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La débauche d'un flic

Chapitre-1

Je me décide enfin à raconter ce qu'il se passe dans ma tête ici, avec un peu de chances ça me calmera.

On m'appellera Bruno, hétéro 41 ans marié et deux enfants que j'aime plus que tout au monde. Malgré ça j'ai toujours eu un fort penchant pour la baise et ça s'est pas arrêté avec le mariage et les naissances. J'ai toujours eu besoin de sentir une bonne chatte s'ouvrir sur mon pieu donc je fais en sorte que ça arrive souvent. Et j'ai comme un aimant à vraies chiennes qui savent comment bien se comporter face à un mâle. Tu la fermes, tu t'occupes bien de ma bite et on verra qui gueulera le plus fort quand je te tringlerai le cul. Dès que les regards sont tournés je me cache pas de mon côté un peu pervers et ça plaît.

Faut dire que j'ai un métier qui déchaîne autant la haine que la passion, souvent les deux en même temps. L'uniforme et l'autorité ça fait mouiller. Ça se dit révolutionnaire mais une fois en face la plupart des gonzesses se remettent bien vite à leur place. Vous l'aurez deviné, je suis dans les forces de l'ordre, je préfère pas préciser mais je suis bien placé. Avec moi ça file droit, mes collègues le savent et le respectent. Avec l'expérience j'ai l'habitude des apprentis rebelles et des racailles, avec moi les petites merdeux dans leur genre se mettent vite à filer droit. J'ai pas pour réputation d'être doux que ce soit avec les voyous ou avec les chattes.

C'est peut-être le moment où je me décris : peau bronzée grâce au soleil de la côte et à mes origines italiennes, crâne rasé et autour de ma grande gueule une belle barbe fournie que je taille aussi bien que mon corps. Mon corps je le sculpte intégralement tous les jours à la salle, je supporte pas de faire les choses à moitié, chaque muscle est développé et ressort bien, ça fait baver, ça fait mouiller et c'est pratique pour montrer qui est le plus fort.

Jusqu'à récemment je menais ma vie à la baguette, tout était sous contrôle. C'est lors d'une soirée entre collègues au début de l'été que tout a commencé.

On devait fêter le départ d'un collègue alors on a décidé de sortir, de profiter de notre quarantaine et si possible de rentrer chacun avec une femme au cou et à la queue. On se connaît bien dans l'équipe on est tous un peu pareil, il en faut peu pour qu'on soit au garde à vous dans le slibard alors on est arrivés en ayant gagné d'avance. Mais bon ce soir-là dans la boîte de nuit y avait pas beaucoup de choix je dois dire donc on a commencé à boire un peu beaucoup, c'est le collègue sur le départ qui payait ses tournées. Et puis les autres ont commencé à partir un par un ces couilles molles mais moi j'avais trop la dalle, je voulais m'en taper une et je continuais à boire sans trop réfléchir.

J'ai perdu les derniers collègues dans la foule et c'est là que mes souvenirs deviennent un peu flous, j'ai commencé à payer des verres, à en boire aussi mais sans jamais rien aboutir. Ça faisait un paquet d'années que j'avais pas été aussi torché et dans un endroit comme ça en plus. Je dansais collé-serré avec toutes les jupettes qui m'approchaient, j'étais en trans d'ailleurs je me rendais plus vraiment compte de ce qui était autour de moi.

Je crois qu'à un moment je me suis rendu compte que la gonzesse que je pelotais depuis bien cinq minutes était en fait un jeune mec imberbe aux traits féminins. J'ai tout de suite arrêté mais lui ne m'a pas lâché, il frottait son petit cul contre ma matraque perso et comme j'avais plus trop conscience des choses j'ai fini par céder, me voilà en train de me frotter à un bonhomme dans la vingtaine. Il a commencé à me chauffer en me glissant à l'oreille tous les mots qu'un gars comme moi aime entendre, je me rappelle pas exactement mais je me suis senti puissant, j'avais une belle jument abandonnée à mes bras, j'oubliais presque que c'était pas une minette.

