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Diesel

" Ils sont coincés ici, non ? "

" Ouais, c'est clair, ils se touchent à peine entre potes c'est mort pour qu'ils nous touchent nous"

C 'est Vincent, mon pote, qui vient de me répondre. Vincent : châtain, 25 ans, 1m85 pour 85 kg, que du muscle bien épais qu'il cultive en salle et dans son club de rugby. Il n'a jamais eu de mal à cueillir un mec, ni une fille d'ailleurs, mais ça c'est plutôt la préhistoire de sa vie sexuelle, l'époque où nous nous sommes rencontrés , à 18 ans, en premières année de fac.

Moi c'est Julien, brun, 1m64 pour 56 kg, autant dire que moi je suis resté au stade " crevette " pour le gabarit. Pour le reste, que du muscle, surtout mes petites fesses, le corps bien dessiné par du sport intensif et en prime un appendice déconcertant pour un physique comme le mien : 22/8.

Nous sommes à Amsterdam pour passer quelques jours entre potes. Musées, balade, flânerie mais aujourd'hui c'est samedi, il est 23h30. Après un très bon début de soirée où le vin Chilien m'a presque autant fait baver que le serveur du restaurant nous avons pris le chemin du quartier gay. Bon, faut l'avouer, sur le chemin, tous les 500 mètres, une pause réhydratation s'est imposée ce qui fait que nous ne sommes pas arrivés hyper frais devant la boite. Pardon devant " The " boite d'après le couple Spartacus - Lonely planet.

Vingt minutes d'attente pour rentrer, dix minutes pour avoir un verre, cinq pour découvrir les 3 étages et trente secondes pour se rendre à l'évidence : 95% de mecs, des beaux en plus, du bon son, de l'alcool de qualité mais un truc bizarre : aucun contact entre les mecs. Vingt centimètres c'est la distance minimum entre chaque danseur, pas même deux potes qui se collent pour déconner, j'éviterais de parler des cinq anglaises avoisinant les 2 grammes et qui sont les seules à coller des mecs assez indisposés par ces tranches de puddings roses dégoulinantes de sueurs. C'est pas gagné pour ramener un minou dans notre appartement du quartier rouge. Nous ne sommes pas à Paris ni Berlin (je ne parle même pas de Barcelone), non là c'est net, nous sommes en Europe du nord.

" Tiens, celui-là, au fond, je lui ferais bien la fesse " dis-je.

" Hein ? ou ça ? Ah oui lui ! Il est pas mal en effet, moi je vais plutôt aller de ce côté-ci "

Je vois Vince se diriger vers un petit mec blond plus jeune que nous. Le gamin est trop androgyne pour moi mais je dois avouer qu'il a de magnifiques traits fins et sensuels.

Vince m'a lâché et commence déjà les phases d'approches. Si je ne veux pas finir en me branlant dans mon lit pendant que mon pote fourre profondément et bruyamment (je le connais) son hollandais, il va falloir que je me concentre sur ma target. Il est vraiment pas mal, les mêmes proportions que Vince mais en version blonde et avec une petite barbe. Je me rapproche de son petit groupe, on a déjà échangé quelques regards et il me voit approcher. J'ai décidé d'y aller tranquille, il ne faut pas brusquer le local. Pendant ce temps-là je peux m'amuser, le son est bon et mon verre m'aide à ouvrir mes chakras. On s'échange des oeillades et des petits sourires, nous sommes en phase, c'est déjà ça. De son côté Vince a aussi l'air en phase, parfait, à ce rythme aucun de nous deux ne devra se branler ce soir. Je jette un regard à mon téléphone, déjà 2h du mat, va falloir que j'accélère moi. Je me rapproche un peu et juste à ce moment là un des potes de " Target " fait un signe au groupe et se barre. La redistribution des corps dans leur cercle de danse me permet de me positionner plus prêt de mon beau blond qui en profite pour rompre lui aussi le cercle. Il est face à moi, on danse en phase, ça s'annonce pas trop mal.

On parvient, malgré le volume sonore envoyé par le DJ, à échanger quelques mots en anglais, en résumé ça donne à peut prêt ça :

" Salut "

" Salut moi c'est Julien "

" Désolé ? Moi c'est Hugo, c'est quoi ton prénom ? J'ai mal entendu ? Trop de bruit ? T'es pas Néerlandais ? "

" Juuuuuuuullllllliiiiiiiieeeeeennnnnn ! Non je suis français, en vacances ici avec un pote "

" ah ok, j'aime beaucoup la France et les Français, tu aimes Amsterdam ? Tu es à l'hôtel ? "

" oui j'adore, superbe ville, de beaux musés mais j'aime surtout beaucoup les habitants : cool, sympas, polis, polyglotes et ... mignons "

Il rigole, il est craquant quand il rit. On continue à échanger quelques banalités en profitant du son, il est vraiment cool et encore plus sexe de prêt. Un peu avant 3h Vince vient me prévenir que son petit mec, Adam, le ramène chez lui, je vais avoir l'appartement pour moi et, je l'espère, Hugo. Celui-ci me regarde d'un air interrogateur.

