Chapitre-1
Je suis loin d'être un Apollon, à l'époque j'avais un peu plus de 19 ans et du haut de mes 1 mètre 71, je ne pesais pas bien lourd. Sans être une brindille, j'avais au moins les avant-bras et le torse saillant, car je faisais partie du club de volley-ball de notre village. Mais j'enviais les corps des garçons de l'équipe de foot, aux abdos apparents et aux jambes charpentées, parfois déjà entièrement poilues. Mais ce n'est pas avec eux que je vécu ma première expérience sexuelle…
Je me suis découvert gay très tôt, sans doute possible, et en accord avec moi même. Comme tous les adolescents de mon âge, j'avais les hormones en ébullition, si je me masturbais plusieurs fois par jour en pensant à mes camarades de sports, je rêvais de passer à l'acte, de me faire sodomiser, de sucer un vrai chibre... Je m'étais inscrit sur un site de rencontre, mais en vivant chez mes parents, et dans un petit village loin des grandes villes, ce n'était pas simple, et en réalité j'avais peur aussi, peur de cette première fois.
Cet été là tous mes amis avaient trouvé un job. Mais les postes étaient rares, soit on travaillait chez le maraîcher du coin à ramasser des framboises, soit on travaillait pour le restaurant routier, au bord de la 4-voies. Seuls ces deux recruteurs proposaient du travail pour les jeunes comme moi, et bien sûr, je n'avais pas été embauché.
Doté d'un poil dans la main qui ne m'a jamais quitté, un été passé à flâner ne m'aurait pas dérangé, mais c'était sans compter sur l'acharnement de mon oncle à vouloir me faire travailler…
Insistant auprès du maraîcher, je parviens à décrocher un poste. J'allais être en charge de l'acheminement des framboises des champs à leur entrepôt, pour ensuite préparer la distribution avant que le tout parte sur les marchés le lendemain.
J'étais mort de peur lors de mon premier jour, le travail commençait à midi à la fin des récoltes du matin, chaque ouvrier venait déposer le fruit de son ouvrage dans des caisses à l'arrière de la remorque du maraîcher, J'avais la tâche de tout charger correctement pour le transport, Pendant qu'un autre employé, David, comptait les caisses remplies par chaque employé. Nous terminions toujours par les caisses de fruit pourri, qui allaient servir à faire des confitures ou à aromatiser l'eau de vie.
David devait avoir un lien familial avec le maraîcher, ou tout du moins il devait travailler pour lui depuis des années malgré son âge, 26 ou 27 ans. Toujours vêtu d'un marcel blanc et d'un short trop grand pour lui, Il avait toutes les caractéristiques physiques d'un garçon de ferme : Une musculature sec et épaisse, qu'on obtient en travaillant dans les silos à grain, ou en chargeant des bottes de paille à la force des bras, des manières un peu brutal, et un visage aux traits dur et fin, mais vraiment beau. Son comportement un peu sauvage me semblait accentué par l'usage ponctuel d'un patois local. Il était brun, aux yeux bleu, très clair, marquant un fort contraste avec sa peau, d'un blanc presque laiteux, que le soleil n'avait pas encore brûlé cette année, et son teint virait rapidement au rouge s‘il faisait trop chaud. Enfin, sans être un géant, il était beaucoup plus grand que moi, 1m85 peut-être.
David a toujours fuit mon regard quand nous travaillions ensemble, et c'est à peine s'il m'adressait la parole, alors qu'il était souriant et blagueur avec les autres ouvriers. Pour parler crûment, je crois que ça “l'emmerdait” de travailler avec un gamin qui n'avait jamais mis les pieds dans une ferme et avec qui il n'avait aucun point commun. J'ai pris sur moi, car après tout cela n'allait durer que deux mois. Mais j'aurais préféré être dans les champs avec mes amis à ramasser c'est foutu framboise…
Seul avantage, et pas des moindres, passer toutes mes journées auprès de lui, à pouvoir le mater discrètement et à fantasmer sur son corps. Je l'ai trouvé attirant dès le premier jour, j'ai dû me masturber une bonne dizaine de fois en pensant à David dès la première semaine. Sans fantasme particulier au début, de simples petits détails sont venus provoquer en moi une excitation énorme, L'odeur de son gel douche, finissant par se mêler à celle de sa sueur en milieu de journée, puis à celle des framboises… Les poils de ses jambes, de ses aisselles, collés par la chaleur à sa peau… les crachats qu'il lançait en ramenant le tracteur vers l'entrepôt… Et par-dessus tout, l'instant où il revenait après avoir pissé, remettant sa bite en place sous son short trop grand pour lui. Il était devenu mon obsession sexuelle de l'été, comme nous en avons tous eu à un moment ou un autre de notre adolescence.