Je le sentais de plus en plus avenant, si bien que mon garde-à-vous est bien arrivé et qu'il l'a senti. Il continuait de se trémousser, de se loger contre moi, de me dire les choses que j'attendais des femmes autour de nous... Je lui ai payé des verres à lui aussi beaucoup trop d'ailleurs en regardant mon compte le lendemain, je me souviens plus combien de temps ça a duré parce que j'ai presque un black-out après ça.

Je me souviens être rentré difficilement avec lui qui en profitait pour me caresser le corps en me disant tout ce que j'allais pouvoir lui faire en arrivant chez lui. Je me souviens un petit appart, lui à genoux mon dard dans la bouche à me regarder comme une chaudasse. Puis son petit corps tout lisse à quatre pattes se donnant à moi, poussant des petits cris féminins entrecoupés de phrases de soumise...

Je me suis réveillé plus tard dans la nuit et vous vous doutez bien que je me suis tiré bien vite en voyant à côté de qui j'étais. J'ai jamais rien eu contre les homos mais c'était pas pour moi, je comprenais pas comment ils acceptaient de perdre leur virilité comme ça, moi j'ai besoin de montrer aux gens que je suis un vrai mâle.

Bref, je suis rentré dans mon appart de fonction très pratique pour mes activités extra-conjugales si vous voyez le délire, je me suis lavé et couché. Les jours suivants j'ai un peu oublié ce qui s'était passé avant qu'un collègue finisse par m'en reparler, pour me demander comment ça c'était fini. Bien sûr j'ai inventé une histoire, j'ai des exemples de baratineurs devant les yeux tous les jours alors c'est plus simple et ça aide à faire tenir le marriage.

Mais du coup je me suis souvenu du peu que j'ai raconté et ça m'a perturbé. J'ai commencé à y penser plus souvent et je comprenais pas pourquoi ça me faisait bizarre. Je pensais que j'allais être dégoûté mais non, j'en venais même parfois à me rendre compte que je bandais comme un âne en y pensant.

Pour la première fois de ma vie, j'étais pas maître de moi-même, et dans ma partie la plus intime. J'ai tenté de résister plusieurs semaines mais un soir, en pouvant plus de cette érection qui revenait tout le temps, je me suis soulagé en y pensant. J'ai joui un torrent de sperme dans un orgasme comme j'en avais rarement eu, et j'ai réalisé que les sensations dont je me souvenais avaient rarement été égalées dans ma vie sexuelle pourtant bien active. Alors j'ai recommencé à me branler régulièrement en y repensant, je revoyais dans un brouillard alcoolisé mon pieu entrer et sortir de ce trou et de cette bouche, j'entendais ses petits cris et mes grondements...

Je commençais à me poser pas mal de questions sur moi, l'homme exemplaire de la quarantaine, et je suis allé sur internet visiter des sites de tchat. J'ai vite pu parler à des hommes dans la même situation, il y en a plus qu'on pense des mâles en rut qui cherchent à comprendre ce qui leur arrive. Ils étaient souvent bien échauffés par ce que je j'avais vécu, et me proposaient d'échanger des photos intimes, ce que je refusais catégoriquement, j'étais un fier hétérosexuel à vie !

Mais un jour, j'ai fini par céder, seul dans l'appart de fonction et n'ayant pas satisfait les besoins de mon zbeul, j'ai envoyé une photo et j'en ai reçu d'autres. Je me suis branlé frénétiquement à la vue de ces images en jouissant d'un puissant orgasme en quelques secondes. Je suis resté ébahi, je m'y attendais pas, j'étais comme possédé.

J'ai tout arrêté pendant une semaine avant que l'envie reprenne le dessus et que je me remette à envoyer des photos de mon gros zgeg à des hommes dans la plus grande honte que je compensais vite avec de grands orgasmes.

