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Quand Jaco, qui avait compris qu'il pouvait tout obtenir de Miky du moment qu'il lui donnait du jus et lui défonçait bien la rondelle, lui proposa de le rejoindre au boulot pour baiser aussitôt, Daniel en profita, et attira Miky dans un coin :
- C'est toi qui suces la bite à Jaco ?
- Euh... oui.
- T'aimes ça, sucer des bites ?
- Oui.
- Tu me sucerais pas la mienne ?, demanda-t-il en dégainant.
- Ah si... et je pourrai avaler ?
- Sans problème, si t'aimes la crème, je demande pas mieux et tu vas te faire garnir la glotte.
Miky, bien faible devant la perspective d'un bon jus de mâle, s'agenouilla illico et suça la queue, d'ailleurs très bien faite, avec beaucoup de plaisir. Jaco les avait surpris, avait ri, et sorti sa bite. Les deux collègues lui arrosèrent la bouche ensemble. Daniel fut conquis ! L'organisation se fit rapidement pour des pipes régulières, et Jérémy se joignit au duo pour en profiter, sur les conseils de Daniel.
Miky se rappelait l'évolution des sentiments de Jaco. Lui Miky était déjà rempli d'amour pour son dieu mâle, et de plus en plus à mesure qu'il était rempli par du très concret. Jaco ne s'était attaché que progressivement : ce qu'il voulait au départ, et pendant quelques mois, c'était une bonne salope pour se vider. Quand les deux amants se retrouvaient, c'était très animal : Jaco rugissait, l'insultait, lui promettait de lui pourrir la rondelle, et Miky suppliait pour se faire ravager. Il aimait lui montrer sa soumission en le suppliant de lui faire lécher son cul et ses pieds. Les soirs où ils se voyaient, Jaco jutait au moins trois fois, tant qu'il n'était pas apaisé. Car c'est bien de la violence et de la frustration accumulée qu'il se vidait. Et puis Jaco sentit naître des sentiments, il saisissait à quel point Miky lui avait fait du bien, le libérant, et continuait de lui faire du bien. Il ne le considérait plus comme un double trou. Un soir qu'il le prenait en missionnaire dans son lit, Miky en plein plaisir, car Jaco le ramonait bien profond, pas trop vite, lui dit : " baise-moi, papa... oui, bourre-moi bien ! vas-y papa ! ", et Jaco juta aussitôt dans son cul au comble de l'extase. Après discussion sur ce fantasme, Jaco ne s'en passa plus. Miky fut à la fois le bébé à son papa et la salope à son papa, et pour son plus grand plaisir.
Bref Miky en était à se tringler à trois doigts et il se finit en jutant un max ; il s'essuya et s'endormit. C'est Gabin qui le réveilla, et lui proposa d'aller dans sa chambre. Il y était déjà passé, avait allumé la cam et même placé la chaise en demandant à Seb le meilleur angle. Seb qui avait déjà le gros morceau à l'air bien raide devant son écran. Il entendit " J'me suis douché à l'entraînement ; tu me lèches un peu le cul d'abord ? J'suis tellement plein que si tu me touches le gland j'vais juter direct. ". Puis il vit Gabin avec seulement son tee-shirt, cul et jambes nues, déjà avec la trique, poser un pied sur le bureau et tendre les fesses de trois quarts : il n'avait jamais vu son cul d'aussi près ! Il voyait aussi la grosse paire de couilles - mais pas longtemps car la tête bouclée de Miky se ficha entre les deux beaux globes, arrachant aussitôt à Gabin des soupirs satisfaits, qui cambra davantage et Miky écarta mieux : il léchait toute la raie puis s'attardait sur le trou lui-même. Gabin pivota un peu, et cala Miky entre ses cuisses qui devait lever la tête pour continuer de déguster ; Seb vit mieux la rondelle petite et rose auréolée de poils noirs, et tout luisait déjà de salive. Puis Gabin fit mettre Miky à genoux de face, posa son pied cette fois sur le siège de la chaise, et tantôt le buste droit il fléchissait pour donner son trou à Miky dont Seb voyait la langue pointue lécher et titiller l'anus, tantôt il basculait le cul vers l'écran, et Seb pouvait voir alors une perspective verticale bien excitante : la raie et le trou bien visible, les couilles bien rondes et la large bite enfoncée à un tiers dans le gosier tendu de Miky qui pompait. Et Gabin alterna ainsi les deux positions, ponctuant de " suce " et de " lèche " quand il présentait son trou ou son pieu. Seb ne tint pas : il juta une mare entre ses cuisses, encore par terre. Il finissait de se vider quand il comprit que Gabin allait venir aussi. " vas-y, tire-moi l'jus, ça vient ! ouaiiiis ! ouaiiiis ! " Le nez sur l'écran, la bite gluante dans la main, Seb vit alors le trou pulser à chaque décharge, la queue gonfler, et le gosier de Miky s'animer pour avaler. Tandis que Gabin était penché en avant et beuglait, son trou se creusa ou poussa une dizaine de fois et plus bas la gorge de Miky montait et descendait avec la pomme d'Adam. Seb captura avec son tel ce mouvement impressionnant et synchronisé, dans une telle perspective, inédite pour lui. Puis la main blanche de Miky vint malaxer les couilles, il tétait la grosse bite qui ramollissait très lentement. " Putain ! sa mère ! quelle purge ! " souffla Gabin.