" Mon pote va passer la nuit chez un mec, je vais devoir rentrer tout seul à l'appartement, c'est loin, c'est dans le quartier rouge. "

" Oh... si tu veux... si tu as peur... je peux te raccompagner "

Il est chou mais ses yeux sentent un peu la bite, ça tombe bien, j'aime ça.

" Je veux bien, il me faudra t'offrir un verre de vin pour te remercier "

"Ok alors, va pour le vin" me lance t'il avec un clin d'oeil. Il à l'air open, autant y aller :

" on va se le boire alors ce vin ? "

Un rapide salut à ses potes et nous sommes partis. Une fois arrivés, chose promise chose due, le verre de vin. Le verre est vite suivi d'un deuxième, Le quatrième verre arrivera sans que l'on ne s'en rende compte. Il a pas trop l'habitude du vin ça commence à se voir, il encaisse moins bien que moi, faut reconnaître qu'il boit beaucoup trop vite aussi, c'est pas de la bière pourtant. L'alcool rend la tension sexuelle entre nous plus palpable, j'en profite pour m'asseoir sur ses genoux alors qu'il est vautré dans le canapé. Face à lui je m'approche lentement, les yeux dans les yeux, il les ferme juste avant que nos bouches se touchent. Toute la tension sexuelle accumulée se libère dans se roulage de pelle mémorable, je joue avec sa bouche, avec sa langue, avec sa barbe, avec son nez, avec son cou, je joue. J 'avais pris soins de poser mon verre juste avant de me lancer dans cet exercice cannibale contrairement à Hugo, j'ai donc 10 doigts de disponible pour courir sur son visage, ouvrir sa chemise, lui caresser son torse glabre, puissant et sec et effleurer ses tétons. Les tétons : le bouton de dégivrage de mon bel Hollandais. Quand j'effleure ces deux petites collines roses sur ce torse blanc je le sens se liquéfier, fondre de plaisir et aussitôt renaître en bête de sexe. Il rejette sa tête en arrière dans un râle profond, la redresse juste assez pour vider son verre d'un trait. Il lui faut sans doute mobiliser l'ensemble des souvenirs de son éducation luthérienne pour ne pas exploser le verre contre le sol. Le verre se retrouve posé dans un coin du canapé une fraction de seconde avant que deux mains puissantes viennent me soulever. Sa langue me pénètre violemment la bouche, le combat de langue qui suit est un combat à mort, il n'y aura qu'un survivant. Heureusement pour nos muscles glossiens Hugo met un terme au combat en me jetant sur le lit. Il profite de mon temps de rebond pour finir d'enlever sa chemise. Avant d'être stabilisé sur ma couche me voici recouvert de mon bel Apollon. Sa peau est douce, je lui caresse le dos, mes mains glissent jusqu'à la naissance de ses fesses. Il me dévore le cou le temps de soulever mon tee shirt qu'il fait passer au-dessus de ma tête sans même prendre la peine de me l'ôter. Sa langue descend vers mes seins le temps qu'il dégrafe nos pantalons, je peux vite constater que nous aimons tout les deux les sous-vêtements Australiens. Il abandonne mon téton avec regret pour se relever et finir de se déshabiller, j'en profite pour l'imiter. Au moment de me rejoindre sur le lit et de retrouver mes tétons qui lui manquaient déjà il découvre ma bite, il semble subjugué par sa taille, oubliés les tétons, c'est sur mon gland qu'il se précipite pour assouvir sa pulsion sexuelle. Il essaye d'abord de me sucer d'un coup en entier, comprend qu'il ne va pas y arriver si vite et change de technique. Le rythme sera plus ralenti mais le massage buccal n'en sera que plus attentionné. Il sent, lape, lèche et suce ma queue et mes couilles. Comme pour ma bouche il n'est pas avare de salive. Je suis aux anges, dans un état éthylique de semi-conscience j'ai un magnifique spécimen local qui me dévore avec attention et expérience. Je n'ai même pas eu besoin de le sucer ou de l'orienter vers ma bite pour que de lui même il s'occupe de moi. Le rythme effréné du début de notre rapport s'est ralenti mais la tension sexuelle n'en a pas diminuée pour autant, j'ai l'impression juste de me vautrer dans un plaisir pur et absolu avec un homme aussi dépendant au sexe que moi. J'ai chaud, je transpire d'excitation, il faut que je passe moi aussi à l'action. A ce moment Hugo arrive enfin à me sucer correctement, c'est à dire jusqu'à mi-bite. L'occasion rêvée de reprendre la direction des opérations. Je lui caresse la nuque et l'encourage, en Français, les étrangers trouvent toujours notre langue excitante pendant l'amour. Je soulève lentement mon bassin pour le rapprocher de son visage. Ma deuxième main vient se positionner de l'autre côté de sa nuque : il est allongé entre mes jambes, sa bouche sur ma bite, ses bras en appui sur le lit de chaque coté de mon bassin, les muscles puissants de ses épaules gonflés pour maintenir son torse de mâle en équilibre au dessus de ma queue. Mes deux mains donnent le rythme de la succion à sa bouche, mon bassin se décolle toujours plus, très vite en moins de 3 minutes j'en suis arrivé à lui défoncer la gueule. Il est parfait, il ne bronche pas, il suce juste. Ses lèvres retroussées par l'effort d'ouverture qu'il est obligé d'effectuer me massent la tige comme un sphincter. Je le bloque en position enfoncée, le nez noyé dans mes poils pubiens pourtant très courts, il garde ma bite au chaud, 22 cm dans sa bouche pendant environ 30 secondes avant qu'il demande grâce et manque de s'étouffer. Le temps de reprendre sa respiration je le fais asseoir contre la tête du lit, je prend appui contre le mur et je commence mes pompes verticales, pas trop d'effort pour moi, beaucoup plus pour lui. Il prend ma bite en entier à chaque aller-retour et me regarde en se pinçant les tétons, ses yeux expriment le plaisir qu'il prend, c'est beau à voir. De temps en temps je sors ma bite pour lui offrir mes couilles à bouffer ou pour le biffler. C'est dans un de ces moments la qu'il me dit, les yeux humides des efforts réalisés pour ma pipe :