Le soir du 31 août, le maraîcher organisait une soirée “cochon grillé” pour marquer la mi-saison et la fin des contrats saisonniers. C'était aussi l'occasion de goûter à son eau-de-vie aromatisée à la framboise, un vrai délice. Moi et mes amis n'avions le droit qu'à un seul fond de verre, des fois que les parents auraient quelque chose à redire… Mais pour David et les autres ouvriers, la soirée s'annonçait bien arrosée.
David et moi allions rejoindre les autres ouvriers près du champ lorsque j'ai eu le droit à la première marque de sympathie de sa part : “Je pourrais te filer un ou deux verres de gnôle en douce si toi et tes amis vous êtes discret” me dit-il, sur un ton presque amical. David ne me détestait donc pas, et après un mois passé ensemble, nos rapports allaient enfin peut-être changer.
Il faisait particulièrement chaud en cette fin de semaine, et David n'avait pas pris la peine de se changer, son Marcel était recouvert de tâches rouge, il baignait dans sa sueur, et pour parfaire le tableau, son teint vira au rouge vif après 2 verres de gnôle. Mais jamais je n'avais vu David aussi blagueur et goguenard, passant d'un groupe à l'autre, il finit par nous amener une bouteille d'eau de vie à moi et mes amis, il resta quelques minutes, nous demanda d'être discret, puis reparti vers le cochon grillé.
Vers 23h, alors que les convives commençaient à quitter les tables, j'entendis David m'appeler au loin, il était sur un banc, avachi sur une table où il n'y avait plus personne, un verre de bière et une bouteille d'eau de vie face à lui. Il me servit avant de me demander si la saison me plaisait, si je comptais revenir l'année prochaine… “T'es plutôt sympa, et tu fais du bon boulot, pas comme celui de l'année dernière” Il sentait l'alcool, la vinasse, et la bière à plein nez. Je trouvais cette odeur incroyable, et je savais déjà qu'elle allait me hanter jusqu'à ma prochaine séance de masturbation, L'odeur d'un homme de fin de journée, repus et alcoolisé, se servant de moi pour lui vider les couilles…
“Et puis il y a autre chose dont je voulais te parler… Tu le sais pas mais un de mes meilleurs potes est gay, il vit à Toulouse mais il est venu en vacances chez moi, Et il a vu ton profil sur un site de rencontre…”
J'étais estomaqué, extrêmement gêné, l'alcool n'aidant pas, j'ai dû rougir comme pas possible, je ne savais littéralement plus où me mettre “Et alors, ça te pose un problème” lui répondis-je. “Non non, pas du tout, c'est juste que à ton âge, fais attention… Tu sais, il y a toutes sortes de personnes sur ce genre de site… Enfin bref, je n'aurais pas dû te parler de ça”
Ce coup-ci, c'est David qui commença à avoir l'air gêné, mais ça ne durera pas longtemps
“J'ai pas de problème avec ça tu sais, on est au XXIe siècle, c'est juste que ça m'a fait bizarre quand il m'a montré ta photo de profil sur le site, tu sais parfois je…”
Mais David ne put terminer sa phrase, Il fut entraîné par un groupe d'amis à l'autre bout du champ, ou un feu de joie allait être organisé, le tout encore une fois bien arrosé en alcool. Il était temps pour moi de rentrer, mes amis étaient déjà partis, et puis demain une autre journée de travail allait commencer, mais j'ignorais encore que cette journée allait être très spéciale…
midi un quart, Le lendemain, je rejoins le tracteur et la remorque au champs, où David est déjà présent, il ne m'adresse pas un mot, a retrouvé son caractère habituel, je commence à charger la remorque, un peu déçu de ne pas avoir reçu un “bonjour” ou une quelconque autre phrase.
“Bon allez en route” balance t-il à la fin du chargement, Je le rejoins dans la cabine du tracteur, comme d'habitude. David sent très fort aujourd'hui, je ne dirai pas qu'il sent mauvais, tout ce qui émane de lui m'excite profondément, Mais cette odeur âcre me prend à la gorge, il ne s'est manifestement pas lavé depuis hier matin, Et s'il a enfilé un t-shirt propre, Son bas-ventre me semble tout collant et luisant, Comme s'il s'était renversé une ou deux pinte de bière sur l'entrejambe, ce qui est probablement arrivé…
David conduit le tracteur de manière plus rapide qu'à l'habitude, comme s'il était pressé d'arriver, Mais il ne prit pas la direction de l'entrepôt, il amena le tracteur sur un chemin de terre au milieu d'un bosquet. “J'ai un truc à faire pour le maraîcher ici” me dit-il.
