Pour commencer, j’ai 30 ans et suis uniquement passif, plutôt bien fait physiquement (1m78 pour 68 kg ni gros ni maigre, de belles fesses rebondies et fermées, un sexe dans la norme et je prends soin de n’avoir aucun poil, donc entièrement lisse)
Je travaille dans une usine qui m’amène à travailler les nuits, mais aussi les matins où les soirs, les week-ends également.
La production étant ralentie il y a peu j’avais plutôt l’impression de faire du gardiennage, les nuits me semblaient longues au boulot, c’est alors que j’ai décidé de passer mes longues nuits à prendre plutôt du plaisir, ou plus exactement à en donner.
J’alterne les rencontres entre un célèbre tchat gratuit qui vient se fermer ses portes et un tchat téléphonique gratuit aussi et bien connu, strictement gay, c’est via ce dernier que mon histoire commence.
Je me connecte sur ce numéro de téléphone et dicte mon pseudo : « mec au boulot, qui me rejoint ? »
Je parle alors avec quelques personnes, surtout des curieux vu mon pseudoatypique, mais l’un d’entre eux paraissait plus intéressé, un certain Michel d’une soixantaine d’années, nous discutons de nos envies respectives, je lui explique qu’étant au travail je ne peux pas vraiment me déplacer, mais les abords de l’usine étant calmes et non éclairés, un plan en voiture était possible.
Chance pour moi, ce sexagénaire était à une dizaine de minutes de route, et en plus de ça il était actif, sa description me semblait correcte (1m80 pour 75 kg grisonnant entretenu et monté 18x5)
Il me fait savoir que mon idée de plan l’intéresse beaucoup et qu’étant bricoleur, son fourgon était muni d’un matelas, j’ai cru rêver en apprenant tout ça, nous restons en communication le temps de son trajet et le temps que je me fais une petite toilette discrètement au boulot.
Arrivé à l’endroit que je lui ai indiqué il se gare et éteint ses phares, je m’approche et nous commençons à nous observer tant bien que mal à travers la pénombre, juste à la lueur de la lune.
Je parais lui plaire, et lui me plaît également, il me montre donc l’arrière de son fourgon dans lequel je monte.
Il referme les portes et nous commençons sans plus attendre a nous embrasser, nous toucher, et dans l’excitation nos vêtements ne restent pas longtemps sur nous, je me retrouve vite nu sur ce matelas de fortune.
Le bougre semble vraiment très heureux de la situation, à la lueur de la lune j’aperçois son sexe raide, bien droit, avec un joli gland qui ne demande qu’à être décalotté, je me mets à genoux sur le matelas et il se met face à moi, pas besoin de parler dans ces moments-là, je saisis son sexe en main, le décalotte, le masturbe légèrement.
Ne pouvant retenir mon envie je pose ma bouche dessus et commence une longue fellation.
Je le sens palpiter dans ma bouche, mes va-et-vient sont accentués par de légers mouvements de son bassin, je l’entends gémir de plaisir.
Après quelques minutes de régal, il me demande de me mettre à quatre pattes, je ne me fais pas prier, je sens tout d’un coup son souffle sur mes fesses, ses mains les écartent et sans attendre il pose sa langue sur ma rondelle.
Je ne peux retenir un gémissement, visiblement mon anus lisse lui plaît, car je sens sa langue passée dessus, puis dedans, une de ses mains me masturbe en même temps.
Je ne sais pas si c’est le contexte ou bien l’acte qui m’excite à ce point, mais je me sens euphorique.
Il me murmure : « j’ai envie de te prendre » je lui demande quelle position lui plairait et il m’indique de m’allonger sur le ventre.
Je saisis donc une capote que j’avais soigneusement pris dans la poche de mon pantalon et la lui tends, il s’empresse de la mettre et se positionne à cheval sur mes cuisses.
Ses deux mains écartent mes fesses fermes et je sens vite la chaleur de son gland sur ma rondelle baveuse.
Je tourne la tête dans sa direction et lui dits : viens en moi
Il n’attendit pas la fin de ma phrase pour pousser légèrement, son gland entra dans mon anus, ce qui le fit gémir de plaisir
Et lentement, il entra, centimètre par centimètre, mon anus ayant toujours été très serré et étroit j’avais l’impression de me faire dépuceler à chaque rapport.
Il entra entièrement en moi, je sentais ses grosses couilles caresser mes fesses, toujours fermement tenues par ses mains.
Je plongeai ma tête dans le matelas et commença a gémir, ce qui l’excita visiblement puisqu’il commença à me limer littéralement avec son sexe.
Nos gémissements se répondaient, avec les couinements des amortisseurs.
Au bout d’une bonne vingtaine de minutes où il se masturba dans mon cul, il me dit « je vais venir chéri, est ce que tu avales ? ». Je hochai simplement la tête pour lui faire comprendre que oui.
Il se retira illico de mon anus et retira la capote, je m’allongeai sur le dos, il se mit presque assis sur mon torse, et entra son sexe dans ma bouche.
Je l’entendais râler sauvagement de plaisir et sentais de gros jets chauds envahir ma bouche et ma gorge.
Je commençai à avaler gorgée après gorgée, jusqu’à ce que son râle s’arrête, j’aspirais encore son sexe, puis il se retira de ma bouche
On resta dans cette position une bonne minute, nous remettant de nos émotions, puis on se redressa.
Lentement on se rhabilla, puis on sortit du fourgon, on s’embrassa rapidement avant de se dire au revoir.
Et je retournais au travail.
Mouai