Pour les autres j'étais toujours le même et c'est comme ça que mes collègues m'ont proposé quelques mois plus tard de retourner dans la même boîte pour un anniversaire, et m'ont tous dévisagé quand j'ai refusé. J'avais bien essayé de me faire à l'idée, mais j'étais tétanisé, moi, le colosse de l'équipe, à l'idée de retourner dans cette boîte et de revoir ce mec qui m'avait perverti le cerveau. Mais je crois que ce qui me faisait le plus peur c'était ce que je ferais si je le voyais, c'était l'envie de le sentir à nouveau contre moi, ses trous offerts à mon manche et peut-être même tenter de goûter moi aussi au sien après avoir juté sur les photos de dizaines d'autres... Non, c'était pas envisageable.

Pourtant, l'idée commençait bien à germer quand je discutais anonyment sur internet et que je recevais en photos des membres bien dimensionnés, que je me surprenais à trouver beaux, aussi beaux que le mien et que j'aurais voulu voir en vrai, et je savais bien ce que j'avais envie au fond de moi si je voulais les voir en face...

Les dangers de l'internet ont continué de m'avoir à l'usure, je discutais au début seulement avec des hommes peu expérimentés comme moi qui voulaient seulement découvrir les raisons de leurs dérives. Mais au fur et à mesure j'ai commencé à parler avec d'autres hommes qui eux avaient une idée plus claires de ce qu'ils voulaient, et pour la première fois encore j'étais pas le mec le plus sûr de lui et de ses objectifs dans la conversation. Ces hommes en savaient plus que moi sur mes propres envies. J'avais pour habitude de diriger chaque personne, collègue, ami, famille mais là j'étais pas dans cette position, alors ils prenaient le contrôle de la dicussion et moi je répondais seulement à leurs demandes. Je ne savais pas comment faire autrement, et ça me faisait frire le cerveau à point que je n'avais jamais atteint jusque là. Je pouvais parfois passer des heures sur ce genre de conversations, jouissant plusieurs fois.

Progressivement, ils m'ont fait envoyer des photos de mes fesses, pour lesquelles je recevais de nombreux compliments (déjà avant elles faisait des jaloux et aidaient certaines à s'intéresser au devant). Puis ils m'ont demandé de les écarter et ils ont commencé à me dire ce qu'ils aimeraient faire à mon trou de mâle hétéro, à commencer par le chatouiller avec leurs langues pour l'apprivoiser, y glisser des doigts jusqu'à ce que j'en redemande pour enfin venir y caler leurs teubs de mecs.

Au début je quittais directement énervé, mais j'ai fini par rester, intrigué par ce qu'ils allaient me dire. Mais j'ai fini par lire attentivement toutes les choses salaces qu'ils voulaient me faire, et finalement mon zob continuait à en redemander et j'étais plus à ça près, j'étais très sûr de rien de toute façon.

Je pensais que ça s'arrêterait là, que j'avais atteint le max du délire et que j'allais finir par me donner un coup de pied au cul pour retourner à la normale mais non, je ne l'atteins jamais. Au bout d'un temps ça ne suffisait plus alors j'ai cédé à plus, j'ai fait des photos de moi à quatre pattes, moi le représentant de l'ordre, j'ai envoyé des photos de mon cul en l'air la tête enfoncée dans l'oreiller... Si ça sort ma vie est foutue, mais à chaque fois je me dis que je vais arrêter et je n'arrive pas à résister à l'envie...

La vérité c'est que je bande toujours comme un âne en le faisant et en regardant les vidéos des mecs m'insulter de trucs que je veux pas dire. Alors un jour, un des mecs m'a ordonné - oui ordonné, je m'en rends compte en l'écrivant là, c'était bien un ordre que j'ai exécuté - de me mettre un doigt dans le cul et je l'ai fait. Je peux pas dire que j'ai beaucoup aimé la sensation parce que je sais pas m'y prendre de toute façon. Mais le fait d'obéir, ça ça m'a fait ressentir quelque chose de nouveau, que je connaissais pas et qui me paraissait impossible à aimer, et pourtant...

Petit à petit ils m'ont expliqué comment m'y prendre et alors j'ai découvert le plaisir qu'on pouvait ressentir de ce côté-là. On m'a ensuite demandé de le montrer en vidéo, et bien évidemment je l'ai fait, et quand j'ai regardé la vidéo j'ai entendu des petits gémissements, pas ceux d'un homme exprimant son plaisir bestial et viril mais des gémissements de petite pute qui s'échappaient, plus profonds plus aigus qui ressemblaient exactement à ceux des gonzesses que j'avais l'habitude de baiser et à ceux du mec de la boîte, sauf que ceux-là étaient sortis de ma bouche à moi.

