Un soir d’été, fin du mois de juillet, je décide de dormir dans ma voiture après une énorme soirée bien arrosée. J’avais oublié mes clés pour rentrer chez mes parents donc impossible de les réveiller pour m’ouvrir. Je décide donc de dormir sur un petit parking non loin pour passer la nuit.
Il faisait tellement chaud dans la voiture que je me suis mis à dormir comme de coutume c’est-à-dire en caleçon seulement.
Je m’endors sans trop de problème à l’arrière de ma voiture pour avoir le plus de place possible.
Soudain au milieu de la nuit je suis réveillé par une lumières éblouissante, je me rends compte que je fait affaire avec des membres de la police nationale, je décide donc d’ouvrir la portière.
Le policier me demande ce que je fais là au milieu du parking et pourquoi je suis dans cette “tenue”
Je baisse les yeux et me rends compte que mon caleçon est baissé laissant paraître mes couilles et surtout une énorme érection due à mes rêves très agités…
Je me dépêche de le remonter pour tenter de cacher mon érection, bien qu’inutile…
Le policier, qui était accompagné de son autre collègue, me rappelle les risques encourus si je m’exhibe de cette manière.
Je lui explique la situation, le lendemain de soirée et mes nuits très agités qui ont par mégarde enlevé mon caleçon de manière totalement involontaire.
Il me répond qu’entre hommes il comprend mais que je ne dois surtout pas réitérer cette scène.
Je le remercie pour cette indulgence et lui promets de ne plus refaire cela.
Je me rends compte une fois bien réveillé à qui j’ai affaire, un grand homme d’environ 1m85 bien baraqué avec une tenue d’été qui laisse paraître ses énormes biceps et son bronzage absolument magnifique, des yeux noirs et des cheveux tout aussi foncés.
Son collègue qui est resté en retrait jusque là paraît tout à fait semblable bien qu’un peu plus grand 1m90 et avec une barbe de 3 jours.
Deux policiers vraiment exceptionnels, qui ne m’aident pas à faire descendre l’excitation, gardant ainsi cette érection dans mon caleçon qui laisse déjà paraître une petite trace de mouille.
Il me demande tout de même mes papiers du véhicule.
Je me lève donc, toujours en érection et à moitié nu pour rejoindre le siège conducteur et ouvrir la boîte à gant laissant une magnifique vue sur mes fesses bien rondes.
Je sors du véhicule avec mes papiers lui donne et me dit que tout est en règle.
Il me demande finalement de faire un test d’alcoolémie pour vérifier mon taux si jamais il pouvait m’arriver quelque chose dans la voiture tout seul par prévention.
Il me demande de le suivre jusqu’à leur voiture pour effectuer le test, je saisis l’embout et sous l’excitation qui n’est toujours pas redescendue je mime sans le vouloir une fellation. Mon alcoolémie étant cependant bien en-dessous de la limite imposée ce qui me surpris tellement l’ivresse de l’excitation prenait l’ascendant.
Le deuxième agent intervient pour la première fois, il souhaite procéder à une fouille approfondie car il sent apparemment une odeur de canabis dans le véhicule alors même que je n’ai pas fumé depuis des mois. Simplement un prétexte…
Il décide de me plaquer délicatement contre le véhicule pour me palper le paquet puis mes fesses sur lesquelles il marque un temps d’arrêt, tout en les malaxants longuement, le premier policier quant à lui revient de mon véhicule avec un gode en main que j’avais laissé dans ma voiture qu’il était parti fouiller…
“C’est avec ça que tu t’amuses”
Sans même pouvoir répondre quoi que ce soit le deuxième policier enlève complètement mon caleçon qui tombe à mes pieds libérant enfin mon pénis qui heurte la camionnette laissant un bruit presque métallique retentir.
Ni une ni deux le premier policier m’enfonce le gode ce qui me fait gémir.
N’appréciant pas les gémissements intenses que j’émet, ils décident de m’embarquer dans leur camionnette, cependant les deux me rejoignent à l’arrière, le second sort alors sa matraque pour me l’enfoncer au fond de mon anus, je suis tellement excité que je couine ce qui excite apparemment les policiers qui se déshabillent laissant paraître leurs magnifiques torses toisonnés et des jambes musclées et tout aussi poilue. Trop excitant.
Je me retourne pour leur faire face, leur lèche le paquet à travers leurs caleçons qui avaient déjà pris du volume.
Je commence à sucer le plus grand policier qui se met à gémir de même.
De mes mains je baisse le caleçon de l’autre agent pour le masturber, il m’agrippe finalement la tête pour m’obliger à le sucer à son tour, l’autre s’intéresse déjà à mon cul puisqu’il recommence à jouer avec la matraque dans mon anus.
Tous les deux avaient d’incroyables bites d’environ 17cm, et tous deux se mirent à m’enfoncer leurs engins dans la bouche en même temps.
Je sentais leur liquide séminal m’inonder la bouche. À moitié entrain de m’étouffer je retire ma bouche mais garde leurs deux bites collées ensemble pour les branler. Ils étaient tellement excités qu’il gémissait et leurs corps étaient déjà remplis de transpiration qui perlait le long de leurs aisselles que je me mis à lécher.
L’odeur d’homme viril qui émanait d’eux m’envahissait d’excitation comme je n’en ai jamais connue.
D’un coup ils me retournèrent pour me mettre en position de levrette, tous deux d’un seul coup enfoncèrent leurs engins qui m’on fait hurler de douleur tellement c’était fort et violent.
De suite ils m’insultèrent de chienne qui adorait ce pilonnage, ce qui n’était pas faux…
Ils me défoncèrent le rectum pendant 5 minutes durant lesquelles ils accéléraient les va-et-vient.
Leurs couilles s’éclataient si violemment contre mes fesses que j’entendais leurs cris de douleur.
Je sentais leurs mains me masturber de plus en plus vite, jusqu’à me faire jouir. L’un me branlait l’autre récupérait le sperme qui affluait de mon gland pour me le faire bouffer.
Une fois terminé ils me retournèrent une dernière fois pour que je fasse face à leur énorme queue qui avait l’air encore plus grosse qu’au départ. Tous deux m’attrapent par les cheveux pour que je leur donne une dernière fellation dont ils donnaient un rythme extrêmement rapide.
Me revoilà à sucer leurs deux énormes bites plus grosses qu’au départ rendant particulièrement difficile la fellation.
D’un coup ils tressaillirent et je sentis d’énormes giclées de foutre me remplir la bouche totalement.
Ils m’obligèrent à tout avaler et à nettoyer leurs glands avec ma langue, une dernière fois leurs aisselles et le milieu des pectoraux totalement trempé. Après ça ils se rhabillent, me sortent de leur véhicule pour me balancer dans le mien telle un vide-couilles qui a fini son boulot. Ils repartirent à bord de leur camionnette sans dire un mot.
N’hésitez pas à réagir par mail.
Soyez indulgent merci.
Ralph
ralphlauren.naked@gmail.com
Autres histoires de l'auteur :