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Miky se sentait épuisé, mais tellement bien ! Pendant le repas, sa rondelle continuait de pulser ; la queue de Gabin, elle, ne débanda pas. Pourtant les jumeaux parlèrent du départ du collègue, de la tristesse de Daniel, de celle de Jaco lui-même. Ce dernier, voyant qu'il plombait l'ambiance, demanda à Toni quelle était son avancée avec le fameux Tommy. Gabin tendit l'oreille. Toni n'avait rien osé, etc. Un autre jeune voulait donc se faire baiser par son père ? Jaco dit alors à son frère : " ce ptit jeune mérite de connaître le dieu de la baise ", et se pencha pour embrasser rapidement les lèvres de Toni. Gabin n'en revenait pas ! et son érection ne s'arrangea pas ! Il aurait bien des choses à demander à Miky après l'avoir sauté tout à l'heure ! Le repas traîna un peu en longueur et comme les jumeaux reparlaient boulot, Miky dit qu'il allait se doucher et Gabin, lui, bosser - mais il entra dans la salle de bain.
- Jaco et mon père baisent ensemble ?!
- Mais non... mais ça arrive qu'ils se roulent des pelles dans l'action, ou qu'ils se branlent...
- Et ce Tommy alors ?
Miky expliqua tandis qu'ils se déshabillaient tous les deux. Gabin voulut voir de nouveau Miky retirer le plug et laisser couler le jus, des jumeaux cette fois. Mais Miky, le torse collé aux carreaux et cambré, prêt à s'exécuter, se ravisa et lui proposa de le rebaiser et d'ajouter " un ptit plus " aux doses de ses mâles. Pas besoin de le dire deux fois à Gabin, qui grimpa dans la baignoire et remplaça le plug aussitôt par sa bite : ça glissait à la perfection ! Gabin prit les poignets de Miky et les immobilisa en haut contre la paroi, et l'encula tantôt lentement tantôt par petits coups frénétiques, en lui rappelant à l'oreille que c'était son cinquième ramonage, qu'il aimait ça avoir le cul bien fécondé, qu'il lui en fallait encore plus, que c'était vraiment un cul de salope, et comme Miky, aux anges, disait oui à tout, Gabin lui fourra sa langue dans la bouche et l'acheva d'amples coups de reins, avant de " le farcir encore une fois ". Puis il sortit de la baignoire pour voir Miky pousser le jus hors de son cul : un trou tout rouge, d'où jaillit et coula un flot de sperme qui s'étala en mare entre ses pieds. Les " oh putain ! oh la vache ! " de Gabin ponctuaient le spectacle. Après quoi les deux se douchèrent. Au même moment, le jeune Tommy se délectait de son propre jus, plié en deux contre la tête de lit et 4 doigts dans le cul. Miky n'en demanda que deux à Gabin, le temps de se branler et de se soulager enfin : Gabin le doigta parfaitement et Miky éjacula pas mal encore ! Tout le monde fut au lit une heure plus tard ; les jumeaux arrêtèrent la lecture de Miky et le caressèrent tendrement jusqu'à ce que le sommeil les emporte.
Le mercredi, qui avait commencé comme d'habitude, prit un tour nouveau pour certains. Alors que Miky, en pleine forme après avoir été bien baisé la veille et bien alimenté en matinée, écoutait le cours tout concentré, alors que Jaco bossait bien morose avec Daniel, et que Seb et Gabin planchaient en maths, la tension sexuelle entre Toni et Tommy atteignait des sommets. Mêmes jeux de regards, mêmes paquets gonflés d'envie, et Toni ne pouvait oublier les paroles de son frère le matin même, quand Miky lui tétait la bite sous la table : " c'est pas bon de se faire sucer comme ça ? alors, fais pas le con, et donne-lui à ton ptit jeune ! profite de l'avoir en journée, au moins au taf tu prendras ton pied, toi... ". Il sentait encore la langue avide de Miky sur son frein pendant qu'il lui giclait son lait matinal, et il aurait bien voulu recommencer dans la bouche de Tommy. Et cette fois il se lança : il précéda le jeune aux toilettes et fit mine de pisser : il avait le barreau et se paluchait doucement en fait. Comme prévu, Tommy entra pour se soulager, et fut surpris de ne pas se trouver seul. Il allait entrer dans une cabine, quand Toni lui dit : " tu pisses toujours enfermé ?
