Premier épisode | Épisode précédent
Miky bossa encore une heure en bas. Une fois le devoir fini, il était une heure passée. Plutôt content de lui et satisfait d'être libéré, il n'avait plus qu'une idée en tête : éteindre son cerveau et rejoindre son homme au lit. Il fit le plus silencieusement possible, et dans le noir. Il sentit sur son oreiller le slip que Jaco lui avait laissé, mais d'abord se colla contre la montagne musculaire de son dos, un bras replié sous sa tête et une main sur son ventre poilu. Et il humait son odeur. A peine deux minutes plus tard, Miky sentit contre sa main un contact : c'était le gland de Jaco, qui bandait. Il déposa de petits bisous entre ses omoplates, et Jaco se retourna.
- Tu dors pas ?, dit doucement Miky
- J'ai dormi, je t'attendais pour ta récompense... bien bossé ?
- Oui, dit Miky en l'embrassant sur les lèvres ; tu vas être crevé demain...
- T'inquiète pas, bébé... pour l'instant (et il l'embrassait de plus en plus), je suis en pleine forme...
- Hmmm, lâcha Miky en caressant l'énorme bite hyper raide sous les draps, comme elle est grosse ta bite, papa...
- Elle bande pour toi, bébé...
Ils s'embrassèrent longuement, Miky branlant très lentement le pieu brûlant de désir. Il raconta à Jaco qu'il avait passé une heure à se branler et se doigter dans l'aprem, en repensant à leurs débuts. D'un seul mouvement, Jaco se mit sur le dos, entraînant avec lui Miky, qui se retrouva allongé sur lui sur le ventre, sa bite raide voisine de son mastard épais. Jaco demanda à Miky de tout lui raconter en détail, en même temps que ses puissantes mains lui écartaient les fesses, et ses deux majeurs jouaient avec sa rondelle. Et Miky s'exécuta, le plus précis possible, poussant quelques " hmmm " quand les doigts le fouillaient en alternance et faisaient venir la mouille ; et Jaco aussi ponctuait de quelques " hmmm " ce que racontait Miky, l'embrassant aussi, et sentant ce petit cul s'ouvrir et s'assouplir. Miky s'abandonna complètement aux doigts de Jaco, la tête dans son cou et lui soufflant dans l'oreille des confidences de plus en plus excitées :
- Je t'aime tellement ! t'es tellement beau, tellement fort, je veux tout faire pour toi, que tu me fasses tout ce que tu veux... hmmm... qui te ferait plaisir, être ton jouet... ton bébé, ta salope...
Il lui léchait l'oreille, et Jaco dégagea sa bite pour la coller entre les deux globes, déposa dans une main une bonne dose de salive et en trempa sa queue et la raie. Miky savait ce qui l'attendait et en brûlait d'envie, tandis que Jaco ronronnait mais comme un lion, et Miky continuait :
- Je me sens tellement bien quand je te sers à jouir, à te défouler... tellement vivant quand tu me nourris... hmmm... que tu me baises ! (Il commença à se cambrer pour frotter la bite, et Jaco enserra ses globes et sa queue ensemble de ses deux mains) Tu pourrais me broyer, t'es tellement fort.... Hmmm...et (Jaco l'embrassa à pleine bouche, pointa son gland sur son trou, et mangea son cri ; il sentit avec un plaisir indescriptible la rondelle céder en épousant la masse de son gland et se refermer sous le bourrelet)... hmmmm ! ta bite ! (Miky avait redressé la tête, et ils ne se quittèrent plus du regard) oh je l'aime ! elle est parfaite...
- Prends-la, bébé, c'est pour toi...
- Hmmm, je me sens complet, poursuivit-il en s'emmanchant,... quand j'ai ta bite en moi... je t'aime !
- h, oui bébé, remplis-toi (il sentait le trou de Miky avaler progressivement toute sa queue)
- Hmmm, c'est bon ! c'est bon !! (il commençait à le chevaucher) Jaco c'est bon d'être avec toi, ... hmmmm.... Quand elle me fourre.... Oh ! papa, papa !
Miky était maintenant en appui des mains sur les pectoraux de Jaco et s'enculait à bon rythme sur la matraque. Jaco admirait son jeune amant, qui devenait de plus en plus femelle en chaleur, cloué sur sa bite, et se délectait du massage glissant, chaud et serré qu'il lui faisait, mais il n'y tint plus et le plaqua contre lui, et le pilonne comme un fou en lui disant à l'oreille : " Moi aussi je t'aime, mon bébé ! tu sens là comme je t'aime ?! hein ?! ". Une main sur les reins de Miky, une autre sur sa nuque pour le maintenir la tête dans l'oreiller, il le ramona comme un malade ; puis il s'interrompit et ils se roulèrent une pelle, tout essoufflés. Il retourna Miky sur le dos, et le prit doucement en missionnaire. Il se remit à lui parler en le limant lentement, tout en profondeur.
