Paris est ma ville ! Le printemps est ma saison !
En ce dimanche de fin mars, les températures sont particulièrement douces. Les gars que je croise sur le boulevard Saint-Germain sont vêtus légèrement : bermuda, t-shirt ou chemise largement ouverte sur le torse. Certains osent déjà les tongues.
Je me suis levé de bon matin pour profiter de cette belle journée. La clémence du ciel m’engage à aller à la piscine.
Il y en a une tout près de chez moi, rue Lobineau.
Pour être rapidement opérationnel et avoir le moins d’affaires à mettre dans le casier, je me suis, moi aussi, débarrassé de mes fringues d'hiver : short, polo, baskets. C’est tout. Dans mon sac à dos, quelques pièces de monnaie, la clé de mon appart’, mon maillot et ma serviette.
En remontant le boulevard, je croise quelques beaux garçons heureux, comme moi, de la lumière retrouvée.
Presque arrivé à la piscine, mon regard accroche le regard d’un gars : la trentaine comme moi, bien bâti, un sportif sans doute, très brun et déjà un peu bronzé. Ses jambes nues sont musclées.
Petit sourire réciproque : c'est bon. Nous sommes adhérents au même syndicat.
Confirmation après quelques pas : nous nous retournons tous les deux. Nouveau petit sourire.
Que faire ? Poursuivre ma route et respecter mes bonnes intentions de reprendre le sport ? Suivre ce beau gosse et tenter ma chance ?
Je décide de ne pas me laisser distraire et continue ma route.
Petit regret quand même, ce type est vraiment beau et je n’ai rien fait depuis au moins huit jours.
Juste avant d’entrer dans la piscine, je jette un coup d’œil derrière moi. Il m’a suivi. Je décide de l’attendre pour voir s’il va m’aborder ou non.
Sans hésiter, il lance la conversation.
Lui : Bonjour.
Moi : Bonjour.
Lui : Tu vas à la piscine ?
Moi : A ton avis ?
Lui : C’est dommage que je n’aie pas pris mon maillot (en me faisant voir son sac à dos), je serais bien aller nager...avec toi.
Moi : Avec moi ?
Lui : Oui, avec toi, je n'aime pas nager seul. J'ai besoin d’être un peu en compétition pour faire du sport.
Moi : Ouh là ! Vu ta carrure, tu es sûrement meilleur nageur que moi.
Lui : Peut-être, oui ! Je fais pas mal de sports.
Et là, le gars soulève son t-shirt jusqu'aux pectoraux pour me faire voir son torse.
Moi : Putain ? C'est beau. Je peux toucher pour vérifier que tes abdos sont aussi durs qu‘il me semble ?
Lui (avec un sourire éclatant) : Oui, bien sûr mais à une condition.
Moi (avec le sentiment d’avoir un filet de bave au coin de la bouche) : Laquelle ?
Lui : Tu habites loin ?
Moi : Nooon !
Lui : Tu as un maillot à me prêter ? On doit faire la même taille, je pense.
Et là, il passe une main sur mon entrejambe et empoigne mon sexe à travers le tissu de mon short.
Lui : C'est bon ! On est montés pareil Belle érection. C'est moi qui te fais cet effet ?
Moi (en riant) : Non, je suis toujours comme ça ! Et donc, tu veux que je retourne chez moi pour aller te chercher un maillot.
Lui : Oui si ça ne te dérange pas.
Moi : Viens avec moi alors. On fera la route ensemble. C'est à côté.
Lui : Je ne préfère pas. Si je t’accompagne, je sais comment cela va se terminer. Dans ton pieu. Ce n’est pas que j’en ai pas envie mais là, je préfère nager. Pour l’instant.
Moi : Donc, tu m’attends ici ?
Lui : On fait comme ça mais tiens ta promesse. Tu m’as touché le zob. Laisse-moi apprécier tes abdos.
Sans hésiter, il remonte une nouvelle fois son t-shirt et me laisse toucher son abdomen musclé et dur comme du bronze.
Moi : Waouh ! Tu fais quoi comme sports ?
Lui : Footing, VTT, natation, muscu et sexe.
Moi : On au moins deux sports communs alors.
Il se marre. Son sourire me ravage complètement.
Lui : Au fait, comment t’appelles-tu ?
Moi : Jakub. Et toi ?
Lui : Eitan.
Lui (Eitan) : Ha ! Encore un point commun en plus du sport et du sexe. Tu es circoncis ?
Moi : Oui. Toi aussi ?
Eitan : Regarde !
Il baisse son short (en pleine rue, heureusement peu fréquentée à cette heure matinale) pour laisser échapper une belle queue brune, bien droite et effectivement circoncise.
Moi (en riant) : Tu es dingue, toi. Je me sauve pour ne plus voir ça. Attends-moi ici. Je reviens ici dans quelques minutes avec un maillot et une serviette. Tu ne te sauves pas, hein ?
Eitan : T’inquiètes, j’ai trop envie de te voir en maillot.