C'est là que j'ai décidé de tout arrêter, je n'ai pas supporté de me voir comme ça, la bouche entrouverte, le cul à la merci de mes propres doigts contrôlés par un autre homme sûrement moins masculin que moi. J'ai arrêté de répondre durant plusieurs semaines, je pensais que j'allais pouvoir tout oublier.

Mais force est de constater que j'ai rien oublié, et dans les semaines suivantes ces envies perverses ont commencé à apparaître dans ma vie de tous les jours. Je lisais mes messages et je prenais l'ampleur de la situation, on m'appelait "ma jolie", "la chaudasse", ils voulaient me voir dans toutes sortes de situations contraignantes, me disaient que je n'étais qu'un soumis à teubs et que ça ne servait à rien que je me cache derrière mon ego de faux alpha...

Dès que je les imaginais me parler comme ça j'avais une gaule d'enfer alors j'ai tout coupé pour ne plus y avoir accès. Mais du coup j'ai commencé à regarder les hommes autour de moi différemment, j'ai tenté de résister mais sans succès, j'y arrive pas.

Aux yeux des autres j'ai toujours pas changé mais au fond de moi, je sais que je suis plus le même. J'ai beau me considérer depuis toujours comme le meilleur dans tout ce que j'entreprends, j'ai ces fantasmes qui trottent en permanence dans ma tête et qui peuvent frapper à tout moment si je croise un homme qui a le courage de me défier. Et comme vous vous en doutez dans mon métier il y en a beaucoup. J'ai peur que ça impacte mon travail mais je n'arrive pas à m'en empêcher.

Des fois quand je rentre le soir, je m'imagine ce que mes gars seraient capable de faire s'ils découvraient mes activités en ligne depuis des semaines. Ils me voient comme leur supérieur, le mâle dominant du groupe, mais ils seraient sans pitié, eux aussi ils pourraient satisfaire leurs envies frustrées en sachant que je pourrais rien dire ni rien faire de peur des répercussions. Alors ils me baiseraient tous un par un, ils me montreraient que c'est eux qui décident maintenant avant de rentrer à leurs femmes. Et moi je serais là, dans la position où ils m'auraient laissé, le cul dégoulinant de sperme comme une vulgaire prostituée, mais à la fois comblé de ce que je m'imagine depuis des semaines.

Quand je vois des potes pour des matchs, je m'imagine à quatre pattes, passant entre chaque jambe plus velue l'une que l'autre, faisant défiler dans ma bouche les queues de ces hommes que je côtoie pas pour leur délicatesse physique ou verbale. Je m'en prendrais plein la gueule, ils feraient des blagues toutes plus dégradantes les unes que les autres et je pourrais pas répondre, des chibres enfoncés jusqu'à la gorge. Tous seraient fiers d'avoir trouvé un moyen d'évacuer leurs tensions à portée de main.

Quand un couple d'amis de ma femme vient dîner, je m'imagine lui caresser son paquet du pied, puis quitter discrètement la table pour qu'il me baise rapidement dans notre chambre, qu'il me traite comme il voudrait traiter sa femme le temps de quelques minutes avant de revenir vite comme si de rien n'était, son regard pervers posé sur moi le reste du repas, détenteur de mon secret qu'il pourra réutiliser quand il voudra.

Quand je croise des vigiles... Les vigiles c'est mes potes j'ai été parmi eux un certain temps avant de changer de camp, alors je sais bien comment leur causer. Mais j'imagine qu'ils pourraient prendre mon excès de confiance comme une provocation, m'emmener au sous-sol et me faire regretter mes mots en me gardant à disposition quelques heures pour qu'ils se relaient un par un sur le sale flic. Putain, ça m'a toujours donné la rage ces expressions et là je me branle comme un puceau rien qu'à l'écrire.