- Euh nan, répondit-il paralysé.
- Bah viens pisser là alors.
- Ok... Oh putain ! s'exclama Tommy en voyant les 22/7 superbes sortis du slip.
- Ouais, j'attends que ça se calme pour pouvoir pisser... Mais je crois que tu bandes aussi, non ? ajouta-t-il ayant constaté, non seulement les yeux exorbités du jeune, mais la diagonale épaisse dans son jean. Ben sors-là, continua-t-il, on se fait une tite branlette entre hommes...
Hypnotisé par la poutre de Toni, le jeune ouvrit mécaniquement son jean et sortit une belle bite bien droite et gonflée.
- Tu veux ptet la toucher ? demanda Toni, et comme Tommy le regarda dans les yeux sans savoir quoi faire : ou tu veux la sucer ?
Il vit Tommy déglutir et prononcer un oui étranglé. Le jeune était en train de vivre un rêve : quelle bite ! quel morceau ! parfait ! Il se laissa pousser dans une cabine, et se retrouva assis sans s'en rendre compte, le gland perlant devant le nez. Toni baissa davantage sa fermeture et dégagea aussi ses couilles : " vas-y, suce, régale-toi ". Et Tommy alors s'enfila une moitié du pieu et comprit aussitôt qu'il était fait pour ça : il dévora cette queue rêvée depuis des années, comme un morfal et à grand bruit. Toni l'incita d'abord au silence et à plus de lenteur, mais il fut lui-même emporté par l'excitation ; il suçait comme un pro, aussi bien que Miky. A l'entendre grogner et couiner en pompant et le voir lui lancer des oeillades de salope affamée, il ne cessa plus de l'encourager à bouffer, à sucer, à prendre son pied (Tommy se branlait comme un malade en déchaînant sa langue autour du gland), et quand il prévint qu'il allait juter, s'il voulait sa jute, les couinements impatients s'intensifièrent, et Toni lui largua presque une dizaine de giclées crémeuses, pâmé de plaisir mais constatant quand même que le ptit jeune jouissait rien que de se prendre son sperme à gros jets ; il l'entendit déglutir et couiner encore, et téter toujours pour lui vider le fin fond des couilles - quel pied ! Quand Tommy libéra la bite impeccable, il regarda Toni en se léchant les babines avec des yeux brillants et repus : non seulement il avait la plus belle et grosse bite jamais vue mais il jutait comme un malade ! Et il leva sa main couverte de son propre foutre à ses lèvres, et lécha ses doigts sans quitter Toni du regard, qui sut à quelle salope il avait affaire. Miky numéro 2, et il l'avait sous la main au boulot en plus. Il remercia mentalement Jaco de l'avoir poussé, caressa la tête de son pompeur : " tu t'es régalé, gamin... si t'aimes le jus, j'peux t'en donner tous les jours... " Tommy, au septième ciel, eut un sourire d'ange en répondant : " oh oui, tout ce que t'as... putain trop bon ! ". Et à 16heures, discrètement, Tommy dit à l'oreille de sa nouvelle idole : " t'en as encore à me donner ? ". Et vingt minutes après Toni lui faisait une belle démonstration de générosité crémeuse.
Vers la même heure, Miky se régalait lui aussi de sa crème préférée, mais pas celle de ses copains de la fac... Son dernier cours annulé, en effet, et ses potes " laitiers " finissant plus tard, il s'était résigné à rentrer. Il eut la surprise de voir monter dans le bus Kamel et trois amis à lui visiblement. Le dernier à monter, on ne pouvait le rater : on aurait dit Teddy Riner ! Kamel, étonné puis souriant, fit bientôt un signe discret à Miky : ok, pas question de faire des démonstrations. Mais après l'arrêt suivant, se retournant vers lui, il se prit l'entrejambe, et roula sa langue contre l'intérieur de sa joue d'un air interrogateur : Miky hocha bien sûr la tête. Kamel expliqua quelque chose à ses potes et se prépara à descendre. Miky se leva et le suivit. Quand le bus fut assez loin, il parla enfin à Miky :
- C'est cool de te voir ! on se boit un coup et tu me fais une petite pipe ?