Quinze minutes après, je suis de retour devant la piscine. Eitan m’attend sagement devant. Après avoir payé l’entrée, nous gagnons rapidement les vestiaires puis les douches. Je peux enfin profiter de la vision globale de ce beau gosse. Il est légèrement bronzé, complétement lisse. Il respire la santé et pue le sexe.
De son côté, bien que moins beau que lui, je ne crois pas le laisser indifférent. Tactile, il me file une petite tape sur les fesses et me dit :
Eitan : Allez, au jus, Jakub ! 20 longueurs, 500 mètres. Le dernier qui a fini, invite l’autre chez lui. Ça marche ?
Moi : Ça roule. Go !
Nous plongeons tous les deux en même temps et commençons à nager. Eitan est beaucoup plus rapide que moi. Très vite, il a carrément une longueur d’avance sur moi. Je persiste et accélère la cadence. Mon beau nageur commence à ralentir. Nous nous rejoignons et finissons ensemble.
Eitan : égalité, mec !
Moi : Oui, il n’y a qu’une seule solution pour nous départager.
Eitan : Laquelle ?
Moi : On fait une derrière longueur en y mettant toutes nos forces. Celui qui arrive le dernier invite l’autre. Ça te va ?
Eitan : 3 2 1 0 – Top !
J’ai préjugé de mes forces ou il récupère plus vite que moi. J’arrive bien après lui et ça le fait marrer.
Eitan : Tâte mes biceps, « Petit Scarabée », c’est évident que je suis le plus fort.
Moi : OK, OK, je suis bon perdant. On se rhabille et tu viens chez moi.
Eitan : Ouais, tu vas passer à la casserole.
Moi : Direct ?
Eitan : Direct. J’ai vu ton petit cul sous la douche tout à l’heure et il m’a drôlement ouvert l’appétit. Tu es passif, j’espère ?
Moi : Versa
Eitan : Moi aussi mais aujourd’hui actif. On y va ?
Moi : Le temps de prendre une douche et c’est parti. Moi, j’ai vu ta bite tout à l’heure dans la rue et ma rondelle s’est mise à crier famine.
Eitan : Je vais y remédier. Allez ! Zou !
En sortant de la piscine, il faisait encore plus beau que tout à l’heure. L’air était chaud. Eitan, provocateur, a retiré son t-shirt.
Moi : Tu te mets torse nu dans la rue ? Ce n’est pas désagréable pour moi mais tu vas choquer les passants.
Eitan : je m’en fiche. Je sais que c’est interdit à Paris mais le dernier qui me l’a dit était flic et il a fini dans mon lit.
Moi : Tu es un drôle de loustic toi. Après tout, fais comme tu veux. Moi, je me régale les yeux.
Eitan : Avoue-le. Ça te chauffe, non ?
Moi : Oui, c’est clair.
Eitan : Sois gentil alors, fais pareil. Moi aussi, j’ai le droit de mater ton beau petit corps.
Moi : C’est un ordre ?
Eitan : Oui et je t’en donnerai aujourd'hui ou plus tard.
Chemin faisant, nous sommes arrivés devant mon immeuble. Le temps de monter les deux étages et enfin, il est chez moi. J’ai à peine le temps de fermer la porte qu’Eitan est déjà nu et qu’il m’entreprend. Ses mains sont douces et parcourent avidement tout mon corps. En même temps, il m’embrasse tout en enlevant le peu de vêtements que j’ai. Nous voilà nus tous les deux et c’est bon.
Je l’entraîne dans ma chambre et le pousse sur le lit. Sa queue bien raide est un appel à ma bouche. J’avale goulument son dard. Il gémit tout en poussant ma tête pour que je prenne bien à fond sa queue. C’est bon. Je suis un peu sa pute et il s’en rend compte. Mais j’ai, moi aussi, envie qu’il me pompe. Nous nous mettons en position de 69 et nous profitons tous les deux de ce moment. J’ai envie de plus. Pour lui faire comprendre, je pousse sa tête vers ma rondelle. Il n’est pas bégueule et en prend possession avec sa langue. C’est délicieux. J’en veux encore plus.
- Prend moi Eitan, je te veux dans ma chatte. Lime-moi.
Le salaud ne se fait pas prier. Il se met debout. Il me retourne sur le dos et me tire sur le bord du pieu. Il me prend les mollets et me lève les jambes bien haut et là, d’un coup, il pénètre mon trou qu’il a bien lubrifié avec sa langue tout à l’heure.
J’ai mal mais c’est bon. Il est au fond de moi. Il commence à aller et venir faisant glisser son zob sur toute sa longueur. Il me baise longtemps. Je crie de plaisir et je sens qu’il va venir. Tout d’un coup, il hurle et déverse tout son foutre dans mon cul. C’est chaud. C’est bon. Je jouis à mon tour sans même me toucher. Il se retire de moi et s’effondre sur le lit. Nous nous endormons dans les bras l’un de l’autre.
Jakub
jakub75@ik.me
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