" Fuck me, fuck me baby "

D'un petit sourire je lui indique mon accord puis prend du recul. Il se retourne et se positionne à 4 pattes, la tête contre les draps trempés de la salive de sa pipe. Il prend un peu de cette salive présente sur le drap et sa tronche pour mouiller son cul. Son cul : quel cul ! deux magnifiques globes blancs musclés et joufflues, brillants d'un film de sueur, montés sur deux cuissots massifs au muscles découpés et bandés. La vision de ce paradis batave me fait triquer à mort, c'est à mon tour de me jeter sur ma proie, cette raie imberbe qui m'indique le chemin de son petit trou palpitant. Je suis incapable de dire combien de temps j'ai léché ce cul, combien de temps j'ai mordu ces fesses, je les ai écartées, combien de fois ma langue a joué à ouvrir son trou, comment elle est descendue jusqu'à lui lécher la base des couilles pendant que mon nez titillait ce sphincter qui avait du plus en plus envie de s'ouvrir. Je ne sais plus combien de temps j'ai pris du plaisir à lui bouffer le cul, sans doute pas assez, on ne se rassasie jamais d'un cul divin comme le sien. Quand je me suis redressé pour faire jouer ma bite contre son trou celle-ci était encore couverte de la salive d'Hugo, cette salive de fond de gorge, bien épaisse, qu'il faut aller chercher derrière la glotte avec force et malgré les hauts-le-coeurs du suceur, cette salive plus lubrifiante que n'importe quel lubrifiant présent sur le marché. Les qualités des préliminaires conditionnent la qualité de l'acte sexuel. La façon dont ma bite est entrée dans son cul confirme cet adage : aussitôt mon gland posé sur son trou, Hugo, sans conscience ou souhait de ne prendre aucune précaution recula son cul et s'enfonça jusqu'à mi bite. Le problème avec l'alcool c'est que les réflexes sont ralentis et c'est donc après avoir commandé à mon cerveau de rentrer ma bite à moitié que j'ai vu Hugo faire le travail lui même, malheureusement il était trop tard pour donner un avis contraire à mon cerveau et le pauvre Hugo s'est retrouvé embroché d'un coup. J'ai compris quand j'ai senti mes couilles claquer contre son cul et que j'ai entendu mon beau blond étouffer son hurlement de douleur dans les draps. Dans une situation normale je me serais excusé, je pense qu'il aurait eu droit à de nombreuses caresses et autres mots de réconforts le temps qu'il puisse s'habituer mais décidément ce soir là je ne devais pas être dans mon état normal. Au lieu de me comporter comme un gentleman j'ai plutôt joué la carte du bourrin, je ne lui ai pas laissé le temps de reprendre ses esprits, j'ai directement commencé mon travail de sape, mes va-et-vient profonds. Les cris étouffés d'Hugo ont continué pendant une à deux minutes puis enfin il a réussi à se défendre, j'ai commencé à sentir son bassin onduler, partir à la recherche de ma bite. Rapidement il a accéléré le mouvement, ses cris sont devenus des appels à la baise, toujours plus profonde, toujours plus forte. A ce rythme-là, il ne m'a pas fallu plus d'une dizaine de minutes pour sentir le jus monter, j'ai encore accéléré le rythme, donnant mes dernières forces à cette croupe tendue. Mes muscles se sont tétanisés au moment où le jus a commencé à être propulsé au fond de son cul, les contractions désordonnées des muscles de mes jambes accompagnant mes cris de plaisirs, je ne bougeais plus dans son cul, c'est son cul qui bougeait sur ma bite. Son cul allait et venait, assoiffé de sperme, pour me traire jusqu'à la dernière goutte et c'est uniquement quand il fut sûr qu'il n'y avait plus une seule goutte au fond de mes couilles que les couinements de plaisirs d'Hugo et ses mouvements lascifs de croupes se sont calmés. Je me suis effondré sur son dos puissant et trempés de nos sueurs mêlées, nos respirations fortes se sont coordonnées. Le sommeil nous a cueillis dans cette position, ma bite toujours enfoncé dans son cul.