Assez étonné, je ne répondis rien, il arrêta le moteur à l'extrémité du chemin, en plein milieu du bosquet. Côte à côte, lui sur le siège du conducteur et moi assis sur l'accoudoir, Il passa son bras derrière mon épaule avant de me dire “ je sais très bien comment tu me regardes depuis qu'on travaille ensemble…” Mon corps refuse de bouger, je suis saisi par la peur, où l'excitation je ne sais pas. “Enfin, je le sais depuis que j'ai vu ton profil sur internet…”
David commença à me caresser l'épaule de sa main droite, je compris immédiatement pourquoi il s'était arrêté ici. je brûlais de désir pour lui, mais je ne savais pas quoi faire, Je n'arrivais pas à bouger, Il tourna son regard vers mon entrejambe et vu l'érection sous mon short. Il renifla un coup et prit cette réaction de ma part comme un consentement à ce qu'il allait me faire subir. Je n'arrivais toujours pas à bouger, j'étais à sa merci et il commençait à le comprendre. Il passa une de ses mains sous mon T-shirt et commença à me toucher le torse et les tétons, de son autre main, il me palpa le cou, puis les lèvres, et me fit ouvrir lentement la bouche, et inséra deux doigts, puis trois. Il fit quelques va-et-vient, assez profondément… “Suce les” m'ordonna t-il. Je sortis de ma paralysie, j'étais toujours mort de peur, mais on me demandait de faire quelque chose. Je me mis donc à lécher ses doigts, à les sucer, à passer ma langue sur ses phalanges comme pour lui les décrasser. Ses doigts avait un goût de framboise, un goût de bière, et surtout une saveur d'urine très prononcée. Il s'était pissé dessus à coup sûr hier soir. Une partie de moi trouvait ça abject, mais une autre adorait ce qu'elle avait dans la bouche… Il me fit donc ingérer ses dix doigts, me laissant parfois bien les lustrer avec ma salive et ma langue, et s'amusait à en insérer plusieurs assez profondément, et parfois brutalement, heurtant ma glotte, pour la dépasser après mes quelques déglutissements.
Ce petit jeu avec ma bouche avait l'air de particulièrement l'exciter. Je me permit à mon tour un regard vers son entrejambe, Il avait sorti sa bite, elle me parut énorme, avec un très gros gland, plus large que sa verge, semblant déjà bien épaisse…
Ce mouvement de regard fit renifler à nouveau David, Tout en gardant les doigts de sa main droite dans ma bouche, Il récolta de sa main gauche les quelques gouttes du liquide qui suintait de son gland, pour m'en enduire les lèvre du bout des doigts… Avant d'engloutir férocement presque toute sa main dans ma bouche, ses doigts franchissant largement ma glotte, et touchant des parties de ma gorge que je n'avais jamais encore ressenties !
David émit un grognement très profond, me faire violence de la sorte l'avais mis presque en transe, En plus du goût de ses doigts, j'avais désormais le goût de son sexe dans la bouche, une saveur épaisse, chaude, et assez acre. J'étais très excité par le fait que David profite de moi de cette façon, manifestement lui aussi, et je ne croyais pas si bien dire…
D'un coup, il se leva, gardant une main dans ma bouche, s'en servant comme appui, et vint se placer en face de moi, son visage au-dessus du mien, le regard dur, il m'attrapa par le menton, maintenant ma bouche grande ouverte, il se racla longuement la gosier et m'envoya un énorme mollard dans le fond de la gorge, J'ai eu droit encore à ses doigts et à quelque glaviot Qu'il venait étaler autour et à l'intérieur de ma bouche. Puis il se redressa, passant ses mains derrière mon cou, mais gardant ses deux pouces bien au coin de mes lèvres. Comme pour en tester l'élasticité, il les étira au maximum à plusieurs reprises. M'ayant bien mollardé la bouche, Il manipulait son ouverture et son écartement avec aisance, Je me laissais faire, sachant très bien ce à quoi ces préparatifs allaient servir.
