Ce week-end, visite chez les beaux parents. La cinquantaine sportive, entretenu, je suis avec mon compagnon, en voiture, sur l'autoroute vers Nantes.
Avec mon mec, la cinquantaine également, cela fait presque 25 ans que nous sommes ensemble, mais depuis une bonne dizaine d'années nous n'avons plus de relation de sexe : c'est mon compagnon, on est bien ensemble, mais niveau sexe nous n'avons plus l'attirance des premières années. Nous nous sommes tous les deux bien intégrés dans nos familles réciproques, qui nous voient comme un couple modèle, alors que nous baisons de notre côté tous les deux, sans en parler entre nous.
J'ai toujours été passif. Mon mec était actif quand nous nous sommes rencontrés mais petit à petit il a tourné plus passif que moi (ça m'a un peu agacé, mais bon c'est comme ça).
Bref, la route est longue, j'ai envie de pisser. On avise une aire d'autoroute et je me dirige vers les urinoirs sans arrière pensée aucune, surtout que nous sommes déjà un peu à la bourre dans notre timing, et les beaux parents nous attendent pour dîner.
J'arrive aux pissotières, un mec est là en train de pisser, et je ne fais pas plus attention que cela. je pisse, le mec est toujours devant son urinoir, et machinalement je regarde en sa direction.
Je commence par voir sa bite. Une grosse bite bien lourde, épaisse avec un beau gland, et la main du mec qui coulisse dessus. Je remonte mon regard, et je vois un beau gosse d'une trentaine d'année, bien foutu, avec un regard insistant, bien pervers.
- Elle te plait, petite salope !
J'en reviens pas, j'ai 20 ans de plus que lui, et il me parle en petite pute (ce que finalement je susi ;o) )
Je suis déstabilisé, et je ne sais plus quoi faire. Mon mec m'attend dans la voiture, et je suis là devant un mec canon qui s'approche vers moi.
Une baffe me fait sortir de ma torpeur. Le mec m'a gifflé et je suis comme un con.
- Suce-la ! je vois que tu en meurs d'envie. tu es une bonne pute, ça se voit.
Sans contester je me mets à genoux, les mains sur ses cuisses musclées, j'ouvre la bouche et gobe cette bite à fond de gorge. Direct, le mec me lime la gueule comme une chienne, avec ses mains qui tiennent bien mon visage des deux côtés :
- Vas y bonne pute, prends la bien. Tu la sens ma bite, tu aimes ça être une salope d'autoroute.
La gueule remplie de son zob, je ne peux répondre que par des grognements de satisfaction; Soudain , je l'entends dire :
- tu vois, je te l'avais dit que l'on se trouve toujours des vides couilles sur les aires d'autoroute. Regarde moi cette chienne, elle aime ça et elle est en manque; On va la baiser également.
J'entends une voix avec un fort accent du sud qui s'adresse à mon oreille :
- tu veux que je te baises hein petite salope;
Même pas le temps de répondre, que le mec me fait me relever , toute en ayant la bite de l'autre dans la gueule, et qui descend mon fute.
- Bon cul le vieux ! un vrai cul à recevoir de la bite.
Ni une ni deux, sans plus de préliminaires me voilà pris par derrière avec une bite toujours dans la gueule. Le pompé me claque le visage, et me dit que j'aime ça. Je suis tout chamboulé et en même temps au comble du plaisir.
Quand soudain, j'entends la voix de mon mec qui me cherche
- Tu es où, qu'est-ce que tu fous ?
Le pompé arrête de me limer la gueule :
- T'es pas seul ?
- Non y a mon mec.
Pendant ce temps, Karim, mon enculeur, continue à me défoncer. Sans que cela le gène.
- Tant mieux, on aura chacun le sien dit il
Je vois mon mec arriver. Bouche bée devant le spectacle, et Karim toujours dans mon cul. L'autre mec, qui s'appelle Pierre, toise mon mec, tout en me foutant des claques, et en exhibant son chibre devant mon mec.
- ca te fait envie à toi aussi ! Viens me la pomper
Mon mec ne bouge pas, Pierre d'un ton autoritaire
- Fous toi à genoux connasse et rejoins ton mec.
je le vois s'exécuter. Il se retrouve à genoux devant moi et commence à pomper le mec, qui lui fout des baffes.
- tu es une bonne salope toi aussi... Hum un bon couple de salopes.
Pierre relève mon mec, le plaque devant le mur des chiottes, le fait cambrer, baisse son pantalon tout en lui disant qu'il allait l'enculer;
Karim me plaque à côté de mon mec, même traitement et nous voilà mon mec et moi en train de nous faire enculer comme des chiennes sur l'aire d'autoroute. On se regarde et on rapproche nos lèvres pour nous embrasser.
- Les bonnes putes !!! s'écrie Karim
- Trop bon, dit Pierre
- Tu veux y goûter toi aussi ?
Avec mon mec, on se regarde, et là on voit qu'un autre mec, était là, depuis combien de temps ?, se frottant son entrejambe.
Pierre lui lance :
- Viens tringler ces putes elles n'attendent que cela
Le mec s'approche, Karim lui laisse sa place et je sens la bite l'autre mec qui s'enfonce dans mon cul. Une bite qui prend vite du volume et qui me déchire littéralement l'intérieur.
Je vois Karim s'approcher de mon mec et qui prend la place de Pierre qui apparemment vient de se vider dans son cul, et qui se met à l'enculer avec plein d'ardeur;
- Encore une meilleure pute que son copain...
Pendant ce temps là, mon enculeur se déchaine, et me sussurre à l'oreille :
- Je savais que tu étais PD, Monsieur le professeur
Hein ?, pas le temps de chercher :
- j'étais un de tes élèves en terminale A il y a 5 ans, tu te rappelles ?
Merde c'est qui ?
Devant mon air interloqué "c'est Kévin me dit-il", j'ai toujours eu envie de vous la mettre.
Je me suis laissé aller, lâcher tout contrôle et lui ai offert mon cul comme jamais.
Il a déchargé de longs jets dans mon cul, m'a dit à l'oreille "je sais où t'habite, on remettra cela"
Le temps de reprendre mes esprits, il s'était barré, ainsi que Karim et Pierre.
Mon mec m'a regardé, s'est mis à rire et on s'est roulé une pelle comme jamais, en se promettant que l'on remettra cela.
Un appel aux parents pour dire que l'on avait dû s'arrêter, de se rincer le cul et de se décrasser, et nous avons repris la route...
Pompeur
stefan75018@outlook.fr
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