ma rondelle. Il a craché une dernière fois sur sa queue et a commencé à s’introduire dans mon cul. Je sentais mon cul s’ouvrir à l’extrême. La préparation avait été courte mais j’étais tellement excité que mon cul s’ouvrait plutôt bien. Après qu’il a eu introduit environ 5cm de chibre, je lui ai demandé de faire une pause pour que je puisse souffler. C’était un peu douloureux mais ça me plaisait tellement de me faire baiser par ce petit mec que j’était bien décidé à endurer. Après quelques dizaines de secondes je lui ai dit qu’il pouvait continuer doucement. Il a donc commencé de petits va et viens en rentrant chaque fois un peu plus. Il crachait régulièrement sur sa queue pour lubrifier « à l’avancement ». Après 2 minutes, il m’enculait jusqu’à la garde. J’avais chaud. Une fois au fond, il a fait une nouvelle pause bienvenue.
J’ai pris trois inspirations et j’ai réussi à me détendre un peu plus. Puis j’ai commencé à boucher un peu au bout de sa grosse bite pour dilater un peu plus ma rondelle. Il a saisi mes hanches et a commencé de lents va et viens. Je sentais chaque centimètre de son gourdin entrer et sortir et je commençais à prendre mon pied. Lui aussi visiblement car il a accéléré la cadence et l’amplitude des mouvements. Il grognait et lâchait des « Putain quel cul !». Il m’a limé pendant 5 minutes à un rythme rapide puis il a poussé un grognement plus guttural et m’a envoyé une bonne grosse dose de foutre au fond du cul. Il a chancelé un peu et est retombé sur son siège, sa grosse queue en train de dégonfler et reposant sur sa cuisse.
Je me suis relevé et j’ai commencé à me branler en le regardant. Il s’est penché en avant pour prendre ma queue en bouche et me sucer. J’étais tellement excité que je lui ai envoyé la purée au fond de la gorge en 2 minutes. Il a tout avalé et a ri. Je l‘ai félicité pour la taille de sa queue. Même si ça avait été rapide, j’avais pris mon pied. Il m’a répondu qu’il était trop excité par mon cul depuis 2 semaines et qu’il ferait mieux la prochaine fois.
Nous nous sommes rhabillés et avons repris notre travail. Lorsque notre collègue est revenu de la piscine, nous travaillions chacun de notre côté du bureau comme si de rien n’était.
Thomas
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