Si jusque-là David s'était montré assez pervers et sadique, il prit une pause en approchant son sexe lentement de mon visage, m'ayant cette fois-ci empoigner la tête d'une main. Il vint positionner son gland sous mon nez, me contraignant à sniffer sa queue… l'odeur était trop forte, elle s'approchait de ce que j'avais déjà eu en bouche, mais en beaucoup plus prononcé, une odeur de macération puissante. David avait dû beaucoup transpirer dans son short aujourd'hui et hier, et je n'avais plus de doute, il s'était certainement pisser dessus aussi. Je ne pus m'empêcher de tousser à deux reprises… David me foutu une grosse torgnole puis reprit sa position, je fus presque choqué et étourdi par la force de la gifle, mais j'étais excité comme un fou… je repris donc ou j'en étais, lui sniffant le gland, me forçant à ne pas tousser ni tressaillir. Brusquement, David plaça à nouveau ses mains derrière mon cou, ses 2 pouces à la commissure de mes lèvres… puis m'embrocha littéralement la bouche !! Il n'était plus question de jouer avec ses doigts sur ma glotte, Cette fois-ci David était passé aux choses sérieuses. Il avait préparé ma bouche et ma gorge à ce moment. Il allait me limer la gorge jusqu'à ce qu'il puisse y juter.
Je n'avais jamais sucé de mecs auparavant, enfin je ne sais pas si on peut appeler cela sucer… Mais c'était la première bite que j'avais à l'intérieur de moi. Si l'odeur m'avait fait tousser, Le goût de sa bite crasseuse me sembla bien plus agréable, L'avoir sniffé avant m'avait sans doute un peu préparé, et l'excitation devait certainement jouer un rôle. Je retrouvais les arômes de bière, de gnôle à la framboise, mais surtout des relents de pisse et de sueur… Je ne comprenais pas encore pourquoi à l'époque, mais tout ceci m'excitait au plus haut point.
Dans cette position, je ne pouvais pas faire grand-chose, à part encaisser les coups de bite qui venait s'écraser sur mon palais et ma glotte, David insista longtemps à me remplir le gosier de cette façon, me maintenant la bouche ouverte, parfois de ses deux pouces, parfois de tous ses doigts, me décochant quelques glaviots au visage en même temps. Après un certain temps, je senti le gland de David me bourrer la glotte plus violemment, il allait jouir.. j'allais enfin goûter à son sperme. J'étais toujours imprégné par ce goût de pisse et de sueur sur ma langue et dans mes narines, rajouter celui de son foutre me faisait tourner la tête, un simple effleurement sur mon pénis m'aurait fait juter immédiatement. J'allais être dosé, Voudra-t-il que j'avale ? J'essaierai, mais avec ses mains qui m'ouvrent la bouche, je risque bien d'en laisser couler un peu…
David ne juta pas, son gland ne cessait de tambouriner le fond de ma bouche, s'y attardant, et poussant de toutes ses forces par moment… j'étais en nage, lui aussi, ses poils pubien luisaient de transpiration, et ravivait les odeurs de la veille, mais son sexe était trop long pour que mon nez puisse s'y planter… En un éclair je compris, David tentait d'insérer l'intégralité de son sexe à l'intérieur de ma gorge… Était-ce possible ? Physiquement possible ? Se faire embrocher par la gorge aussi profondément, comme le cochon de la veille…
Il sorti son pénis, me foutu une nouvelle grosse mendale, plus violente que la première, puis replaça son sexe dans ma bouche, il fit quelque chose que je n'avait vue qu'au cinéma, pour forcer les protagoniste à avaler un poison, une potion… il me pinça le nez, puis plaça son gland contre ma glotte, je ne pouvais plus respirer. Je déglutis, je suffoque … mais suis toujours follement excité… A la recherche d'air, ma gorge s'ouvre… Et David s'y engouffre aussi brutalement que possible, j'ai la gorge en feu, ma trachée se dilate un peu mais je sens toute les aspérité de son gland me limer l'oesophage, à l'évidence trop serré pour son sexe. il relâche la pression sur mon nez, en plein dans sa touf de poils pubien, j'ai sa sueur sur mon visage, l'odeur est toujours aussi forte, je toussote, mais David profite de cette ouverture pour pousser encore un peu plus profond, je respire difficilement. David attrape ma tête, et s'en sert comme un ballon, maintenant qu'il a ouvert la passage dans ma gorge, il s'en donne à cœur joie. J'encaisse tant bien que mal les saccades de sa bite, qui lime l'intérieur de mon cou… son rythme est très violent et ininterrompu, mais je fini par distinguer une cadence à deux allure : David me baise la gorge en profondeur durant 1 minute environ, durant lesquelles son gland me démolit littéralement la gosier avec des va et vient que je ressens comme un caccage interne, son gland restant toujours derrière la glotte. Puis il m'enserre la tête de ses mains, et sort lentement tout son sexe de ma gorge (j'ai l'impression de régurgité un boa tellement son sexe mets tu temps à s’extirper), pour ensuite me baiser la gueule en augmentant cette fois ci la zone de va et viens, de mes lèvres à ma trachée, gagnant ainsi une dizaine de cm pour me limer.