Les hommes dont je m'occupe au travail n'ont pas froid aux yeux, alors j'ai mes petits moyens de leur rappeler qu'avec moi le mot flic c'est sacré et que t'as plutôt intérêt à le respecter. Sauf que ces derniers temps, dès que je remets un gars à sa place je retourne dans mon bureau et je dois me calmer parce que j'ai qu'une envie c'est que le détenu se rebelle et me surpasse, que je me retrouve avec mes propres menottes aux mains, dans mon uniforme et que lui ait tout le pouvoir. Qu'il m'apprenne sa discipline à lui, qu'il me montre ce dont il est capable, qu'il me rende docile, un bon flic haut placé à son service.

Les pires ce sont les rebeux. Toujours sûrs d'eux et en quête de la virilité supérieure ils m'ont souvent donné du fil à retordre. Ils se baladent peu importe où ils vont comme si l'endroit leur appartenait, ils parlent mal, ils se comportent comme les boss du commissariat. C'est avec eux que c'est le plus dur, je retourne dans mon bureau et je tremble presque, je les revois debout me défiant, parfois plus grands que moi avec leurs barbes mal taillées et plus denses que moi et leurs corps poilus bien en chair... Je m'imagine leur sourire sadique lorsque qu'ils prendraient le dessus, leurs mains assurées, trop fiers de se faire un keuf.

Je l'imagine bien... Je me retrouve à genoux, je me prends des baffes qui me donnent la larme à l'œil. "Alors le keuf tu fais plus le bonhomme face à ton mâle ? Arrêtes de chialer la pleureuse et montre aux vrais hommes ce pour quoi t'es fait". Ils me foutent leurs gros zobs dans la bouche, sûrement plus gros que le mien, et ils attrapent mes oreilles ou mes cheveux pour me baiser la bouche. Mais moi je peux pas protester parce que ça se voit que j'aime ça. Ils m'insultent en arabe, comme je comprends pas tout je suis obligé d'approuver, ils m'appuient sur l'entre-jambe du pied.

Quand ils ont fini de broyer ma mâchoire, ils me baissent le fut et ils m'embrochent devant les autres détenus en me forçant à les regarder en levant les yeux. "Tu vois ici t'es notre karba et à partir de maintenant tu vas faire tout ce qu'on veut c'est compris ?" Je me prends plusieurs coups avant de répondre oui. Alors je deviens leur vide-couilles, dès qu'ils sont arrêtés je m'arrange pour les faire venir dans mon bureau et ils me baisent. "Mon zeb t'as manqué le keuf ? Allez montre à mon pote comment t'es un condé bien éduqué".

Mon trou passe de racaille en racaille, certains sont jeunes, j'obéis à des vingtenaires imberbes à la casquette à l'envers. Un autre est venu avec son pote exprès pour qu'il baise son premier cul "Wallah sa mère téma le tarma de baisé" (LV2 jeune mec de "tess"). Quand j'essaie de me rebeller, on me répond au mieux d'un ton hautain "Ferme-là sous-merde, tu sers qu'à faire ce que je te dis". Je suis la traînée du commissariat dans le plus grand secret de mes collègues. Je suis le patron respecté, mais dès les portes fermées, je suis à genoux, à quatre pattes, les genoux repliés, porté par mes maîtres, par terre, allongé sur mon bureau, en cellule, une bite dans la bouche ou dans le cul, la plupart du temps les deux, du sperme sur le visage, dans le dos, partout, soumis à tout délinquant voulant niquer la police.

Pourtant je me considère toujours comme un homme dominant, simplement je fantasme que chacun me prouve qu'il est plus viril, plus dominant, plus homme que moi. Je sais pas ce qui s'est passé en 6 mois, j'avais pas vraiment eu d'envies comme ça jusque là, mais certains mecs m'ont dit que j'attendais que ça depuis longtemps...

Comme je me suis mis à passer du temps sur ce site je me suis dit que tant que je reste totalement anonyme ça vaut le coup de raconter ce qui m'arrive certains se reconnaîtront peut-être, dites-moi ce que vous en pensez les mecs...

BrCop

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