- Quand je vois le pied que tu prends avec moi... quand tu veux être ma ptite pute (il l'embrassa)... quand t'as besoin que je te nourrisse avec mon jus... tu me fais tellement de bien ! (un coup violent et profond fit gueuler Miky, puis Jaco reprit son rythme lent) ... Qui sait s'occuper de son mâle comme toi ? ... qui donne son cul comme toi ? avec tes cuisses bien ouvertes, bien relevées, hein ? les premiers mois t'as été été ma pompe à foutre, je t'ai tellement démonté la bouche et défoncé le cul, ça m'a fait un bien ! (il s'immobilisa planté tout en fond, et poussant encore) ...comme renaître, et maintenant je continue et je grandis en te baisant... j'ai de l'amour en moi.... Je t'aime mon bébé (il l'embrassa), ma salope (les baisers se répétèrent jusqu'à la fin)...
- Ouiii, oui, je t'aime, je t'aime ! baise-moi !
- Et tu sens comme elle t'aime, ma grosse bite là ? tu sens comme elle te ramone ? (il accéléra)...et bébé il l'aime, la grosse bite à papa...hein, ma salope ?
- Oui, remplis-moi, vide-toi papa !...
- Je vais bien te remplir comme t'aimes... je vois comme t'aimes ça... putain qu'il est bon ton cul !, et toi tes yeux de biche qui supplient, t'es bonne.... Je vais t'en mettre une bonne dose d'amour, hein ? (Il lui dévore la bouche en le pilonnant et étouffe ses cris de plaisir).... Branle-toi bébé, j'veux que tu t'arroses la gueule pendant qu'j' te nique... ouais !...j'te creuse bien le cul, hein ? vas-y jute ! ouais....ouais !!! ... putain c'que t'es beau, la gueule pleine de foutre ! (Il lécha le sperme avec frénésie pour le rendre à Miky à pleine bouche, ce qui le conduisit vers un plaisir terrible) .... aahhhhh tiens bébé ! aahhhh !!...
Miky s'accrocha de toutes ses forces au corps de son homme dont les spasmes furent violents. Jaco sentait à la fois les tremblements de son ptit et la puissance de son insémination, continuelle. Miky couinait en se sentant féconder, et chercha la bouche de Jaco comme un asphyxié : il pleurait de bonheur. Jaco lui-même était bouleversé par cette baise et cet aveu, et léchait les larmes et le restant de sperme sur le visage de Miky. Ils restèrent longtemps emboîtés, à se regarder et s'embrasser, le temps de redescendre sur terre... Mais ils s'installèrent en cuiller et s'endormirent.
Le jeudi matin, Miky avait retrouvé dans la nuit le slip de Jaco et l'avait contre le nez ; Jaco au réveil admira le spectacle, aurait remercié Dieu s'il y avait cru, d'avoir rencontré pareil petit mec. Il décida de ne pas le réveiller, sachant qu'il ne commençait qu'à 11h le jeudi, et remit son slip. Il trouva Toni en bas, à table, le café étant prêt. Il l'embrassa avec une tendresse particulière.
- Très bien dormi, frérot ? demanda Toni.
- Putain, je l'aime ! c'est dingue !
- Ben ça me surprend pas... il a l'air parfait.
- Ouep ... en tout cas, je suis crevé.
Toni servit son frère en riant, et apprit en gros que la nuit avait été riche. Miky se réveilla, fatigué mais sentant que quelque chose n'était pas comme d'habitude : il n'avait pas eu la bite de son homme au réveil. Il trouva les jumeaux attablés, tout souriants à son arrivée.
- Tu pouvais encore dormir, bébé ! il est 6h et demie...
- Mais j'ai faim... et soif..., dit-il en souriant à son homme.
Il embrassa Toni sur les lèvres, puis Jaco, plus longuement et... fila aux toilettes : une fuite se préparait. Les jumeaux rirent de bon coeur, il les entendait en se vidant. Il sortit des toilettes avec une belle érection, et vit les jumeaux assis la bite à l'air, bandée, le slip sous les couilles. " Allez, assis, on va te donner ton lait du matin ! ". Et ils se levèrent comme il s'asseyait. Tous les trois se branlèrent. Miky juta très vite, au spectacle des deux mâles, sur son tee-shirt. Toni lui donna sa dose de crème ensuite, relayé par Jaco. Tétés et nettoyés les deux gars rangèrent leur bite ; Miky lécha ses doigts et fit de même, leur confirmant que ça allait mieux. Il vira son tee-shirt et ils déjeunèrent. Miky se rappela la lumière de l'ordi de Gabin la veille et pris d'un doute, décida de le réveiller en avance. Il ne commençait qu'à 10h. De fait, Gabin dormait encore quand les jumeaux partirent au boulot. Miky se glissa dans sa chambre ; par chance il était allongé sur le côté qui donnait au bord du lit. Sans bruit, Miky dégagea les draps pour atteindre la bite. Molle, elle était posée contre une cuisse. Miky goba le gland couvert de peau et téta. Elle gonfla bien vite et Gabin ne se réveilla qu'au bout d'un moment. Il ne pensa que vaguement à la cam : tant pis, il voulait juste se laisser faire sans bouger, et se vida les couilles avec bonheur dans cette bouche gourmande et experte. Il eut même le luxe de se rendormir une demi-heure, le gland toujours dans la bouche de Miky qui somnola également. Seb lui était prêt devant son écran, en vain ; il comprit que c'était râpé, et se branla, jouissant sans peine au souvenir des spectacles récents.
mike
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