Durant ses moments je pouvais respirer par le nez entre deux pénétrations, mais ce gain en pronfondeur était utilisé par David pour augmenter la violence de son pilonnage, chacun de ses coups de bite me transperçait la gorge avec une brutalité sans nom…je subis sans rien faire, follement excité par ce passivisme. En plus de s'y introduire d'un coup sec, il m'embroche à sa bite en m'appuyant sur la tête, doublant la vitesse à laquelle mon gosier doit encaisser son chibre.
J'endurais ce traitement pendant une bonne demi-heure, même si j'avais un peu perdu la notion du temps, en nage dans ma tenu de travail, tout comme lui, je bavais étonnamment peu, David récoltait ponctuellement ce trop plein de liquide qui me pendait au menton pour me le fourrer à nouveau dans la gorge de ses doigts tout collant, rajoutant au passage un bon gros glaviot de son propre cru, avant de recommencer à me baiser la gorge.
David semblait prendre du plaisir à agir de façon aussi sauvage, j'avais presque honte d'y prendre du plaisir également… être pénétré de la sorte, par mon collègue de travail, qui me dominait par la force de son sexe, de manière si intense, et qui baignait dans son jus…
Alors que David me limait la gorge en profondeur, je sentis son sexe se raidir encore plus que cela n'était imaginable pour moi, Il n'avait pas ressorti son sexe depuis au moins une bonne minute, Son gland, complètement gonflée était prêt à exploser et continuais à me ramoner l'intérieur du cou, Je ne pouvais plus respirer…Mais décidais de tenir encore, laissant David abusé de moi jusqu'au bout.
David me serra la tête très fort de ses deux mains, il commença à pousser des râles, faible au début puis de plus en plus puissant, tout en continuant à me limer, agrippé à mes oreilles. Plus de doute possible il allait jouir ! David se dressa au-dessus de moi, gardant son sexe bien enfoncée dans ma gorge, et relevant ma tête vers le haut. J'étais comme une oie qu'on gave avant Noël… Me coinçant dans cette position d'avaleur d'épée, il enfonça d'un coup sec ma tête sur sa bite, du plus profond qu'il put et en poussant de toute ses forces, à la limite de la congestion. Il se mit à gicler son foutre à ce moment là, entre ses saillies, je senti d'abord un premier jet chaud contre les parois de ma trachée, puis un second, affublé de nombreux coup de bite désordonnés, une partie de son sperme coula directement le long de mon oesophage, mais j'en régurgitais une partie, j'étais remplis de jus, de la bouche à l'estomac, et son pilonnage répandait cette purée dans tous les recoins de ma bouche, le goût était crémeux, chaud, salé, et chaque nouvelle giclure s'accompagnait d'un violent coup de rein agressif. il avait arrêté de rugir et on entendait plus que le bruit de sa bite qui burinait encore cette mélasse au fond de ma gorge, ses coups de bite ralentirent, mais il ne sorti pas son sexe de mon cou, sa bite retrouvant une certaine souplesse, je pu avaler toute sa mixture encore présente dans ma gorge. il me repinça le nez, me prit par le menton et commença à sortir lentement sa bite, mes lèvre raclèrent tout le jus restant autour de sa bite, lorsqu'il sorti enfin son gland, j'avais la bouche pleine de sperme. Je le regardais dans les yeux en avalant cette dernière lampée de foutre, lui me regardait comme si j'étais un vaurien. “... Putain, t'es vraiment une pute, tu m'a vidé comme une salope !..” Il m'attrapa par le coup, me souleva contre la paroi de la cabine et me fit comprendre que je devais descendre du tracteur. J'étais toujours excité, mais je ne savais toujours pas pourquoi un tel avilissement me mettait dans cet état.
David fit demi-tour avec le chargement, manquant à peine de m'écraser, me laissant seul dans le bosquet, j'étais exténué, la gorge en feu et le goût de son jus encore bien présent dans la bouche, alors que je m'allongeais dans la flaque de boue sur laquelle il m'avait jeté, je senti quelque goûte de sperme perlé sur le haut de mon torse, les restes que je n'avais pas pu avaler, je les récupérais du bout des doigts, avant de les porter à ma bouche. David avait raison, j'avais agit comme une pute, mais j'avais adoré ça… !
Tobias Legarrec
tobias.legarrec@gmail.com