Coïncidence, Miky n'était pas en bas depuis 10mn que Jaco rentra. Et c'est son cul qu'il lui proposa : Miky était déjà à genoux, et Jaco sortait sa bite, mais il se ravisa : " je me ferais bien lécher le cul avant... C'est propre ? " Il se tourna pour que Miky vérifie et le ptit gourmand lui baissa le froc jusqu'aux genoux en confirmant. Jaco s'accouda au plan de travail, écarta un peu les jambes et Miky lui bouffa amoureusement le trou. C'est comme ça que Toni les découvrit à son retour. Miky ne tourna la tête qu'un seconde, le temps du " salut ! " et revint à son festin.
- Ca va, tu te détends, frangin !
- Ah, putain, ouais, ça détend... j'ai eu les clients les plus chiants de la planète cet aprem... et quand Miky me bouffe le cul, je sais pas, direct ça agit sur mes nerfs... quand sa langue m'assouplit la rondelle ça vaut un massage...
- Bières ?
- Yes...
- Et moi j'y ai droit, Miky ?
- Bah bien sûr, répondit celui-ci se dégageant des deux fesses musclées et charnues.
- Cool.
Toni ouvrit les bières, baissa froc et boxer et se mit dans la même position que Jaco, tout à côté. Les deux frères trinquèrent, sirotèrent leur bière en se faisant bouffer le cul et discutèrent de la journée. Ils pouvaient juger du plaisir de l'autre, à leur visage ou à leurs interruptions de temps en temps. Miky était à la fête avec ces deuxième et troisième culs virils en peu de temps. Il sortit sa queue et se branla.
- Tu te branles, bébé ?
- Hmmm...hmmmm
- On va faire pareil, t'auras ton apéro dans pas longtemps.
Les jumeaux se cambrèrent mieux encore et se branlèrent la bite pendant que Miky leur branlait le cul de sa langue frénétique, qu'il enfonçait d'un tiers dans l'un et essayait dans l'autre. Jaco se redressa : " C'est bon, je tiens plus ! " et se branla dans la bouche de Miky. Toni se redressa à son tour et continua de se branler en attendant la place. Miky juta sur le carrelage en recevant les grosses gorgées de nectar de son mâle. Toni avertit : " C'est chaud !!! " et Miky vint aussitôt lui gober le gland et Toni se vida abondamment dans la minute. Après un long nettoyage des perles de jus au bout des grosses tétines, et celui du carrelage, les bites furent rangées et la préparation du repas lancée.
Après le repas, Miky regarda un film entre ses deux mâles, heureux d'être ainsi entouré. Mais en voyant dans une séquence du film un campus américain, il se rappela la fac, et surtout qu'il avait un devoir à rendre le vendredi, et comme il serait pris le lendemain soir avec les collègues de Jaco, il comprit vite : il lui fallait bosser ce soir. Il expliqua à ses mâles qui l'encouragèrent, et Miky prépara ses affaires sur la table du salon, et commença à travailler. C'était plus long que prévu, même s'il n'y voyait pas de difficultés. Seulement il prévint les jumeaux que ça allait durer. A la fin du film, Toni le rejoignit à table et lui demanda s'il voulait quand même sa tétée du soir. Evidemment Miky fut d'accord. Il était en train de le pomper, assis, quand Jaco approcha et tout en lui caressant la tête dit à Miky qu'il lui réservait au lit comme récompense pour son devoir. Il embrassa son frère et monta. Toni laissa le plaisir venir, avec cette bouche experte et cette main qui lui malaxait les couilles, puis lui tint la tête pour limer efficacement jusqu'au plaisir délicieux de bien dégonfler ses burnes dans un enchaînement de râles bien rauques. Après ce régal réciproque, Toni se pencha pour rouler à Miky une pelle qu'il trouva bien odorante. Mais Miky voulut remonter à l'étage avec lui : il devait vérifier le travail de Gabin avant de finir le sien.
