Premier épisode
Chapitre-2 | Retour chez Pascal : La Féminisation et les Potes
Quelques jours après ma première défonce chez Pascal, je pouvais plus tenir. Mon cul me brûlait encore de sa grosse queue, mais j’en redemandais comme une toxico en manque. J’lui ai envoyé un message sur le site : "Maître Pascal, votre lopette Camille veut revenir se faire dresser. J’veux être votre petite pute docile." Sa réponse est arrivée vite, froide et directe : "Demain, 20h. Viens en slim et t-shirt moulant, rien en dessous. J’ai une surprise pour toi, salope."
Le lendemain, je débarque chez lui, pile à l’heure, les jambes tremblantes. J’avais suivi ses ordres : slim noir ultra-serré qui moule mes petites fesses de minet, t-shirt blanc qui laisse deviner mes tétons, et pas de boxer – ma petite queue de 9 cm pendouillait librement sous le tissu. Je sonne, et il ouvre, toujours aussi massif, en débardeur et short, sa bosse énorme bien visible. Mais cette fois, il est pas seul. Deux mecs sont là, vautrés sur le canapé, des bières à la main. Un chauve baraqué d’une quarantaine d’années, genre camionneur, et un plus jeune, la trentaine, tatoué, avec une gueule de bad boy. Ils me matent comme des loups devant une proie.
— Voilà ma petite lopette, Camille, annonce Pascal avec un rictus. Les gars, c’est le minet soumis dont j’vous ai parlé. Il a un cul de vierge et une gueule de pute, parfait pour nous.
Le chauve ricane et se lève, s’approchant de moi. Il sent la sueur et le tabac.
— Putain, Pascal, t’as pas menti, il a une tronche de gonzesse ! On va bien s’amuser avec ça.
Le tatoué ajoute, en se caressant l’entrejambe :
— Ouais, j’vais lui faire bouffer ma queue jusqu’à ce qu’il pleure, ce petit pédé.
Pascal me chope par le bras et me tire au centre du salon.
— À poil, salope. Montre à mes potes ce que t’es : une fiotte qui mérite qu’on la remette en place.
Je me déshabille, tremblant, sous leurs regards vicieux. Mon slim tombe, mon t-shirt suit, et me voilà nu, ma petite bite ridicule exposée. Le chauve, qui s’appelle Marc apparemment, siffle moqueusement.
— Regarde-moi ce clito ! On dirait une meuf qui a oublié de se raser la chatte !
Pascal sort un sac en plastique et en tire une culotte rose en dentelle, un porte-jarretelles noir et des bas résille.
— T’es trop mignon comme minet, Camille, mais j’veux une vraie petite pute féminine ce soir. Enfile ça, et vite, sinon j’te fous une fessée devant tout le monde.
Je rougis, mais j’obéis. J’enfile la culotte, qui moule ma petite queue et mes fesses, le porte-jarretelles et les bas qui galbent mes jambes fines. Ils me sifflent et m’insultent pendant que je me transforme en gonzesse.
— Putain, une vraie salope de luxe maintenant ! lance le tatoué, qui s’appelle Ludo.
Pascal me fait tourner sur moi-même, puis me claque le cul.
— À genoux, ma petite chienne. T’es notre jouet ce soir. Ouvre la bouche, Marc va te tester.
Marc baisse son froc, et une queue trapue, pas aussi longue que celle de Pascal mais bien large, surgit. Il m’attrape par les cheveux et m’enfonce sa bite dans la gorge sans prévenir.
— Suce, pétasse ! Montre-moi que t’es une bonne pute à pipes !
Je m’applique, je bave, je tousse, pendant que Ludo se lève et vient derrière moi. Il arrache la culotte sur le côté et crache sur mon trou.
— J’vais te défoncer ce petit cul de fiotte pendant que tu pompes Marc. T’as intérêt à couiner comme une meuf !
Il enfonce sa queue, longue et fine, d’un coup sec. Je hurle, étouffé par la bite de Marc, et ils rigolent tous les trois. Pascal, lui, filme avec son téléphone, un sourire tordu sur la gueule.
— Regardez-moi cette lopette, une vraie salope en chaleur ! Allez, Ludo, bourre-lui le cul, fais-la gueuler !
Ludo me pilonne, ses mains tatouées sur mes hanches, pendant que Marc me baise la bouche. Je suis pris en sandwich, humilié, féminisé, et ma petite queue fuit dans la culotte déchirée. Pascal pose son téléphone et s’approche, sa bite monstrueuse en main.
— À mon tour, les gars. J’vais lui éclater le cul à cette petite pute en résille.
Ludo se retire, et Pascal prend sa place. Sa queue de 20 cm m’écartèle encore plus, et je hurle pour de bon, les larmes aux yeux.
— Ferme ta gueule, salope, et encaisse ! T’es là pour ça, te faire démonter par des vrais mecs !
Il me bourrine sans pitié, ses couilles claquant contre mes fesses, pendant que Marc me remet sa bite dans la bouche et que Ludo me pince les tétons à travers le porte-jarretelles. Je suis leur jouet, leur pute, leur lopette féminisée. Ils m’insultent en boucle : "sale chienne", "petite pute à mâles", "trou à bites", et moi je gémis, je bave, je perds toute dignité.
À un moment, Pascal me soulève comme une plume et me jette sur le canapé, cul en l’air. Il appelle les autres :
— Venez, les mecs, on va la remplir de partout, cette salope !
Marc se met sous moi et m’enfonce sa queue dans le cul, Ludo me la met dans la bouche, et Pascal me force à le branler avec mes mains tremblantes. Ils me baisent en rythme, un vrai gangbang de porcs, et je jouis sans me toucher, ma petite bite crachant dans la culotte en lambeaux. Ils éclatent de rire.
— Putain, elle jouit comme une meuf, cette lopette ! s’écrie Marc.
Pascal grogne et se vide dans ma main, un flot de sperme chaud qui dégouline. Ludo jouit dans ma bouche, me forçant à avaler, et Marc finit dans mon cul, me remplissant à ras bord. Ils me lâchent enfin, et je m’effondre, le cul ravagé, la gueule pleine de foutre, les bas résille déchirés.
Pascal me regarde, satisfait.
— T’es une bonne petite pute féminine maintenant, Camille. La prochaine fois, j’te mets une perruque et du rouge à lèvres, et t’iras tapiner pour moi dans l’appart. T’en dis quoi, salope ?
Je lève les yeux, épuisée, brisée, mais accro.
— Oui, maître… je veux être votre petite pute à vous…
Ils rigolent tous, me jettent mes fringues, et me foutent dehors, le cul dégoulinant et la tête en vrac. J’étais devenue leur jouet, leur gonzesse soumise, et j’adorais ça.
Lalopedu33
petasse.33@hotmail.fr
Autres histoires de l'auteur :