- Ca marche ! on va où ?
Ils s'installèrent dans un café tout en longueur, derrière le bar au fond, et près des toilettes, côte à côte sur une banquette ; du reste il n'y avait que deux clients près de l'entrée. Les deux cocas servis, Kamel commença :
- Tain, c'est nickel qu'on se croise, j'ai les couilles pleines de trois jours...
- Ouais c'est parfait, moi j'ai rien sucé depuis ce matin.
- Ton mec et son frère ?
- Oui, et le fils de son frère.
- Hein ?! sérieux ?
- Et deux potes à la fac à 10h
- T'as vidé 5 paires de couilles depuis que t'es levé ?!
- Et je compte bien sûr la 6ème, rajouta Miky en caressant le paquet qui se gonflait à vue d'oeil.
- T'es vraiment accro au jus ! t'inquiète, tu vas l'avoir ta dose... tourne le dos au bar.
Miky pivota et Kamel sortit sa bite, qui banda complètement dans la seconde : " branle-moi un peu et raconte-moi tout, salope ; pour une fois qu'on a le temps, j'veux profiter. " Alors Miky s'exécuta et raconta en détails : les pipes à jeun, à genoux, à table, la pipe au lit pour Gabin, les pipes aux chiottes de ses potes. Kamel savourait la lente branlette et chaque mot. Miky lui fit remarquer qu'il commençait à bien mouiller.
- Ouais, c'est ta potion qui déborde. Lèche.
- Ici ?
- T'inquiète, je regarde. Vas-y, lèche-moi la goutte... Hmmm, tu kiffes hein ?
- Tu dois être bien plein, dit Miky en se redressant. T'as changé de gel douche ?
- Putain, tu r'marques tout toi ! t'aimes pas ?
- Si, ça sent super bon.
- De toute façon, le gel que tu vas te prendre tout à l'heure tu vas l'reconnaître... Continue de branler, c'est trop bon... explique pourquoi tu kiffes autant la sauce...
Et Miky expliqua. De fil en aiguille, il fut amené à dire aussi son plaisir de lécher le cul de ses mâles. Kamel tiqua : un truc de femelle ça ! Mais Miky le corrigea tout de suite en lui demandant si Jaco avait l'air d'une femelle. Il continua, pour mieux coller à la psychologie de Kamel, en disant que ses mâles offraient leur cul viril en bons dominateurs, et que lui, Miky, était très excité à l'idée de se soumettre à leur envie, en plus du plaisir que tout le monde y trouvait. Kamel arrêta la main de Miky : " Stop, la crème est déjà à moitié dans l'cornet ; viens ". Miky se retrouva aux toilettes à lécher le gland hyper gonflé, puis toute la bite, en suivant les ordres de Kamel, sans sucer, puis les couilles, clairement bien chargées, et... Kamel se tourna et présenta ses fesses : " vas-y, bouffe-moi le cul, salope ! ". Miky se jeta sur la raie en l'écartant bien. D'abord réticent à se cambrer (trop femelle ?), Kamel ne résista pas : la langue fouilleuse de Miky lui fit un effet du tonnerre, un truc nouveau et " carrément kiffant ". La langue lui envoyait des ondes partout, et jusqu'au bout du gland. Kamel finit carrément plié en deux, des mains écartant lui-même les fesses ; il n'en revenait pas, et se promettait de se refaire bouffer la rondelle. Miky continua à lécher cet oeillet inattendu et délicieux, saisit la bite de Kamel pour commencer à traire. Et soudain Kamel gueula, se retourna vivement : " ouvre la bouche ! ", et avec trois coups de poignet, il balança 5 bons coups de karcher, râlant comme un ogre, et enfourna sa bite pour finir de se vider. Miky avala, téta, avala, maîtrisant comme il pouvait les sursauts de tout le corps de son donneur.
mike
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