Quand il entra, Gabin se leva et baissa son boxer, bandant à moitié, prenant garde de bien se placer devant la cam. Depuis une heure, Seb le harcelait pour savoir quand Miky allait venir pour son show perso. Enfin il vit apparaître le profil de Miky, qui à genoux engouffra la bite, sous les encouragements de Gabin à " kiffer sa grosse teub ". Miky n'avait pas vraiment besoin d'encouragements : en dix secondes les 22/7 furent parfaitement développés et engloutis en fond de gorge. Miky ne voulait pas trop faire durer, pour redescendre bosser : il fut vorace comme jamais et se démonta la gorge sur ce pieu. Devant son écran, les yeux exorbités, Seb était déjà en train de se branler à toute vitesse, et pas loin de juter. Quand il entendit Gabin, entre deux soupirs de bonheur, proposer à Miky : " tu veux pas une bonne faciale ? ", il fit un effort surhumain pour arrêter ses mouvements ; il voulait juter en même temps que son pote, et imaginer que c'était lui-même qui allait repeindre cette tronche. Miky adorait les faciales mais depuis toujours c'était un problème pour lui : certes il trouvait hyper excitant de se faire arroser par une bite, mais il se disait toujours que c'était du sperme qu'il n'allait pas pouvoir avaler, une sorte de gâchis. Il fallait qu'il se sente assez nourri de sperme au préalable pour ne pas avoir cette idée de frustration, ou soit sûr de pouvoir se gaver après. Bref, il ne fallait pas qu'il réfléchisse trop, et cette proposition de Gabin fut suffisamment imprévue pour qu'il accepte, comme ses yeux le lui firent comprendre. " Cool, lâcha Gabin, se déplaçant insensiblement en tenant la tête de Miky, pour qu'il soit de trois quarts et non de profil, tu vas t'en prendre plein la face ! ". Après quelques pompages supplémentaires, et plusieurs " oh ! putain ! " de Gabin, celui-ci empoigna les boucles de la main gauche, et sortit sa grosse queue luisante de la droite : il se branla quelques secondes et beugla son soulagement, en aspergeant le visage rien qu'avec les trois premières giclées massives. Seb pensa aussitôt à un fusil à pompe quand il vit la queue recracher une giclée après chaque double mouvement de la main de Gabin : il gicla à son tour par terre. Le visage de Miky était recouvert : sept épais jets blancs lui avaient couvert un oeil, coulaient d'un sourcil, le nez, ses lèvres entrouvertes, toute une joue, le menton. " Tiens ! finis ! " dit Gabin en enfilant son gland entre ses lèvres, et Seb, épuisé et plié en deux, vit les joues de Miky se creuser pour téter les gouttes, et Gabin se plier en deux lui aussi en soupirant, tout tremblant. " h, h, putain Miky, t'es trop bon ! ". Puis quand le plaisir fut passé, Gabin se mit à rire (Seb aussi), en disant : " punaise, je t'ai pas loupé ! ". Gabin donna à Miky son tee-shirt, qui ne servait plus à l'essuyer, mais retrouva son usage. Avant de se faire nettoyer, Miky tourna la tête vers l'écran, supposément en veille, pour voir à quoi il ressemblait avec ce masque au jus dans le reflet ; c'est là qu'il aperçut la petite lumière... mais il ne dit rien. Gabin l'essuya avec attention, lui confiant comme il avait aimé : c'était sa première faciale, il n'avait jamais arrosé que des nibards ou des fesses jusque-là. Miky lui confia son problème avec la faciale.
- Ah ouais merde... donc là t'es quand même frustré ?
- Nan, là ça va, j'ai sucé Jaco pendant le film.
- Ok... mais, euh, devant mon père ?!
- Nn, dit Miky, pensant qu'il ne fallait pas mentir décidément si on ne voulait pas s'enfoncer, Toni regardait le film et on était dans la cuisine.
- Ok. Bon, donc si t'es bien gavé de jus ou que t'es sûr que tu vas l'être, pour les faciales c'est bon ?
- Ouais, je crois que ça ira.
- Il t'en fait Jaco ? il kiffe ?
- Oui ça arrive.
- Et toi tu kiffes aussi alors ?
- Ben tu sais, à genoux devant un mâle avec une belle bite, comment tu veux que ça me plaise pas ?
- Ouais, c'est bon, ça (et putain, t'es vraiment une bonne salope, pensa-t-il).
Miky passa par la salle de bain et redescendit bosser. Gabin commenta aussitôt avec Seb la scène, mais à sa grande surprise, vu ce qu'il venait de se dire à lui-même, quand Seb lui dit " qu'il voulait faire la même à cette bonne pute ", Gabin n'aima pas ces mots-là...
mike
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