Il était 6h au réveil posé sur la table de nuit. Dans 24 h, un autre petit couple, les propriétaires, se réveillerait à notre place, inconscient de ce qui se serait passé quelques heures plus tôt sur leur couche. Matinal pour un réveil dominical mais la gaule du matin est la seule à décider de l'heure de mon réveil. J 'avais mal au crane à cause de l'alcool ingurgité pendant la nuit. Je n'avais plus de force suite à nos ébats sportifs. Je n'avais qu'un souhait continuer à dormir mais entre mes jambes la bête était réveillée et elle était déjà bien en forme, au chaud dans Hugo qui pendant notre courte nuit l'avait gardé en lui pour s'habituer à ces dimensions. Je bandais, ma bite était dans un cul bien ouvert et même si son propriétaire devait encore dormir je pense qu'il n'aurait rien eu à redire au fait que je laisse mon corps satisfaire un besoin matinal au plus profond de son être. Lentement d'abord puis ensuite, quand ma bite fut recouverte d'un mélange lubrificateur des restes de sperme et de mouille de notre nuit, plus rapidement j'ai recommencé à le pilonner, à le défoncer. Il a été réveillé plus par mon appuis sur ces épaules et le claquement de mes couilles sur ces fesses que par mon pilonnage, son cul était béant des suites de son remplissage nocturne. Plusieurs fois je me suis retiré pour contempler le spectacle de ce trou noir et rose, ouvert et palpitant. Il a vite compris que ce spectacle m'excitait, il en a donc joué, d'abord en s'écartant les fesses des deux mains, m'offrant, encore un peu plus, son intimité à contempler puis en jouant avec ses doigts. Entièrement réveillé par cet appel au plaisir j'ai moi aussi joué avec mes doigts sur, puis dans son cul et bientôt ma bite rentrait au fond accompagnée par son escorte de doigts. Deux doigts de chacune de ses mains rentrés à fond lui permettaient d'écarter au maximum son cul, ma bite rentrait et sortait de plus en plus vite, son cul oscillait pour offrir, si cela était encore possible, des territoires encore inexplorés à ma queue. Il voulait que je le baise toujours plus profond, toujours plus fort, il le couinait, le soufflait, le criait, le quémandait. Je lui explosais le cul comme jamais je n'avais réussi à le faire. Hiroshima. Je ne sentais plus mes jambes, plus ma bite, plus mes bras. Mon sexe avait pris le contrôle de mon corps comme son cul avait prit le contrôle du sien. Dans un dernier effort pour prolonger nos plaisirs et pour aider mon cerveau à reprendre le contrôle je me suis sorti de ce trou et je me suis écroulé sur le lit, allongé sur le dos. Hugo m'a sauté dessus et presque sans effort a fait rentrer ma bite dans son trou. Aussitôt je l'ai calmé pour que le rythme soit plus doux. Il était beau. Malgré ses traits gonflés par le réveil prématurés, ses cheveux décoiffés, le pli des draps dessiné sur son front, il était beau. J'étais aux anges d'avoir un tel mec devant moi, je le baisais les yeux dans les yeux, la langue contre la sienne et je voyais ses yeux me supplier de continuer à le prendre. Ce moment presque câlin à duré longtemps, je n'avais pas envie de jouir tout de suite, je savais que si je jouissais maintenant je serais trop mort pour pouvoir recommencer et je voulais profiter au maximum de son cul. Au milieu de ces câlins sexuels, ma bite toujours plantée dans son cul j'ai entendu la porte de l'appartement se refermer, ce devait être Vince. L'arrivée de mon pote me donna des idées pour en offrir encore plus à Hugo.

" C'est toi Vince ? Viens dans la chambre !

La porte s'est ouverte, la lumière du jour tombant sur le corps de mon amant écartelé sur ma bite. J'ai croisé le regard paniqué de Hugo, pudique le garçon, j'en ai profité pour lui titiller les deux tétons avec mes doigts, aussitôt, comme plus tôt dans la nuit, une décharge électrique a parcouru son corps, il était transformé, plus de panique dans ses yeux, juste l'envie de cul, toujours plus de cul.

" pffffffff ! Ben dis donc on s'ennuie pas quand je découche mon salop. Je peux pas te laisser 5 minutes sans que ta bite déchire un trou, t'es vraiment pas croyable toi ! "

" Ta gueule Vince, viens plutôt nous rejoindre, j'ai l'impression qu'il y a de la place pour deux là-dedans, ce sera sans doute plus sympa que ton puceau de la nuit. "

" Tu parles d'un puceau oui, une bonne grosse salope plutôt, mais côté salope t'as toi aussi tiré un gros lot dis donc, son cul m'excite bien, j'ai bien envie d'y tremper ma bite "

En parlant il s'était déshabillé, Hugo avait compris ce qu'on allait faire de lui mais loin d'avoir peur, c'était de l'excitation que je lisais dans ces yeux pendant que je lui travaillais toujours les seins. Ma bite était toujours au fond de son fourreau, Vince est monté sur le lit et s'est positionné entre mes jambes, le gland contre le trou d'Hugo. Mon amant avait arrêté ses ondulations, il attendait, avec un mélange d'appréhension et d'excitation, que la queue de Vince vienne, elle aussi, le saillir. Le gland de Vince est rentré doucement puis j'ai senti remonter, contre ma bite, sa bite dure et longue, un peu moins impressionnante que la mienne mais de très belle dimension néanmoins : 19 cm pour 5 de large. Hugo était allongé sur moi, dans le creux de mon épaule je l'entendais couiner de plaisir, celui d'offrir son cul et de se faire remplir en retour. Je regardais Vince s'activer pendant que sa bite massait la mienne, c'était bon le contact de nos deux bites, la pression de l'une sur l'autre, de l'anus d'Hugo enserrant l'ensemble et les mouvements de plus en plus ample de Vince. Il commençait à bien claquer ses abdos contre Hugo, il l'insultait, lui claquer le cul bref il le baisait comme il savait si bien le faire. Un quart d'heure de plaisir intense et puis le corps de Vince qui se raidit, Hugo qui crie dans mes bras, moi aux anges. Le premier à jouir fut Hugo, sa première éjaculation de la nuit, sans se toucher, contre mes abdos, une marre de sperme m'a rapidement couvert le torse et le ventre au moment ou la pression sur nos bites atteignait son maximum. Vince et moi avons du juter en même temps, au fond du cul déjà bien foutreux de notre petite salope. Vince s'est retiré puis est parti se prendre une douche, sans un regard ni un mot pour Hugo, comme un bon macho viril préoccupé juste de son plaisir bref comme Vince quand il aime jouer à l'actif. Moi aussi je me suis retiré, ma bite accompagné d'une nouvelle inondation de sperme en provenance d'Hugo, mais cette fois-ci ce fleuve de jute sortait de son cul. Hugo me couvrait de petits bisous dans le cou puis il est descendu sur mon torse et vers ma bite, consciencieusement, méticuleusement il a léché le sperme qui me couvrait venant régulièrement m'embrasser pour me faire goutter le fruit de sa collecte. Quand bien nettoyé je lui ai demandé s'il voulait prendre une douche Hugo m'a juste répondu :

" Non, je veux garder le plus longtemps possible, au moins jusqu'à demain avant d'aller au boulot, ton odeur et surtout ton sperme au fond de moi. "

Puis en 5 minutes il s'est rhabillé, sa chemise collant sur son corps couvert de sperme et de sueur, la encore, malgré ça, il était craquant, on a échangé nos numéros pour une prochaine fois et il était parti, envolé.

Long au démarrage mais vraiment bien chaud une fois allumés ces Hollandais.

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